...Qu'elle Habite avec son Mari, le Très Austère Sarkozy, qui Rejoindra bientôt le Monastère…
La Femme Modeste, Échappée d’un Roman de Léon Bloy ?...
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Il y a 42 Ans le Directoire militaire cédait la place au Conseil présidentiel
A. Création Créé par décret n° 69-319D./SGG du 12 décembre 1969 aux lendemains du 10 décembre 1969, le Directoire militaire² fut l'expression concrète de l'opposition formelle des Forces Armées au coup d'Etat contre le Président Emile Derlin Zinsou. Ce coup de force fut condamné par la majorité des officiers présents qui y ont relevé une violation du serment collectivement pris en faveur de la victime du putsch. Néanmoins, deux décisions importantes avaient été prises au cours de cette réunion : premièrement, le Président Zinsou devait être immédiatement ramené vivant et libre à Cotonou. Deuxièmement un directoire militaire serait mis sur pied pour diriger le pays jusqu’aux élections et la mise en place de nouvelles institutions. Ce directoire avait eu comme président le Commandant Paul-Émile De Souza et comme membre les Commandants Cofi Benoît Sinzogan et Maurice Iropa Kouandété. Comme on pouvait le constater, l’auteur du coup de force avait été bloqué dans son dessein de prendre le pouvoir. Le Président Zinsou était revenu à Cotonou et avait été conduit à son domicile. Les anciens Président Maga, Ahomadégbé et Apithy étaient rentrés au pays sans que l’on puisse dire qu’ils avaient été assagis ou non de leur exil. Le Directoire militaire, soucieux de voir le pays retourner à une vie constitutionnelle et démocratique normale, promet des élections présidentielles pour la fin du moins de mars 1970 au plus tard. B. L’organisation des élections Une commission électorale avait été en conséquence mise ne place. Son président fut le chef de bataillon Marcellin Vodounon Oké. C’est à cette commission qu’il était revenu : 1- de déterminer les critères de candidature et les modalités des élections ; 2- d’élaborer un projet de budget conséquent ; 3- de superviser les élections. Les critères de candidature étaient : a) être de nationalité dahoméenne b) verser une caution de 1 million de Francs CFA c) déposer sa candidature 15 jours avant la date d’ouverture de la campagne électorale. Ont pu répondre à ces critères : Hubert Maga, Sourou Migan Apithy, Justin Ahomadégbé, Tomètin, et Emile Derlin Zinsou. Comme on le constate, une fois encore, les trois leaders traditionnels n’ont pas tiré leçon du passé pour s’entendre sur un nom. Ils sont allés chacun mobiliser leurs troupes pour les batailles électorales. Afin de permettre un contrôle plus efficace par l’ensemble des Forces armées et les éléments de sécurité publique, la Commission électorale décide que les élections ne se dérouleraient pas simultanément, mais tour à tour par département, dans l’ordre ci-après. 1. Sud-Est = Ouémé ; 2. Sud = Atlantique ; 3. Sud-Ouest = Mono ; 4. Centre = Zou ; 5. Nord-Est = Borgou ; 6. Nord-Ouest = Atacora L’encre indélébile devait permettre d’éviter à un même électeur plusieurs votes dans différents bureaux. Mais c’était compter sans la ruse de nos compatriotes. Cette encre devait se révéler la source fondamentale des fraudes que les autorités voulaient éviter. En ce qui concerne la décision de faire voter département par département pour un bon déroulement du scrutin, elle aura au contraire favorisé le régionalisme, le tribalisme et la division, le tout sur fond de haine. Dans le département du sud-est, les partisans de Sourou Migan Apithy avaient utilisé tous les moyens de pression sur les électeurs des autres candidats. Ainsi, Apithy sort vainqueur dans son fief. Dans le département du Sud, Cotonou, fief de Ahomadégbé, les élections s’étaient déroulés sous le signe de la violence contre les partisans de Maga et de Apithy. Bien que la tension fût montée ici d’un cran, les forces de l’ordre s’étaient abstenues d’intervenir. C’est ainsi que Ahomadégbé était arrivé largement en tête mais avec des véhicules brûlés par ses partisans, et des violences physiques exercées sur leurs adversaires. Dans le département du sud-ouest où les voix avaient été partagées entre les trois leaders, on avait noté également des troubles entre partisans d’Ahomadégbé et d’Apithy. Dans le centre du pays, le sang avait coulé à Abomey, Bohicon, et Sahoué. Des voitures et plusieurs maisons avaient été brûlées ou gravement endommagées. Dans certains bureaux de vote, seuls les bulletins d’Ahomadégbé se trouvaient sur les tables. Au total, de graves irrégularités avaient été enregistrées. Le plus grave était que le mal avait atteint certains militaires et agents de sécurité. Avec leur complicité en effet, les irrégularités avaient profité aux « Houégbadjavi ». Apithy et Ahomadégbé avaient fait le plein des voix dans leurs fiefs respectifs. Les partisans de Maga attendaient leur tour pour imposer la suprématie de leur leader dans le septentrion. La situation, après le département du centre, était devenue si tendue que chacun se demandait ce qui allait se passer à Natintingou et Parakou, fiefs incontestables de Hubert Maga. Des troupes étaient arrivées en renforts de Cotonou dès les 23 et 24 mars 1970. A chaque étape, les violences gagnaient en intensité et aucun des autres candidats n’avait la latitude de se déplacer comme il l’entendait, encore moins d’aller faire campagne à Parakou où ils ne pouvaient arriver. C’est ainsi que le 25 mars 1970 fit date dans l’histoire des élections de notre pays. Pour répliquer aux événements qui s’étaient déroulés dans le sud, seuls les bulletins du candidat Maga étaient en place dans la plupart des bureaux de vote. Des militaires et agents des forces de sécurité publiques originaire du Borgou et de l’Atakora, s’étaient rendus manifestement complices des graves incidents enregistrés. Les sympathisants des autres leaders avaient été molestés. Comme à Abomey, le sang avait coulé à Parakou où le 13 mars 1964 déjà, l’Armée avait fait usage de ses armes contre les manifestants, sur instructions du Président Ahomadégbé. Dans l’Atakora, on attendait de pieds fermes le jour « J » pour se venger et régler les comptes à tous ceux qui allaient voter autre chose que « Maga. » Face à une telle situation d’insécurité généralisée, la Commission Electorale et le Directoire militaire décident de ne pas continuer sur Natitingou. Les opérations de vote furent annulées sur toute l’étendue du territoire parce que le pays était à la limite d’une sécession avec un projet de création d’un Etat qui prendrait le nom de ATABOR( entendre Atakora-Borgou)en cas d’échec du candidat Hubert Maga à l’élection présidentielle. |
A. La Réunion de Savè et ses conséquences immédiates D'abord suspendues, les élections présidentielles et législatives avaient été officiellement annulées. Le Lieutenant-Colonel Paul Emile de Souza, Président du Directoire promet la mise en place d'un gouvernement d'union nationale dans un délai d'un mois, à l'occasion de son discours à la Nation le 3 avril 1970. Afin de trouver une solution satisfaisante et durable à la grave crise que connaissait le pays, le Directoire militaire invite les quatre candidats (Zinsou, Apithy, Maga et Ahomadégbé) à se retrouver pour proposer une solution au dénouement de la crise. Le Président Maga estime alors que sa sécurité était désormais menacée dans la région sud du pays et propose en conséquence à ses paires de se retrouver à Savè. Le 16 avril 1970, Hubert Maga et Ahomadégbé Justin se retrouvent à Savè. Apithy et Zinsou se déclarent surpris par la prise de position de Maga et trouvent inopportun d'aller à Savè alors que Cotonou pouvait abriter la réunion. A Savè, les Présidents Ahomadégbé et Maga trouvent néanmoins la solution d'une « commission présidentielle ». Il s'agit d'une présidence tournante qui devait durer six années. Chacun d'entre eux aurait eu le temps, du moins l'espéraient-ils, de faire ses preuves de manière à convaincre, plus tard, les électeurs. Le 29 avril 1970 prit officiellement fin la crise politique que vivait le pays. Hubert Maga fut alors désigné par ses deux autres collègues Apithy et Ahomadégbé pour exercer les fonctions de Chef de l'Etat, Chef du Gouvernement et Président du Conseil Présidentiel. Le Président Zinsou, lui, refuse d'adhérer au Conseil Présidentiel, car ne voyant pas le bien fondé de cette approche, qui annonçait plutôt d'autres orages institutionnels et non des solutions consensuelles. B. L'Avènement du Consil Conseil Présidentiel 2. LE CONSEIL PRÉSIDENTIEL
Dans leur volonté de relancer le jeu politique et pour s'en tenir au mois fixé pour passer le pouvoir, le Directoire Militaire alors aux affaires, se rallie à la solution du Conseil Présidentiel après l'échec des élections qu'il avait initiées. En fait, le Directoire Militaire avait pris un risque sérieux en organisant les élections de mars 1970 département par département. Comme il fallait s'y attendre, les inquiétudes exprimées par beaucoup de personnes quant aux violences, aux atteintes au secret du vote, aux brimades exercées sur certains électeurs pour les empêcher d'exprimer librement leur suffrage, parce que n'étant pas dans leur circonscription d'origine, se trouvèrent amplement justifiées Le Président du Directoire déclara : « Fidèle à notre engagement de ne pas conserver le pouvoir, nous avons décidé de mettre en place, un système de gouvernement qui tienne compte des réalités de notre pays ». Le 30 avril 1970, le Directoire Militaire cède sa place au Conseil Présidentiel de trois membres, Instance Suprême de l'Etat, au sein de laquelle la responsabilité reste collégiale. Après une décennie d'indépendance, le Dahomey en était encore à chercher ses marques, avec toujours les mêmes acteurs qui, par cette formule de Conseil, montraient leur limite en tant que dirigeants chargés de conduire la destinée d'un pays. Par ordonnance n° 70-33D/SGG en date du 7 mai 1970, le Directoire Militaire fut dissout. Notes ¹. Extrait de : Rôle et implication des Forces Armées Béninoise dans la vie politique nationale ; Lt-colonel Philippe Akpo ; Editions du Flamboyant, 2005. ². Rappelons que le Préambule de l'Ordonnance n° 69-53D du 26 décembre 1969, portant Charte du Directoire dispose : « Après la proclamation du 10 décembre 1969, l'Assemblée Générale des Officiers de l'Armée Dahoméenne, réunie à l'Etat-major des Forces Armées Dahoméennes à Cotonou le jeudi 11 décembre 1969, a décidé de confier la responsabilité de l'Etat à un Directoire composé de trois Lieutenants-Colonels et présidé par l'un d'eux, le plus ancien dans le grade le plus élevé. Copyright, Blaise APLOGAN, 2008, © Bienvenu sur Babilown Rédigé à 13:51 dans Histo | Lien permanent |
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TEN of the Benin Republic Customs are extorting Nigerian businessmen and agents at Seme border and also subjecting them to multiple duty payments, which violates the Economic Community of West African States (EECOWAS) treaty. Some importers, who don’t want their names mentioned, told our correspondent that cargoes billed for Nigeria from Benin Republic are now being subjected to multiple duty payment by the Beninoise Customs. “Besides, they collect extra charges of between N80, 000 and N100, 000, which are not receipted just to get our cargoes and trucks to the Nigerian side of the border,” the businessmen said. But under ECOWAS treaty, trucks conveying goods from Benin Republic to Nigeria are designated as transit goods, which ordinarily should attract minimal duty having satisfied the import regulation law of Benin Republic but the customs ignore this. | The importers said the problem arose as a result of the ECOWAS joint development project sponsored by the European Union (EU), which has forced the Nigeria Customs Service, Seme command and other security agencies around the border to relocate their offices to the Nigeria end of the border. The relocation was necessitated by the plan to demolish the ECOWAS building, which hitherto accommodated the security agencies, such as the Immigration, Customs, Port Health, Standards Organisation of Nigeria (SON) and other security agencies. |
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Le Droit des Africains à Disposer de leur Cul dans leur Culture
La grande Bretagne se livre sans vergogne ni scrupule à du harcèlement et à des pressions politiques sur ses ex-colonies d’Afrique pour les forcer à se faire tendres avec les soi-disant homosexuels du continent, émanation aliénée et héritage loufoque de l’influence déviante de l’Occident capitaliste. L’aide publique à ces pays y est menacée de conditionnement au respect de ce que pince sans rire elle appelle le « droit des homosexuels ». Jusqu’à quand et où les Blancs continueront-ils de nous traiter en mineurs à qui ils dictent leurs quatre volontés ? Vont-ils nous imposer aussi avec la généralisation de nouvelles perversions chez eux le « droit des zoophiles » ou autres incongruités morales qui sont légion chez eux ? Pourquoi ne s’occupent-ils pas en priorité avec force et passion du droit des Africains à ne pas mourir de paludisme, de faim, ou de guerres que leurs officines fomentent à tour de bras dans nos pays ? Et pourquoi nous forcent-ils à embrasser des modes de vie sexuelle qui, chez eux sont plus courants dans les villes que les campagnes, sachant que celles-ci par rapport à leur société sont plus développées que ne le sont nos pays par rapport à leur pays ? Ces questions ne manquent pas de sens et se discutent. En termes du droit d’option éthique des classes sociales, des sociétés, des cultures, des nations, et des continents. Politiquement, en terme d’indépendance. Le Ghana et d’autres nations africaines jalouses de leur indépendance ne se sont pas privés d’exprimer ce droit et de rejeter les pressions indignes et scandaleuses de Monsieur Cameron, qui défend avec passion le droit des homosexuels africains là où le conservateur qu’il est ainsi que ses amis politiques restent pudiques et peu loquaces sur ses sujets dans leur propre société. Plus que de l’exprimer, le Nigeria vient de voter une loi punitive contre les mariages homosexuels. Et Monsieur Cameron fait pression politique, et une campagne publicitaire frauduleuse pour se payer une caution de libéral humaniste sur le dos des Africains alors qu’il reste conservateur pur et dur dans son pays. La Grande Bretagne demande au Nigeria de faire marche arrière, au mépris de la volonté démocratique du peuple nigérian, comme si le droit de leur soi-disant homosexuels est au-dessus de la volonté du peuple. La grande Bretagne de Cameron exige de mettre en équation la sensibilité collective des Africains affamés, mourant de maladies et de guerres, au même niveau que celle des Blancs repus, pansus, riches et oisifs qui s’ennuyant de respecter les voies vivantes de la nature, trouvent grisant et commode de s’enculer entre eux ou de se livrer à des actes sexuels déréglés, naturellement déviants au seul nom de la liberté de faire ce qu’on veut, qui est le crédo des Occidentaux. Tout ceci au nom du droit des Africains… ! Mais la vraie raison n’est pas celle du droit des Africains à sexer ou à s’aimer comme bon leur semble, ou même comme il plairait aux Blancs. Peu leur chaut que les Africains s’enculent entre eux ou s’adonnent à des mœurs antinaturelles et insensées sous leur cieux. Le vrai problème des Blancs, la vraie raison des pressions de Monsieur Cameron et de la Grande Bretagne sur ses ex-colonies est que ces pays constituent des réserves faciles de proie sexuelles aux soi-disant homosexuelles occidentaux, comme ils constituent en général des réserves faciles de proies sexuelles aux Blancs. Le vrai souci de Monsieur Cameron est de se faire une santé politique sur le dos ou le cul des Africains. La vraie raison de l’outrecuidance vicieuse de Monsieur Cameron et des Blancs est d’assurer la survie et la prospérité d’une secte morale qu’ils ont contribué à implanter dans nos sociétés, et dont ils entendent tirer les profits sur tous les plans : démographique, idéologique, psychologique, éthique, et politique.. En même temps que l’occasion leur permet de faire la publicité à des mœurs antinaturelles susceptibles de faire ressembler l’Afrique au Sodome et Gomorrhe que sont devenues leurs sociétés. Leur but est de préserver leur droit au prélèvement homosexuel sur les populations africaines. Ils souhaiteraient que l’Afrique noire soit à la merci de leurs fantasmes les plus débridés et les plus malsains. Que n’importe quel Blanc qui débarque en Afrique en quête de stupre ou de proie homosexuelle soit en mesure de satisfaire ses désirs, comme il est bien connu que le nerf de l’Amour reste la puissance financière. Cette puissance financière leur permet au nom de la justification trompeuse de l’amour de prendre nos femmes les plus belles, et nos hommes les plus solides au nez et à notre barbe. Le but de cette réaction d’arrière-garde scandaleuse – pour autant qu’on parle de nations indépendantes et de peuples libres ayant le droit de disposer d’eux-mêmes–, est que l’Afrique soit un marché sexuel ouvert à toutes les tendances qui ont cours en Europe ; que n’importe quel touriste homosexuel européen ou occidental puisse venir faire ses emplettes sans souci de pénurie ni risque d’entraves morales ou légales ; que l’Afrique soit à leur disposition et que n’importe quel Blanc ou Blanche qui débarque puisse y batifoler avec ou enculer hommes, vaches, veaux, et cochons à sa guise, conformément à leur sacro-sainte idée de la liberté, de la supériorité ultime de l’homme sur la nature. C’est cela la vraie raison de la pression de la Grande Bretagne de M. Cameron sur ses ex-colonies africaines, qu’elle continue de manipuler et de mystifier économiquement et symboliquement comme bon lui semble. Car ce genre de pression que l’Angleterre se permet de faire sur les pays africains, on n’imagine même pas qu’elle le fasse sur des pays arabes, sans parler des pays asiatiques, fussent-ils anciennes colonies de la Couronne Britannique. La liberté aux Blancs et aux Blanches de venir culbuter les Noirs ou de les utiliser pour satisfaire leurs désirs sexuels antinaturels et déréglés. Le droit occidental au prélèvement homosexuel en Afrique est caché derrière la soi-disant liberté sexuelle des Africains. Toute prétention qui se moque du droit de nos peuples à disposer de leur cul, dans le cadre de leurs valeurs et de leur culture. Faut-il que tout le monde meurt lorsque de propos délibéré les Blancs ont choisi le sinistre chemin de la mort ? Aminou Balogoun |
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Yesterday, President John Evans Atta Mills was on the streets of Accra, inspecting flooded areas in the company of the Greater Accra Regional Minister, Nii Armah Ashitey, and the Chief Executive of the Accra Metropolitan Assembly (AMA), Dr. Alfred Okoe Vanderpuije, whose distinctive beard is one of the political landmarks in the Mills Administration.
While the Head of State was on the walk-about on the chaotic streets of Accra, officials of the Ghana Medical Association (GMA) were locked up in a compulsory arbitration with the Fair Wages and Salaries Commission (FWSC) at the offices of the Ghana Labour Commission, near ‘Boom’ junction in the national capital.
Yesterday’s meeting, according to The Chronicle sources, was brief. I am told the Labour Commission read out what was contained in a compulsory arbitration, which required that an organisation submitting itself to arbitration ought to ensure that its officials were at work. In effect, people on compulsory arbitration could not be on strike. The Ghana Medical Association could not have its members abandoning health care, while the association had availed itself of compulsory arbitration.
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NIGERIA may soon roll out laws that would prohibit piracy and armed robbery within its territorial waters, going by indications from President Goodluck Jonathan yesterday, in Port Harcourt.
The President, who gave the hint of the impending legislation, said it was necessary to guarantee the stability and development of shipping business in the country, in view of the upsurge in piracy and armed robbery on the Nigerian waters.
Jonathan, who spoke through his Senior Special Adviser on Maritime Services, Leke Olugbenga Oyeleke, at the World Maritime Day celebration in the oil rich city, also gave a hint that vessels operating within Nigeria would henceforth be compelled to carry on them a special security device for protection against the scourge.
According to him, piracy and terrorism would be treated the same way, with severe punishment, after the law had been signed.
He said that combating terrorism and piracy on the nation’s inland waterway, was not top on his administration agenda in order to protect marine business and lives in the country.
Reaffirming government commitment to peace and stability of the country, he said government agencies in the nation’s maritime sector would be empowered to effectively man the country’s territorial waters.
As part of efforts to kick-start the war against pirates, Jonathan said the Nigerian Maritime Administration Safety Agency (NIMASA) would soon be directed to install tracking devices on all Nigerian flagged ships in addition to the Automatic Identification System (AIS). AIS is a special security device recommended globally for easy location of vessels, especially at distress time for search, rescue and other security opertations. The installation, was to ensure the safety and security of Nigerian vessels.
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Dowden : “le pétrole est la malédiction du Nigeria”
ABUJA-Mr. Richard Dowden, directeur de la Société africaine de Londres, hier, a identifié la corruption endémique, la mauvaise politique, l'échec des politiques économiques, la sur-dépendance vis à vis du pétrole, le favoritisme dans les nominations et la mauvaise réputation du pays comme les sources principales de la lenteur du développement du Nigeria
Dowden, qui était le conférencier hôte de la conférence commémorative de l’indépendance à Abuja, a déclaré à un rassemblement de hauts fonctionnaires du gouvernement, y compris les membres du Conseil exécutif fédéral, dirigé par le président Goodluck Jonathan, le Président de la Chambre des représentants, gouverneurs et autres, que la découverte du pétrole a été une malédiction pour le Nigeria, dans la mesure où elle l'a conduit à la corruption, au pillage des ressources par les responsables gouvernementaux corrompus.
Le conférencier qui a noté que les principaux acteurs du secteur privé ont également contribué aux pauvres indices économiques du pays, avec l'habitude de pratiques frauduleuses telles que l'évasion fiscale, a ajouté que les difficultés économiques du Nigeria ont commencé avec l'avènement du pétrole, qui, selon lui, a conduit à un manque d'initiative de la part des gouvernements successifs.
Dowden, qui a prononcé la conférence, intitulé «Nigeria en transformation» au Tafawa Balewa House, siège du ministère des Affaires étrangères, a déclaré que pour que le Nigeria puisse revenir à l'ère post-indépendance dans laquelle il enregistrait de l'excédent commercial, les investissements doivent être faits en vue d'exportation des cultures de rente.
Il a épinglé les membres de l'Assemblée nationale, pour leurs salaires qui sont les plus élevés au monde en tant que parlementaires. Dowden a averti que le pays ne pouvait pas continuer avec la disparité socio-économique entre les riches et les pauvres.
« Je crois que le pétrole est une malédiction, a-t-il déclaré, comme dans le cas légendaire du roi Midas. Lorsque le roi Midas était roi, il voulait que tout ce qu'il touchait se transforme en or. Tout ce qu'il touchait se transformait en or, mais il a fini par mourir de faim ! En effet, quand il touchait la nourriture et les boissons, elles se transformaient en or. Est-ce que le pétrole a rendu ce pays riche ? Non, bien au contraire ! »
Ancien correspondant de la BBC Michaela Wrong et un poète de renom, Odia Ofeimun, participants à la conférence, ont appelé le gouvernement à mettre fin à la distribution inégale des richesses qui va de pair avec la réduction des opportunités pour les Nigérians aux échelons inférieures de la société.
Le président Jonathan, dans son allocution qui a suivi les commentaires des invités, a réitéré l'engagement de son administration à transformer le pays. Il a préconisé une meilleure présentation du Nigeria par les médias et les élites, auxquels il a reproché de se livrer au lavage de cerveau d’un public acculé au désespoir.
Le président, tout en promettant d'améliorer l’alimentation, a insisté qu'il pourrait initier le changement par la création d'institutions, et l’appel aux meilleurs cerveaux de la diaspora à rentrer chez eux pour contribuer au développement national.
Il a déclaré qu’à l’issue de son programme de réformes, le Nigeria en finira avec les déficits budgétaires et abordera le retour à la stabilité, à la transformation complète de son statut de pays dépendant des produits pétroliers.
« Quand je vois des gens dans mon bureau, je dis toujours que seulement quelques personnes auraient eu besoin de me voir si le système fonctionnait. Les Ministres n'ont pas besoin de me voir si le système fonctionne. »
«Les ministres ont un budget approuvé par l'Assemblée nationale pour faire fonctionner leurs ministères, leurs projets récurrents et spéciaux. S’ils sont compétents, ils peuvent gérer leurs domaines d'une manière telle que les Nigérians sauront qu'ils font du bon travail », a-t-il ajouté.
« Beaucoup de choses n'ont pas été faites correctement, nous avons beaucoup de points négatifs, en raison de cela probablement, et parce que beaucoup de choses ont besoin de l'intervention du président, vous avez envie de modifier les choses qui ne tournent pas rond. Maintenant nous sommes dans le processus de réalisation de ces corrections, une fois que nous auront fini avec ce type de restructuration, le Nigeria, se trouvera à sa juste place, là où nous voulons qu’il soit, je n'ai aucune crainte à ce sujet.
«Le problème du pétrole qu’a soulevé Dowden est vrai. Tous les pays dotés de ressources minières ou pétrolières ont tendance à engendrer la corruption. L'industrie extractive a tendance à engendrer la corruption. J'ai fait la déclaration quelque part, que dans dix ans ou à peu près, nous devrions être en mesure de gérer le pays sans pétrole. Et nous pouvons le faire.
« Si vous regardez la taille du Nigeria, de toutes les importations générales qui viennent en Afrique, 20% viennent chez nous. Si nous gérons bien les ports seuls, le revenu généré sera suffisant pour faire fonctionner le gouvernement.
« Parce qu'il y a beaucoup de réseaux obscurs, les choses ne sont pas bien faites, les marchandises doivent être apurées dans d'autres pays et transférées vers le Nigeria. Et si on fixe un certain nombre de choses que nous devons corriger, les gens peuvent se plaindre que c’est de la politique, mais nous devons faire ces choses, nous n'avons pas le choix. Lorsque toutes ces institutions seront fixées dans dix ans nous pourrons gérer le pays sans le pétrole.
« Pour nous, en tant que peuple, nous devons regarder les autres et apprendre là où ils ont bien fait et ne pas copier leurs erreurs. Il a été écrit dans son livre et il a fait la déclaration ici que tout le monde pensait que le pays allait s'effondrer, que le Nigeria va être un État défaillant. Mais le Nigeria est en mouvement.
« Il a dit que nous avons de très bons cadres, certains des universitaires, il a demandé pourquoi ne pouvons-nous pas nous prendre en main, et tel est le point nodal. Nous avons des gens fantastiques dans le monde entier, pour nous d'avoir 25 000 médecins qui travaillent en Amérique, la question est de savoir comment pouvons-nous utiliser ces talents et ces cerveaux que nous avons pour faire évoluer ce pays?
«Je promets aux Nigérians que sûrement, nous allons faire évoluer ce pays. Nous allons employer tout ce que nous avons à construire des institutions fortes pour faire évoluer ce pays. »
trad. Binason Avèkes
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LAGOS, Nigeria, Sept. 27, 2011 /CNW/ -- The first of hundreds of Toronto subway cars that will furnish a new surface rail line in Lagos, Nigeria, has left Canada for the last time, and is now en route to Africa's largest city.
A Nigerian company, Eko Rail, has agreed to purchase 255 of the Toronto Transit Commission's (TTC) best-equipped subway cars for use in a much-needed Lagos Blue Line mass transit system. The TTC is in the process of purchasing larger "Rocket" trains to increase passenger capacity on their lines.
As the electric-powered cars become surplus and are pulled offline in Toronto, they will be individually trucked to the United States for a rebuilding by a team of world-class rail engineers. The cars will also undergo track-width (or "gauge") conversion and interior refurbishment before being shipped to Lagos.
The trains have been inspected by the Governor of Lagos State, Babatunde Fashola, who endorsed the plan to purchase them following his official visit to Toronto in May 2011.
"The shipment of the first car is an important step in Eko Rail's efforts to support the Governor's transformation agenda for the city," said David Potter, Eko Rail's Chief Engineer. "Ultimately, the Blue Line, with this modernized fleet, will bring massive benefits to Lagos' economic development and improve Lagosians' quality of life."
Each of the TTC cars come equipped with air conditioning, automatic sliding doors, solid-state traction control, energy saving regenerative braking, and a wide range of modern safety features and amenities. Once equipped with a state-of-the-art, GPS-based train control system made by General Electric, Eko Rail's trains will provide faster, safer, cheaper and more reliable transportation for Lagosians.
Eko Rail is entering into an innovative public-private partnership with the government of Lagos State to equip, operate and maintain the Blue Line for 25 years. Negotiations are being finalized and a concession agreement is expected to be signed in the near future. Lagos State has already started to make significant progress with building the rail tracks and stations. Eko Rail is utilizing URS Scott Wilson, one of the world's leading railway infrastructure consultancies, to ensure that the infrastructure is built to global standards….
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President Goodluck Jonathan of Nigeria
23 September 2011 –
Maternal health, piracy and security across West Africa have topped the agenda during talks between Secretary-General Ban Ki-moon and Nigerian President Goodluck Jonathan.
Mr. Ban encouraged Mr. Jonathan, who is the current chairman of the Economic Community of West African States (ECOWAS) to remain engaged in helping countries in the region facing security challenges, such as Côte d’Ivoire and Liberia.
The two officials – who met yesterday on the sidelines of the General Assembly’s annual general debate – also exchanged views about the fight against piracy in the Gulf of Guinea as well as global efforts to improve the state of maternal health, according to information released by Mr. Ban’s spokesperson….
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Rain and ensuing flood hamper activities, cause gridlock and commuters, transporters moan
IT started in the wee hours of yesterday and went on and on. By about 10.30 a.m. when it had not stopped, many Lagosians remembered Sunday, July 10, when the rain had also started in the early hours and fell non-stop throughout the day and far into the night.
Though yesterday’s rain had stopped by noon in most parts of the Lagos metropolis, the sun remained hidden behind dark brooding clouds, suggesting that it might not yet have been over.
For Lagosians who had enjoyed a dry spell these past few weeks, yesterday’s rain and an earlier downpour at the weekend, seemed to have indicated an end to the lull and the return of hard times.
As in the past, the rain caused flooding in many parts of the state, forced commuter buses off the roads and brought hardship to commuters.
Families were displaced, roads became impassable and some business activities in the metropolis were almost crippled.
Speaking to The Guardian, Mr. Uche Okoli, a resident of Okota in Isolo Local Council lamented the effect of the rain to roads in their area.
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Gunmen attacked a home in a village outside the state capital, Jos, killing the children, their father and a neighbour, an official said.
More than 100 people have been killed in the past two weeks in the state in conflict between Muslims and Christians from rival ethnic groups.
The conflict has continued despite a strong security force presence.
Nigeria has a long history of religious and ethnic conflict.
Midnight attack
In Plateau, Hausa-speaking Muslims are seen as supporters of the opposition, while ethnic Beroms, who are mostly Christian, are perceived to favour the ruling People's Democratic Party (PDP).
The BBC's Jonah Fisher in the capital, Abuja, says the latest killings took place in a mainly Christian village, Barkin Ladi, at midnight on Thursday.
A spokesman for the state governor said a father and seven of his children were shot dead, along with a neighbour…
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As the citizens of West Africa are being prepared for the introduction of the Shengen-type visa for the sub-region, top officials of the Nigerian Immigration Service were yesterday told to implement the protocol of free movement of persons and goods.
The inability of national governments and joint initiatives of the community to stamp out harassment and intimidation of citizens at the trade corridors of the Economic Community of West African States (ECOWAS) is largely seen as the main impediment to economic integration as well as the desire to have an ECOWAS of peoples and not of states.
At a train-the-trainers workshop which started yesterday in Abuja, the President of the ECOWAS Commission, Amb. Victor Gbeho, admitted lapses in the existing efforts.
“I am well informed of the hardship and intimidation of community citizens in the hands of security operatives in our common borders,” he stated.
But the commission president also stressed the need to “activate public participation” in the protocol implementation (Free Movement A/P1/5/79) and other relevant texts in seeking to accelerate the attainment of a borderless community.
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By Taye Obateru, Kingsley Omonobi & NDAHI MARAMA
Jos: The Nigerian Army yesterday arraigned one of its generals, Brigadier-General Muraina Raji, former Commander, 33 Artillery Brigade, Bauchi before a Special Court Martial over the escape of two suspected members of Islamic sect, Boko Haram from the Brigade’s detention facilities.
It was gathered that the detainees were arrested last year following an onslaught in Bauchi which led to loss of several lives and property.
Special Court Martial
Inaugurating the six-member Special Court Martial at the Maxwell Khobe Cantonment yesterday, General Officer Commanding (GOC), Three Armoured Division of the army, Major-General Sunday Idoko said General Raji was indicted for complicity by a military investigation report, noting that the arraignment was in line with service regulations.
He said the constitutional role of the military requires the highest standard of discipline and professionalism which no officer wishing to succeed as a professional could afford to...
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Clinics like this one in Tumbu have been jammed since Sierra Leone ended some fees in 2010. More Photos »
he word was out: it was no longer necessary to give birth at home and risk losing a baby or dying in childbirth. Hadiatou Kamara, 18, waited in the crowd. She had already lost a baby boy and girl. “They both died,” she said quietly.
Now, for her third pregnancy, she was at this rural health clinic outside Freetown, the capital. The Sierra Leone government has eliminated fees for pregnant women and children, and Ms. Kamara, like thousands of women in a country where surgery has been performed by the light of cellphones and flashlights, could afford trained medical staff to oversee her pregnancy for the first time. …
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Some of the 43 Ekiti State students evacuated from Maiduguri, departing the Government House, Ado Ekiti, to their respective homes, Friday.
AS non-indigenes continue to leave Borno State following the spate of attacks unleashed on the state by the Boko Haram fundamentalist sect, many indigenes of Ekiti, Edo and Akwa Ibom states who fled the embattled state have arrived home.
43 arrived Ekiti on Friday. Over 150 were also received in Edo and 65 in Akwa Ibom.
The Ekiti evacuees, who are students of tertiary institutions in Borno State, arrived the Government House, Ado-Ekiti at about 3.30 a.m. in three buses.
The students, who narrated their ordeal to reporters, hailed Governor Kayode Fayemi for coming to their rescue by sending buses to convey them from Maiduguri.
Officials of the Government House were on hand to attend to the needs of the evacuees.
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A spokesman for the National Emergency Management Agency said Tuesday that at least 20 people died in the commercial capital of Lagos during unusually heavy rains Sunday.
Yushau Shuaib said nine more people died in Katsina, which saw heavy rains Friday evening.
He said the floods displaced more than 100 people in Katsina. Lagos shut down its public schools Monday.
The agency has warned that rains will be heavier this year than last year. Last year’s rains displaced about 500,000 people nationwide
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gona Abodom, (C/R), July 8, GNA - Ghana is to receive a 95 million dollar Agricultural equipment, including tractors and combine harvester’s from Brazil, to boost rice production and other Agricultural sectors.
The items would come under a soft loan from the Brazilian government to the Ghana.
Mr Louis Fernando Sierra, Brazilian Ambassador to Ghana, made this known, when the Chiefs and People of Agona Abodom in the Central Region conferred on him honorary Citizenship and Development Chief of the town at Abodom.
Ambassador Sierra said the first consignment of the equipment would arrive in the country in September, 2011, while the rest is expected in the country in January 2012.
He hoped that the equipment would help in increasing food production in the country.
The Ambassador said through his instrumentality, a 40 million dollar sickle cell and blood centre has been constructed in Kumasi, in the Ashanti Region, to facilitate quality health delivery services for the people in the region.
Mr Sierra said the Kumasi centre would be linked up with the Agona Abodom clinic to provide health service delivery to the people in the area.
The Ambassador expressed appreciation to the chiefs and people of Abodom for the honour done him and declared that he “would never forget it in his life”.
He said he was not surprised, because Brazil has a long standing relationship with Ghana and expressed the hope that it would grow from strength to strength, to promote bilateral and economic cooperation between the two countries.
Nana Kojo Asomaning, Tufuhene of Abodom performed the necessary traditional rites and conferred the title on the Ambassador, who was given a stool name of Nana Kweku Sierra I and later made him a member of the Asona family.
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…35 persons rescued, several others trapped
By Evelyn Usman, Olasunkanmi Akoni & Monsur Olowoopejo
LAGOS – A four-storey building collapsed at the early hours of Wednesday at Idumota/Ebute Ero area of Lagos, killing at least eight persons.
Report said over 35 persons were rescued from the debris while an unspecified number were, at press time, still trapped under the debris.
Among the casualties were persons from two different families, including children and women. The building, located at 4, Mogaji Lane, comprising several apartments and shops was reportedly constructed 10 years ago.
The collapsed building
Trouble started at about midnight, following a deafening sound which left the occupants in the dark. Some of them, particularly those on the ground floor, managed to escape. Among them were a man, his wife and their two-month-old baby.
Youths in the area were said to have started rescue work where some of the trapped persons were rescued.
The building...
Officials of the Lagos State Emergency Agency, LASEMA, State Mobile Ambulance personnel who later arrived the scene reportedly rescued about 30 persons including Secretary of Community Development Association (CDA), Mr. Tajudeen Adeyemi and his wife.
National Emergency Management Agency, NEMA, and policemen also joined in the rescue work.
Another view of the building.
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deI. Anthologie des dictateurs africains
II. Une Brève Histoire des dictateurs africains
III. Sociologie des dictateurs africains
IV. Psychologie des dictateurs africains
1. Pilleurs d’Élite, Élite des Pilleurs : Une Anthologie des Dictateurs Africains
A
ABACHA, Sani (1944 - 1998) Abacha, Sani (1944 - 1998)
Abacha prit le pouvoir au Nigéria à la faveur d’un coup d'Etat militaire en 1993. Il commença immédiatement par annuler les élections présidentielles dont les résultats étaient favorables à l’opposition en même temps qui entreprit de consolider sa position par la purge des sections de l'armée en lesquelles il n’avait pas confiance. En 1995, Abacha fit exécuter neuf de ses opposants les plus résolus, dont l’écrivain et dramaturge et producteur Ken Saro Wiwa, une action qui causa la suspension du Nigeria du Commonwealth britannique. En dépit de promesses continue de rétablir un régime civil, Abacha resta en fonction jusqu'à sa mort en 1998. Depuis sa mort, il a été révélé que Abacha et sa famille avaient soulagé le trésor nigerian de la bagatelle de 3 milliards de dollars US. Un règlement à l’amiable a vraisemblablement ouvert la voie au reversement d’une grande partie de cette somme au trésor nigérian, avec une contrepartie de 100 millions de dollars à sa famille
Lire la suite "Les Dictateurs Africains : de Abacha à Yayi" »
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The shortage of tractors needed for ploughing cotton fields in the Upper East, Upper West and Northern regions of Ghana has been severely condemned by the General Agricultural Workers Union (GAWU) of the Trades Union Congress.
This has rendered a majority of the farmers uncertain regarding their current year’s productivity. The Union demanded that the Government should either provide tractor facilities to cotton growers or mediate with the cotton firms to arrive at a solution to the issue, so that the production targets can be met.
At a one-day capacity building workshop held in Tamale, for cotton farmers of the three regions, Karim Saagbul, Programme Officer of GAWU, voiced his concern regarding the issue. The objective of the workshop was to develop various skills of cotton growers including understanding of Government’s policy, and organizing farmers in groups for better networking and to boost their productivity.
Mr. Saagbul disclosed that the Government had purchased some tractors for cotton cultivators, but added that they are not enough. Also, these tractors were mostly available at the agricultural mechanisation centres, where it was not possible for many farmers to take advantage of the services.
He further revealed that under the Government’s new policy aimed at increasing cotton production, the entire North zone has been divided into three sub-zones and three different companies - namely Olam, Wienco and Armajaro - have each been asked to take care of different zones….
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CHAIRMAN of the Economic and Financial Crimes Commission (EFCC), Mrs. Farida Waziri has said she would not hesitate to resign her position if found to have derailed in the cause of carrying out her duties.
The EFCC boss who spoke while responding to questions at an interactive session for members of the National Assembly in Abuja yesterday, said there was no iota of truth in the widely held view that the agency was being influenced by the Presidency and other government officials.
“I am not being teleguided by any person, and if you discover that my credibility is in doubt, I won’t mind resigning if it is found that I am doing something wrong to the Nigerian people and I am going against my mandate,” she said.
Mrs. Waziri who spoke on other issues explained that there was no conflict between the EFCC and other anti-corruption agencies in the country.
She also kicked against the suggested merger of the agency with the Independent Corrupt Practices and Other Related Offences Commission (ICPC), saying instead, more similar agencies should be set up to combat the menace of corruption.
“We can cooperate with other agencies like the ICPC and the Code of Conduct Bureau. There is no need for a merger”, she said.
On prosecution of Politically Exposed Persons (PEPs), the EFCC boss assured that the agency would not adopt what she called “gestapo method” in dealing with those found to have defaulted.
“I will not employ gestapo method in the cause of me duty. We want to build institutions that will stand the test of time anywhere in the world,” she said.
While calling on the Seventh National Assembly and other Nigerians to collaborate with the EFCC in the fight against corruption in all its ramifications, Waziri also urged members of the country’s legislature to always provide basic amenities of life for members of their constituencies…
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THE First Year Coronation Anniversary of Oba Nureni Alani Akinremi (Ilufemiloye) Kubeyibu 1 the Onijegun of Ijegun Land kicked off with fanfair two weeks ago. The palace has been playing host to drummers and praise singers from far and near to celebrate with Oba Akinremi. Dignitaries from all walks of life have been pouring into the place to felicitate with the Oba Akinremi who is the first to ascend to the throne of his father from the Kudeyibu Family. Moslem and Christian faithfuls also joined in the celebration as they joined hands in praying for long life and a prosperous reign for Oba Akinremi… a man of the people.
Close to the palace is also a football pitch where matches have been ongoing between the 28 clubs from Ijegun and its environs who are participating in the ‘Oba Nureni Alani Akinremi Soccer Championship’. The winner will go home with a trophy. The first runner-up will be given 30,000 and second runner-up 20,000 on June 4. On Thursday, there was the conferment of chieftaincy titles on indigenes while others bagged honorary titles.
Today Juju maestro, King Waheed Osupa will play to entertain guests for the occasion at Ijegun Muslim Praying Ground from 10.am.
According to Oba Akinremi, like most ancient Yoruba towns, the original early history of Ijegun Town is carefully recorded in oral history and handed down by the surviving great sons of the founders of Ijegun Town.
“The Kudeyibu family history is dates back to well over 350years ago. Ijegun Town was founded by Ajagun, Kudeyibu, and Oshoboja,” the Kabiyesi disclosed.
What is known as Ijegun today, he said, is the combination of three separate settlements by three different settlers known as Ajagun, Kudoru and Adeosu.
“These three settlers were the ancestral fathers of Ajagun, Omo Obeku and Oshoboja. Ajagun later begat Rawa, Omo Obeku begat Kudeyibu, Adeosun begat Oshoboja.
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SIMON EBEGBULEM, Benin city
Aftermath of attack on Gbaramatu: A King without Palace
Two years ago, the Joint Task Force, JTF in the Niger Delta invaded the oil rich Gbaramatu Kingdom of Warri South West Local Government Council of Delta state, hometown of repentant militant leader, High Chief Government Ekpemupolo, a.k.a Tompolo, after a fracas between members of JTF and some of the then militants in the area, leaving a scare that lives in the minds of the inhabitants.
The entire community was razed down including the palace of the King, HRM Ogeh-Gbaraun 111, Aketekpe, Agadagba of Gbaramatu Kingdom.
The Gbaramatu invasion by the JTF was similar to the Operation Desert Storm of 1999, when the American forces launched an attack against Iraq for invading Kuwait. There were aerial bombardments of the Kingdom and the effects were massive. Two years after the incident, it was a case of a King without a palace while other inhabitants of the community still suffer the devastation.
However, a frontline Niger Delta activist and former Secretary General of the Ijaw Youth Council (IYC), Comrade Paul Bebenimibo, narrated their ordeal to Saturday Vanguard in Benin City and appealed to the Federal Government to come to their aid by rebuilding the Kingdom including the palace of their King.
Comrade Bebenimibo said, “Since after the fracas with some youths in the kingdom, people are still passing through hell due to the destruction in the land. Imagine Okerenkoko community that was destroyed completely, there was no single building standing after the invasion. The Governor of Delta state promised to rebuild the community. But as we are talking now, nothing has been done to rebuild the community.”
He painted a sordid picture of how the people are living in a make shift structures. “They live in a make shift structures in the riverine communities and each time there is storm, it will destroy the structures because they are not solid enough and that is what we have been passing through in the past two years, ” he said.
“Our people were left with nothing, their source of livelihood were destroyed and nothing has been done to cushion the effects of the damage done to us. It is sad that this is happening to us because Gbaramatu Kingdom is contributing immensely to the unity and development of this country through its oil revenue.”
On how the King has been operating without a palace, Comrade Bebenimibo said: “He has been staying in a two bedroom apartment in the Kingdom. How can a King be without a palace after his magnificent multi billion naira palace that was built by the toil of the community, was destroyed by the JTF. What JTF did was a sacrilege; can they destroy the house of an Emir in the North like that?
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….Bus carrying school pupils crashes
By Evelyn Usman, Olasunkanmi Akoni & Monsur Olowoopejo
An explosion Wednesday,rocked Kara and Ibafo areas along the Lagos/Ibadan expressway, resulting in an inferno which left two persons dead and several others injured. About sixteen vehicles were also reportedly destroyed, with eight completely burnt.
The incident which resulted in an unprecedented gridlock on the major expressway, occurred after three tankers conveying substance suspected to be acid, petrol and gas collided.
Eye witnesses said one of the tankers, conveying substance suspected to be petrol, apparently had a break failure and in the process, ran into another 33,000 litre tanker conveying some acidic substance. Time was 12.30am.
However, while effort was on to clear the vehicles, another truck with registration number XK 583 KJA fully loaded with diesel, reportedly ran into the stationary trucks at about 6.30am, resulting in an inferno.
Another two tankers parked close to the scene which is few kilometers away from the Mountain of Fire, Prayer City, Ogun State, also went up in flames.
Motorists plying the route hurriedly made u-turn to avoid being entangled in the resultant inferno. In the process, some commuters reportedly sustained varying degrees of injuries in their bid to escape from the scene. Some of them said to have been chocked by thick smoke emanating from the flame, were rushed to the hospital, while others abandoned their vehicles as they fled for safety.
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IT is still tales of agony, pain and monumental loss for victims of post-election violence in Kaduna State. The violence which claimed thousands of lives and caused the destruction of properties worth billions of naira is still having its negative impact on the victims who are either in refugee camps or hospital beds.
Several families in the metropolis who fled their homes and found solace in refugee camps have continued to relate their ugly experiences in the violence.
Over 26,000 people are presently at the refugee camps located at Artillery Barracks, Hajj camp, One Mechanized Nigerian Army Barrack, Mando and Maraba Jos.
In fact, those affected in the cross fire of the violence either have their homes razed by fire or flee from their homes for fear of further attack.
Besides, hundreds of the victims are also receiving treatment in various hospitals in Kaduna. Most of them narrated their bitter experiences which has brought perpetual fear to them on their safety in the State.
Very pathetic was the experience of one of the victims, Mr. Ilisha Zakari, a 24 year- old boy from Adamawa State currently receiving treatment at Saint Gerrald Catholic hospital, Kakuri. He narrated to The Guardian how he lost his only sister at Trikania, a suburb of Kaduna town. He said; ‘I was sleeping with my sister in the corridor of house on the unfortunate Monday night when suddenly we heard gunshots close to our compound. My only sister suddenly woke up without knowing what was going on. I called her to come back, but being confused on what the problem was really, she unluckily ran into the hands of the rioter with guns and cutlasses at the back of our compound and they slaughtered her like goat….
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NOBEL laureate, Prof. Wole Soyinka, yesterday condemned the post-presidential election violence in some northern states, describing the destruction that trailed the declaration of the results as a premeditated act.
Soyinka endorsed the results of the April 16 presidential election, which returned incumbent President Goodluck Jonathan for a fresh term. While congratulating the winner, Soyinka explained that citizens’ reports as collated by ReclaimNaija, a grassroots political forum with a mission to promote electoral transparency, seemed to tally with the figures released by the Independent National Electoral Commission (INEC) in a number of polling booths.
“Having made comparisons with those reports, which we received directly from polling booths, which forms the data for ReclaimNaija, my view, quiet frankly, is that the presidential elections were won by Goodluck Jonathan. It is not my business to say what methods were used in influencing voters; it is not within ReclaimNaija’s competence to comment on things like that. We are dealing strictly with figures collated at ReclaimNaija, and sent directly from announcements at polling booths, and sent by citizens who are present…”
He continued: “Judging from the results and figures that were announced, in terms of voters tally, I think you will find that ReclaimNaija’s figures do not differ substantially from the ultimate voter returns announced by INEC.”
While condemning the loss of lives that trailed the declaration of President Jonathan as winner of the polls in some states in the North, Soyinka said that life was snuffed out of the victims for no justifiable reason. He expressed shock at what he described as the gleeful manner in which the “decimation of humanity” was carried out…
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Elections for Nigeria's 36 powerful governors were delayed in two of the states hit by the worst violence.
More bombs exploded in the north-eastern city of Maiduguri. No-one was hurt in the city, where at least three people have been killed since Sunday.
The governorship elections have been relatively peaceful with low turnout.
Counting began in public at polling stations around the country after voting officially ended at 1600 local time (1500 GMT).
'Bomb in a pothole'
Governors enjoy wide powers in Nigeria and some, especially in oil-producing areas, control bigger budgets than those of national governments in some neighbouring West African countries.
The BBC's Mansur Liman in Nigeria's capital, Abuja, says turnout was generally low in the northern states, where the region's saw its presidential candidate defeated last week.
Turnout also appears low in the biggest city, Lagos, possibly because of voter fatigue in what is now a fourth week of elections, the BBC's Tomi Oladipo reports.
In Rivers State, in the volatile oil-producing Niger Delta, the BBC's Fidelis Mbah says the election was largely peaceful, contrary to expectations.
However, there are some unconfirmed reports of intimidation elsewhere in the Niger Delta…
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In Damaturu, the Yobe state capital, our correspondent reports that, there was a heavy protest by some aggrieved youth believed to be pro-Buhari who was the presidential Candidate of the CPC….
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A march against the beating of Journalists covering events. (Benoit Koffi)
Six associations of media professionals in Benin rallied Tuesday in Cotonou, the capital, in a protest march against what they called "the barbarity of security forces" against journalists.
This West African country is considered a showcase of democracy, but developments in recent weeks have tarnished a tradition of tolerance and respect for human rights, especially freedom of the press. President Thomas Yayi Boni was sworn in for a second five-year term last week in a ceremony boycotted by his challenger Adrien Houngbedji who has refused to recognize him on the grounds that the results of last month's contested presidential elections were rigged.
"In recent political protests, journalists were chased, beaten, injured, and treated just like protesters," said Jérôme Carlos, director of private station Capp FM and one of the leaders of the march Tuesday. "Security forces demonstrated incomprehensible zeal. We must protest against all these abuses."
Carlos was referring to the March 24 police beating of reporter Séïdou Choubadé of the daily Le Nokoué. Choubadé was caught up in a demonstration as the opposition protested results of the presidential elections declaring Yayi the winner. Despite showing his press card to police, Choubadé was attacked. He was left with his face puffed-up, his upper lip cut, his hands injured, and his motorbike taken by officers.
An estimated 400 members of the press marched. (M. Polycarpe Toviho)
Brice Houssou, the chairman of the Benin Union of Media Professionals, known as UPMB, denounced "the indiscriminate and gratuitous violence" against Moustapha Sèmiou Bashola, editorial secretary of the daily Les Scoops du Jour by security guards of the speaker of the National Assembly on February 18. "Security guards of the speaker and those of other politicians chased, beat up and roughed him up, as if he were a criminal," Houssou said. Bashola was covering a public meeting of the ruling majority in the Assembly. UPMB reported that two of the speaker's security guards later admitted to attacking the journalist after allegedly overhearing Bashola criticize the speaker outside the meeting.
Journalists also denounced the continuing "violence and battery" against journalists of state-run national media at public events they are supposed to cover, as well as the "bullying and discrimination of reporters by security officers and the central administration." For instance, local media reported a March 11 assault on journalist Claude Adigbli of state news agency Agence Bénin-presse by a plainclothes member of the presidential guard after he approached the man to ask questions. The attack occurred on the last day of campaigning at a rally in support of Yayi….
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ACCRA, Ghana — Ghana's former first lady, the wife of longtime ruler Jerry Rawlings, says she will challenge the current president in her party's July primaries.
Nana Konadu Rawlings, 62, in a letter to the National Democratic Congress' secretary-general Thursday, says she is resigning as first vice-chairman so she can contest President John Atta Mills in July presidential nominations for next year's general election.
This is the first time a sitting president has been challenged by a member of the ruling party. If chosen, Konadu would also become the first woman to stand for presidential elections.
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Cela fait 5 Jours depuis l’Usurpation du pouvoir suite à l’Assassinat abject de la Démocratie au Bénin par la Junte des 7 Salopards ci-dessous : |
MORT ET HONTE AUX ASSASINS DE LA DÉMOCRATIE !
1. | Que tous les malheurs du monde s’abattent sur eux ! |
2. | Qu’ils soient harcelés jour et nuit de cauchemars ! |
3. | Qu’ils ne connaissent jamais le bonheur sur terre ! |
4. | Que les accidents les plus mortels les assaillent ! |
5. | Qu’ils s’étranglent en mangeant ! |
6. | Qu’ils étouffent en buvant ! |
7. | Que Hêviosso les foudroie ! |
8. | Que les serpents les plus venimeux les mordent ! |
9. | Que les maladies les plus incurables les frappent ! |
10. | Que leur postérité soit couverte de honte ! |
11. | Que leur maison prenne feu en pleine nuit ! |
12. | Que leur demeure soit inondée du sol au plafond ! |
13. | Que leur visage soit couvert de plaie incurable ! |
14. | Que le miel devienne amer sur leur langue ! |
15. | Que le lait devienne poison dans leur gorge ! |
16. | Que les esprits de nos ancêtres les hantent ! |
17. | Que toute voiture dans laquelle ils sont explose ! |
18. | Que l’avion où ils prennent place prenne feu ! |
19. | Que le Peuple les pende par les couilles ! |
20. | Que le monde entier découvre leur crapulerie |
21. | Qu’à leur mort leurs cendres soient mêlées aux ordures ! |
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PARIS — As the wily Ivory Coast strongman Laurent Gbagbo remained cornered in the basement of the presidential residence in Abidjan on Saturday, his forces retook the offensive in a series of military actions, belying recent predictions of his imminent downfall.
Since Friday, forces loyal to Mr. Gbagbo have recaptured territory in Abidjan, the economic capital, repelled a French military operation, attacked his rival’s headquarters and recaptured state television and radio, which resumed broadcasting messages of defiance.
Mr. Gbagbo was still surrounded by forces loyal to his rival, Alassane Ouattara, the country’s internationally recognized president, which were backed by troops from France and the United Nations.
But on Saturday evening, his forces attacked the Golf Hôtel, where Mr. Ouattara has maintained his headquarters since winning the presidential election in November. A United Nations official said it was the first time Mr. Gbagbo’s forces had attacked the hotel.
The hotel came under fire from small arms and mortars, witnesses said, while hotel employees, guests and Mr. Ouattara’s government took cover in the basement.
“Gbagbo’s mercenaries lost men,” said a hotel employee reached by telephone, who declined to give his name, fearing for his safety.
A spokesman for the United Nations mission in Ivory Coast, Amadoun Touré, however, said no ground forces were involved in the raid, and that United Nations forces had returned artillery fire.
The state-run RTI television and radio station, which Mr. Ouattara’s troops had captured 10 days earlier, came back on the air on Friday, returning to its role as a mouthpiece for the Gbagbo government.
The network broadcast statements claiming French forces had attacked Mr. Gbagbo’s residence and airlifted “rebels” into the neighborhood in order to surround the redoubt, claims French officials deny.
“The regime of President Laurent Gbagbo is still in place,” read another statement, scrawling across the bottom of the screen. “We ask for the strong mobilization of all Ivorians.”
Late Friday night, his forces thwarted a French military rescue operation. Responding to a request for aid from another country, which French officials did not identify, French helicopters had mounted an effort to rescue foreign personnel from a diplomatic residence in the Cocody neighborhood, not far from Mr. Gbagbo’s residence.
But the aircraft encountered a heavier presence of Gbagbo loyalists than anticipated, taking fire from small arms and at least one armored vehicle, which the French military said its forces destroyed; the rescue operation was aborted.
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COTONOU, March 26, 2011 (AFP) – The main challengers in Benin’s disputed presidential vote have filed appeals over results showing incumbent Boni Yayi won with 53 percent, the constitutional court said Saturday. Tension has risen in the small west African country since the vote, with police firing tear gas to disperse opposition protesters in the economic capital Cotonou on Thursday. ”We have received a total of eight appeals, including three from citizens and five from candidates who competed in the presidential elections,” Sylvain Nouwatin, secretary general of the constitutional court, told AFP. The deadline to file appeals expired late Friday. The five candidates to appeal include Yayi — arguing that his victory margin was greater — as well as his main challenger Adrien Houngbedji, who has dismissed the results showing he had 36 percent and claimed victory for himself.
Abdoulaye Bio Tchane, who had been seen as a third major candidate but finished far behind with six percent, also filed an appeal. Both Houngbedji and Bio Tchane allege that Yayi benefited from illegal voting stations. They have already alleged fraud in the March 13 ballot, which had previously been postponed twice because preparations were not complete. ”More than 140,000 votes were credited to candidate Boni Yayi through these fraudulent practices,” Houngbedji told AFP on Saturday of the alleged illegal voting stations. Bio Tchane’s campaign has made similar allegations in its appeal, his spokesman Raymond Dossa said. He cited dozens of alleged examples from the country’s north, where Yayi is from. The court now has 10 days to rule on the appeals. A new president is due to be sworn in on April 6. UN chief Ban Ki-moon’s special representative for west Africa, Said Djinnit, expressed concern over the post-electoral situation on Friday….
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Cotonou - Benin authorities on Thursday fired teargas to disperse youths protesting against the re-election of President Boni Yayi in recent polls after they refused to clear roadways, police said.
“We could not accept that their presence in the roads obstruct others' freedom,” national police chief Anki Dosso Maiga told reporters.
“After having asked them in vain to leave the area, we fired teargas to disperse them.”
Several hundred youths gathered at two locations in the economic capital Cotonou in support of opposition candidate Adrien Houngbedji, who has claimed he won the March 13 election and alleged fraud in the ballot.
Tyres were burnt in the roadway and protesters held signs labelling Yayi a “thief”. Teargas was fired at both locations, police said.
Benin's constitutional court announced early on Monday that it had approved results showing Yayi had won the vote in the first round with 53 percent, compared to Houngbedji's 36 percent.
Houngbedji immediately rejected the results, claimed victory for himself and alleged widespread fraud in the ballot.
Candidates were given five days to file appeals with the court over the results. Sylvain Nouwatin, the court's secretary-general, said Thursday that four appeals had been filed, though not in the name of any of the candidates.
Voting day passed calmly despite chaotic preparations that had caused two earlier postponements of the ballot.
The first-time use of an electronic voter register had led to opposition allegations that more than a million people had been left off it - a figure others said was exaggerated.
A mop-up voter registration was to be held on Wednesday and Thursday before the election, but was extended into Saturday when crowds mobbed sign-up centres and equipment broke down.
Other issues had also led to the two earlier poll delays, including failure to distribute electoral cards on time and designate and train polling station agents.
A string of protests involving several hundred people took place over the electoral roll controversy in the run-up to the vote, and authorities fired teargas to break up another demonstration last month.
Houngbedji, 69, and running in his fifth presidential election, had pushed for a third postponement of the ballot, arguing that voter registration should continue.
Yayi, a 58-year-old economist, was seen as a symbol of change when he took office in 2006 in the country, which is dependent on cotton cultivation and its port, but has since been weighed down by corruption scandals.
Houngbedji was supported by many of the country's traditional political elites.
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Rédigé à 17:21 dans press-link | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
In the context of good neighbourly relations between states that share common borders like Nigeria and Benin, it is normal that exchanges and visits at high level take place regularly. This is also a good sign of the excellence of secular, historical, cultural, social and economic relations forged by the peoples of Nigeria and Benin as well as their leaders, during their common history.
I would have liked to believe that the brief visit in Benin Friday, March 18, 2011, by the Head of State of the Federal Republic of Nigeria, His Excellency Goodluck Jonathan was part of that framework, but for his astonishing statement that strongly stroke the national opinion and the political class. I quote:
"I congratulate the people of Benin for the presidential election held without violence and would like to invite candidates and voters to accept the election results, and avoid violence and war. Nigeria will not accept violence or war at its doorstep. "
Unquote
In this very sensitive period where the people of Benin is facing enormous difficulties before, during and after the presidential election on March 13, 2011, this injunction to politicians and voters and, as a hole, to the people of Benin, is unacceptable.
Benin is admittedly a small country, but it is a great nation, proud of its history and its independence.
If the Head of State of Nigeria during his visit on March 18, 2011 had sought to hear the different actors of the Beninese political scene, starting with the former Heads of State and to provide advice to each other in order to avoid a looming crisis, his mission would have been highly appreciated by all the people of Benin. He would not only have acted as a friend and neighbour, but would certainly have accomplished a useful and preventive work, especially in his capacity as a regional leader and current Chairman of ECOWAS.
It is unfortunate that this injunction was made in the presence of the Head of State of Benin guarantor of its dignity and integrity. The Republic of Benin is a member of ECOWAS, the AU, as well as the UN and other international organizations.
As a former Chairman of ECOWAS who while in office, contributed to the settlement of the fratricidal war in Liberia, I would have hoped that His Excellency Mr. Goodluck Jonathan had not had to take sides in the current political situation in Benin .
It is as though, not content to use the influence conferred upon them by the demographic and economic weight of their countries, the French President, British Prime Minister or the Chancellor of Germany, intervened in the internal life of The Holland, The Kingdom of Belgium and Grand Duchy of Luxembourg.
Can one ever imagine in the United States of America, the Government of New York state summoning the state of Massachusetts or the Connecticut ; or the state of California summoning any of the states of Nevada, Arizona ; or the state of Texas summoning those of Louisiana or Arkansas. ?
The European Union and the American Federation would not survive.
Our dream is that as soon as possible, ECOWAS become a federation such as Brazil that it surpasses in terms of population, and assume a major role in the political, economic, international fields.
Thank you.
Mr. Dieudonné Nicephorus SOGLO
Former President of the Republic of Benin,
Former Chairman of ECOWAS
Vice-President of the African Forum
former Heads of State and Government
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Rédigé à 23:16 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Dear President,
I am a citizen of Republic of Benin, residing and working in France. I am writing to you as the chairman of the Association “ Les Amis du Nigeria” which aims at reinforcing friendship and brotherhood between the citizens of our two sister nations.
It has come to my hears that the very day when Mister Yayi Boni was unduly making announce of the results of the ongoing election in my country, the Republic of Benin, your Excellency was invited in Cotonou, in what appears as a technical but a political visit. That visit may have been scheduled since a long time. But I would like to point out the fact that the moment of its occurrence was not chosen at random. It appears to be a maneuver of Mister Yayi Boni intended to use your arrival in Benin, as President of Nigerian and current Chairman of ECOWAS, to proclaim international support to his dishonest election rigging operation. This is quite regrettable. Because, in some way, your arrival in Cotonou on invitation of Mister Yayi Boni on the 17 th of march 2011 is supposed to mean that not only you as a person but the government and the whole people of Nigeria that you represent lend their support to Mister Yayi Boni in his ongoing elections rigging operation.
As a citizen of Benin and a passionate friend of Nigeria, I would like to point out that are our two countries are sister nations bound by geographical and historical links. That Democracy should be the only way to rule our nations toward progress and prosperity. Mister Yayi Boni, the current President of Benin, although, in minority in the present election, is unduly trying to claim victory. This is the ultimate truth of your invitation in Benin, which aimed at using your arrival as an implicit international support to Mister Yayi Boni.
Dear President, your Excellency, may I remind you that ever since elections have been taking place in Benin, in 50 years time, no President has ever claimed victory in the first round of election. May you realize that you have been induced in a situation which is likely to tarnish your image and eventually affect the good relationships between Nigeria and Republic of Benin. May you, as President of the Republic of Nigeria stay off the crooked operation of election rigging conducted in a Machiavellian way by Mister Yayi Boni.
May God Bless your effort to lead Nigeria toward the betterment of the condition of its people !
Thank you
Binason Avèkes
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Rédigé à 16:31 dans lettre | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
COTONOU, March 9, 2011 (AFP) – Benin’s former dictator Mathieu Kerekou has urged candidates in Sunday’s presidential ballot to ensure a calm vote after controversy over the electoral list led to two postponements. Kerekou, who came to power after a 1972 coup, was later elected president and led the country for a total of some three decades, issued the appeal in a rare public statement late Tuesday. ”I would like to humbly invite the candidates for the highest public office in our country to show restraint so that presidential elections are held peacefully and with respect for republican values,” he said in the televised statement. He said all political parties should adhere to a consensus reached to resolve problems with the electoral list. President Boni Yayi will be seeking a second term in Sunday’s vote, which has been postponed twice.
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Rédigé à 20:47 dans press-link | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 20:36 dans press-link | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Il ne fait aucun doute que la situation dans laquelle vit le Bénin aujourd’hui relève de la volonté délibérée des tenants du régime. Elle est basée sur le principe du bâton et de la carotte ou l’art de souffler le chaud et le froid. Toutes les violations des règles de la Démocratie que nous enregistrons depuis des années et qui s’amplifient au fur et à mesure que s’approche la fin du mandat de Yayi sont délibérées et vont dans ce sens. La stratégie est concertée. Elle est inspirée par l’idée qu’en Afrique, un Président parvenu au pouvoir ne perd jamais les élections, et ne cède sa place qu’à la rigueur au dernier moment constitutionnel possible. Pas avant. Cette idée sert même de justification éthique à ceux qui font violence à la volonté du peuple pour agir en accord avec leur visée. Comme nous sommes soit-disant en démocratie, ils n’iront pas jusqu’à faire un coup d’Etat militaire trop visible et impopulaire. Mais en lieu et place d’un coup d’Etat militaire, dont on laisse l’initiative aventureuse à l’opposition, quitte à la mater et à s’en servir pour emprisonner ses membres les plus influents, on préfère un coup d’Etat, constitutionnel, stratégique, électoral et politicien. Un coup d’Etat projeté de longue date, qui comporte plusieurs volets (médiatique, diplomatique, technique, numérique etc.) , et dans lequel des dizaines de milliards de francs ont été engloutis déjà !
Voici les grandes lignes de ce coup d’Etat déjà en oeuvre
Même sous Hitler, ce n’était pas seulement Hitler qui était responsable des atrocités qui portent aujourd’hui son nom. Hitler n’était que le nom générique que l’on donne à ces atrocités. Ce qu’il se passe au Bénin n’est pas seulement l’œuvre du seul Yayi. Comment un seul homme peut-il envisager et réaliser tout cela ? La réussite de ce projet, dépend à la fois de la résistance effective qui lui sera opposée et de l’Union véritable qu’il trouvera en face de lui. Ceux qui troqueront la volonté du peuple, le respect de la Démocratie, l’ère du Renouveau Démocratique contre leur bon plaisir et leur satisfaction personnelle porteront devant l’histoire le même nom de famille que Yayi Boni
Asséglokan Basile
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Dans une Interview au Magazine ROOT: l'ancien président du Ghana a parlé sans langue de bois.
Jerry Rawlings se dit déçu de nombreux dirigeants africains et de l'incapacité des pays africains à travailler ensemble plus étroitement. Quand le magazine ROOT a interrogé l'ancien président, il a été très direct à propos de l'évolution des pays africains depuis l'indépendance, de sa déception avec ses pairs frères africains, et de leurs anciennes puissances coloniales.
ROOT est un magazine quotidien en ligne qui fournit des commentaires et réflexions sur l’actualité à partir d'une variété de perspectives ayant trait au continent africain. Lire l'interview ci-dessous.
Jerry John Rawlings est accro à la politique. Fils d'un Ecossais et d’une Ghanéenne, par deux fois, il a fait un coup d’Etat contre ce qu'il considérait comme des gouvernements corrompus, et il reconnaît que son régime a commis "un peu de punitions ici et là," au cours de ses 19 ans à la tête de l'Etat du Ghana. Pourtant, il a cédé le pouvoir en 2001, après avoir perdu les élections en 2000, et fait place à la démocratie multipartite. Maintenant, à 62 ans, l'ancien capitaine de l’Armée de l’Air du Ghana, qui n'est plus aux affaires depuis neuf ans, a encore beaucoup à dire sur son pays, qui a célébré sa 53e année d'indépendance le 6 Mars dernier
NB Root = (TR), Jerry Rawlings = (JR):
ROOT : De nombreux pays africains célèbrent leur 50e anniversaire d'indépendance en 2010. Comment évaluez-vous cette évolution?
Jerry Rawlings: Eh bien, j'aurais souhaité que nous ayons fait beaucoup plus de progrès - sociaux, économiques et politiques dans le sens de notre objectif - en ligne avec les aspirations de nos Père fondateurs, ce pour quoi ils se battaient. Mais il semble que la bataille coloniale n'était pas aussi atroce que la nouvelle bataille coloniale. Celle-ci s’est avérée beaucoup plus difficile, et de plus en plus nous perdons la propriété des ressources de notre continent. Et les dirigeants africains qui ont un esprit décolonisé ne sont pas légion
TR: Le lien entre la France et ses anciennes colonies africaines est très fort. Pensez-vous que le lien entre l'Angleterre et ses anciennes colonies africaines est tout aussi fort ?
JR: Je ne sais pas. Certains pays anglophones d’Afrique peuvent être proches de ma Grande Bretagne dans certains aspects et plus distants dans d'autres, tandis que d'autres liens peuvent être lâches à certains égards et étroits à d’autres égards. Mais n'oubliez pas que la Grande-Bretagne n’est pas seule : Elle vient avec les pays anglo-saxons - les États-Unis, l'Allemagne, et d’autres. En ce qui concerne la France, je pense qu’elle a tenté de maintenir une forte emprise, ou monopole sur les ressources de ses colonies. Je peux me tromper, mais c'est le sentiment que nous avons. Et il semble qu'il y ait beaucoup plus d'assimilation entre les Africains francophones et la France. D'une part, vous pouvez facilement avoir l'impression qu'ils jouissent d'une meilleure qualité de relation que les Africains avec les Britanniques. Mais quand on regarde de plus près, et quand on essaie d’aller plus loin dans l'histoire, on se rend à l’évidence d’expériences très atroces et d'histoires sordides qui vous met vraiment hors de vous.
TR: Est-il trop tôt pour mettre en œuvre les «États-Unis d'Afrique" fortement proposés par Kwame Nkrumah, le premier président du Ghana?
JR: Ce n'est pas trop tôt. Cela aurait du être fait depuis longtemps, mais l'Afrique a été tellement mal désintégrée en dépit des regroupements régionaux, que nous avons créés pour mettre des marchés à disposition de nos propres produits. Nos rapports coloniaux ont été si puissants qu’il ont porté atteinte à nos tentatives d'unification.
TR: Certains disent que la forme occidentale de la démocratie est un poison pour l'Afrique. Qu’en pensez-vous?
JR: Cette forme n'aurait pas été un poison pour l'Afrique si nous pouvions l'adapter à nos formes endogènes de démocratie. Notre forme de démocratie portée à l'écoute de toutes les parties, permet de distiller ce qui est meilleur pour tous. La démocratie occidentale en revanche est basée sur le principe du "le vainqueur prend tout", ... qui n'est pas sain. Ils finissent par faire taire les opposants, traités comme des ennemis, tout est pour eux, et ils nient tout à l'opposition. Et c'est ce qui rend les choses difficiles pour nous.
TR: Que pensez-vous du discours du Président Barack Obama à l'Afrique à Accra le 11 Juillet 2009?
JR: Il a juste dit ce que n'importe qui d'autre aurait dit.
TR: Rien de nouveau?
JR: Ce n'est pas juste de dire rien de nouveau, mais même si son discours n’a rien de nouveau, en revanche il a le mérite de provenir de la bonne personne. C'est un homme avec un sens de la dignité, un homme qui a restauré la morale internationale en politique, il a restauré la morale internationale que Tony Blair et Bush ont détruite. Il a réussi à ramener tout cela en vertu de sa stature, ... ses convictions, son sens de l'éthique et des choses de ce genre. Il croyait en la force du droit, tandis que les autres croyaient au droit du plus fort.
TR: Vous êtes venu au pouvoir à deux reprises par des coups. Aujourd'hui, auriez-vous fait les choses différemment?
JR: Oui, j'aurais fait les choses exactement comme je l’ai fait.
TR: Vous pensez donc que, parfois, les coups sont nécessaires quand il n'y a pas d'autres moyens pour obtenir un changement?
JR: Ainsi semblait-il à l'époque. Quant à savoir si cette règle s’applique de nos jours, c'est ce que je ne peux pas dire. Mais en ces jours-là, je sais que c'était une nécessité.
TR: Cela-vous manque-t-il de ne plus être président?
JR: Ce fut un travail très fatigant pour moi.
TR: Et pourtant vous l’avez embrassé par deux fois...
JR: Oui, j'ai dû revenir parce que si je n'étais pas revenu, il y aurait eu une autre explosion. Je me suis levé pour les élections parce que quand j'ai entendu les messages de ces acteurs du multipartisme [ils m’avait tout l’air] de vouloir nous ramener en arrière. Donc pour moi c'était un travail très fatigant, vraiment. Certaines personnes en raffole, ce n’est pas mon cas.
TR: Certes, mais, mais vous ne semblez pas vraiment avoir pris votre retraite ...
JR: Comment puis-je prendre ma retraite? En Afrique, il est difficile de prendre sa retraite! Parce que ce contre quoi je me suis battu n'a pas changé. Voyons, Jésus-Christ nous a enseigné une leçon il y a 2000 ans, et la même chose s’enseigne toujours. C'est la même chose avec la politique en Afrique, je suppose. Tant que le non-sens continuera, je vais continuer à parler.
TR: Vous n'avez pas peur d'interférer avec l'action de votre ancien vice-président et actuel président du Ghana John Atta-Mills? N’en arriverait-on pas à se demander qui est le vrai chef de l'Etat?
JR: Peut-être bien que oui, peut-être que non. Mais je vais parler parce que ce n’est pas au nom de mon parti ou de mon président que je parle, mais je parle au nom d’un principe. Et tant que je suis neutre ou que je suis ce principe, vous m'entendrez. Je vais parler.
TR: On parle parfois de quelques tensions entre [actuel président du Ghana] John Atta-Mills et vous.
JR: Oui. Dans une certaine mesure, c'est vrai parce que je ne cesse de lui dire qu'il est lui-même entouré de gens qui ne devraient pas être là. Il s'est entouré de gens qui n’arrêtent pas de poignarder le parti et certains d'entre nous dans le dos. Je continue de l'avertir que s'il ne change pas, s'il ne s'améliore pas, il sera le président d'un seul mandat. Il n'écoute pas maintenant, et au moment où il va commencer à écouter, je pense qu'il serait presque trop tard. Les gens sont déçus par lui et son entourage
traduit par Binason Avèkes
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J’ACCUSE MONSIEUR YAYI BONI de grave irresponsabilité au regard de la préservation du climat de paix au Bénin. Je l’accuse d’avoir planifié de conserver le pouvoir au mépris de la réalité. Pourquoi cette accusation ?
Eh bien, chers compatriotes, Frères et sœurs du Bénin et de la diaspora ! Yayi Boni a été élu dans l'euphorie en 2006 avec un score de 75 %. Ce score était rendu possible à 40 % par les partis établis, qui se sont ligués en sa faveur contre son adversaire du second tour, Me Adrien Houngbédji.
Yayi Boni a été élu sur le thème du changement. Et pour le peuple ce changement clair et net, signifiait :
– Mettre fin à la corruption d'État et à l'impunité.
– Remettre le Bénin au travail en relançant l’économie.
– Jeter les bases d'une prospérité partagée.
Pour accomplir sa mission, Yayi Boni bénéficiait d'un fort capital populaire de départ ; mais très vite, il a dilapidé tout ça, et ne pouvait plus relever ses défis. Son style, sa méthode et son approche de la politique se sont révélés ineptes. La précipitation, l'improvisation et l'autoritarisme ont instauré une gouvernance chaotique et informelle. Avec le temps, on pouvait se demander si Yayi Boni partageait le même idéal que le peuple qui l'a élu. Car on avait le sentiment que ses erreurs qui s'accumulaient d'année en année n'étaient pas seulement le fait de l'inexpérience, mais qu’elles étaient le résultat d'une duperie préméditée.
Au fur et à mesure que les erreurs de gouvernance s’accumulaient, Yayi Boni se raidissait dans une attitude autoritaire et antidémocratique. Il s’arrogeait le monopole de l'information, faisait du matraquage, excluait ses adversaires de l'accès aux médias, donnait à fond dans une propagande surannée. Ses manières n’étaient pas sans rappeler ce qui se passaient au Togo sous Eyadema père ou bien au Zaïre sous Mobutu. Moins de deux ans après son accès au pouvoir, la tension politique était à son comble. Et parmi ses divers adversaires, il n'avait pas su ménager la chèvre et le chou, ni faire la part du feu. La tension allait de pair avec la fixation qu'il a conçue sur la réélection. Cette fixation a marqué tous ses faits et gestes. L'un des aspects de la déception que Yayi Boni inspire réside dans son parti-pris populiste. Même les gens les plus ordinaires se sont rendu compte de l'agitation démagogique qui entoure ses réalisations. Ce côté tape-à-l’œil a été tellement poussé à bout que même si Yayi Boni peut revendiquer des choses comme la construction de ponts supérieurs, leur rapport avec le bien-être du peuple n'est pas évident. La vie concrète des gens n’est pas pris en compte. Les hôpitaux continuent toujours d'être des mouroirs. Le panier de la ménagère s'est vidé à vue d'œil, et les Béninois sont plus pauvres aujourd'hui qu’en 2006. Et ce n'est pas seulement à cause des crises alimentaire ou financière mondiales. Car comme chacun sait, ces crises ont frappé tous les pays africains dont le Ghana qui a résisté tant bien que mal. Et puis, dans ce climat de propagande, il y a eu l'avalanche des scandales. Ces scandales découlent souvent des erreurs délibérées de gouvernance ; il étaient tous plus graves les uns que les autres. Et chose inédite, les scandales n’étaient pas seulement dénoncés par l’opposition mais aussi par des personnalités de la mouvance présidentielle. C’était une preuve de leur cruelle réalité. La voix du député Janvier YHOUEDEHOU à ce sujet est très vibrante. Elle donne une mesure de l'ampleur de la corruption sous Yayi Boni. Le plus grave de ces scandales a été ICC Services. Dans ce scandale, des dizaines de milliers de nos concitoyens ont été escroquées par des sociétés de placement véreux qui opéraient en toute complicité avec le pouvoir. Plus de 150 milliards de nos francs ont été détournés ! Des promesses de remboursement ont été faites au peuple. Mais dans la réalité le remboursement est resté symbolique ; une goutte dans l’océan. Comme toujours, Yayi Boni a géré l'affaire de façon autoritaire, mettant ministre et procureur général en prison. Le procureur général depuis sa geôle vient d'écrire un mémorandum. Dans ce document à charge, le magistrat implique Yayi Boni et démontre que sa prise en main autoritaire de l'affaire ne visait qu'à se protéger lui-même. L'affaire ICCS est probablement en rapport avec une autre affaire criminelle, la disparition de Pierre DANGNIVO ; selon les considérations les plus concordantes, Pierre DANGNIVO, tenu pour le bruiteur impertinent de l'affaire, a été fait absent corps et âme. Or une telle disparition est bien cohérente avec les méthodes de Yayi Boni en matière de disparition de preuves ou de création de bouc-émissaire sous prétexte de régler la crise apportée par le scandale ICCS.
Cet imbroglio montre bien la tournure morale du personnage Yayi BONI. C'est un homme sans parole qui impose un personnage au prix de violence et d'agitation. Un homme qui ne dédaigne pas la tension. Yayi Boni l'a prouvé tout au long de son règne. L’agitation, la tension et la mise en danger de la démocratie ont fait l'unanimité contre lui. L'ensemble des partis établis qui l’avaient soutenu en 2006 sont réunis contre lui aujourd'hui sous la bannière de l’UN dont le candidat unique est Houngbédji
Ajouté à cela, la culture du régionalisme que Yayi Boni a exacerbée a fini par se retourner contre lui dans le Nord. Notamment avec les candidatures importantes de Abdoulaye BIO TCHANE et de Salifou ISSA.
Dans ces conditions, il est clair que Yayi Boni n’a aucune chance d’être réélu. Il est clair que le candidat de l'UN qui regroupe potentiellement 60 % des voix de 2006 sous son nom aujourd'hui pourrait passer au premier tour des élections. Il est clair que dans le pire des cas la plupart de ceux qui sont contre Yayi Boni aujourd'hui et qui se regroupent dans un front commun pourrait agir de façon à favoriser l'élection d’Abdoulaye BIO TCHANE. Mais malgré toute cette réalité démocratiquement claire, Yayi Boni continue de foncer tête baissée. Il continue de nier l'évidence. Et, fidèle à sa méthode Coué, il se raconte la fable d'une victoire imaginaire correspondant à la volonté d'un peuple tout aussi imaginaire dont la voix non moins imaginaire serait portée par les gazettes et les médias à sa solde. De même, Yayi Boni compte-t-il sur les institutions qu’il a prises sous sa coupe en violation flagrante de leur esprit comme de la loi qui les régit. Aujourd'hui, la Cour Constitutionnelle est dirigée par un homme, M. Robert DOSSOU, qui passe pour un juriste compétent mais qui est bien connu pour son appartenance à la FCBE, le parti du président. Et de façon incroyable, toute l’action de ce Monsieur à la tête de la Cour est marquée du sceau virulent de son appartenance partisane plutôt que du respect sacré de la haute mission qui lui est assignée par la loi. M. Robert DOSSOU s'est tout simplement substitué de façon cavalière et acharnée à l'Assemblée dont il n’a de cesse de combattre point par point les lois et propositions. Le but de ce combat d'arrière-garde a été de faire passer la volonté du chef de l'État dans les faits en dépit de la réalité politique ; cette guérilla juridique a visé à pallier la perte de majorité du pouvoir à l'Assemblée. C'est dans cette optique que d'une manière très irresponsable, la Cour dirigée par M. Robert DOSSOU a imposé sans aucune nécessité pratique ni légale l’utilisation de la LEPI alors que cette liste n'était pas susceptible d'être à jour dans les délais légaux. Elle l'a aussi imposée au mépris de toutes les revendications des parties prenantes quant au déficit de parité, et aux vices dont sa réalisation à marche forcée était l'objet. La cour a, ce faisant, abdiqué son rôle d'instance suprême de sagesse ; elle s'est jetée à corps perdu dans la mêlée. Elle a réussi à faire obstruction à la manifestation de la vérité sur l'intention du pouvoir de truquer la LEPI. Aujourd'hui l'une des preuves les plus flagrantes de cette volonté de bâcler les élections réside dans le fait que la LEPI, imposée par le pouvoir et la Cour constitutionnelle au mépris des protestations de l'opposition, exclut au bas mot plus de 1 300 000 électeurs ! Exclusion délibérée, savamment orchestrée pour aboutir à travers des élections truquées et tronquées, à confisquer le pouvoir.
Et c’est de cela que j’accuse Monsieur Yayi Boni ! Car M. Yayi est rejeté pour son incompétence !. M. Yayi est rejeté pour sa tyrannie ! M. Yayi est rejeté pour sa corruption ! Il est rejeté pour son imposture, et son faux changement ! Mais M. Yayi ne veut pas accepter la réalité et préfère encore le désordre qui lui permettra de s'accrocher au pouvoir. Et c’est de cela que j’accuse Monsieur Yayi Boni, ce désordre qu'il met en place avec hargne et cynisme.
Tout le peuple doit en être conscient. Les élites, les intellectuels, les diplômés, les paysans les fonctionnaires, les forces vives de la nation, les forces de l'ordre, les Béninois de la diaspora, bref tout le pays doit savoir ce qu'il risque de se passer. Et peut-être en le sachant pourrait-on l'éviter ! Pour avoir une idée de ce qu'il va se passer il ne serait peut être pas inutile de rappeler deux ou trois événements qui viennent de se dérouler dans notre pays.
1. Au Parlement hier, un député de l'opposition a failli être rossé par des militaires sur ordre du président NAGO qui voulait imposer une séance sans la présence des secrétaires parlementaires, en violation de la loi.
2. La veille de cet incident fâcheux, 17 février , 11 des 14 candidats en lice pour les élections présidentielles se sont réunis à Cotonou. Dans leur communiqué final, le collectif a :
– . Invité les acteurs à divers niveaux de responsabilité de notre pays en général et du processus électoral en particulier à rechercher les solutions de consensus par le dialogue en vue de la sauvegarde de la paix.
– Constaté l’exclusion de un million 300 mille électeurs soit plus du tiers du corps électoral, la non disponibilité de la liste électorale permanente informatisée et la non distribution des cartes d’électeurs à la veille de l’ouverture de la campagne électorale.
– Exprimé la nécessité de s’assurer de la disponibilité de la liste électorale par une expertise indépendante et le cas échéant d’opérer les corrections qui s’imposent.
En conséquence, le collectif a demandé le report des élections présidentielles de quelques semaines aux fins ci-dessus énumérées.
Par rapport à ces événements, nous avons assisté à une série de réactions édifiantes de la part du pouvoir. La première a été la prise de position du Médiateur de la République. Tout le monde sait que, nommé par M. Yayi qu'il a contribué à faire élire, M. Albert TEVOEDJRE en est un suppôt et un partisan. M. Albert TEVOEDJRE joue la politique de l'autruche bien qu'il soit suffisamment averti de la médiocrité de Yayi Boni et du danger qu’il fait encourir au Bénin et à sa Démocratie. Bien que parti, M. TEVOEDJRE se fait fort d’être juge. Il faut faire remarquer que fidèle à son habitude tentaculaire, M. TEVOEDJRE se permet d'entrer sur le terrain politique. Alors qu’il a été nommé Médiateur par le chef de l’Etat en remerciement de ses bons et loyaux services politiques, quelle peut être l’objectivité d’un jugement politique de sa part ? Ceci justifie la nécessité pour lui de circonscrire son action dans le cadre strict de son rôle social et administratif. Passant outre cette nécessité de façon insidieuse, Monsieur TEVOEDJRE se permet d'être juge sachant qu'il est parti. Et il propose d'ouvrir une espèce de cahier de doléances auprès des bureaux de vote pour recueillir après coup les dépositions des mécontents de la LEPI ou des dysfonctionnements électoraux. Sa proposition est curieuse et vicieuse. Curieuse parce qu’elle vise à placer le pays devant le fait accompli. Vicieuse parce qu’elle vise à piéger l'opposition ; lui faire avaler le poison avec de l'eau sucrée. Comme l'a dit un commentateur avisé, la méthode consiste à vouloir compter les brûlés pour apprécier l'étendue d’un incendie. Et quand on aura apprécié l'étendue de l'incendie, par quelle magie pourra-t-on régénérer les cendres ? L’illusionniste TEVOEDJRE dont les ruses n'abusent que les simples d’esprit, n'a pas donné la recette magique. Mais tout le monde voit là où il veut en venir. On voit comment il prend ses marques. Il s'agit, avec sa casquette de Médiateur, de jouer dans l'opinion internationale les ambassadeurs du bon sens, les dépositaires naturels de la vérité sur les tenants et aboutissants des élections. M. TEVOEDJRE est prêt à faire jouer ses relations internationales pour annoncer la vérité du Médiateur, la sainte vérité du Médiateur. Ce qui est déjà une forme de corruption car les rôles internationaux qu’il a joués et qui lui valent ces relations l’ont été au nom du Bénin et non en son nom personnel. Et par rapport à ce type d'interférence frauduleuse, il est important pour les Béninois de dire haut et fort non ; de dire haut et fort que la Constitution béninoise ne reconnaît pas à M. TEVOEDJRE le droit du kpanlingan international. M. TEVOEDJRE doit respecter la Constitution. La violation de la Constitution, que ses amis ont érigé en habitude et méthode de gouvernement, ne doit pas être exportée !
Le dernier événement qui achève d'identifier l'intention frauduleuse du pouvoir est dans sa réaction aux événements précédents. La mouvance présidentielle, on l'imagine, ne pouvait pas rester insensible à la prise de position des partis d'en face. Mais sa réaction et le cynisme absurde qui la caractérise sont un signe évident de ce qu'il va se passer. En fait, 11 candidats sur 14 se sont réunis comme il a été dit plus haut. Et au vu de la situation difficile de leur organisation, ces partis ont proposé le report des élections de quelques semaines. Ils ont pris cette décision collective au nom de la paix, et dans un esprit de responsabilité. Ils ont pris cette décision parce qu'ils ont vu comme le peuple entier que nous allions tous vers la crise, vers la confusion à grande échelle et vers un danger de guerre civile. Or, dans sa déclaration de réaction, la mouvance présidentielle balaie ces considérations d'un revers de main. Dans une morne rhétorique, elle considère que tout est normal ; que la LEPI est bonne ; que les cartes électorales seront délivrées, etc. ; bref que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes ; que si les HOUNGBEDJI, BIO-TCHANE, TCHALA, BIOKOU, TOPANOU, YAHOUEDEHOU, DAYORI, SINZOGAN, LAGNIDE, KOUAGOU, et SALIFOU ISSA se sont réunis pour tirer sur la sonnette d'alarme c'est parce qu'ils auraient peur d'être battus aux élections. Et que cette peur les pousse dans une stratégie de blocage. Stratégie assimilée à un complot contre la démocratie. Elle les accuse de vouloir s'accaparer du pouvoir sans passait par les urnes. Cette accusation est pour le moins paradoxal. Pourquoi? Eh bien parce qu'elle est à la fois ridicule et grave.
Elle est ridicule parce qu'en vérité tous les Béninois savent qu’un seul des 11 candidats du collectif est en mesure de battre M. Yayi Boni au premier tour.
Elle est grave parce que le cynisme avec lequel elle a été proférée donne une mesure de la manière dont Yayi Boni et les siens sont décidés à nier le principe de réalité jusqu'au bout. Ils agissent avec l'a priori de l'inamovibilité politique Ils agissent avec l'a priori du refus de la réalité démocratique. En plus, ils embouchent une rhétorique consacrée, faite de lieux communs et d'une phraséologie éculée dont la grandiloquence soporifique semble se rapporter à des évidences, mais dont tout le monde perçoit la nature grotesque, cynique, et loufoque. L'idée maîtresse c'est que l'élection est devenue un artefact. Le peuple lui-même est un artefact. Il s'agit de passer en force. C'est pour cela que Yayi Boni et les siens nient la confusion qu'ils préparent activement. Car ils ne sont jamais à l'aise que dans la confusion. La confusion permettra à la Cour constitutionnelle d'entrer en action et de dire le droit. C'est-à-dire de le dire de la manière partisane et crapuleuse dont il a été dit ces quatre dernières années.
Chers compatriotes, chers frères et sœurs du Bénin et de la Diaspora, voilà ce qu'il se passera. Et voilà pourquoi J’ACCUSE MONSIEUR YAYI BONI de grave irresponsabilités au regard de la préservation de la paix dans notre pays. Nous sommes en face d’un potentiel scénario à l’ivoirienne. Les acteurs de ce scénario lugubre sont connus ; ils ont nom Thomas, Robert, Bako, Albert, et les autres ; une bande d’opportunistes, ensorcelés par le pouvoir et les milliards ; une bande de fous qui, en rupture avec le principe de réalité, s’apprêtent à jouer les fauteurs de confusion, les incendiaires, les va-t-en-guerre. Il ne faudra pas les laisser faire. Nous devons les arrêter. Le peuple doit les arrêter avant qu’il ne soit trop tard. La Société Civile doit faire front pour les arrêter. Car s’il n’était mis un coup d’arrêt à leur ignoble dessein de confiscation du pouvoir au mépris de la volonté du peuple, ces hommes irresponsables réaliseront leur rêve, c'est-à-dire notre cauchemar !
Béninois et Béninois, chers compatriotes, barrons-leur la route pendant qu’il est encore temps !
Dieu Bénisse le Bénin
Dr Emile Kojo Zolaciadji
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Jours se sont écoulés depuis le holdup odieux perpétré par la bande des pilleurs diri gée par Yayi, valet-zombie de la Françafrique en terre du Bénin |
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