Le Droit des Africains à Disposer de leur Cul dans leur Culture
La grande Bretagne se livre sans vergogne ni scrupule à du harcèlement et à des pressions politiques sur ses ex-colonies d’Afrique pour les forcer à se faire tendres avec les soi-disant homosexuels du continent, émanation aliénée et héritage loufoque de l’influence déviante de l’Occident capitaliste. L’aide publique à ces pays y est menacée de conditionnement au respect de ce que pince sans rire elle appelle le « droit des homosexuels ». Jusqu’à quand et où les Blancs continueront-ils de nous traiter en mineurs à qui ils dictent leurs quatre volontés ? Vont-ils nous imposer aussi avec la généralisation de nouvelles perversions chez eux le « droit des zoophiles » ou autres incongruités morales qui sont légion chez eux ? Pourquoi ne s’occupent-ils pas en priorité avec force et passion du droit des Africains à ne pas mourir de paludisme, de faim, ou de guerres que leurs officines fomentent à tour de bras dans nos pays ? Et pourquoi nous forcent-ils à embrasser des modes de vie sexuelle qui, chez eux sont plus courants dans les villes que les campagnes, sachant que celles-ci par rapport à leur société sont plus développées que ne le sont nos pays par rapport à leur pays ? Ces questions ne manquent pas de sens et se discutent. En termes du droit d’option éthique des classes sociales, des sociétés, des cultures, des nations, et des continents. Politiquement, en terme d’indépendance. Le Ghana et d’autres nations africaines jalouses de leur indépendance ne se sont pas privés d’exprimer ce droit et de rejeter les pressions indignes et scandaleuses de Monsieur Cameron, qui défend avec passion le droit des homosexuels africains là où le conservateur qu’il est ainsi que ses amis politiques restent pudiques et peu loquaces sur ses sujets dans leur propre société. Plus que de l’exprimer, le Nigeria vient de voter une loi punitive contre les mariages homosexuels. Et Monsieur Cameron fait pression politique, et une campagne publicitaire frauduleuse pour se payer une caution de libéral humaniste sur le dos des Africains alors qu’il reste conservateur pur et dur dans son pays. La Grande Bretagne demande au Nigeria de faire marche arrière, au mépris de la volonté démocratique du peuple nigérian, comme si le droit de leur soi-disant homosexuels est au-dessus de la volonté du peuple. La grande Bretagne de Cameron exige de mettre en équation la sensibilité collective des Africains affamés, mourant de maladies et de guerres, au même niveau que celle des Blancs repus, pansus, riches et oisifs qui s’ennuyant de respecter les voies vivantes de la nature, trouvent grisant et commode de s’enculer entre eux ou de se livrer à des actes sexuels déréglés, naturellement déviants au seul nom de la liberté de faire ce qu’on veut, qui est le crédo des Occidentaux. Tout ceci au nom du droit des Africains… ! Mais la vraie raison n’est pas celle du droit des Africains à sexer ou à s’aimer comme bon leur semble, ou même comme il plairait aux Blancs. Peu leur chaut que les Africains s’enculent entre eux ou s’adonnent à des mœurs antinaturelles et insensées sous leur cieux. Le vrai problème des Blancs, la vraie raison des pressions de Monsieur Cameron et de la Grande Bretagne sur ses ex-colonies est que ces pays constituent des réserves faciles de proie sexuelles aux soi-disant homosexuelles occidentaux, comme ils constituent en général des réserves faciles de proies sexuelles aux Blancs. Le vrai souci de Monsieur Cameron est de se faire une santé politique sur le dos ou le cul des Africains. La vraie raison de l’outrecuidance vicieuse de Monsieur Cameron et des Blancs est d’assurer la survie et la prospérité d’une secte morale qu’ils ont contribué à implanter dans nos sociétés, et dont ils entendent tirer les profits sur tous les plans : démographique, idéologique, psychologique, éthique, et politique.. En même temps que l’occasion leur permet de faire la publicité à des mœurs antinaturelles susceptibles de faire ressembler l’Afrique au Sodome et Gomorrhe que sont devenues leurs sociétés. Leur but est de préserver leur droit au prélèvement homosexuel sur les populations africaines. Ils souhaiteraient que l’Afrique noire soit à la merci de leurs fantasmes les plus débridés et les plus malsains. Que n’importe quel Blanc qui débarque en Afrique en quête de stupre ou de proie homosexuelle soit en mesure de satisfaire ses désirs, comme il est bien connu que le nerf de l’Amour reste la puissance financière. Cette puissance financière leur permet au nom de la justification trompeuse de l’amour de prendre nos femmes les plus belles, et nos hommes les plus solides au nez et à notre barbe. Le but de cette réaction d’arrière-garde scandaleuse – pour autant qu’on parle de nations indépendantes et de peuples libres ayant le droit de disposer d’eux-mêmes–, est que l’Afrique soit un marché sexuel ouvert à toutes les tendances qui ont cours en Europe ; que n’importe quel touriste homosexuel européen ou occidental puisse venir faire ses emplettes sans souci de pénurie ni risque d’entraves morales ou légales ; que l’Afrique soit à leur disposition et que n’importe quel Blanc ou Blanche qui débarque puisse y batifoler avec ou enculer hommes, vaches, veaux, et cochons à sa guise, conformément à leur sacro-sainte idée de la liberté, de la supériorité ultime de l’homme sur la nature. C’est cela la vraie raison de la pression de la Grande Bretagne de M. Cameron sur ses ex-colonies africaines, qu’elle continue de manipuler et de mystifier économiquement et symboliquement comme bon lui semble. Car ce genre de pression que l’Angleterre se permet de faire sur les pays africains, on n’imagine même pas qu’elle le fasse sur des pays arabes, sans parler des pays asiatiques, fussent-ils anciennes colonies de la Couronne Britannique. La liberté aux Blancs et aux Blanches de venir culbuter les Noirs ou de les utiliser pour satisfaire leurs désirs sexuels antinaturels et déréglés. Le droit occidental au prélèvement homosexuel en Afrique est caché derrière la soi-disant liberté sexuelle des Africains. Toute prétention qui se moque du droit de nos peuples à disposer de leur cul, dans le cadre de leurs valeurs et de leur culture. Faut-il que tout le monde meurt lorsque de propos délibéré les Blancs ont choisi le sinistre chemin de la mort ? Aminou Balogoun |
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