Le mandat d'arrêt international émis du Bénin ne vaut plus grand-chose : ni un pet ni du papier cul. Il est dévalorisé par son usage politique et sa délivrance intempestive. Le Bénin est déjà devenu la risée du monde. Les deux mandats d'arrêt délivrés en l'espace de trois mois visent dans des affaires différentes--non pas des bandits de grand chemin, ni des assassins, ou des criminels de moeurs mais--des opposants au chef de l'État : qui accusé de tentative d'empoisonnement imaginaire du chef de l'État ; qui d'offense au …
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même chef de l'État. Bientôt il ne serait pas étonnant d'entendre parler de délivrance d'un troisième mandat contre un impertinent qui a osé péter en présence du chef de l'État… !
Les incontinents et autres péteux n'ont qu'à se tenir hors du passage de l'autocrate tout-puissant
Amida Bashô |
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