BABILOWN~Mawolè

Afrique : le Politique et le Corsaire

Quand on a compris qu’en Afrique la seule différence entre les hommes politiques et les corsaires se situe au niveau du rapport au navire assailli -- que les uns pillent un navire dans lequel ils sont nés ainsi que leurs parents et leurs aïeux, tandis que les autres pillent un bateau en tout point étranger à leur naissance et à leur histoire -- quand on a compris cette subtile différence,

on a tout compris du désordre récurrent qui hante la vie sociopolitique de l’Afrique et de la difficulté historique, sinon l’impossibilité logique pour elle de prendre une digne place dans le concert des nations en marche vers le progrès Amida Bashô

Ghana's celebrity preachers clash over prophecy of president's death

Rival pastors in unholy row over prediction of imminent disaster

They prefer to be known for preaching about peace and loving thy neighbour, but Ghana's celebrity pastors are becoming embroiled by a rather ungodly row. A well-known pastor has sparked outrage amongst his colleagues by making what Ghanaians are describing as an "earth-shattering" prophecy, that the president John Dramani Mahama, will die this year. The reverend Isaac Owusu Bempah, founder of one of Ghana's burgeoning new charismatic churches, the Glorious Word Ministry International, says that the message came to him directly from God. Owusu Bempah, who first announced the prophecy on New Year's Eve and has repeated it several times on local radio, has also cautioned that the president's refusal to meet him might hamper attempts to avert the disaster. "I have not been able to meet the president and inform him. A similar thing happened when I prophesied about the late President John Atta Mills (who died last year), but they turned me away," he said. But senior figures from other churches have hit back at the prediction, claiming it was unethical, and did not meet the criteria of a genuine prophecy. "According to the new testament, if you give prophecy, it should edify, exalt or confirm," said Bishop Dr Charles Agyin Asare, founder of the Word Miracle Church International and former vice ."

president of the Ghana Pentecostal and Chariasmatic Council. "The scripture says we should judge prophecies to see whether they be of God, not that we should swallow them hook like and sinker. If I were to judge this prophecy, I would judge it incorrectly," Agyin Asare added. Dramatic prophecies are not uncommon in Ghana, where churches are big business and celebrity pastors compete to fill conference centres, theatres and arena for special weekend long services and prayer gatherings. Agyin Asare, one of Owusu Bempah's main critics, says he himself was called to ministry after hearing the audible voice of God in 1983 calling him to "heal the sick, raise the dead, preach the kingdom continued

Bénin : Division du Travail Diplomatique

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International courts: justice vs politics

The tribunals judging crimes in Rwanda and former Yugoslavia were intended to deliver justice for victims of genocide. But several recent impossible to forget. The same goes for those in the states of former Yugoslavia who, also in the 1990s, suffered the loss of their relatives in genocidal crimes. A degree of forgetting may be understandable if not welcome. But far more disturbing is the possibility that political influences or judicial agendas are interfering with the application of justice over the violations of those years. cases suggest that politics may be getting in the way, says Andrew Wallis in Kigali.

Andrew Wallis 27 February 2013

Power Crisis Will End Soon – Mahama Assures Ghanaians

President John Mahama has asked Ghanaians to exercise patience as government works to end the current power crises. The President said this at the commissioning of the T3 plant in Takoradi on Monday, President Mahama expressed satisfaction at the progress of work at the plant in Takoradi saying “I am impressed with the quality of work and the rate of work. As we said, this plant is already supplying power into the grid.” The T3 plant would be on schedule by close of this month. It would contribute 130 megawatts of power to the current energy stock. According to President Mahama, the government is committed to ensuring that the timelines given in his State of the Nation address is met.

“Like I said during the State of the Nation, we have not been sleeping, we have been trying to bring as much generation as possible into the system and T3 is one example of it. We started in 2010 and it is largely complete… its just 2% of work left to have it fully operational” he stated. Meanwhile, the Director of Project Development of the Ghana Gas Company, Victor Sunu Attah, has indicated that all is set to ensure that Gas from the Jubilee Field would be made available by the close of the year. continued

La FESYNTRA Dénonce une Lutte Contre la Corruption Sélective

Dieu Sauve le Bénin

A force d’empoisonner sans arrêt le monde par une avalanche de nouvelles ubuesques qui ont contribué à ternir sérieusement l’image du Bénin de pays Africain paisible et démocratique, nous finissons par nous empoisonner nous-mêmes. Car comme le dit le proverbe yoruba, les autres n’érigent l’édifice de notre ruine que sur la fondation que nous leur avons offerte… Monsieur Yayi, comme vous le voyez, vous ne pouvez pas impunément vous permettre de traîner le Bénin dans la boue de votre gouvernance délirante, en pensant qu’il suffit de pointer en France en costume bleu blanc rouge pour effacer l’ardoise… Le Sénégal a beau être un pays musulman plus proche du Mali que nous, il n’est pas placé en zone vigilance ;  mais notre seule proximité du Nigéria, théâtre pourtant lointain des terroristes a suffi pour nous mettre à l’index…Et il s’en faudrait de beaucoup que les cris  d’orfraie de votre Ministre "Lépicrate" en diable, Bako, impressionnent les Français … Dieu sauve le Bénin !

La France a mis en garde, samedi 23 février, contre des risques d'attentat ou d'enlèvement au Bénin, et demandé à ses ressortissants d'observer une "vigilance accrue" dans ce pays. L'engagement de la France au Mali ainsi que celui des pays membres de la Cédéao (Communauté des Etats d'Afrique de l'Ouest) dont fait partie le Bénin, "est susceptible d'avoir des répercussions sur la sécurité des Français résidents ou de passage" dans ce pays, selon les conseils aux voyageurs du ministère des affaires étrangères. "Le risque d'enlèvement ou d'attentat existe au Bénin", ajoute le ministère, en déconseillant formellement de se rendre dans la zone nord-est du pays, frontalière avec le Nigeria. source

Goodluck Jonathan et les Beaux Yeux de Beyonce

L’ex Gouverneur, Goodluck Jonathan a Dépensé 1 Million de Dollars du Fond Social des Pauvres Pour Faire Venir Beyonce au Nigeria

Saharareporters a découvert un document indiquant qu'un $ Million de fonds de l'Etat de Bayelsa destinés à la lutte contre la pauvreté a été dépensé par le gouverneur Goodluck Jonathan pour faire venir les artistes américains Beyonce et Jay Z au Nigeria en 2006. Dans une lettre cachetée et signée par les responsables de Bayelsa, 150 millions de nairas (environ un million de dollars en 2006) ont été soustraits des fonds de l'Etat pour la lutte contre la pauvreté pour le premier festival de musique à Lagos du groupe de presse ThisDay. Saharareporters n'a pu déterminer quel montant des fonds libérés a été directement versé aux artistes du festival. Il n'y a aucune indication que Beyonce, l'une des stars du showbiz de renommée internationale suffisamment connue pour n’être désignée que d’un seul nom, savait que son arrivée au Nigeria avait été subventionnée par les pauvres de l’État de Bayelsa. Mais au cours de la fameuse interprétation par Beyonce de l'hymne national du Nigeria des photos de l'Etat de Bayelsa ont été projetées sur le mur de la salle de concert à Lagos. Selon le Bureau des statistiques du Nigéria, 47% des citoyens de Bayelsa vivent dans la pauvreté. La Banque mondiale estime que le produit intérieur brut par habitant dans le delta du Niger est nettement inférieur à la moyenne du Nigéria. Selon le diagnostique pour une stratégie du développement élaborée par l’Etat de Bayelsa lui-même en 2005, 80% des communautés rurales n'avaient pas accès à l'eau potable, un indicateur clé pour juger de la pauvreté. A Yenagoa, la capitale de l'Etat de Bayelsa, et la plus grande zone urbaine, on estime que deux habitants sur cinq n'ont pas accès à l'eau potable. Dans les arguments avancés pour décider les autorités de l’Etat de Bayelsa à mettre la main à la poche, les initiateurs du Festival disaient

en substance que "de toute son histoire, c'est la plus longue période de démocratie au Nigeria, plus de sept ans, et cela continue! Et une démocratie stable signifie plus d'investissements et de prospérité économique pour tous. » Et les organisateurs de poursuivre sur leur lancée rhétorique en donnant les raisons pour lesquelles le gouvernement de l'Etat de Bayelsa doit contribuer au concert. Entre autres choses, considèrent-ils, les performances des stars «diront au monde, à travers la musique, que le temps du Nigeria est venu ; et qu’une fois la jeune et dynamique génération passionnée de musique sera séduite, alors les hommes d’affaires le seront aussi, avec à la clé leurs abondantes possibilités d’investissement » En 2006, M. Goodluck Jonathan venait d’accéder au poste de gouverneur de Bayelsa après que son patron, Diepreye Alamieyeseigha, a été accusé et condamné pour corruption. M. Jonathan a ensuite été élevé au rang de vice-président. La mort du Président en titre, M. Yar'Adua en 2010 a permis à M. Jonathan, un zoologiste dont la thèse de doctorat a porté sur les poissons tropicaux, d'assumer la présidence. Amené et Trad. par Binason Avèkes

Governor spent $1M from "poverty funds" to bring Beyonce...

Nigerian Governor Spent $1M from "Poverty Funds" to Bring Beyonce and Jay-Z to Nigeria in 2006

SaharaReporters has uncovered a document indicating that a million dollars of Bayelsa State’s poverty alleviation fund was spent by then Governor Goodluck Jonathan on bringing American entertainers Beyonce and Jay Z to Nigeria in 2006. In a letter stamped and signed by Bayelsa officials, N150 million (approximately a million dollars in 2006) was released from the state’s poverty alleviation fund for the first ThisDay Music Festival in Lagos. The document came to light after a controversy was ignited over how much money American “reality TV” star Kim Kardashian was paid for a brief visit to Nigeria. Ms. Kardashian, star of a US TV show about her idle rich family and who shot to international fame after a sex tape featuring her and her rapper boyfriend went viral, was reportedly paid half a million dollars for the 24-hour-visit last week. The sources who provided the 2006 document for Beyonce and Jay Z’s visit told Saharareporters that there was a shady financial link between the producers of some high profile entertainment events

and the governors and other officials who control budgets at the state and federal levels. Mr. Obaigbena’s newspaper, ThisDay, is a major sponsor of entertainment events that brings US music stars as well as top public figures for flying visits to Nigeria in exchange for gargantuan paychecks. “Mr. Obaigbena often lines up financial bonanzas from numerous governors, ministers and other top government officials to finance his jamborees,” said one of the sources who is based in the UK and is knowledgeable about such deals. Read more at ONTD:

France : OUT OF AFRICA

source

Bénin, Digression sur le Régionalisme : au-delà des Fraudes aux Concours

La fraude aux concours de la fonction publique agite l'opinion béninoise depuis plusieurs semaines. Elle constitue une source de déstabilisation à la cohésion nationale et ce en raison du double caractère délictuel de ces actes. Cette fraude est un délit grave, une forfaiture d’ État dans la mesure où elle est organisée par les représentants de l'État, fonctionnaires, directeurs de ministère voire même ministre de tutelle. Le seul fait de donner la place qui leur revient de par leur mérite à d'autres personnes moins méritantes ou pire, qui n'ont même pas participé au concours, cette préemption autoritaire et frauduleuse est un crime, crime contre le mérite, atteinte aux droits des citoyens, un encouragement à l'injustice et à la médiocrité. Elle doit être dénoncée avec la plus grande vigueur et punie dans les rigueurs de la loi conformément aux exigences d'un État de droit. Même si la possibilité de telles manipulations grossières laisse perplexe quant à l'effectivité d'un État de droit dans notre pays. Mais les fraudes incriminées ne sont pas des actes simplement frauduleux, car elles ne se sont pas bornées à substituer de façon aveugle un citoyen alfa non méritant, parent ou ami des initiateurs de la fraude, à un citoyen lambda méritant, choisi au hasard. La supercherie et la fraude sont d'inspiration régionaliste. Les gens qui en ont bénéficié sont tous du Nord, comme la ministre de tutelle et probablement ceux qui ont agi sur ses ordres.

 

Ghana : My State Of The Nation Address

( Part One) Ghana Is A Divided Country

by Ebo Quansah in Accra

President John Dramani Mahama will appear before Parliament House tomorrow, Thursday February 21, 2013, to deliver his maiden State of the Nation’s address, with the 123-Member New Patriotic Party, conspicuously absent. The NPP membership, I understand, will address a press conference on the same day to tell Ghanaians what they consider to be the true state of the Nation. The absence of the Minority is likely to present a divided nation to the international community. It is not the very best for a nation still struggling for a national identity. But the opposition NPP believe it is a legitimate protest against a President they contend, was wrongly declared winner of an election, they consider was won by the NPP flagbearer. Commenting on the decision to boycott the Presidential address, Nana Akomea, Communications Director of the party, told an Accra radio station thus: “It is a very good decision. It is part of our protest against the results. All of us are acting legally. We haven’t stopped him from exercising his functions as President,” the Communications Director explained. “It is also within our right that it is legitimate to use the Parliamentary floor as protest,” Akomea explained. I am told that the NPP in Parliament would hold a press conference after the Presidential presentation tomorrow, to deliver the party’s own state of the nation. I intend to use this column today and tomorrow to tell the President and his image makers the true state of the nation in the hope that it would rub off on the Presidential presentation.

Ghanaians are suffering and the President should not hide under technicalities and clouded ideological spectacles to try and paper the cracks in his administration. Yesterday, just before I sat down to compose this piece, my attention was drawn to a report by Water Aid Ghana, a non-governmental organisation, which is symptomatic of the problems facing Ghana as a nation. “The Government of Ghana is failing to keep its promises of funding sanitation,” Water Aid has revealed. The report warns that unless investment is increased, the challenges of urbanization, inequality of access, climate change and population growth risk turning back the clock even further,” states the report. The report alleges that while population grew by 9.4 million between 1990 and 2011, only 2.3 million secured access to sanitation over the same period. If this is a source of bother, read a report by Afia Zakiya, Water Aid’s Country Representative in Ghana. “Every year, Ghanaians spend 850 million hours looking for somewhere to go to the toilet and you can add this to the costs of illness and medical bills of those contracting diseases due to the unhygienic conditions. Overall, the loss to Ghana is GH¢45o million per year. “ continued

Les Riziculteurs Aisés Plus Enclins à Adopter les Nouvelles Variétés

[COTONOU, BÉNIN] La richesse des ménages affecte fortement les décisions des agriculteurs sur l'opportunité d'utiliser des variétés améliorées de riz (IRVs), selon une étude, qui fait des recommandations sur la façon d'accroître l'acquisition, l'accessibilité et l'adoption des variétés améliorées. Des chercheurs du Bénin, du Ghana et du Nigeria ont recueilli des données auprès de 600 petits riziculteurs de plateau, de plaine et de rizières irriguées, choisis au hasard à travers le Nigeria. Ils ont constaté que les facteurs qui déterminent l'adoption de l’IRVs - de l’accès à l'éducation, à la richesse et au crédit, à la taille des exploitations ainsi qu’à l'accès aux organisations paysannes - varient considérablement entre les ménages riches et les moins riches « Notre étude a montré que l'adoption de l’IRVs dépend du statut sociale et financier du ménage producteur de riz », explique Aliou Diagne, économiste au Centre Africain du riz, au Bénin, et co-auteur de l'étude. « Les ménages plus riches sont plus susceptibles d'adopter l’IRVs que leurs homologues plus pauvres», dit-il. «Les riziculteurs les plus riches ont un meilleur accès aux ressources et sont peut-être plus en mesure de prendre des risques. De même, les technologies les plus coûteuses ne sont accessibles que pour -- et par voie de conséquences adoptés que par -- les agriculteurs les plus riches » L'adoption de l’IRVs a eu un impact positif significatif sur les revenus des ménages et sur la production de riz nigérian, affirme Monsieur Diagne. De plus, selon l’économiste, pour accroitre l'adoption de l’IRV par tous les agriculteurs, indépendamment de la richesse, il faudra un

certain nombre de facteurs ou de conditions comme : l'amélioration de leur prise de conscience des avantages de l’IRV; une diffusion plus large des variétés IRV, l'investissement dans les programmes d'éducation des agriculteurs, en facilitant l'accès des agriculteurs au crédit, aux semences et aux organisations paysannes ; et enfin en leur offrant un meilleur encadrement par les agents de vulgarisation. Monsieur Anastase Hessou Azontondé, chef du laboratoire de la science du sol, de l'eau et de l'environnement à l'Institut national de recherche agricole du Bénin, a déclaré que les résultats seraient « presque les mêmes » au Bénin, en particulier en ce qui concerne les déterminants de l'adoption et de l'intensité de l’IRV ". « Beaucoup d'efforts devraient être faits pour l'adoption des nouvelles technologies à hautes performances agricoles par les agriculteurs pauvres», a-t-il préconisé.. Amené et Trad. Binason Avèkes

Proverbe Yoruba du Jour

Aláǹgbá kì í lérí ti pàa ejò

Un lézard ne se vante pas  de ce qu’il va tuer un serpent

Moralité Les gens ne doivent pas proposer ce qu’il ne peuvent pas faire supra Alao Bissiriou

China to Construct Ghana's 2nd Airport

China Airports Construction Corporation (CACC) is set to begin construction of Ghana's second international airport after Kotoka International Airport with the capacity for large aircraft, a government official has revealed. CACC, owned by the Chinese government and the only enterprise offering a full range of services in the civil airport construction, signed a memorandum of understanding with Ghana to undertake a feasibility study for the design of the new facility. The airport will be constructed on a 16,000 acre land near Pampram in the Dangbe-East District of the Greater Accra region. Kotoka Airport is also in the same region but in the heart of the capital city. Transport minister Alhaji Collins Dauda said the new airport would .

address the capacity constraints and anticipated traffic growth at the Kotoka Airport. He did not provide any details on the costs for the project. Ghana is in the process of drafting a new Airport Bill for parliamentary approval that is set to improve the aviation industry. Meanwhile, the Ghana Airports Company Limited will continue its rehabilitation of the Kotoka International Airport under the phase III project continued

Faut-il Passer les « Africains » au Rasoir d’Occam ?

Mon Idéo Va, Court, Vole et Tombe sur… :

Pourquoi je Hais les «  Africains »

Parce que cette Afrique instinctive, seconde nature non questionnée et impensé colonial n’est qu’un masque commode de notre misère politique, intellectuelle et morale. Notre incapacité chronique de nous unir effectivement, en dehors de la sommation négative  effectuée par le colonisateur Blanc. Nous nous voyons et désignons grands mais nous ne sommes même ni moyens ni petits. Nous pensons que l’être s’intègre à partir du tout -- un tout hypothétique, voire problématique -- alors que toute intégration ontologique ou humaine ne peut se faire que par parties. Cette Afrique dont nous sommes les Africains instinctifs, est une Afrique de la Paresse Intellectuelle et Logique Acquise (PILA) un équivalent historique du SIDA, récurrent et atavique.. Car quoi, comment un Togolais ou un Yoruba prétendrait-il être plus Africain qu’un Français ou un Breton serait Européen ? Or ceux-ci issus de régions et de nations du monde infiniment plus organisées que nous, ne s’avisent guère d’abuser de leur référence générique mais nous autres nous n’avons que le mot Afrique à la bouche : Afrique soporifique, seconde nature de la bête qui triomphe en nous.

Vous autres rejetons hétéronomes d’une violence symbolique arrimée à votre souffle primaire, toute cette énergie que vous dépensez à ânonner « Afrique, Afrique » à tout bout de champ, pourquoi ne l’utilisez-vous pas à réparer les rues de vos quartiers et les sentiers de vos villages qui s’entredéchirent pour un oui ou pour un non dans des guerres tribales entre les pauses desquelles vous avez le souffle de vous dire « Africains » ? Que faites-vous du principe logique de parcimonie ? « Les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité » nous recommande-t-il. Ô zélateurs d'une Afrique impensée et incantatoire,  faut-il vous passer au Rasoir d’Occam ? Éloi Goutchili

Togo : un Pays d’Étrangers?

par Mawusse Domefaa Atimasso

LA CPFG se prononce sur les Tripatouillages des Concours d’Etat.

DECLARATION DES PARTICIPANTS AU MEETING ORGANISE PAR LA CONVENTION PATRIOTIQUE DES FORCES DE GAUCHE (CPFG) le 12 février 2013 sur les Tripatouillages des Concours d’Etat.

Hooray For Nollywood: Nigerian Distributor Casts Wide Net Online

Je Vous Présente Don Métok

In Memoriam ZOULEY SANGARE

Election petition: 705 registered abroad ; EC reveals

The Electoral Commission (EC) has complied with the Supreme Court order asking it to furnish petitioners challenging the declaration of John Dramani Mahama as President in the December 7 and 8, 2012 general elections, with details of the registration exercise it carried out abroad. However, details are emerging about the figures submitted, as the total number of Ghanaians registered abroad is believed to be far lower than the figures the commission included in the declaration of the results of the general election. So far, the EC said 705 Ghanaians registered in Ghanaian missions abroad where registration took place, whereas the Commission quoted that over 241,000 people were registered. However, this included diplomatic staff, security persons on peace mission, students on Ghana government scholarships and Ghanaians serving with international bodies. The EC, in its answers to the petitioners, indicated that even though it had announced initial provisional figures of 13,917,366, after the registration of Ghanaians abroad, it arrived at 14,158,890 voters; a difference of 241,524 registered voters. The petitioners, comprising the New Patriotic Party (NPP) presidential candidate for the 2012 elections, Nana Addo Dankwa Akufo-Addo, his running mate Dr. Mahamudu Bawumia and the party's chairman, Jake Otanka Obetsebi-Lamptey, had filed an

application for 'interrogatories' to get the EC to furnish them with the documents on the people registered overseas. The particulars requested were in respect of Ghanaians serving abroad including foreign service officials, students on government scholarships abroad, Ghanaians working in international organizations and security service personnel returning on duties and the mode of registration. The petitioners had argued that the application had been moved because of the answer given by the EC after the petition was filed. The EC, in answer to the petition, submitted that over 200,000 votes from categories of voters registered abroad were included in the final results of the election. continued

KESHI, ou Quand Coach Noir Rime Avec Victoire

What does it mean to be a global citizen?

Nigeria: Governor Fashola, Please Stop The “Kosovo-Style” …

Nigeria: Governor Fashola, Please Stop The “Kosovo-Style” Social Cleansing Of The Poor

Your Excellency: I hope all is well with you and your family. I would like to begin by commending you for all the great things that you have done since you were first elected Governor of Lagos State almost two thousand and eighty-eight days ago. During your tenure in office, you have transformed Lagos State. You have worked hard to improve the educational sector, while your vision to turn Lagos into a mega city is attracting praises from the four corners of the world. Your Midas touch can be seen in the transportation sector, the environment, housing and the hundreds of infrastructural development projects that your administration is currently implementing or has already implemented. Through your actions, you have proved to Nigerians that it is possible for elected government officials to work towards improving the lives of the governed. So far, so good.

Lagos, like other large cities around the world, plays host to people on different rungs of the economic ladder. The State is home to the ultra-rich, the rich, the middle class, the poor, and the very poor, including beggars. In recent years, the Lagos State Government has tried to resolve the problem of people begging on the streets through a number of initiatives. One initiative that your administration has adopted is to rehabilitate beggars by relocating them to the Rehabilitation Centre at Ikorodu. continued

Non Yayi Boni ne Partira pas… Oui, il Partira en prison !

Yayi Boni “ jure” lit-on qu’il partira en 2016 ! C’est-à-dire qu’il ne modifiera pas la constitution pour se maintenir au pouvoir, comme il a fait le holdup pour se maintenir en 2011.  Maintenant, comme il se trouve devant le mur de la loi, il promet de ne pas l’escalader ni même de l’abattre. Mais qu’avons-nous à faire de ces mièvreries stupides ! Yayi Boni ne partira pas... Il ne faut pas qu’il parte. Qu’il se le tienne pour dit. Avoir commis tant de crimes et partir tranquillement ( to walk out comme le disent les Anglais), jamais ! Si les Béninois sont bien nés, et ne sont pas un peuple d’imbéciles amnésiques, ils s’assureront que Yayi Boni parte en prison plutôt que de partir tranquillement. Et personne ne nous fera le coup des amnisties à la con censées sauvegarder la paix. Avec tous les crimes qu’il a commis,  veut-il qu’on le remercie parce qu’il amiraculeuse-

ment décidé de respecter la constitution  ? Veut-il qu’on fasse de lui un héros parce qu’il promet de respecter la constitution dans son esprit comme dans sa lettre ? Il ne manquerait plus que ça ! Voilà un homme qui a violé votre femme, et qui promet de ne pas violer votre fille. Et vous allez vous en contenter, et faire de lui le roi des sages ? Jamais ! Le criminel doit payer pour ses crimes, sans faire diversion avec des promesses qui ne devraient pas  en être une. Non Yayi Boni ne partira pas… Oui, il partira en prison ! Aminou Balogun

Ghana : Un Officiel Canadien Meurt de Stupre dans un Hôtel

La mort d’un Haut Fonctionnaire du Gouvernement Canadien a été confirmée mercredi dernier au Ghana, alors qu’il était en mission officielle. Des sources ont déclaré au Daily Guide que le Haut Fonctionnaire âgé de 54 ans Dawell Prokopetz, qui logeait à l'Hôtel Golden Tulip à Accra, serait mort après une partie torride de sexe et de drogue au prestigieux hôtel. Le Haut Fonctionnaire Canadien décédé a été déclaré mort à la clinique Nyaho de la zone Résidentielle d’Accra où il aurait été conduit d’urgence dans un état inconscient après une overdose présumée de cocaïne, d'alcool et de sexe. Des sources ont déclaré au Daily Guide que la nuit qui a précédé le drame, le Canadien a été vu dans le système de surveillance vidéo chaperonnant séparément deux belles filles dans sa chambre d'hôtel. Les deux jeunes filles ont déclaré avoir passé une heure chacune dans la chambre du haut fonctionnaire. Le haut commissaire du Canada, Trudy Kernighan, a confirmé la mort de son compatriote au Daily Guide, mardi dernier, lors d'une conversation téléphonique. Le Commandant de la police de l'Aéroport, le surintendant Aduhene Banieh a également corroboré la tragédie et a dit au journal qu’une enquête de la PJ a été réalisée sur le cadavre, sans aucune information supplémentaire. Le fonctionnaire faisait partie d'une forte délégation gouvernementale canadienne à visée commerciale, dirigée par Edward Fast, Ministre

des Relations avec l'Asie-Pacifique, arrivé récemment au Ghana et qui est entré en pourparlers avec ses homologues ghanéens. La délégation a rencontré le Président John Mahama Dramani, et visité un certain  canadien du Commerce international et nombre de centres d'intérêts canadiens dans le pays. La mission commerciale et d’extraction minière, qui avait bien marché jusque-là dans les principaux pays d'Afrique subsaharienne, a été marquée par cette mort embarrassante. Par ailleurs, c’était le premier voyage du Ministre Canadien en Afrique cette année. Monsieur Dawell Prokopetz, quant à lui était un haut fonctionnaire en charge de l'enseignement supérieur au Canada. Les responsables de l’hôtel Golden Tulip étaient peu loquaces sur la question, sous prétexte d’un pacte confidentiel avec le haut-commissariat canadien. amené et Traduit par Binason Avèkes

Trois Possibles Papes Noirs

Bénin : Voyages Présidentiels ou Politique Fàáji

Proverbe Yoruba du Jour

Àjàpà ńlọ sájò, wόn ní ìgbà wo ni yό dèé, ό ní ό digbàtí òún bá tè

La Tortue se met en route pour un voyage, et on lui demande quand est-ce qu’il sera de retour, et il répond que ce sera après qu’il ait connu la disgrâce

Moralité Certaines personnes ne changent pas d’orientation tant qu’il n’ont pas connu la déchéance supra Alao Bissiriou

Nigeria : Makoko et sa Structure Flottante, Un Modèle d’Habitat…

Nigeria : Makoko et sa Structure Flottante, Un Modèle d’Habitat pour des Cités Comme Ganvié ou Aguégué

CAN 2013 : le Burkina Démentira-t-il les Statistiques et l’Histoire ?

Ko' leribe laelae !

L'historique des rencontres Nigeria-Burkina Faso donne les Super Eagles favoris Johannesburg, Afrique du Sud (PANA) - Au regard des résultats des différentes rencontres ayant opposé dans le passé  le Nigeria et le Burkina Faso, les Super Eagles sont largement favoris pour la finale de cette Coupe d'Afrique des nations (CAN) 2013 dimanche en Afrique du Sud. Sur les 12 rencontres disputées en 49 ans dans différentes villes comme Lagos, Ouagadougou, Monrovia et  Nelspruit, le Nigeria s'est montré invincible face au Burkina Faso. Leur dernier match joué il y a juste trois semaines au stade Mbombela, s'est soldé par un nul (1-1), un bon résultat pour les Etalons du Burkina, tout le contraire pour les Super Eagles. Mais par le passé, non seulement l'équipe nigériane dominait le Burkina Faso, mais les scores étaient souvent importants, à commencer par la rencontre du 29 décembre 1964 comptant pour les éliminatoires aux premiers Jeux panafricains, qui s'était soldée par la défaite (1-6) du Burkina Faso (alors  Haute Volta). Cette rencontre sera suivie d'une autre défaite (0-4) le 27 novembre 1971, infligée par une nouvelle équipe des Green Eagles avec pas moins de cinq nouvelles recrues, dont l'excellent buteur Mathias Obianika.

Le 27 juillet 1991, les Super Eagles écrasent les Burkinabés (7-1), lors d'un match où Finidi George effectuait ses débuts et Rashidi Yekini inscrivait quatre buts. Les victoires du Nigeria sur le Burkina Faso ne se limitent pas aux matchs joués à domicile. A Ouagadougou, le Nigeria ayant  battu le Burkina Faso (2-0), pour se qualifier à la Coupe du monde jouée en France en 1998. En Coupe d'Afrique des nations au Ghana en 1978, le Nigeria dominait le Burkina Faso (4-2), dans un match gâché par les coupures d'électricité qui avaient finalement brisé les ardeurs des Nigérians. suite

Nigeria : Voiture ou Richesse sans Lendemain

Quand  on regarde les Nigerian movies de Nollywood, surtout son espèce yoruba movies, on constate que la voiture y apparaît comme un élément de focalisation sociologique quasi existentielle, signe extérieur et intérieur d’existence. La voiture dans les yoruba movies est un personnage à part entière, qui a ses rituels, ses moments, ses codes, son éthique et son esthétique, ses lieux et ses hauts-lieux. Ce fait qui passe du statut de la réalité à celui de la fiction, montre combien l’éthique sociale d’une communauté humaine peut hypothéquer son avenir. Parce qu’on ne voit pas quel effort et quel mérite cette ostentation motorisée, cet affichage de la voiture comme signe existentiel de richesse peut justifier. Les Chinois qui émergent en ce moment, ont, plus que quiconque, montré que toute satisfaction de nos désirs se mérite. Eux qui sont d’abord, en matière de locomotion, passés par les étapes qui requièrent des efforts de soi sur soi, en mettant à l’honneur le vélo pendant des décennies comme moyen de déplacement de masse. Le vélo figure l’autonomie, le fait de compter

sur soi-même pour avancer, en tant que personne, peuple et nation. Au lieu de quoi, la plus grande nation noire du monde, à la faveur d’une manne pétrolière dont les réserves ne sont certes pas inépuisables, a choisi le raccourci sans lendemain d’une existence qui sacrifie peu à la pédagogie de l’effort en lâchant la bride à une vie sans effort centrée sur le rêve de la voiture. Mais l’illusion ne durera pas une éternité. Un jour, avant les dernières gouttes de pétrole, il va falloir se réveiller du rêve et plonger dans le cauchemar… Anjola Bosun

Social democracy must radicalise to survive

L'INRIEF ANNONCE LA FETE DES PEUPLES

COMMUNIQUE DE PRESSE Le Président du Conseil d’Administration de l’Institut International de Recherche et de Formation (INIREF), le Professeur Hounkpati B.C. CAPO, informe le public, que, conformément aux décisions du Conseil d’Administration de l’Institut en sa session du 21 décembre 2012, la Fête des Peuples et la Journée Internationale de la langue maternelle Editions 2013 sont jumelées et se dérouleront comme suit : · Journée du jeudi 21 février 2013 : colloque sur le thème « La ruine de l’Ecole au Bénin, pourquoi et comment en sortir » qui aura lieu à l’amphithéâtre de l’ISBA (Champ de Foires de Cotonou) et qui connaîtra la participation d’un large éventail d’invités ; · Journée du vendredi 22 février 2013 : Exposition d’ouvrages, publications, documents sonores ou audiovisuels et tous autres éléments relatifs aux langues maternelles ; l’exposition se poursuit le 23 février 2013. · Journée du samedi 23 février 2013 : Fête des peuples proprement dite qui débutera comme à l’édition 2012 par une procession depuis la Place de l’Etoile Rouge à 8h30mn pour aboutir cette fois-ci au Pavillon du Hall des Arts où se dérouleront les allocutions et l’animation continue des groupes traditionnels authentiques. Tous les démocrates, les intellectuels et tous les citoyens épris de la chose culturelle sont invités à soutenir ces manifestations par leurs contributions diverses : * éléments documentaires, sonores, audiovisuels, photographiques ou autres éléments à exposer au stand à consacrer aux langues de leur terroir ; * concours matériels et financiers; * participation physique personnelle, individuelle et collective. Entrée libre et gratuite. Cotonou le 31 janvier 2013 Pour le Président du Conseil d’Administration & po. Le 1er Vice-Président Jean Kokou ZOUNON Contacts : Siège National de l’INIREF, quartier Sikê-Codji, Cotonou : 95.45.13.55 / 97.27.00.87 / 97 64 77 83/ 97 98 35 65/ 97 26 36 20

Livre à Vous : Bénin, la Maison Inachevée

Éloge du Radicalisme

Par Binason Avèkes

Bénin FCSAD : DECLARATION

FRONT CITOYEN POUR LA SAUVEGARDE DES ACQUIS DEMOCRATIQUES : DECLARATION

Mysticism and modernity in Benin Voodoo fest

OUIDAH, Benin -- The deified residents of the Temple of Pythons, when released to find food, sometimes slither across the road into a Catholic church that once hosted Pope Benedict XVI. The local priest, the snake handlers say, is always good enough to call or bring the gorging reptiles back to their own spiritual home. This is life in Ouidah, a mecca of spirits and gods worshipped by practitioners of Voodoo, a recognized religion in this former French colony in West Africa that is home to 9 million people. The religion has its own pope -- or two, depending on who you ask -- whose reign dates back to the 1400s and ca, on the continent, away,” said Djabassi Manonwomin, a Voodoo priestn be seen about town in his SUV. Last weekend, local banks and the post office closed as the town celebrated its annual Voodoo Festival, an event increasingly drawing curious foreigners. With its mix of beliefs and traditions, the Voodoo practiced here shows both a clash of cultures and the ability for ancient traditional beliefs to adapt to modern life. ”It is like we are sending all the evil in the country who leads others in

the worship of a mermaid deity. “The people today are corrupt, we can see that. It is from the old days, but now more open. ”More people are hungry (for corruption). They put their bellies in front of themselves.” Voodoo, also called “vodoun” here, can be seen throughout the streets of Ouidah. One local school proudly identifies itself by the religion. Down the dusty street on a recent day one could see the decapitated head of a monkey, wrapped around a stick, a curse someone had placed near a shrine of a three-head man wrapped by pythons. While the curse was grotesque, Voodoo generally does not follow the images from movies and novels from the West, of zombies and possessions. continued

Trains in Nigeria : A slow but steady new chug

BRAKES let out a deafening screech and steam fills the station as the Lagos-Kano train ends its 30-hour journey. Hundreds of passengers emerge wearily from brightly painted yellow, green and white carriages. It may be sweaty, crowded and very late, but after a ten-year absence this revamped link between Nigeria’s two biggest cities is a welcome relief. Travelling the 1,126km (700 miles) at an average speed of less than 50km an hour with endless stops, it is no wonder the trip takes so long. But for most Nigerians the low fares are worth it. A second-class ticket from Lagos to Kano costs around $12, roughly a quarter of the price of a more treacherous bus ride. “Hundreds of people were waiting at Ilorin [300km north of Lagos] but there wasn’t enough space for us all,” says a mother trying to appease a screaming child on her hip. “I had to stand the whole way.”

The service was relaunched last month after improvements costing $166m. Nigeria’s railways, started in 1898, have deteriorated in the past 20 years owing to those old engines of decay, corruption and mismanagement. Nigerians’ domestic travel options are limited. Most cannot afford to go by air, so take to the roads. Overfilled lorries, usually packed with dozens of passengers sitting on cargo, precariously negotiate crater-sized potholes. One stretch of road, nicknamed “Bauchi or Death”, after a northern state, is littered with overturned lorries and cars. continued

Nigeria: El rufai got it wrong; Obasanjo is a criminal

Obasanjo made four huge mistakes in office – El-Rufai: Will someone tell this character that what he is referring to as ‘huge mistakes in his Presidency’ regarding Obasanjo’s misrule of Nigeria are actually criminal acts punishable under Nigerian laws and the legal codes of most countries. These acts: 1. Stealing government funds to fund the ‘purchase’ of government assets for personal use 2. The Tenure elongation fiasco 3. The Obasanjo Library scam, and 4. The mass killings against the peoples of Odi (Bayelsa State) and Zaki Biam (Benue State) were crimes Nigerians and the international community had long known Obasanjo and his cohorts committed during the ‘Reign of Evil’. The only laughable part of Nasir el-Rufai’s write up is where he says himself and some lackeys of Obasanjo had

‘resisted’/’opposed’ the criminal activities of Nigeria’s former maximum ruler. It is at times like this that one really appreciates the criminal acumen inherent in a man who ensures that he is succeeded in office by a character who lacks focus or courage. Two thoughts that readily come to mind: 1. Why is Nuhu Ribadu so bereft of courage that he cannot muster the guts to confess as el-Rufai is thankfully doing? and 2. If she were not the Minister for Finance in the present government, will Okonjo-Iweala not be making the accusations that Oby Ezekwesili is making against the Yar’Adua/Jonathan regime? Only a restructured and renegotiated polity will cause a cease of these high level criminali… continued

Livre à Vous : la Théorie des Trois Docteurs …

La Théorie des Trois Docteurs Ou Comment fabrique-t-on un Président Béninois. Par Binason Avèkes

 

Critique de la bonne volonté sociologique Depuis le 1er août 1960 jusqu’à nos jours, le Dahomey puis le Bénin a connu un nombre relativement élevé de Présidents. Avec des retours et des durées variables, 13 hommes ont présidé ou tenté de présider aux destinées du pays. Ce sont : Hubert MAGA, Sourou MIGAN APYTHY, Justin AHOMADEGBE, Christophe SOGLO, Tahirou CONGACOU, Iropa Maurice KOUANDETE, Alphonse ALLEY, Emile Derlin ZINSOU, Paul-Émile de SOUZA, Mathieu KEREKOU, Nicéphore SOGLO, Thomas Boni YAYI. De ce fourmillement d’hommes politiques au sommet de l’état, s’est dégagé peu à peu le type de Président politiquement agréable pour l’électeur béninois. Tributaire des valeurs élitistes enracinées dans l’imaginaire national, ce type traduit aussi la part fondamentale et active que prend dans la politique le facteur intellectuel. L’homme d’état politiquement rassurant pour le Béninois apparaît donc sous la figure du Docteur, qui n’est que l’un des déterminants de son type. C’est l’examen critique et analytique de ce type qui fait l’objet de la présente étude. I. Le Vrai Docteur A. Histoire et acteurs de la Présidence. Marquée pendant une première période par l’instabilité chronique, la Présidence béninoise a connu pendant douze ans des formes variées. Ainsi à sa naissance en tant que nation indépendante, le Dahomey a-t-il connu un régime démocratique de type présidentiel, avec un Président démocratiquement élu, un Vice-président nommé, face à une Assemblée nationale tout aussi démocratiquement élue. Mais ce bel édifice ne tardera pas à vaciller sous les coups de boutoirs des intrigues tribalistes, des logiques régionalistes et des ambitions personnelles, source de discorde dans une nation jeune qui n’avait pas reçu l’unité en héritage. Dans son noyau interne, la Présidence était exposée à de vives tensions personnelles et politiques. La Vice-présidence devint itinérante en 1963 avec la nomination de Sourou MIGAN APITHY dont le poste n’était pourtant pas déclaré vacant comme Ambassadeur du Dahomey en France. Cette mise à l’écart n’empêcha pas la présidence d’être exposée à de nouveaux soubresauts. La Présidence devint militaire pour la première fois avec l’accession au pouvoir du Chef d’Etat-major de l’Armée, le colonel Christophe Soglo. Mais cette présidence s’est voulue provisoire, et en 1964, fut remplacée par une Présidence à nouveau démocratique, en la personne de Monsieur APYTHY. Il y avait aussi un Vice-président en la personne de Monsieur Justin AHOMADEGBE, qui était aussi chef du gouvernement. Mais le 17 novembre 1965, par un coup de poker pseudo-populaire, et anticonstitutionnel, la présidence fut accaparée par le Vice-président, Monsieur Justin AHOMADEGBE. Cette saisie fit long feu. Sous la pression de l’Armée, le noyau présidentiel en conflit fut dynamité : Président et Vice-président durent rendre leur tablier, en une démission âprement négociée. La Présidence devint alors intérimaire le 29 novembre 1965 en la personne de M. Taïrou CONGACOU qui jusque-là était Président de l’Assemblée nationale. Mais le 22 décembre 1965, même et peut-être parce qu’intérimaire, la Présidence fut acculée à la démission par des forces politiques hostiles, manipulées dans l’ombre par des hommes obsédés d’exercer la fonction, et qui étaient prêts à tout pour atteindre leur but. Dans ces conditions, la Présidence devint militaire derechef, le 22 décembre 1965, sous la houlette bien pensante du Général Christophe Cliquer ici pour lire la Théorie des Trois Docteurs

Danger du Foot : Un Ingénieur Nigérian Meurt en Regardant …

Danger du Foot : Un Ingénieur Nigérian Meurt en Regardant le Match Eagle/Éléphant

Un ingénieur Ismail Owolabi de l'Agence Fédérale Routière, (FERMA), dans l'Etat d'Ogun est mort sous un choc d’excitation dimanche au cours du match opposant l’équipe nationale nigériane, les Green Eagle aux Eléphants de Côte-d'Ivoire lors de la rencontre du quart de finale de la Coupe d’Afrique des Nation (CAN) Owolabi Ismail a été déclaré mort dans un centre de santé de Oke-Sokori, Abeokuta où il a été transporté d’urgence après l’incident. Owolabi s'est effondré pendant les premières minutes du match de Coupe d'Afrique des nations entre le Nigeria et Côte-d'Ivoire qui se déroulait en Afrique du Sud. Le premier hôpital où il a été transporté n’ayant pas de

médecin sur place pour le prendre en charge, il a été redirigé vers un autre et c’est alors qu’il a rendu l’âme avant même son arrivée dans cet hôpital où son décès a été constaté. ... "malheureusement, alors que Owolabi regardait le Match NIGERIA-COTE D'IVORE hier , il a subi un choc quand le Nigeria a marqué un but. Owolabi a crié sous le choc d’excitation et s’est effondré!" lire la suite

Poursuite de M. Lawani devant la HCJ : La Lettre de Me Djogbénou

Cliquer ici pour lire la  Lettre de Me DJOGBENOU

Rawlings pour une Solution Durable à la Crise Malienne

Accra, le 2 février, GNA - L'ancien président Jerry John Rawlings a salué l'intervention de la France et de la Communauté économique des Etats d'Afrique occidentale (CEDEAO) dans la crise malienne. Dans un communiqué publié par son  bureau le vendredi, avec copie à l'Agence de Presse Ghanéenne (GNA), l'ancien Président déclare que l'intervention de la CEDEAO, en fournissant des forces et de la logistique pour aider à endiguer la situation au Mali, est on ne peut plus louable. Il est de notoriété publique, peut-on lire dans le communiqué, que les rebelles Touaregs sont depuis fort longtemps à la recherche d’une région autonome au Mali,  et céder à leur demande pourrait ne pas être logique en raison de la situation multi-ethnique et culturelle de ce pays. Il est toutefois important que leurs doléances soient étudiées sérieusement dans le but de rechercher une solution durable qui satisfasse toutes les parties. Le communiqué souligne que la non-résolution de certains différends ethniques et culturels à travers l'Afrique a fait le lit des noyaux terroristes infiltrant des groupes identitaires, en leur offrant une voix et en les utilisant pour leurs intérêts égoïstes et leurs propres chapelles. «L'Afrique ne peut pas balayer d'un revers de main les questions ethniques non résolues qui peuvent potentiellement générer une activité terroriste en raison de la situation de vulnérabilité des communautés concernées» peut-on lire dans le communiqué. Alors que l'Union Africaine, la France et les membres de la CEDEAO continuent à mettre en commun leurs ressources pour résoudre le  malheureux conflit du Mali, les principales parties prenantes, préconise le communiqué, devraient sérieusement envisager de trouver une solution politique durable à la question touarègue. «Essayons de résoudre les nombreux conflits ethniques qui existent dans nos divers pays en ayant présent à l’esprit que l’intervention militaire au Mali n'est pas une fin en soi encore moins la clef au problème touarègue » peut-on y lire en substance. L'ancien Président Ghanéen, dans sa déclaration, a invité la communauté internationaleà prendre les précautions nécessaires afin que son soutien au Mali ne contribue à exporter le terrorisme d'un pays à l'autre. La résolution du conflit au Mali, a-t-il fait valoir, ne doit pas ressusciter le problème ailleurs en poussant les Touaregs en lutte dans les pays voisins pour y semer les germes de nouveaux conflits dans une logique de spirale. «L'Union africaine, la CEDEAO et les autres parties prenantes doivent travailler de concert pour amener les insurgés à la table des négociations et faire en sorte qu'une solution viable et durable soit trouvée susceptible de maintenir la stabilité du Mali et décourager les terroristes qui cherchent à exploiter les problèmes ethniques pour semer la violence et la zizanie ». GNA Amené et traduit par Adenifuja Bolaji

Livre à Vous : Bénin : Une Démocratie Prisonnière…

Libre à Vous : Benin : Une Démocratie Prisonnière de la Corruption

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Livre à Vous : Ma Lettre aux Députés

par Gino Alavo

Mesdames, Messieurs les parlementaires, cher M. le député Chabi SIKA, Il ne m’a pas été facile de résister à l’envie de sortir de mon mutisme pour apporter ma contribution personnelle mais citoyenne au débat que vous allez effectuer dans les prochains jours, sur la proposition de loi portant code électoral béninois que j’appellerai volontiers « Loi Chabi SIKA » afin que rentre dans l’histoire parlementaire de notre démocratie, ceux et celles qui sont à l’origine d’un projet ou proposition de loi dans notre pays. Deux (2) raisons peuvent légitimer mon intervention par le canal médiatique : (i) Vous êtes en train d’écrire une page de l’histoire de notre pays avec cette proposition de loi sur le code électoral après plus de vingt ans (20) de pratiques électorales sans un corpus juridique cohérent, stable dans le temps et la durée. Il faut alors faire partie du train de l’histoire en contribuant à la réflexion et au débat publics. (ii) Auteur de l’essai sur « Le modèle béninois de gestion des élections, bilan et perspectives de la CENA », paru aux Editions Ibidun Africa et présenté le 14 novembre 2012 à l’Institut français de Cotonou par M. Guillaume Adouvi, je pense pouvoir vous apporter à travers cet ouvrage un faisceau d’éléments nécessaires à votre travail. Car sans chercher à me substituer à vous, cet essai complète certains aspects de votre proposition de lois et va même au delà de vos ambitions. Raison pour laquelle je vous invite tous, cher(e)s parlementaires toutes tendances confondues, à en faire votre livre de chevet. Cette brève introduction effectuée, mon commentaire sur la proposition de loi portant code électoral en république du Bénin, se fera de façon interactive avec une alternance de commentaires, de questions pertinentes sur certains articles et des recommandations. Portant essentiellement sur les textes et articles ayant un rapport à l’ouvrage, je vous saurais également gré - d’une part, de ne pas me porter grief pour n’avoir pas disserter sur les 370 articles mais essentiellement sur quelques uns, laissant le solde à l’appréciation et au jugement des spécialistes des questions électorales comme M. Mathias Hounkpè, M. Laurent Okiki, M. Edgar Alia ou encore au meilleur spécialiste francophone du droit électoral le professeur Bernard Maligner, - et d’autre part, de m’excuser de la contrainte que je vous impose, à aller jusqu’au bout de cet article qui s’adresse à chacun de vous. Il en va de l’avenir du peuple que vous représentez…Soyez donc s’il vous plait, au rendez-vous de l’histoire. Lire l'intégralité de " Ma-Lettre_Aux-Députés"

Les «Hommes debout», dans Notre Mémoire

Les «Hommes debout», à Terre

par Olympe BHÊLY-QUENUM

Wole Soyinka : « Dirigeants Africains, Réveillez-Vous ! Le Mali a…

Wole Soyinka  : « Dirigeants Africains, Réveillez-Vous ! Le Mali a Besoin de Plus qu’un Appel aux Armes »

 

Mali needs more than a call to arms

West Africa's al-Qaida clones are neither religious nor political. The world is facing viral mutations of the human psyche – Wole Soyinka

My mind, frankly, was on anything but peace as I entered the United Nations conference hall to participate in a Culture of Peace and Non-Violence event. On that same day – 21 September 2012 – yet another UN resolution had been released on the crisis in Mali. I felt overwhelmed by the ponderousness of the UN machine. That the UN, in association with African political leaders, recognised the danger posed by fundamentalist aggression to the Sahel and west Africa was not in doubt. The sense of urgency, however, lagged so far behind my own that it was a marvel I did not invade the conference hall with a banner, screaming: TAKE BACK MALI – YESTERDAY! The security council had already set out a "roadmap" for a west African force of intervention in the Sahel – it required the secretary general to report back on "progress" a few months later. This, it struck me, was an instruction not to the secretary general, but to the fundamentalist invaders to report to the world on the progress they would have made in destroying the ancient libraries of Timbuktu; amputating the arms of a few more Malians; and stoning to death deviationists from their "moral code".

It was an invitation to Ansar Dine's allies Boko Haram to nudge a few more terminators into Nigeria; demolish a few more educational, cultural and religious institutions; eliminate what was left of the UN presence after its bomb attack on the UN HQ in Abuja; and continue its project of unleashing death and destruction in southern Nigeria. Before the conference, I had button-holed senior Nigerian officials at every opportunity. None needed any persuasion about the danger to west Africa if the fundamentalist menace were not contained, rapidly. President Jonathan himself, I was assured, was sensitive to the ramifications of Mali's northern takeover. So were a number of African heads of state. What was lacking was the practical preparedness for action. To any student of the fundamentalist temperament, this imperative of urgent response should be second nature. Africa's political leadership should be in a state of permanent consciousness – and responsiveness. We are not novices, after all, to the ruthless nature of fundamentalist insurgency, its territorial desperation and, above all, its contempt for humanity.

Nigerian Vice President Says Boko Haram Cease-Fire Is Welcome

Nigeria’s government recognizes and welcomes a cease-fire announced by the Islamist militant group Boko Haram and is considering how to respond to it, Vice President Namadi Sambo said today. Sambo’s statement was the first official response to a cease-fire announced Jan. 28 by a self-proclaimed Boko Haram spokesman. Abu Mohammed Ibn Abdulaziz told reporters in Maiduguri then that the group agreed to put down arms on the condition that its members were freed from prisons. Abdulaziz said the group made the decision after meetings with the Borno state government. “We welcome the cease-fire offer announced recently by the Boko Haram group and we will do everything as a

government to see that we achieve a lasting peace in Nigeria,” Sambo told reporters today in Maiduguri, the Borno capital. “That is why the federal government is seriously consulting on the best approach to handle the cease-fire offer.” Nigeria, Africa’s largest oil producer and most populous nation, has been battling an insurgency by Boko Haram that’s killed hundreds of people since 2009. The group, which wants to establish an Islamic state in Nigeria, has carried out bomb and gun attacks in the mainly Muslim north and Abuja continued