DE L’INQUISITION AU BÉNIN SOUS LE REGIME DE MONSIEUR THOMAS YAYI BONI.
Par Olympe BHÊLY-QUENUM
Une information envoyée via Facecbook : Bertrand Donhoué Sondjo a mentionné votre nom dans un commentaire dans Jeunes Démocrates Prompts.
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Merci Sieur Léo Toliho pour votre question....Le bourreau de Tchaourou peut être? ....Olympe Bhêly-quenum est une fierté nationale et Un Piège Sans Fin: un véritable chef d’œuvre; Le jaloux va maigrir!
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Répondant à chaud, j’avais écrit :
« UN PIEGE SANS FIN et LE CHANT DU LAC[1] sont traduits en grec, à Athènes.
Je lirai très attentivement tous les commentaires avant de réagir ; ceux qui ne me connaissent pas, que ce soit Monsieur Thomas Yayi Boni, Monsieur Paulin Hountondji, Monsieur Florent Couao-Zotti, chacun d’eux aura à faire face au KPOSSY- GBHÊLY-QUENUM que je suis. Même au pied de la Mort, l’homme que je suis ne reculera devant aucune lutte.
Il y a sur mon site www.obhelyquenum.com (rubrique Politique)[2] un article intitulé LE CAS UN ENFANT D’AFRIQUE. Il s’agit de l’ostracisme du programme scolaire de ce roman pour jeunes par Monsieur Paulin Hountondji, quand il était ministre. C’était autant un fait du prince qu’un acte gratuit : faire le mal pour le plaisir de le faire ; c’est aussi l’idiosyncrasie de ceux que la Bible nomme « ouvriers de mal ». Je n’ai jamais demandé qu’un de mes livres soit inscrit au programme où que ce soit dans le monde ; n’empêche, les mémoires de Maîtrise, les thèses de Doctorat d’Etat, les communications, etc., consacrées à mes livres ou à ma personnalité sont légion en Francophonie, en anglais, italien, allemand et dans des langues que je ne parle point.
Avant d’être ostracisé du programme dans mon pays natal, Un Enfant d’Afrique avait été salué par L.S.Senghor, René Maheu (feu Directeur général de l’Unesco), feu Henri Queffelec, de l’Académie Goncourt ; on en trouve des extraits dans des manuels scolaires de France ; aux USA, le journal World Literature Today lui a consacré un long article ; la traduction en russe de ce livre est dotée d’une postface élogieuse ; l’ouvrage proscrit au Bénin est partiellement traduit en anglais et en kiswahili, une langue africaine ; quatre ans avant sa mort, Chinua Achebe m’a téléphoné pour savoir si mon roman pour jeunes était traduit en anglais et il précisa « qu'il voulait collaborer à un livre pour les jeunes Africains et qu un lecteur l’a informé que ma description du marché d’Onisha et de ses mystères était remarquable.»[3]
Chose rarissime parmi les écrivains africains qui, siphonnant, plagiant, piétinent leurs devanciers, se multiplient, se livrent à une sorte d'ubiquité errante en parlant d'eux-mêmes ou en faisant le marketing de l'une de leurs médiocrités qui a fait faillite ; il y a un an ou deux, Monsieur Florent Couao-Zotti a piétiné « les thématiques relativement éculées de Jean Pliya et d’Olympe Bhêly-Quenum » ; écrivain, professeur de je ne sais quoi, il va cornaquer son ami Monsieur Alain Mabanckou en visite au Bénin, sans oublier de souligner que l’hôte était « ami de l’ambassadeur de France » ; il l’accompagnera chez Albert Tévoédjrè ; corollaire, le bruit courra vite que Verre cassé, un roman de l’écrivain congolais, sera au programme au Bénin et il y eut un débat sur Facebook. L’acharnement de Messieurs Paulin Hountondji, Florent Couao-Zotti et consorts me fait rire ; mes enfants (prof de lettres, institutrice, attaché d’Administration, artiste connu, etc.,) m’ont déjà demandé ce que j’ai pu avoir fait à certains intellectuels de mon pays ; ma réponse : « je suis convaincu que Dieu lui-même l’ignore ; méchanceté et acte gratuit deviennent les idiosyncrasies de certains intellectuels béninois. »
Olympe BHÊLY-QUENUM. »
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