Probable Président en 2016, Janvier Yahouédéhou conduit la liste RB- RP dans la 23ème circonscription |
Dans le fourmillement des candidatures plus ou moins tonitruantes à la présidence de la République, si pour une fois de leur histoire les Béninois voudraient se regarder dans le miroir de la vérité et de l’espérance d’un peuple qui aspire à retrouver son potentiel et son espérance, eh bien le bon sens dicterait le choix d’un homme incontournable, un homme prêt pour l’emploi, un homme dont les 10 qualités suivantes font le Président de bon sens et d’équité pour le Bénin : 1 Homme Intègre 2. Cultivé 3. Moderne 4. Entreprenant 5. Homme de Vision 6. Son Courage et son Abnégation sont de notoriété publique 7. Viscéralement anticorruption 8. Viscéralement Contre la Dictature, et l’autocratie 9. Démocrate par Conviction. 10. Homme d’Écoute et Proche du Peuple Vivement que le bon sens et l’éthique triomphent enfin au Bénin pour que dans l’équité et la volonté de faire valoir enfin ses vrais capacités, le peuple élise cet homme qui ne vient pas de nulle part, et qui a fait ses preuves : Janvier Yahouédéhou Président 2016 ! Blaise Aplogan, Sociologue, écrivain, Paris art similaire : Regard sur un candidat au-dessus de la mêlée art. similaire : Pour un Bénin Intègre, Dynamique et Juste : JaY 2016! |
Probable Président en 2016, Janvier Yahouédéhou conduit la liste RB- RP dans la 23ème circonscription |
Dans le fourmillement des candidatures plus ou moins tonitruantes à la présidence de la République, si pour une fois de leur histoire les Béninois voudraient se regarder dans le miroir de la vérité et de l’espérance d’un peuple qui aspire à retrouver son potentiel et son espérance, eh bien le bon sens dicterait le choix d’un homme incontournable, un homme prêt pour l’emploi, un homme dont les 10 qualités suivantes font le Président de bon sens et d’équité pour le Bénin : 1 Homme Intègre 2. Cultivé 3. Moderne 4. Entreprenant 5. Homme de Vision 6. Son Courage et son Abnégation sont de notoriété publique 7. Viscéralement anticorruption 8. Viscéralement Contre la Dictature, et l’autocratie 9. Démocrate par Conviction. 10. Homme d’Écoute et Proche du Peuple Vivement que le bon sens et l’éthique triomphent enfin au Bénin pour que dans l’équité et la volonté de faire valoir enfin ses vrais capacités, le peuple élise cet homme qui ne vient pas de nulle part, et qui a fait ses preuves : Janvier Yahouédéhou Président 2016 ! Blaise Aplogan, Sociologue, écrivain, Paris art similaire : Regard sur un candidat au-dessus de la mêlée art. similaire : Pour un Bénin Intègre, Dynamique et Juste : JaY 2016! |
Capture de Huit Français de Boko Haram : Tension entre la France et le Cameroun |
Tension diplomatique entre le France et le Cameroun après la capture de huit ressortissants français présumés membres du groupe terroriste Boko Haram. Le Cameroun insistant, sur sa volonté de juger les terroristes français au Cameroun. Ce qui n’est pas du goût de Laurent Fabius, le chef de la diplomatie française qui est accouru au Cameroun pour la circonstance. Selon une source militaire citant le directeur de l'information de l’Armée du Nigeria, le Major-général Chris Olukolade, le groupe Boko haram, outre des Tchadiens, comprend une grande présence d'Arabes, de Maliens et d’autres islamistes qui ont rejoint la secte. Alan Basilegpo |
Monsieur. le Président de la République, Je me permets de vous écrire en qualité de président de l'Association Béninoise des Amis du Nigéria. (ABAN). Je voudrais vous signaler un fait de prévention sécuritaire imminente concernant notre sous région ouest-africaine. Ce fait est d’importance capitale car il met en jeu les rapports entre le Bénin et le Nigéria. |
À ce propos, nul n'ignore que le Nigeria est confronté à un terrorisme meurtrier qui hante tout le pays et met à feu et à sang le Nord-est de son territoire. Depuis plusieurs années, le groupe terroriste Boko haram, puisque c'est de lui qu'il s'agit, tue hommes, femmes et enfants, commet des atrocités de toutes sortes et procède régulièrement à des enlèvements de femmes et d'enfants. C'est pour cela que, confiant en votre attachement à la paix et à la démocratie, nous vous écrivons en votre qualité de président de la république du Bénin mais aussi d'ancien président de l'Union Africaine et président en exercice de l’UEMOA, pour vous signaler ce fait dans lequel la responsabilité de notre pays et de l'Afrique tout entière est engagée. M. Firmin T. Dègla, Expert Géographe, tfirmindegla@outlook.fr |
Un plan du président Goodluck Jonathan et de son équipe en vue de faire capoter la tenue des élections générales prévues pour Février a été publiquement suggéré par son conseiller à la sécurité nationale, M. Sambo Dasuki qui a appelé ouvertement depuis Londres au report des élections. Alan Basilegpo |
Lettre Ouverte à MM. Adjavon, Dossou-Aworêt, Fagbohoun, Houngbédji et Talon, pour un Aréopage de Salut National. |
Nous rappelons à des sites comme InfoPlus qui, selon une habitude bien béninoise, semble s’être créé sans avoir au préalable considéré les moyens de son existence, et qui vient piller allègrement ce Blog, que la clause de reproduction mise au bas de chaque article fait obligation de la mention aussi bien de l’auteur que du site Babilown. En effet, les auteurs qui font partie de l’équipe de Babilown publient en exclusivité sur le site. Toute republication ou représentation d’une façon ou d’une autre de tout article publié sur le blog ou portant le nom de ses auteurs doit faire mention du site Babilown, à défaut d’y renvoyer en lien. Tout manquement à cette obligation sera considéré comme une atteinte malicieuse au droit d’auteur et à la propriété intellectuelle, et est passible de poursuites judiciaires. Ceci est une mise en garde formelle au site les Infolplus et à d’autres site malicieux du même tonneau qui abusent des règles du creative commons auxquelles Babilown souscrit sans réserve. |
La liste des crimes commis sous le règne infernal de Yayi Boni est un long catalogue bien fourni. Elle va des crimes politiques ( régionalisme, holdup 2011, etc.) aux crimes de sang (Dangnivo, etc.), en passant par des crimes financiers( ICCS, Machines Agricoles, CENSAD, etc.). En 2016, le responsable n°1 de ces crimes commis depuis 2006 ne pourra pas passer pour un homme qui n’est “au courant de rien”, comme il aime si bien à s’en justifier ou se dédouaner. Avec Kérékou nous sommes habitués à exonérer nos dirigeants de leurs responsabilités sous prétexte de la paix. Mais comme on le voit, l’exonération des crimes de Kérékou a fait le lit d’un Yayi encore plus criminel que lui. Si nous laissons partir Yayi Boni en 2016 sans lui demander des comptes pour les dizaines voire des centaines de crimes qu’il a directement commis ou qui ont été commis sous son règne et avec son aval tacite alors nous préparons le lit d’un régime politique encore plus dangereux, encore plus ruineux et encore plus irresponsable que celui de Yayi Boni ; celui de Yayi Boni dont l’un des crimes politiques majeurs sera d’organiser sa pérennisation au pouvoir en violation de la constitution, et, comme en 2011 où le peuple ne voulait plus de lui, en violation flagrante de la volonté du peuple auquel par complaisance, il aura substitué les simagrées d’une cohue régionalistes de supporters conditionnés ou de chacals stipendiés. C’est pour cela qu’au risque de pousser un peu plus notre pays au fond de l’abîme dans lequel une tourbe infecte de profiteurs sans foi ni loi l’ont introduit par abus de confiance et de fraternité, nous devons faire de Yayi un exemple pour l’avenir : un exemple contre l’aventurisme politique ; un exemple contre le fantasme de l’oiseau rare ; un exemple contre les parachutages politiques deux ex machina, un exemple contre le régionalisme décomplexé ; un exemple contre la tradition d’impunité ; un exemple contre les violations de la constitution ; un exemple contre l’instrumentalisation des institutions de la république; un exemple contre le culte de la personnalité ; un exemple contre l’accaparement des média par un seul homme ou parti, un exemple contre le gaspillage et la gabegie, un exemple contre toutes les formes classiques de concussion et de népotisme, un exemple contre le vol de deniers publique ; un exemple contre la prépondérance du religieux dans la sphère publique, etc. Bref un exemple contre les travers et les crimes dont Yayi Boni est le nom. C’est pour cela que le Front Éthique pour la Responsabilisation des Acteurs Politiques (FERAP) milite pour que Yayi Boni soit jeté en prison en Avril 2016. Le FERAP en appelle au peuple béninois à ne donner sa voix qu’au candidat émanant d’un parti qui s’associe à son préalable éthique et politique qui est la responsabilisation politique et pénale de Yayi Boni et de son régime. Le FERAP, en conséquence invite chaque Béninois à faire une large diffusion à son slogan : JYPPE 2016 # Jetons Yayi en Prison, pour l’Exemple, en 2016# La lutte pour extirper le Bénin des abysses de la mal-gouvernance, de l’aventurisme et du crime politiques ne fait que commencer. Le FERAP incite chaque Béninoise et chaque Béninoise à rejoindre les rangs ; très âpre sera la lutte, mais nous vaincrons, car il y a va du destin de notre pays. Dr ABOKI Cosme, Président du FERAP |
Dans l’ambiance de la crainte grandissante d’une propagation du virus Ebola à travers le Nigeria, les prêtres catholiques ont reçu ordre d’ignorer le rite traditionnel de la paix pendant la messe. Binason Avèkes |
Presidential aspirant of the New Patriotic Party, Mr. Alan Kwadwo Kyerematen has stated posterity will show that Nana Addo Dankwa Akufo-Addo and the party won the 8-month long Presidential Election Petition, which challenged the results of the election as declared by Dr. Afari Gyan, and should have been declared winners of the 2012 elections. In an exclusive interview with the ‘Africa Watch’ Magazine, Mr. Alan Kyerematen, in an answer to a question posed by the magazine, explained that it was a good starting point for the party to go to court to challenge the 2012 election results, rather than resorting to other means to register their protest at the results. According to him, “It was a test of our party’s commitment to the core principles of democratic governance, our belief in the rule of law, our belief in the sanctity of the Constitution of Ghana and the basic tenants of our jurisprudence in protecting the rights of individuals, ensuring accountability of the institutions of state, as well as checking the abuse of political power by the government.” “Although the Supreme Court did not rule in our favour, there is absolutely no doubt that we made a strong and compelling case, and I believe that posterity will be the final arbiter of the validity or otherwise of our judicial claims. Indeed, the fact that the Supreme Court was split almost right down the middle in its ruling, clearly attests to the fact that we did not embark on a frivolous and vexatious exercise either on substance of law or evidence. In this regard, the combined efforts of the NPP legal team and the lead witness, Dr. Mahamudu Bawumia, must be highly commended,” Alan Kyeremanten told the Africawatch Magazine. Alan Kyerematen, went on further, to commend Nana Akufo-Addo for accepting the verdict of the Supreme Court Case and not seeking a review of the verdict…. |
…Je n'ai jamais invité les Nations Unies pour protéger notre sécurité. Moi, Yoweni Museveni, dire que je n'ai pas réussi à protéger mon peuple et que je ferai appel à l'ONU ... je préfère me pendre. Nous avons donné priorité à la sécurité nationale en développant une armée forte, sinon notre Ouganda serait comme la RDC, le Sud-Soudan, la Somalie ou le Nigéria, où des terroristes se sont évanouis dans la nature avec des élèves. Ce serait un vote de défiance dans notre pays de la part de nos citoyens si nous ne pouvions garantir notre sécurité. Quel genre de personnes serions-nous? Dixit Yoweni Museveni |
L’État-major des Forces Armées du Nigeria a affirmé qu’un leader politique de premier plan de l'un des États du Nord ravagés par le terrorisme islamiste de Boko Haram, parraine « une nouvelle campagne visant à attirer la réprobation internationale et l'inculpation de l'Armée nigériane et ses activités dans le nord du pays. » Borno, Yobe, et Adamawa sont les trois États de cette partie du Nord du Nigeria ravagée par les attaques terroristes incessantes de la secte Boko Haram, à être placés sous état d'urgence. amené et trad. par Binason Avèkes |
THE novel, The Split Image, by Professor Olabode Lucas, centres on Sunday Dojo Ajiteni, and his journey through life, especially from infancy to an advanced age. The book opens with a vivid description of the setting; there is Oke-Odo, where Dojo is born, and where he completes his elementary education. There is also Doma, where the main character begins and retires as a Printing Officer in the Government Press. In his description of this town, the author says, “No matter from which direction the town was approached, one had to climb a steep hill to get to the town of Doma. In fact, the indigenes referred to their town as the town of seven hills. There is also Laguna, the capital city of the Republic of Songa. The first couple of chapters dwell on Dojo’s early life --- his parents, his sickness at infancy, how his father agrees that he, alongside his siblings, can be attending school, and his activities on the track. After Dojo’s school years, he is employed as a Printing Assistant at the Government Press at the provincial capital, Doma. Like every young man, after a while, Dojo gets married to Jade, and is blessed with children. However, in the course of his work, he travels to London for an 18-month training; it is here that he meets Angela, a very beautiful woman at a Songa party in Brixton. Dojo and Angela develop a liking for each other, but at that time, Angela is deeply involved with Daniel, who she is about to marry, while Dojo is already married, but keeps it away from Angela. After the course in London, Dojo returns to Doma to continue his life, but the story starts getting gripping when Angela returns from London to see Dojo with a 10-year-old boy, Joe, the result of their sexual relationship many years back. Dojo cannot deny the boy, Joe, is his, because he (Joe) is his (Dojo) spilt image. He, therefore, becomes responsible for his upkeep and education. However, Dojo cannot bring himself to telling his wife he has a child out of wedlock. But, as time goes on, Jade, Dojo’s wife, discovers the secret about her husband’s love child, and this makes her leave her matrimonial home. Her father, Chief Idaole also supports his daughter for leaving her matrimonial home, despite the fact that he is a polygamist, before finally accepting to join the Catholic church. After about six months of separation, the issue between Dojo and his wife is settled, with the support of the Catholic priest. As time goes on, Joe, Dojo’s son returns to London for his Ph.D, where he meets a lady he later marries. However, just before the marriage, it is discovered that the lady, Clara Esubiyi, is the daughter of Dojo’s elder brother, Ojokoto. In the Oke-Odo culture, it is an abomination for related people to marry, but no matter the explanation Dojo gives, Joe is not swayed. He marries Clara, and cuts all communication with his family. Joe later moves to New York, where he becomes the Personal Assistant to the United Nations Secretary General. However, in Songa, the army topples the civilian regime, accusing it of corruption. In naming a new cabinet, the new Head of State, General Inua Baranda, names Dr Joe Ajiteni as the foreign minister, and this makes Dojo very popular in Oke-Odo and Doma. Joe and Dojo finally reconcile, and the father attends his son’s swearing-in in Laguna, the capital of Songa. After a while, some ministers are arrested, alongside Dojo, when the military regime claims they are trying to topple the government. Joe is among those accused, but he is lucky not to be in the country when others are arrested. That is why his father, Dojo, is arrested. In the end, Dojo is freed because of the criticisms that trail the arrests. .. |
Qu'est-ce que nous Attendons pour Marcher sur la Haye et Libérer Gbagbo ? |
Dans « Redemption Song », sa chanson culte, Bob Marley nous questionnait : « pendant combien de temps tueront-ils nos prophètes pendant que nous restons là à les regarder faire ? » Ils ont eu Sékou Touré à l'usure parce qu'il avait préféré être pauvre indépendant qu’esclave dans l'opulence. Ils ont tué Marien Ngouabi qui prêchait l'égalité et la justice pour l'Afrique ; ils ont tué Ruben Um Nyobe aussi. Au Togo, l’opposition entre Olympio et Eyadema s’est soldée en faveur de ce soldat de la Françafrique. Eyadéma qui règnera pendant plus de 30 ans d'une main de fer a si bien fait que pour cacher ses crimes, à commencer par le meurtre d’Olympio, ils ont eu le cran de mettre son fils à sa place pour lui succéder. Et nous avons accepté cela ! Le Togo a accepté cela, l'Afrique a accepté que le fils d’un criminel, perpétue le sang impur de son père, et tout est normal sous notre soleil tropical. Rien de grave, nous sommes gavés d’horreur, nous sommes chloroformés et cela n'empêche pas le soleil de se lever. Cette bizarrerie inacceptable et crapuleuse n'empêche pas la terre de tourner. Combien de temps leur faut-il pour cacher les preuves du mal ? Au Gabon aussi, le fils a remplacé le père au pied levé, la politique est devenue une masturbation intramuros héréditaire. Cela ne les empêche pas de se dire des démocrates et de nous donner des leçons en la matière. Quel crime Gbagbo a commis et que Gnassingbé n'a pas commis ? Cette question se pose à l'Afrique et aux Africains épris d’intelligence et de sensibilité. La question vise à déciller nos yeux ; elle vise à libérer les digues de notre pouvoir d'indignation. Aminou Balogun |
A simple detector could help conservators at World Heritage sites in the developing world understand and protect against atmospheric pollutants that can damage valuable artefacts. | Almost three-quarters of the respondents to Agbota’s survey reported observing damage to objects that they attributed to pollution. This took the form of particle deposits, corrosion and the formation of ‘black crusts’ on artefacts. continued |
Centre-ville d'Accra, quartier des affaires Vue d'Accra Central L'Arc d'Indépendance Accra est la capitale du Ghana. Il s'agit de la ville la plus peuplée du pays (1 658 937 habitants en 2000 1, 2 263 785 en 2009 2) dont elle constitue le centre politique, administratif, économique et financier. Le site d'Accra se trouve en territoire Ga, une ethnie encore aujourd'hui dominante dans la Région du Grand Accra. Le site s'est développé à partir des forts qui ont été bâtis par les Européens pour la traite négrière (Britanniques, Néerlandais et Danois) au XVIIe siècle. Le premier fut Fort Christiansborg, ou Fort Osu, construit par le marchand néerlandais Henry Caerlof en 1652 avec la permission du roi d'Accra, son partenaire en affaires. En 1660, le contrôle est passé à la Compagnie néerlandaise des Indes occidentales puis au Danemark, au service duquel, en 1657, Henry Caerlof s'était placé. En 1877, Accra remplace Cape Coast comme capitale de la colonie britannique de Côte-de-l'Or. Elle devient un centre économique avec la construction d'une voie ferrée vers l'arrière-pays minier et agricole. Elle demeure la capitale lorsque le Ghana accède à l'indépendance, le 6 mars 1957. En 1958, la Conférence panafricaine des Peuples, réunissant l'Afrique subsaharienne ainsi que le Maghreb et l'Égypte, se réunit à Accra et décida de soutenir les mouvements d'indépendance en Afrique. La commission de la Défense de l'Organisation de l'unité africaine est basée à Accra depuis. |
The Aflao Police is investigating a 26-year-old Ghanaian driver who was caught with fake 100 dollar notes. | AGL 178 AZ, at around 0840 hours, pulled up at the checkpoint and during normal routine checks personnel found three parcels in a bag. continued |
Le Cri de Colère de la Diaspora Béninoise Face au Pouvoir Autocratique de Yayi Boni
Par le Collectif Emile Zolaciaji
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En 2006, à la fin du deuxième mandat de Mathieu Kérékou sous le Renouveau Démocratique, le Bénin était au plus mal. Malgré ses potentialités économiques et humaines, le pays était économiquement et moralement exsangue, en raison de la mauvaise gestion de ses dirigeants, de leur égoïsme et de leur médiocrité. La minorité au pouvoir s'était enrichie scandaleusement à travers la corruption dans l'impunité. Pendant ce temps, la pauvreté s'étendait à tout le peuple, la misère s'enracinait dans nos villes et dans nos campagnes. C'est dans ce contexte qu'est apparue la figure providentielle de Yayi Boni, un homme jusque-là inconnu dans le paysage politique. À la faveur d'un principe idiot et démocratiquement dangereux mais qui a la vie dure au Bénin --celui de l'oiseau rare--cet homme totalement inconnu, solitaire, sans passé, sans expérience ni parti politique, introduit par un aréopage douteux de faiseurs de roi, a brigué le suffrage universel et a été élu à 75 % des voix. Ce plébiscite sanctionnait le caractère calamiteux de la gouvernance économique et morale de Kérékou et traduisait l'espoir d'un changement. Le nouveau venu étant banquier et directeur de la BOAD (Banque Ouest Africaine de Développement), et passant pour docteur en économie, son parcours et son curriculum rassurèrent quant à sa capacité à bien gérer l'économie du pays. Le nouveau président lui-même n'était pas avare de promesses et surfait volontiers sur la vague de l'espérance qui l'avait porté au pouvoir. Avec le symbole monétaire du cauris pour emblème, il promettait aux Béninois rien moins que le changement et l'émergence, une croissance à deux chiffres, la prospérité partagée, la concertation et la cohésion nationale. Comment un homme qui n'a jamais fait la politique, un homme qui n'a jamais joué un rôle clé dans un parti, peut-il du jour au lendemain devenir président de la République ? Cette question de bon sens n'effleura pas l'esprit des intellectuels ou des acteurs politiques alliés, engoncés dans l'éthique de l'oiseau rare ; sans parler même du peuple qui était obnubilé par le souci du mieux vivre et pour qui l'équation : « PDG de la BOAD = Richesse Pour Tous Assurée » était prise à la lettre et au premier degré. Mais très vite, à l'œuvre, les incongruités du nouveau concept n’allaient pas tarder à se manifester. Yayi Boni apparut d'entrée comme un président hyperactif, présent sur tous les fronts et allant jusqu'à court-circuiter le fonctionnement rationnel de l’action gouvernementale. Un président volontariste qui lançait des initiatives sans lendemain et multipliait des promesses irréalisables. Au début, ce défaut, loin d'être vu comme une tare, a été mis au compte de son pragmatisme ou de son inexpérience. Mais avec le temps, le caractère s'affirma. Le travers s'aggrava. Peu à peu, ce qui paraissait virtuel dans ce nouveau président, son style, sa méthode, sa conception du monde et son tempérament, s'actualisa. L'absurde le disputait au cauchemar. De leurs yeux, Les Béninois se rendaient compte enfin que par rapport à Kérékou, ils avaient été victimes d'un marché de dupes, induits à troquer le mal contre le pire. Et, comme si cela ne suffisait pas, vers la fin du premier mandat de Yayi Boni, alors que la constitution lui donnait l'occasion de rectifier son erreur, le peuple a subi une violence symbolique inouïe : le holdup électoral qui, en maintenant Yayi Boni au pouvoir comme si de rien n'était, sanctionna la rupture du lien conditionnel entre réélection et bilan présidentiel. A l’instar du caractère ubuesque de l'actualité de ces derniers jours, le bilan de Yayi Boni est catastrophique dans tous les secteurs de la vie sociopolitique. Sur le plan économique, rien qu'en Afrique de l'Ouest, le Bénin fait figure de lanterne rouge des économies de l’UMOA. Le taux de croissance promis à deux chiffres dans l'euphorie de 2006 reste désespérément cloués à moins de 3 % dans ses estimations les plus optimistes. La gestion du coton et du Port autonome de Cotonou qui sont les deux mamelles du budget national semble frappée d'une fatalité de contre-performance et de désordre irrémédiables. Sur le plan démocratique, le recul du Bénin est alarmant : la presse est malmenée ou mise au pas. Les libertés publiques sont piétinées; l'incarcération est devenue une méthode d'épuration politique ; fantaisistes et souvent espiègles, les procès politiques sont légions et touchent aussi bien les journalistes, les syndicalistes que les hommes politiques rebelles au pouvoir. La justice est aux mains du pouvoir et ses procédures, soumises au bon vouloir du président qui condamne, détermine les peines et gracie à convenance. À l'instar de la justice, et d'une manière systématique, toutes les institutions de la République sont instrumentalisées en raison de l'antidémocratisme viscéral de M. Yayi Boni et de sa conception parodique de la vie sociopolitique. Sur le plan éthique et de la moralité de la vie publique, la corruption et l'impunité ne se sont jamais aussi bien portées. Chers Compatriotes, Béninoises et Béninoises de la Diaspora et de l’Intérieur, tous les signaux qui nous viennent du pays sont au rouge ; la gravité de la situation est sans précédent. Elle engage l’état actuel de notre pays et son devenir ; elle touche aussi à l'image internationale du Bénin. Au vu de ce qui se passe depuis quelques mois, combien d'entre nous n’ont pas mis en berne la fierté d'être Béninois dont on pouvait faire étalage naguère ? Comment continuer à assister à la descente aux enfers de notre pays et de notre peuple ? Répondre à ces questions suppose de situer les responsabilités et d'en rendre raison. Aussi la première question qui vient à l'esprit est : Comment en sommes-nous arrivés là ? Télécharger de "La Diaspora Béninoise Accuse"
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Au-delà des Discours, Agissons ! |
La fraude aux concours de la fonction publique agite actuellement l'opinion béninoise et ce depuis plusieurs semaines. Elle constitue une source de déstabilisation à la cohésion nationale et ce en raison du double caractère délictuel de ces actes. |
La fraude aux concours de la fonction publique agite actuellement l'opinion béninoise et ce depuis plusieurs semaines. Elle constitue une source de déstabilisation à la cohésion nationale et ce en raison du double caractère délictuelle de ces actes. À regarder de bien près, les fraudes qui défraient la chronique aujourd'hui et qui font pousser des cris d'orfraie à certains ne sont jamais qu'une exaspération de cette pratique existante, qui n'étonne ou ne révolte personne. Pourquoi se révolter de l'exaspération d’un vice dont on a pourtant accepté le principe initial ? Dans certains milieux politiciens qui brandissent l’affaire pour attaquer de façon opportuniste le gouvernement, l'hypocrisie le dispute au cynisme. Car souvent ce sont ceux qui se plaignent de la fraude aujourd'hui qui en ont caressé les racines ou les prémices sans états d'âme ou sans trouver à y redire. Adenifuja Bolaji |
Dans le golfe du Bénin les gens du sud aiment jouer les spirituels, les débonnaires ethniques, ceux qui savent en politique être fairplay avec leurs compatriotes du Nord. Ce faisant, ils ont le sentiment d’être intelligents, dans le sens du progrès et conformes aux valeurs héritées de leur ancien maître colonial : valeurs de conscience nationale, d'égalité républicaine, de citoyenneté, de justice etc. Or, dans le même temps, leurs compatriotes du Nord se montrent indifférents sinon rebelles à ces valeurs et, en toute circonstance, font le choix identitaire de la solidarité régionale. C'est cette différence éthique qui explique qu'au Bénin par exemple un président du Nord peut être élu grâce aux voix d'une proportion assez importante de citoyens du sud, alors que dans le cas contraire, le nombre de Nordistes qui se dévouent à faire élire un président du sud se compterait sur les doigts d'une main. Ainsi, au Bénin sur six élections démocratiques, cinq fois un président du Nord a pu être élu dans un double contexte paradoxal où sévit le vote régionaliste, en même temps que le sud possède une avance démographique et sociologique sur le Nord. Il y a donc dans notre sous-région du golfe du Bénin une éthique de conscience ou d’inconscience identitaire selon que l'on est du sud ou du Nord. Les gens du sud se vautrent dans une inconscience de leur identité, et leurs représentants attitrés n'hésitent pas, certes dans leurs propres intérêts mesquins, à sacrifier les intérêts de leur région sur l'autel d'une république hypothétique, et d'une expérience nationale sujette à caution. Au contraire, les compatriotes du Nord eux jouent à fond la carte de la solidarité régionale et sont conscients de faire des choix identitaires et d'agir en toute circonstance dans l'intérêt de leur région. Cette différence de comportement peut être comprise diversement mais dans le cas des sudistes, il traduit surtout la réalité d'une haine de soi notamment au Bénin, où pour toutes sortes de raisons, notamment historiques, le manque de confiance en son semblable fait préférer la collusion avec l'autre, l’éloigné, au détriment du proche, de son semblable immédiat. À cette haine de soi, il faut ajouter aussi un tempérament indiscipliné qui prend ici les dehors d'un acte sublime, voire désintéressé alors qu'au fond c'est parce qu'on ne veut pas voter pour son propre frère que l’on vote pour l’autre, soi-disant au nom de l’égalité nationale. Quel sens peut-on donner à l’égalité nationale, lorsqu’on craint l’égalité régionale comme la peste ? Si faire respecter la loi du Ghana qui punit l'usurpation d'identité et la fraude électorale est une bonne chose, il va de soi que les soi-disant républicains du sud qui ont concouru à l'élection de M. John Dramani Mahama sont objectivement complices de cette grâce douteuse ; et contrairement à son auteur qui est dans son droit, eux n'ont aucune excuse légale ni éthique.. Comme on le voit d'ailleurs au Bénin, il est facile pour les gens du sud de donner leurs voix au président du Nord ; mais une fois élu celui-ci ne demande pas leur avis avant de se lancer passionnément sans sa politique de préférence régionaliste aux effets désastreux : le comportement de Yayi Boni le montre clairement au Bénin. En tout cas, comme le montre ces deux actes posés par M. John Dramani Mahama, il est clair que le président ghanéen a agi conformément à l’éthique régionaliste. Ces actes considérés ici, Dieu merci, sont anodins, mais qu’en aurait-il été si cette éthique portée à son comble touchait à des faits d’une portée plus grave ou devenait systématique comme au Bénin ? Comme au Bénin, alors, les Ghanéens du sud qui ont contribué à élire M. Dramani Mahama n’auront plus que leur yeux pour pleurer … Alex Bawumia |
LAGOS, Nigeria -- A massive explosion ripped through a warehouse full of fireworks in Nigeria's largest city on Wednesday, sparking a fire that threatened surrounding city blocks and sending a plume of thick smoke high into the sky. At least one person died and 15 others were wounded, emergency officials said. The blast occurred around 9 a.m. in the Jankara area of Lagos Island, a neighbourhood of narrow streets and tall cement buildings holding shops and housing people sometimes a dozen to a room in the megacity of Lagos. The force of the explosion echoed miles away and shook windows. | An Associated Press journalist saw members of the Nigerian Red Cross treating people with minor cuts and bruises a few blocks from the site. Later, rescuers pulled out a badly charred corpse from the still-smouldering structure |
The Christian Council of Ghana has called on supporters of the main opposition New Patriotic Party (NPP) to remain calm as the party prepares to legally challenge the outcome of last Friday’s presidential vote. | Congress (NDC) and the NPP should eschew acts or rhetoric that could create tension and possible violence. continued |
DECLARATION Le Front Citoyen s’est réuni ce jour, 24 septembre 2012, sous la présidence effective de son Président, Monsieur Antoine Robert DETCHENOU à Cotonou, en vue d’examiner une fois encore la situation sociopolitique de notre pays et surtout aviser par rapport aux derniers développements relatifs à la LEPI. Vu que la souveraineté du peuple reste la seule qui vaille et qui prime sur tout ; Vu les déclarations et tergiversations qui entourent l’outil LEPI dans notre pays, outil qui s’est révélé un instrument inexistant tant du point de vue technique que juridique en raison de sa non publication à ce jour comme l’a prescrit la loi N° 2009-10 du 13 mai 2009 ; Vu l’accaparement de cet outil LEPI par un groupe dit majoritaire depuis sa conception jusqu’à sa réalisation ; Vu la mise en place à l’Assemblée Nationale d’un groupe de travail qui a, in fine, sciemment occulté la dimension paritaire et consensuelle qui devait régir ses travaux ; Vu les incohérences contenues dans la proposition de loi issue des travaux de ce groupe de travail, proposition de loi qui avec ses 167 articles sème la confusion et n’a d’autre objectif que d’abroger subrepticement la loi 2009-10 du 13 mai 2009 ; Vu les déclarations provocatrices des Représentantes de l’UE et du PNUD relatives à la réalisation de la LEPI ; Vu les déclarations arrogantes de certains députés membres de la Majorité sur la Démocratie considérée par eux comme une loi de la jungle et une entreprise de barbares frustes, déclarations contraires à l’esprit et à la pratique de l’idée démocratique telle qu’elle a été conçue par ses initiateurs grecs et telle qu’elle est reçue et vécue aujourd’hui dans la tradition civilisée qui prévaut dans le monde ; Vu que cet état de choses aggravé par les propos régionalistes voire divisionnistes du Chef de l’Etat est porteur de graves dangers pour la paix sociale et l’unité nationale ; Le Front Citoyen : 1. Demande à l’Assemblée Nationale de surseoir à l’examen de la proposition de loi portant apurement de la LEPI, proposition qui ne prend pas en compte les principes de parité et de consensus réclamés par tous les acteurs socio-politiques consultés par le Groupe de Travail, et de dessaisir le Centre National de Traitement (CNT) de toute tentative de correction clandestine et illégale de la LEPI. 2. S’engage à organiser des manifestations diverses en vue de dénoncer l’imposture en cours dans notre pays. 3. Recommande à l’ensemble des groupes qui le constituent (partis politiques, syndicats, associations, personnalités) d’organiser des séances d’information sur toute l’étendue du territoire national en vue de sensibiliser les populations sur la nécessité d’exiger une LEPI crédible et fiable et d’engager des actions de lutte citoyenne, tous azimuts, pour exprimer, dans le cadre des libertés garanties par la Constitution, notre opposition ferme au fascisme qui s’instaure insidieusement. 4. Exige le départ immédiat de notre pays des Représentantes de l’UE et du PNUD, Mesdames Françoise Collet et Nardos Bekele Thomas, pour ingérence dans les affaires politiques de notre pays avec un rapport circonstancié à leur hiérarchie pour dénoncer leurs pratiques qui sont contraires à la marque de PTF crédibles. Enfin, le Front Citoyen dénonce avec la dernière rigueur les atteintes répétées aux libertés publiques et à la libre expression des citoyens consacrées par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, la Charte Africaine des Droits de l’Homme et le préambule de la constitution du 11 décembre 1990. Le Front Citoyen tient le Gouvernement pour responsable des conséquences que pourrait engendrer sa marche forcée vers une LEPI non consensuelle. Fait à Cotonou le 24 Septembre 2012 Le Front Citoyen |
Aminou Balogun |