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Mon Idéo Va Court, Vole et Tombe sur…:
Mandat d'Arrêt International contre Lionel AGBO.
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Bénin : Une Étude évalue l'usage des plantes dans les thérapies antipaludiques
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[COTONOU, BÉNIN] Les guérisseurs traditionnels au Bénin possèdent une connaissance sophistiquée en matière de traitement du paludisme avec les plantes médicinales et des stratégies doivent être développées pour exploiter cela et promouvoir la conservation des plantes, rapporte une étude. traduit par Binason Avèkes |
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ABUJA — A man who claims to be a commander from the Islamist militant group known as Boko Haram declared a unilateral cease-fire Monday in Maiduguri in northern Nigeria. It is not clear if Sheik Abu Mohammed Ibn Abdulazeez is speaking for all of Boko Haram, but officials say they will consider terms laid out by the group. | Nobody knows how many factions there are of Boko Haram and which ones may take orders from Abdulazeez. By their actions, some Boko Haram members appear to want to enforce a harsh form of Islamic law while others are just at war with Nigerian security forces. continued |
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Ethiopian PM Elected New AU Chairperson Desalegn Urges Assisting Sudan, S. Sudan in Creating Two Viable States
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Notre Héros défiguréISBN : 2868695779 Pour comprendre comment un homme comme Yayi Boni né au Bénin peut être en train de faire ce qu’il est en train de faire maintenant ; pour comprendre la genèse et la psychologie de la Dictature, ses motivations personnelles, et ce besoin d’humilier, d’imposer une pensée unique, et par-là même la réalité collective, qui est à l’œuvre au Bénin depuis 2006 ; pour comprendre pourquoi des gens comme Soglo, Houngbédji, Amoussou et bien d’autres se taisent, entre peur et promesses, égoïsmes et fantasmes de profit personnels, la littérature pourrait y aider. Un roman simple et très court écrit par un Coréen, Yi Munyol, répond à ce besoin. Son titre est : NOTRE HÉROS DEFIGURÉ Ce roman publié en 1987, soit 7 ans après le massacre de Kwangju, évoque l’absence de démocratie dans la Corée des années 1980. Dans une parabole, l'auteur dénonce le règne des petits chefs et les vices de la tyrannie politique. |
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Mon Cher Pancrace,
Sur sa photo, Me Lionel AGBO apparait calme, souriant, presque charmeur. Séducteur, il l’a certainement été, si on considère son métier, son parcours professionnel, politique et social. Avocat à la cour, il a été vocal et s’est illustré dans maints combats socioéconomiques comme en témoigne sa lutte pour les abonnés du GSM, etc. Par ailleurs, Lionel Agbo est candidat malheureux aux élections présidentielles et législatives de 2006 et 2011, respectivement. Bref l’homme a sans doute investi à fond, et pas forcément à fonds perdu tout son savoir-faire de rhéteur et de bretteur, ainsi que son talent d’avocat. Quand il a été appelé par Monsieur Yayi comme son porte-parole, c’est, on l’imagine, en reconnaissance de ce talent, de son bagou. Le Président voulait qu’il défende sa cause, vende sa soupe, la faire mieux aimer de ses compatriotes comme il a su le faire sur d’autre théâtres, à d’autres moments et niveaux de la vie sociale, politique et économique. Alors au vu du caractère impondérable et douteux de M. Yayi, on aurait pu penser que Me Lionel AGBO allait refuser l’offre. Mais s’il avait refusé saurions-nous même jamais qu’une telle proposition lui a été faite ? Car l’annonce publique de telles propositions est toujours consécutive aux accords entre les intéressés. Mais comme l’a rappelé un autre Ouidanier célèbre – O.B.Q. pour ne pas le nommer – Me Lionel Agbo n’est pas seulement Béninois mais un digne fils de Ouidah, et un fonnouvijiji. Or dans la langue fon, il y a un proverbe qui dit qu’on ne refuse pas l’appel, bien qu’on puisse refuser ce qui suit l’appel. Et de fait, l’exercice de sa fonction de porte-parole du Président Yayi a surpris plus d’un. Était-ce déjà une façon de refuser ce qui a suivi l’appel ? Les choses qu’il découvrait jour après jour dans l’entourage du Président, les pratiques et les excès dépassant l’entendement. Les Béninois s’attendaient à un exercice vocal, ponctué de plans média, d’interventions tous azimuts dans la presse écrite et surtout audiovisuelle, de la mise en jeu et en œuvre de son bagou, de son talent de rhéteur et de porte-parole, de la part de celui qui somme toute en était un maître par profession. En fin de compte, l’exercice fut des plus discrets possible. Me AGBO porta le silence plutôt que la parole. Et ce silence paraissait par moment criants. Que cachait-il au juste ? Nul ne le sait. Et le mystère plongeait les Béninois dans un océan de conjectures où certains buvaient la tasse tandis que d’autres se noyaient. Le silence devint institutionnel et, paradoxalement, finit par définir son passage à la Marina. Il dura tant et plus. Nul ne sut d’ailleurs quand exactement le président prit la décision de se séparer de son porte-silence, quand il se sépara de son porte-parole devenu le maître incontesté de la parole non-portée. A mon avis, mon cher Pancrace, il y avait déjà un acte de courage dans cette attitude de circonspection d’un observateur participant épris de justice et d’amour pour son pays, qui découvrait des choses qui lui en bouchaient un coin. Et alors qu’il était payé pour parler, c’est-à-dire, dire le contraire de ce qu’il voyait, transformer le plomb de la corruption et du régionalisme moyenâgeux en l’or du changement et de l’émergence, Me Lionel AGBO eut le courage de se taire. Silence éloquent et parlant d’un beau parleur. Était-ce pour ce premier acte de courage, refus de ce qui suit l’appel, qu’il fut remercié en catimini, presque clandestinement alors qu’il avait été nommé tambour battant ? Nul ne le saura jamais ! Puis vint l’heure du second acte de courage. Quand en citoyen libre, profitant de son droit à l’expression libre reconnu dans la Constitution, il dévoila succinctement quoique de façon elliptique voire métaphorique un pan de la déviance éthique et pratique dont il avait été témoin. Ce qui souleva l’ire du Président. C’était comme si, novice initié du kouvito, qui venait de « voir le awo », il était allé raconter sur la place publique et aux non-initiés, comment cela se passait au couvent, qui était derrière tel ou tel masque, de quelle chair et de quel sang étaient faits les os dansants… Mais la Présidence de la République dans un État de Droit est-elle un gbalè d’egungun ou de oro? Et ceux qui y ont fait leur entrée ont-ils fait vœu d’opacité ? Doivent-ils être traités comme des traitres lorsqu’au nom de l’intérêt général, ils exercent leur Devoir de Transparence ? Le troisième acte de courage de Me Lionel AGBO a été de ne pas accepter le verdict bidon d’une parodie de justice. Ce faisant, il nous a décillé les yeux. Quand Talon avait fui, il n’avait pas été jugé, et son acte était préventif et ne nous permettait pas de prendre conscience de notre situation éthique et morale. Comme l’a dit Jean Paul Sartre les Français n’étaient vraiment libres que sous l’occupation : un homme ne devient libre que quand il a été jugé. Libre en son for intérieur d’accepter le jugement d’une justice impartiale ou de ne pas accepter la parodie de procès d’une justice aux ordres. Or tout le monde sait qu’avec Yayi Boni, depuis 2006, tout est régi par l’ordre pervers d’une facticité parodique : la Cour Constitutionnelle est une parodie de Cour ; le Parlement est une Caisse de résonnance parodique ; les élections, notamment la dernière élection présidentielle, sont une parodie d’élection ; la HAAC avec sa hache de guerre de la pensée unique et du conditionnement pour le culte de la personnalité est une parodie d’instance de régulation. Et la Justice elle-même, entre incarcérations arbitraires et procès sans suite est une parodie de justice. Les Béninois peu à peu étaient en train d’accepter que leur vie soit régie par un système autocratique de parodie. Comme si cela était une fatalité synonyme de politique. Or, comme nous l’ont montré de grands Africains, comme Kwame Nkrumah, Nelson Mandela, et Thomas Sankara, la Politique est plus noble, plus libératrice, moins faite de médiocrité, de peur et de résignation. En refusant d’obéir à ce diktat, en ne se soumettant pas à l’oukase de la justice parodique à la solde du pouvoir, Me Lionel Agbo se fait l’avocat de notre conscience endormie et de notre liberté emberlificotée. Me Lionel Agbo nous apprend à dire non à la chloroformisation des esprits qui sévit au Bénin depuis 2006. De par sa formation et sa profession, l’homme est suffisamment averti du droit pour savoir le sens éthique et politique d’une décision de justice. Et en refusant la parodie de justice qui le condamne en toute innocence, c’est nos inhibitions qu’il bouscule ; c’est un signe d’appel à notre réveil qu’il nous fait. Et il le fait au prix de sacrifices personnels dont la lourdeur est incommensurable. En cela, Me Lionel AGBO mérite notre respect, notre soutien et notre admiration. Bien à toi, et que Dieu sauve le Bénin ! Binason Avèkes |
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Je m’incline Babalawo ; je salue bien bas le Fâ BABALAWO : Soyez le bienvenu… fifa, à votre service ! C’est à propos de l’actualité politique, je suis venu savoir... BABALAWO : Quoi donc ? Parlez, le Fâ vous écoute… Eh bien, est-ce bien vrai que Patrice Talon a tenté d’empoisonner Yayi Boni… BABALAWO : Gbe- Meji ! /La voie n’est jamais fermée au grand vautour en route pour Ife… /Tula fait des embarras ! /Le Jour est arrivé/ Celui qui a pris rendez-vous avec un invité ne pourchasse pas un poulet avec un arc…/Le jour est arrivé../ La souris domestique et le rat des champs ont monté une cabale/Qui le dénouera le premier ? Que dit donc le Fâ ? BABALAWO : Eh bien la Fâ dit oui et non… Mais encore Babalawo... BABALAWO : Oui, il y a bien une affaire d'empoisonnement, dit le Fâ, mais la victime n'est pas Yayi. Les instigateurs étaient au contraire Yayi et Talon ensemble qui ont agi pour empoisonner un tiers, homme politique honnête mais jugé redoutable au projet du holdup électoral de mars 2011. Depuis lors, Yayi Boni qui se dit chrétien à ses heures n'a pas toujours le sommeil profond ; alors, à l'occasion de son bras de fer avec Talon, il a voulu se libérer la conscience à moitié en prenant les devants. Dans l'accusation qu'il a proférée contre Talon, il sait que celui-ci n'est pas tout à fait propre, comme lui. L'affaire concentre à la fois de l'ironie et du cynisme. Yayi Boni lance une vraie fausse accusation à laquelle la victime est aussi le bourreau, comme lui d'un crime déjà commis et dont ils sont tous les deux complices et compères… Telles sont les révélations étonnantes du fa..Voilà pourquoi la voie n’est jamais fermée au grand vautour en route pour Ife… /Tula fait des embarras ! /Le Jour est arrivé/ Celui qui a pris rendez-vous avec un invité ne pourchasse pas un poulet avec un arc…/Le jour est arrivé../ La souris domestique et le rat des champs ont monté une cabale/Qui le dénouera le premier ? La question est profonde Babalawo, je promets d’y réfléchir… Aké Bokossa |
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L’Ambassadeur des Droit de l’Homme, William Nicholas Gomes, demande au Bénin d’Abandonner Toute Poursuite Contre Mme Berthe Cakpossa
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L’Ambassadeur des Droit de l’Homme, William Nicholas Gomes, demande au Bénin d’abandonner toutes les accusations politiquement motivées contre Berthe Cakpossa Lettre de William Gomes de Salem-News.com (YORK, Royaume-Uni) – Dans une lettre, l’Ambassadeur des Droits de l’Homme William Nicholas Gomes, a demandé au premier ministre de la République du Bénin, Pascal Koupaki d’abandonner immédiatement toutes les accusations politiquement motivées contre Berthe Cakpossa. Voici la lettre : Monsieur le Premier ministre Koupaki Pascal, Je tiens à vous rappeler que la liberté d'expression est intimement liée au débat politique et au concept de démocratie.
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Béninoises, Béninois, Levons-nous Tous Pour Combattre le Terrorisme d’État du Pourvoir Dictatorial de Yayi Boni
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Me Lionel AGBO Parle aux Béninois : «Je vous exhorte à ne jamais baisser les bras»
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Lionel Agbo, Yayi's spokesperson until March 2011, suggested in September that the president intended to remain in office beyond his legally mandated two terms and that members of his entourage were corrupt. Judge Ulrich Gilbert Togbonon declared Agbo "guilty of complicity of the crime of insulting the head of state" while sentencing him to six months in prison and a fine of 500 000 CFA ($1 015). Last week in the West African nation, the head of private television channel Canal 3 was sentenced to three months in prison since her station aired the press conference. |
The International Federation of Journalists harshly criticised the television director's sentence, calling it disproportionate and saying it risked forcing the news media into self-censorship. The case is among several in Benin that have targeted high-profile figures, including one involving an alleged plot to poison Yayi that resulted in arrests in October. continued |
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De la Responsabilité Objective et Morale de Yayi Boni dans les Crimes Économiques et Politiques qui Secouent le Bénin.
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“Afari Gyan has suddenly changed and the way he handled last year’s elections is a clear manifestation that in 2008, Nana Addo won that election,” he said. In an interview he granted Okay FM, an Accra-based private radio station, the NPP MP recounted how he was denigrated by some religious groups for speaking the truth about the tendency of vote rigging prior to the 2012 elections. He accused the National Peace Council of suddenly metamorphosing into a “War Council” “led by a deceptive man of God” who wants the nation to be in shambles. |
He added that it is quite unfathomable for the Peace Council led by this same “deceptive man of God” to suddenly remain silent on related issues which terrorize the peace of this country, even though the council had been quite vocal recently. Asked by the host of the show who the “deceptive man of God” was, Kennedy Agyapong pointed to Rev. Professor Emmanuel Asante, who is the Presiding Bishop of the Methodist Church of Ghana. According to Kennedy Agyapong, he was amazed to hear Rev. Professor Emmanuel Asante tell the NPP that he had met with the “master thief” Dr. Afari Gyan, and had advised them to send any electoral grievances to the court. continued |
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[COTONOU, BENIN] Researchers in Benin say they have developed an improved method for detecting malaria parasites in mosquito vectors that could help yield better estimates of malaria transmission intensity in different settings. The new technique detects and identifies the four Plasmodium species in the principal mosquito vectors, Anopheles gambiae and Anopheles funestus. It is also enables scientists to detect 'mixed' malaria infections where more than one type of Plasmodium parasite is present. SPEED READ
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The study, published in PLoS ONE last month (28 December), explains that the technique optimises polymerase chain reaction (PCR) technology, a laboratory technique that amplifies and quantifies DNA molecules. The researchers also say their method is more accurate than the traditional technique, which is based on the ELISA (enzyme-linked immunosorbent assay) test, a standard laboratory diagnostic test that uses antibodies and colour change to detect DNA molecules. "This study presents an optimised method for detecting the four Plasmodium species in African malaria vectors," say the authors. They say it could be an "accurate molecular diagnostic tool for detecting malaria parasites in field mosquito populations". continued |
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MALI : QUAND L’OCCIDENT CRÉTIN COMMENCE A REGRETTER L’ÉLIMINATION CRAPULEUSE DU COLONEL KADHAFI
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Au plus fort de la pression occidentale sur son régime, le colonel Mouammar el-Kadhafi a averti que s’il tombait, le chaos et la guerre sainte dépasserait l'Afrique du Nord. «Les gens de Ben Laden viendraient imposer des rançons sur terre et sur mer», avait-il déclaré. « Nous allons revenir à l'époque de Barberousse, des pirates, des Ottomans qui imposaient des rançons sur les bateaux. » (...)
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Au Mali, par exemple, il y a les Touaregs, un peuple nomade ethniquement distinct à la fois des Arabes au nord, et les Noirs qui habitent le sud du Mali et qui contrôlent le gouvernement national. Ils ont combattu pour le colonel Kadhafi en Libye, puis ont repris le chemin de l'autre côté de la frontière, après sa chute, se regroupant avec les islamistes pour former une force de combat bien plus redoutable. Ils ont apporté avec eux des armes lourdes et une grande détermination nouvelle à renverser le gouvernement malien, qu’ils avaient combattu pendant des décennies dans une lutte essentiellement laïque pour une plus grande autonomie. Adenifuja Bolaji d'après un article du New York Time |
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ORGANISATION DE BASE OUEME-PLATEAU DU PCB DECLARATION SUR L’INTERVENTION DES FORCES DE L’ORDRE CONTRE LES VENDEURS D’ESSENCE À DJREGBE
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Des intérêts français, la découverte du pétrole au Mali en est le déclencheur des hostilités. Bamako, 12 mai 2002, aussitôt élu président de la République avec 64,35% des voix au deuxième tour, Amadou Toumani Touré (ATT pour les intimes) fait un rêve, celui de faire du Mali un pays producteur du pétrole. Mais le rêve ne dit pas que l’or noir est un or du diable, qui insère son producteur au rang de la malédiction où d’autres anciennes colonies françaises comme le Congo Brazzaville, le Gabon... sont depuis, tenus en laisse par Paris. Le Mali peut toujours jouer le jeu de la démocratie en organisant des élections crédibles et en assurant des alternances dans la paix tant qu’une goutte de pétrole ne coule pas encore du bassin de Taoudéni dans le nord du pays. Taoudéni ? C’est à la fois une cuvette dont le dépôt centre atteint plus de 5000 m d’épaisseur et une superficie d’environ 1.500.000 km², soit le plus vaste bassin sédimentaire on-shore d’Afrique occidentale, qui s’étend hors du Mali au Niger, en Mauritanie, au Burkina Faso et en Algérie. Cette précision est d’une importante capitale à noter pour la suite de l’analyse. Il est de bon augure pour ATT de créer, dès 2004, l’Autorité pour la promotion de la Recherche Pétrolière au Mali (AUREP). Des conventions de partage de production et de concession pour 29
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blocs répartis sur cinq bassins sédimentaires sont signées entre le gouvernement malien (9 blocs) et les sociétés de recherche pétrolière pour les 20 autres blocs. Parmi ces sociétés, il y a la compagnie italienne d’hydrocarbure ENI (50%), l’australienne Baraka Petroleum (25%) et l’Algérienne SIPEX (25%), dont les opérations de sondages sismiques des blocs 1, 2, 3, 4 et 9 sont assurées par l’Entreprise Nationale Algérienne de Géophysique (ENAGEO), une filiale de SONATRACH qui est la première des douze sociétés pétrolières d’Afrique. Sans oublier l’apport de 46 milliards de FCFA par PetroPlus Angola, destinés à la promotion de la recherche pétrolière, à l’exploitation, au transport, au raffinage des hydrocarbures liquides et gazeux, et à la formation du personnel technique malien. suite |
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Ondo State Governor Olusegun Mimiko started the Abiye Initiative, a revolutionary program that offers free healthcare to pregnant women and children under five. Washington, DC — One in five Nigerian children will die before reaching his or her fifth birthday, according to Save the Children. Their mothers are also suffering - the country accounted for 14 percent of maternal deaths worldwide in 2010, according to the United Nations. But one governor says he is determined to reverse the tide on maternal and infant mortality with a new program that offers free health care to mothers and children under five. Ondo State Governor Olusegun Mimiko launched the Abiye (safe motherhood) initiative in 2009. Its success - through the deployment of roving paramedics, opening new hospitals and slashing medical costs - has garnered acclaim from international organizations such as the World Bank. At a media roundtable in Washington DC on Thursday, AllAfrica's Kyle Pienaar and Lauren Everitt caught up with Mimiko to learn why
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the governor chose to focus on maternal health, the challenges he faced along the way and his plans to meet Millennium Development Goals 4 and 5. You said that Nigeria accounts for an estimated 14 percent of maternal deaths worldwide. Why are conditions so bad for pregnant women in Nigeria? It's a combination of many factors. It's lack of planning, lack of emphasis on the right priorities. The population is also a factor - we're 160 million. Where I come from, Ondo State, there are four million people. But leadership is also part of it. It's an issue of priorities, mainstreaming the right things |
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GLOBAL
Ever since Stella Obasanjo (Late Nigeria's first lady) died suddenly under the knife of what turned out to be a quack plastic surgeon in Spain, things have simply spiralled from bad to worse. Her trip to Spain was not the problem but as it turned out, Nigerians were not informed that she was travelling to Spain, let alone for the reasons of tummy tuck. The story at the time was that even her husband was not informed of that clandestine trip to Spain but I sincerely hold my reservations on that. Then came Yar'adua in 2007 when he was running for president: It was already common knowledge that Governor Yar'adua was suffering from kidney ailment, and had been on dialysis for some years, perhaps between 5 and 8 years as at 2007. It was also common knowledge that the average life expectancy for one on dialysis is roughly 10 years. Yet when Yar'adua crumbled under the stress of heavy presidential campaign schedule and had to be flown out to a German hospital, Obasanjo boldly told all Nigerians that his hand-picked presidential candidate was only suffering from catarrh. Such fallacy only fuelled rumours that Yar'adua had died especially
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after nothing was heard from him for some time. Surely, Obasanjo followed up with a repulsive charade in calling Yar'adua and putting him on speaker on live television just to prove to Nigerians that the man was still alive. The sad part of this story was that Yar'adua would die of the same ailment 3 years later without Nigerians ever being told what he suffered from, even as a sitting president. Yar'adua's family and the entire presidency did not fare any better than Obasanjo. When Yar'adua's health took a nose dive and he was flown to Saudi Arabia his family and their small cabal in the presidency shut Nigerians out completely. For many months nobody in Nigeria outside his immediate family knew his condition. Those who ventured out to visit him in the Saudi hospital were all shut out, including cabinet members and legislatures until his comatose body was finally smuggled back into Abuja in the middle of the night. I thought that the secrecy surrounding Yar'adua's illness, hospitalization, and eventual death would have thought us a lesson in this country. Sadly, recurring events since Yar'adua's death suggest otherwise. |
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L’Éthique de Mitoyémè ou Pendant combien de temps l’Afrique Continuera de Jouer les Figurants sur la Scène du Monde
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Fortunately for the French, there's been no sign of the surface-to-air missiles that the Salafist mujahideen in northern Mali are reported to have stolen from Libya. But taking control of the skies is one thing, winning a ground war and restoring peace is an altogether different prospect. The French government claim they are merely softening up the territory for military intervention led by the Malian army and a coalition of regional Ecowas forces. What they have failed to mention is that the Malian army hasn't won a military encounter against Tuareg rebels in the north since the early 1960s, at least not without the help of pro-government Tuareg and Arab militias who know the terrain. Unfortunately, these militias won't be on hand to help this time round - not in the short term at least. The north of Mali is as alien to the average soldier from southern Mali as the Alaskan tundra is to a citizen of Massachusetts or Manchester. That sense of alienation will be felt even more keenly by troops from Nigeria, Senegal, Benin and Ivory Coast, used to jungle and savannah |
bush warfare, when they finally roll onto the vast treeless plains of the southern Sahara. This is the land where the local Tuareg or Arab in his souped-up turbo 4x4 is king. Iyad Ag Ghali, the Tuareg leader of the Salafist Ansar Dine militia, is a master of the kind of hit-and-run guerrilla warfare that suits the desert conditions and the sheer size of territory, roughly equal to that of Spain. His mujahideen showed their verve last Sunday by capturing the small town of Diabaly, north of Mopti, with a lightening strike that originated over the border in Mauritania. This ability to crisscross borders is another important aspect of the Islamists' Houdini-esque style of combat. continued |
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L’INTERVENTION FRANCAISE AU MALI, UNE HONTE ET UNE HUMILIATION POUR L’AFRIQUE
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LE NOUVEL ORDRE NEOCOLONIAL BRUTAL ET SANGLANT QUI SEVIT EN AFRIQUE
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LE NOUVEL ORDRE NEOCOLONIAL BRUTAL ET SANGLANT QUI SEVIT EN AFRIQUE
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Les récents évènements intervenus sur le continent africain ont éclairé d’un jour nouveau la situation que vivent ses peuples depuis des siècles. La colonisation des pays africains a fait suite à la barbarie de la traite négrière afin de maintenir dans la continuité le système économique qui a fait développer les industries des pays occidentaux pendant plusieurs siècles. En 1960, l’indépendance accordée à la plupart des pays africains francophones par le Général De Gaulle était assortie d’accords de coopération politique, économique et de défense militaire. La nomination d’un dictateur à la tête de chaque pays avec l’installation d’une base militaire française à proximité pour veiller aux intérêts de la puissance colonisatrice après son départ, ainsi que la monnaie Franc CFA propriété de la France, sont les moyens par lesquels les peuples sont maintenus dans la pauvreté et la misère malgré l’immensité de la richesse minière et agricole de ces pays. Sans compter l’obligation qui leur est faite de déposer plus des 50% de leur réserve d’argent dans le trésor français. Cf. « Le Franc CFA et l’Euro Contre l’Afrique » Editions Menaibuc. du professeur Nicolas Agbohou...
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