BABILOWN~Mawolè

Bénin : Pourquoi Yayi Boni Menace de Guerre le Pays

Yayi Boni, le Mercurochrome et la Plongée sous-marine

Depuis son accession au pouvoir en 2006, Yayi Boni s’évertue à écraser toute expression divergente de la sienne. Il monopolise les médias et instaure une propagande partisane sur fond d’un discours monotone, dégradé et dégradant. Ce climat n'est pas sans rappeler les dictatures soviétiques qui ne tolèrent qu'une seule pensée et une seule information : la pensée unique du Comité Centrale, et l'information officielle. Dans ces conditions, pris de court par la vitalité éruptive des nouveaux média et leur indomptable ubiquité, l'autocrate se voit obligé de dénier la réalité, des lors qu'elle échappe à son contrôle. Il fait assaut d'imagination, de rouerie voire de perfidie. S'il n'avait tenu qu'à Yayi Boni et à son système de complaisance médiatique centré sur l’ORTB et la noria des journaux sous contrat, le monde n'aurait rien su de la répression sauvage de la manifestation pacifique du 27 décembre 2013 à Cotonou ; ou alors l’image fantaisiste, tronquée et aseptisée qu’en a donné les médias à sa solde. Mais dès lors que de manière inattendue, la vérité est apparue au grand jour, étalée à la face du monde, l'autocrate est obligé, dans un pathétique sursaut de dénégation, de faire appel à l’imagination pour rafistoler la réalité. Il n’y a que ceux pour qui tout est théâtre ( et qu’est-ce le holdup de mars 2011 sinon du pur théâtre ?) qui accusent les autres d’en faire.

Piteuse trouvaille d’un menteur démenti par les faits. Dire que le sang versé des manifestants du 27 décembre 2013 à Cotonou n'est que de l’encre rouge, insinuation indigne d'un chef d'État directement responsable de la répression, c'est blesser deux fois ceux qui en ont été victimes : les blesser dans leur chair et les blesser dans leur âme. C'est le propre de l'autocratie qui ne connaît qu'une vérité, la sienne. Si le sang versé lors de la répression des manifestants de Cotonou est de l’encre rouge, alors M. Yayi Boni nous dira-t-il que  Dangnivo n'est pas mort mais qu'il se la coule douce quelque part au large de l'océan Atlantique, en train de faire de la plongée sous-marine ? … Aminou Balogun

Dixit: Haro sur la Planification de la Fraude en 2015 au Nigeria

 

Ils ont des plans précis pour truquer les élections dans l’État d’Ekiti et dans l’État d’Osun en 2014, et d’une manière générale dans l'ensemble de la na- tion en 2015. Aucune intimidation ne nous réduira au silence!  Dixit El Rufai

Ghana : une Femme, deux Maris et un Procès

Belinda était mariée à un premier mari, M. Anumah ; puis sous prétexte d’aller pour une séance de prière propitiatoire à la maternité, elle va à la rencontre d'un autre homme, M Atikpo venu d'Amérique avec lequel elle a eu rapport dans un appartement apprêté  à cet effet avec la complicité de son père. Puis elle se marie dans une autre région du Ghana avec le sieur Atikpo, qui retourne ensuite aux US d'où il doit lui envoyer les pièces pour leur regroupement familial. Entretemps, comme le font les femmes, Belinda a commencé à s'énerver contre son premier mari à la moindre occasion, ne trouvant rien de bon dans ce qu'il fait. M Anumah commençant à flairer que quelque chose n'allait pas, se met à faire ses enquêtes. Un jour, il tombe par hasard sur une lettre venant des US comportant les nom et prénom du sieur Atikpo.

Il va donc sur Facebook, où il trouve, comme il fallait s'y attendre, l'adresse de son rival. Il demande à faire ami avec lui, ce que celui-ci accepte sans méfiance. Ce faisant, il lui ouvre involontairement la caverne d'Ali baba des photos de mariage entre l"Américain" et Belinda. M. Anumah tombe de haut.... Quand il va demander des explications à Belinda, pour toute réponse celle-ci ramasse ses affaires et s'en va vivre dans l'appartement de ses secondes noces... Malgré son choc, Anumah porte plainte... amené et trad. par Binason Avèkes

Nigeria : Jonathan en Pleine Injustice Démocratique

Les Deux Usages de la Constitution sous Yayi

Mon Idéo Va, Court, Vole et Tombe sur…:

Celui qui n’a pas connu la Crainte du Peuple

Les deux choses à quoi sert la constitution sous Yayi Boni, consiste à l’utiliser, comme en 2011, pour faire proclamer qu'il est élu ( si possible au premier tour) ; et bientôt aussi pour dire que sa révision de la constitution est conforme à la loi. Et enfin, corollaire de cette confirmation, que l'éventuelle élection présidentielle qui s'ensuivrait connaîtra une victoire en son nom ou en celui de son dauphin s'il n'était pas candidat. La deuxième chose consiste à utiliser la Cour constitutionnelle pour trancher en sa faveur toute dispute entre lui et ses opposants. En dehors de ses usages frauduleux, égocentriques et autoritaires qui consacrent l'instrumentalisation de la Cour constitutionnelle dont le président et certains membres sont directement nommés par lui, Yayi Boni passe le plus clair de son temps à violer la constitution, violation délibérée ou par méconnaissance de l'esprit et de la lettre de la loi. Cet usage borné, autoritaire et frauduleux de la constitution trahit et

éclaire en même temps sur la mise hors jeu du peuple de la vie politique du Bénin,  et le fait que le président de la république, au lieu d'être élu est en vérité nommé par un aréopage de faiseurs de roi sur fond de corruption des parties prenantes à l'organisation des élections ; faiseurs de roi et organisateurs qui ont pris en otage, et jouent avec la constitution au sommet. Comment voulez-vous qu'un président respecte la constitution, si au lieu d'être élu grâce à elle, il est nommé contre sa lettre et son esprit ? Celui qui n'a pas connu la crainte du peuple ne respecte pas le peuple. Éloi Goutchili

Lettre à Pancrace sur le Plan B de Yayi en cas d’Échec du 3ème Mandat

Sème : le Fayawɔ a du Plomb dans l’Aile cette Année

La Direction du service des douanes du Nigeria, (NCS) à la frontière de Sèmè a collecté un total de 25 Milliard de FCFA en 2013 , avec 3,8 Milliards de FCFA pour le seul mois de Décembre. Le chiffre d'affaires réalisé par la Direction est le plus élevé en un mois depuis trois ans. Le Commandant Willy Egbudin, qui a rendu publique l’information a divulgué les indices de performance de sa Direction aux journalistes à son bureau de Sèmè. Et il ressort selon ses révélations que la Direction a dépassé son objectif de Décembre de 476 Millions de FCFA, ce qui représente une amélioration de 14,5% sur ​​sa cible pour le mois. Le Commandant a également fait état de la saisie 17 véhicules par la douane depuis sa prise de fonction en Novembre l'année dernière, ajoutant que cette saisie avait une valeur TDC de 179 Millions de FCFA. (TDC = taxe douanière comprise) « Mon équipe de direction et moi nous nous sommes engagés dans une sensibilisation pour identifier et bloquer toutes les sources de déperdition de recettes et des discussions sont en cours avec nos homologues béninois pour résoudre le problème de transfert des véhicules importés du Bénin au Nigeria » a dit M, Egbudin. Entre autres articles saisis en Décembre l'année dernière se trouvaient 4663 sacs de riz d’une valeur TDC de 133 Millions de FCFA ; 7090 cartons de produits de volaille congelées d’une valeur TDC de 187 Millions de FCFA, 14 cargaisons générales, du textile et 81 gallons de 25 kg d’huile végétale de valeurs TDC de 8,2 ; 4,4  et 11,2 Millions de FCFA, respectivement.

La Direction n’est qu’une zone d'application, a dit M. Egbudin, mais nous devons collecter des recettes pour le gouvernement, faciliter le commerce et sécuriser la frontière. Nous ne devrions pas nous attendre à une grande prouesse en Janvier, mais nous avons décidé que ce ne sera pas en deçà de 3 Milliards de FCFA » a insisté le patron des douanes Sèmè.” Il a ajouté que «beaucoup de véhicules viennent par cet axe, donc, nous avons fait des plans pour nous assurer que les droits soient payés sur tous les véhicules comme cela se doit ». Monsieur Egbudin a expliqué qu'il utilisait le dialogue, la participation et l'intelligence avec les riverains pour lutter contre la contrebande à la frontière, plutôt que la force, qui a conduit à plusieurs victimes en 2013 avant sa prise de fonction amené et trad. par Binason Avèkes

Nigeria : SSS secures warrant of arrest for El-Rufai

Nigeria: APC Condemns Harassment Of El-Rufai By Security Agents

The All Progressives Congress (APC) has strongly condemned the harassment of its Deputy National Secretary, Nasir El-Rufai, by agents of the Department of State Security (DSS). The party described the agency’s storming of Mr. El-Rufai’s Abuja home earlier today as a case of shameful overkill. Armed DSS operatives had invaded the APC official’s home on Friday without producing any arrest warrant. In a statement issued in Abuja today, the APC’s interim National Publicity Secretary, Lai Mohammed, expressed shock that the DSS was seeking to arrest Mr. El-Rufai for merely exercising his constitutional right of free speech. The party stated that there was nothing inciting or out of the ordinary in the statement credited to Mr. El-Rufai. He had declared that there might be violence if the 2015 general elections were not free and fair. “What our Deputy National Secretary said is a statement of fact and should not warrant any harassment, unless of course the DSS is saying that the 2015 general elections will not be free and fair,” the APC said.

Mr. El-Rufai’s statement, according to the APC, was “a matter of cause and effect and amounts to a patriotic call for the 2015 general elections to be free, fair and credible. If this statement now rankles the DSS, then the department has a lot of explanation to do to convince Nigerians that it was not engaging in a witch-hunt, considering the case instituted by Mallam El-Rufai against it (DSS) over his illegal detention in a hotel in Awka during the Anambra governorship poll last November.” The party wondered why the DSS had suddenly found its agility, after playing dead when people like Edwin Clark, Asari Dokubo and Chukwuemeka Ezeife issued a direct threat to Nigeria's continued existence over President Goodluck Jonathan's second term ambition. […]

Pourquoi les Dirigeants Africains Raffolent de la Francophonie ?

Ghana expels 4 700 illegal miners

Accra - Ghana deported 4 700 illegal miners last year, most of them Chinese nationals, deputy information minister Ibrahim Murtala Muhammed said on Thursday. "Most of them were Chinese illegal miners. Largely, they were arrested by the special task force," Muhammed said, adding that Nigerians, Russians and South Africans were also expelled. Local police and a task force of military, police and immigration officials began targeting illegal miners last year on the orders of President John Dramani Mahama.

Chinese Foreign Minister Wang Yi visited Ghana last month on a four-nation African tour and pledged Beijing's support to help tackle the issue. Small-scale mining is legal in Ghana but it is illegal for foreigners and local communities have complained that the mines damage the ecosystem and pollute waterways.[…]

Nigéria : La Clinique du Président, deux fois plus dotée qu’un CHU

Le Pavillon des VIP de l'hôpital présidentielle d’Abuja -- en clair l’hôpital du Président et de certains membres de premier plan de son gouvernement -- recevra pour sa réalisation la bagatelle 2,1 Milliards de FCFA ,  une somme qui dépasse de loin le total des fonds alloués par le gouvernement cette année pour des projets complets de développement de deux CHU fédéraux ! Au Nigeria, certainement plus qu’ailleurs en Afrique, l’inégalité entre les dirigeants et le peuple crève les yeux ! Quand on sait que cette clinique n’est qu’une sorte de dispensaire appendice des hôpitaux occidentaux où  le président et ces hauts dirigeants préfèrent aller se faire soigner au moindre bobo, on mesure toute l’injustice de cette inégalité criante ! Adepeju Bimbo source

Le Nigeria et le Fantasme de la Grandeur.

Ghana to get new power plant

TAQA, an Abu Dhabi based energy company, has agreed with the government of Ghana to build an additional facility to generate 300 megawatts of power at the Takoradi Thermal plant. Apart from that, the company is also willing to support Ghana in liquefied natural gas to undertake industrial activities. This was the outcome of a meeting held between President John Dramani Mahama's delegation to Abu Dhabi and the management of TAQA Group of Companies at the Abu Dhabi Palace Hotel on Tuesday. President Mahama has been in the oil-rich country for the past three days and attended the Abu Dhabi Sustainability Renewable Energy conference and held discussions with other leaders. TAQA has already constructed some projects at the Takoradi Thermal plant. Apart from completing power projects at Takoradi, the company is also expected to complete another a facility at the plant that will generate 110 megawatts of energy by the end of 2014. The additional 300 megawatts would start soon after the completion of the current 110 megawatts under construction by the end of this year.

President Mahama said the completion of all those projects would make the precarious power situation in the country a thing of the past and pave way for Ghana to become a net exporter of power. He said Ghana's target of generating 5,000 megawatts of power by 2016 was on course and that it would be achieved with the active involvement and partnership with the private sector. "What we really need now is the Liquefied Natural Gas in addition to what we have to streamline our supply and consumption in the country," President Mahama said. The Group has also said with the additional 300 megawatts of power and the Liquefied Natural Gas it would also enhance the supply of electricity and potable water to the Western and Central regions. [ continued]

Lagos, Fumer dans les Lieux Publics : du Délice au Délit

L’Assemblée de l’État de Lagos a finalement adopté lundi un projet de loi règlementant la consommation de tabac dans les lieux publics. Le projet de loi a été envoyé au gouverneur de l'Etat, M. Babatunde Fashola, pour son approbation. Le projet de loi, qui en est à sa troisième lecture, interdit de fumer dans tous les lieux publics, y compris les bibliothèques, les musées, les toilettes publiques, les écoles, les hôpitaux, les centres de soins, les transports publics et les restaurants entre autres. Le projet, qui se compose de 16 sections, stipule dans son article 12 que l'affichage de signes d’interdiction de fumer dont le symbole est la représentation picturale d'une cigarette allumée dans un cercle rouge barrée de travers est obligatoire dans tous les espaces non-fumeurs. Ce symbole devra être apposé et proprement entretenu dans tous les endroits qui tombent sous le coup de la loi, par le propriétaire, l'occupant ou la personne responsable d'un espace non-fumeur. L'article 4 du projet de loi dit qu'il est du devoir de ceux qui possèdent ou occupent les lieux publics de s'assurer que les panneaux estampillés "non-fumeurs " soient affichés bien en vue à chaque entrée et dans des endroits bien visibles des locaux concernés. Le projet de loi déclare également que les contrevenants se verront infligés une amende de N10, 000 ou une peine d'emprisonnement d’un à trois mois ou les deux. Selon le projet de loi, toute personne récidiviste est passible d'une amende de N50, 000 ou six mois de prison, ou les deux. Le projet de loi prévoit également une pénalité pour non -respect par le propriétaire/occupant d'une « zone non -fumeurs. » Tout manquement à la loi par le propriétaire/occupant d’un espace non-fumeur sera puni d’une amende de N100, 000 ou 6 mois de prison, ou d'autres peines privatives de liberté laissées à l’appréciation du juge. Toute entrave d’un agent dans la vérification du respect de la loi sera également punie en vertu des dispositions de la présente loi. Le projet de loi déclare en outre que toute personne qui fume en présence d'un enfant commet une infraction et est passible, sur déclaration de culpabilité, d'une amende de 15000 nairas ou d'un emprisonnement d'un mois ou deux. amené et trad. par Binason Avèkes

Hollande est cerné, par quel côté échappera-t-il ?

Hamani Tijani est Mort, mais le Holdup au Bénin à la vie dure...

 

Le Nigérien recéleur de voitures de luxe, Hamani Tijani, L’homme qui a défrayé la chronique dans les années 2003 au Bénin et dans la sous-région et dont l’entreprise criminelle a failli créer une crise diplomatique entre Cotonou et Abuja est mort hier à Lagos d’une crise cardiaque. L’Affaire Hamani Tijani a commencé lorsqu’il a braqué la voiture de la fille du Président Olusegun Obasanjo. Un incident qui provoqua une courte fermeture de la frontière entre les deux pays. Le Bénin de Kérékou se vit dans l’obligation de coopérer avec les autorités nigérianes pour retrouver le malfaiteur. Ce dernier fait jouer ses relations pour s’enfuir au Mali, d’où il prépare son départ pour l’Europe. Mais il se fait arrêter le 11 septembre 2003 à Bamako, avant d’être extradé vers le Bénin, puis vers le Nigeria le 25 septembre. Pour faire amende honorable, Kérékou doit limoger le directeur général de la police nationale, le Procureur de la Cour d’appel de Cotonou, des hauts fonctionnaires d’Etat, ou encore des responsables de la Douane, de la justice et de la sécurité, soupçonnés de s'être compromis avec l'intéressé. Dans la foulée, suivra quelques semaines plus tard un remaniement « en profondeur » du gouvernement. Plusieurs ministères, notamment celui de la Défense et celui de l'Intérieur changeront de titulaires.

Malheureusement telle est le fonctionnement de la justice sous nos tropiques qu’en dépit de l’exigence bruyante et autoritaire du Nigéria de le récupérer pour le juger, l’homme n’a pas été jugé depuis plus de dix ans qu’il est incarcéré à la prison de haute sécurité de Kirikiri à Lagos. De même, les conditions de détention n’ont pas favorisé son état de santé qui s’est dégradé ces derniers mois sans bénéficier de la sollicitude requise des autorités pénitentiaire de Lagos. L’Affaire Hamani est révélatrice et symptomatique de la déconfiture morale de la vie sociopolitique sous Kérékou, une gouvernance corrompue et médiocre basée sur la magouille, le trafic et la corruption à tous les étages. C’est ce climat de concussion, de pillage et d’impunité que les Béninois ont voulu changer en accueillant à bras ouverts deux ans plus tard le changement incarné par un certain Yayi Boni. Mais mal leur en a pris, car le remède s’est révélé pire que le mal. Bosede Akorede

Badagry-Ouidah: Similitude de l’Économie Symbolique de la Traite

Le Discours du Pdt Adrien Houngbédji au Conseil National

La Guerre Obasanjo/Jonathan et le Trafic de Passeports Béninois

The day the Biafran war came to my village - Ben Okafor

Contradiction Dictatoriale d’un Régime aux Abois

Alors que dans les rues de Cotonou, YAYI BONI, copiant ses mentors EYADEMA et MOBUTU affiche ses photos partout; alors que ses partisans et affidés promènent partout des banderoles à sa gloire, toute manifestation libre d'opinion dans la rue sauf le soutien au dictateur et à son pouvoir corrompu, sont interdits; nous venons d'en avoir l'illustration avec  l'arrestation de jeunes dont le crime est d'avoir déployé une banderole pour exiger l'annulation des élections frauduleuses que tout le monde rejette.

Yayi BONI croit-il qu'il va continuer à narguer le peuple plus longtemps? En tout cas l'heure des redditions de compte arrive à grands pas; il faut libérer rapidement ces jeunes étudiants qui n'ont commis aucun crime. Augmentons la pression contre YAYI BONI et ses agissements dictatoriaux. Gilbert Kouessi

Les Enjeux de la Campagne d'Africanisation de l'Homosexualité.

 

Que le Peuple se Révolte, dixit OBQ

Nul n'ignore ma position : la radicalité de mon opposition aux agissements de Monsieur Thomas Boni Yayi qui piétine la Démocratie, viole la Constitution et a du sang sur les mains, etc. J'en ai plus d'une fois appelé à une insurrection sans objet

contondant et il faut que le peuple le fasse parce que le Bénin est dévalué. Olympe BHÊLY-QUENUM.

Réaction du Dr A. Biaou à l’Arrestation de Jeunes Manifestants

A LA JEUNESSE BENINOISE EN LUTTE POUR LA JUSTICE ET LES LIBERTES C'est avec une grande consternation que j'ai lu la déclaration de l'ODHP sur l'arrestation ce jour de deux jeunes étudiants pacifiques portant une banderole à la place de l'Etoile rouge à Cotonou. Encore une fois comme ce fut le cas après la répression sanglante des chefs syndicalistes le 27 décembre 2013 mon coeur ne supporte pas ces arrestations qui violent la Constitution en vigueur au Bénin. Elles coupent le souffle quand on sait que le pouvoir ne tarit pas de discours chaque jour pour s'autoproclamer démocratique. C'est la preuve incontestable qu'entre ses discours et ses actes le fossé est sans limite. Aux deux jeunes arrêtés, à leurs familles et à leurs compagnons de lutte j'adresse toute ma compassion et leur apporte tout mon soutien. Je condamne de tout mon coeur la répression dont sont victimes les deux jeunes étudiants. C'est pourquoi j'exige, de concert avec tous les combattants de la liberté, la libération immédiate et inconditionnelle des jeunes étudiants arrêtés. La victoire finale appartient au peuple béninois. Docteur Afolabi BIAOU France

Libérez les Jeunes Porteurs de Banderoles de Coo

Rivers crisis: Mbu should be in jail - Soyinka

Dans un Discours de Vérité, Sanusi Dévoile les Rouages…

Dans un Discours Impressionnant  de Vérité Sanusi Dévoile les Rouages de la Corruption et s’attaque aux Intérêts Acquis

 

De la Relativité Sociologique des Mœurs et de la Morale

Will Ghana's Hope City join Africa's herd of white elephant projects?

Hope City does not yet exist, except as shimmering images of giant beehive towers bathed in a golden light. But Ghana is pressing ahead to build this $10bn (£6.6bn) technology city outside the capital, Accra. Designed by OBR architects, the city will consist of six towers, including a 75-floor, 270m-tall (885ft) building, the highest in Africa, where 25,000 people will live and 50,000 will work. There have been teething problems, with the site moved to a larger one at Pampram. Residents at the original location, Dunkunaa, claim the project had incurred the displeasure of the gods when the developers refused to acknowledge the chiefs and elders of the area. That could be the least of Hope City's problems, warns Professor Vanessa Watson of the University of Cape Town. She has flagged up concern not just over the Pampram project, but over other "urban fantasies" involving large-scale reconfigurations of existing cities (such as Kigali in Rwanda, and Addis Ababa in Ethiopia) or the construction of satellite cities (such as Tatu, outside Nairobi in Kenya, and Kigamboni, outside Dar es Salaam in Tanzania). These new city plans are a relatively recent phenomenon, most dating from the past five or six years, with the private sector playing a dominant role in nearly all the projects. In the paper African urban fantasies: dreams or nightmares?, published by the International Institute for Environment and Development on Monday, Watson casts doubts over whether these grandiose urban projects, driven by local politicians and global investors who see Africa as the "last frontier", will meet the real needs of most people. "The bulk of the population in sub-Saharan African cities is extremely poor and living in informal settlements," she writes. "Some of these settlements are on well-located urban land that is also attractive to property developers. Attempts to implement these fantasy plans within existing cities will (and is already) having major exclusionary effects on vulnerable low-income groups through evictions and relocations."

She questions the premise on which these big projects are based: rapid urbanisation in Africa and the growth of a middle class on the continent. Watson cites studies arguing that claims of very rapid urbanisation may be overstated and rates may be higher in smaller towns. The Africa Development Bank defines the middle class as those spending $2-20 a day, and the upper middle class as spending $10-20 a day. "It is difficult to imagine how households with such minimal spending power can afford the luxury apartments portrayed in the fantasy plans (as well as the vehicles needed to move around these new cities), and it may be that prospective property developers are seriously misreading the African market," she writes. As an example of an architectural white elephant, Watson cites the Chinese-built "ghost towns" outside the Angolan capital, Luanda – cities comprising of tower blocks of apartments selling at $150,000 to $200,000 each. Ambitious urban projects may have worked in Shanghai, China and Ho Chi Minh City, and cities such as Dubai, Shanghai and Singapore are clearly the models for the new African cities. continued

Bénin : Le Fléau des Grossesses en milieu scolaire

François Hollande et la Vie Privée des Africains

Faut-il règlementer les tenues à l’école ?

7 milliards de voisins - 10/01/2014 - 1ère partie

(19:31)

 

 

 

7 milliards de voisins - 10/01/2014 - 2ème partie

(26:31)

 

 

 

 

Jonathan signs same Sex Marriage Prohibition Bill into law

..Gays, lesbians risk 14-year jail term In spite of protests from some countries, President Goodluck Jonathan has signed Same Sex Marriage (Prohibition) Bill 2013 into law. The assent to the bill was devoid of fanfare to reduce diplomatic tension which it may likely attract. Some foreign embassies were shocked by the development leading to ‘curious’ inquiries from the Federal Government. Despite the inquiries, the Federal Government said there is no going back. The signed bill says the gays in Nigeria will however risk a 14-year jail term if they do not retrace their steps and renounce such marriage. Also, any person who operates or participates in gay clubs, societies and organizations directly or indirectly will earn 10-year imprisonment. Those who administer witness, abet or aid the solemnization of a same sex marriage are going to bag 10-year jail term. Investigation by our correspondent showed that the President assented to the Act on January 7, 2014. The assent note, obtained by our correspondent yesterday, reads in part: “I certify that this Bill has been carefully compared by me with the decision reached by the National Assembly and found by me to be true and correct decision of the Houses and is in accordance with the provisions of the Acts Authentication Act Cap. A2, Laws of the Federation of Nigeria, 2004. I assent.” A reliable source said: “The President has signed the Same Sex Marriage (Prohibition) Bill into law. This has foreclosed any pressure on President Jonathan not to assent to the bill. continued

Nigeria : Répression Sanglante d’une Manifestation Pacifique

La police fédérale a réprimé une manifestation organisée par un groupe de pression du gouverneur de l'État de Rivers, M. Chibuike Amaechi. Au cours de l'opération où la police a fait usage de gaz lacrymogènes, des balles en caoutchouc auraient été tirées et plusieurs personnes ont été blessées. Parmi elles, le député Magnus ABE qui a été évacué à l'hôpital le plus proche. Il faut dire que l'État de Rivers est le théâtre depuis plusieurs mois d'un conflit politique violent entre le gouverneur et M. Jonathan, par son épouse interposée, ainsi qu’une partie du corps politique local. Ce conflit qui s'envenime donne lieu régulièrement à des échauffourées entre les parties, à des harcèlements du pouvoir central sur les autorités politiques locales. Il a aussi poussé le gouverneur, dans une démarche radicale, à claquer la porte du parti au pouvoir en menant la fronde des cinq gouverneurs--essentiellement du Nord--qui sont allés grossir les rangs du grand parti de l'opposition, APC.

Cet incident traduit la tension politique de plus en plus croissante entre le PDP au pouvoir et la coalition APC qui cherche à l'en déloger. Mais comme le montrent le conflit entre M. Obasanjo et Jonathan d'une part et la guéguerre tribale entre le gouverneur Amaechi et les partisans de M. Jonathan d’autre part, la ligne de césure des prochaines élections présidentielles n’est plus seulement régionaliste au sens habituel, mais comporte des éléments d'opposition politique plus nuancée ; ce qui ne la rend que plus complexe. Binason Avèkes

Les Français et le Mythe de la vie Privée

Les Français sont un peuple de mystificateurs qui se mystifient eux-mêmes, mystifient les autres, vivent et abusent des mythes. Avant l'incident mondial de DSK, il y avait le mythe de sa séduction supposée seriné par les média du pays qui le faisaient passer pour un séducteur. Mais aux États-Unis, du jour au lendemain, le séducteur est devenu un violeur. Tout le monde y a perdu son latin, et incontinent, les mêmes l’ont diabolisé sans demander leur reste. Comme le montrent les frasques supposées de M. Hollande,--qui ne sont du reste pas démenties sur le fond--, on nous rebat les oreilles d'un autre mythe : celui du droit à la vie privée. Les sociologues, les anthropologues, les philosophes mais aussi les juristes ont toujours glosé, et gloseront à l'infini sur les rapports entre privé et public. Espace privé et espace public. Mais de même que l'opposition entre morale et éthique, il ne faut pas faire de cette dualité un prétexte visant à cacher des turpitudes ou des irrégularités. Sinon nous explose à la figure la relativité de cette dualité, son caractère hypothétique et non catégorique. Public et privé sont comme les deux faces d'une même médaille. Le droit à la vie privée ne vaut que si cette vie est conforme. Sinon un terroriste qui fabrique une bombe dans sa chambre à coucher ne doit pas être embêté par la police, tant qu’il n’a pas transporté son joujou dans l’espace public. Un musulman peut bien égorger un mouton dans sa baignoire sans que la seule idée de cette pratique suscite le tollé des non-musulmans. La conformité -- à ne pas confondre avec conformisme -- de la vie est ce qui garantit le droit à son caractère privé. Auquel cas ce droit pourrait couver des pratiques, des entreprises ou des actes dont les conséquences ne sont plus privées. Par exemple si un homme d'État déguisé en homme ordinaire était braqué par des

voleurs au moment où il allait jouir de « sa vie privée », qui pourrait défendre valablement qu'il n’y a là que des faits privés ? N’y aurait-il pas une conséquence entre cette vie privée et la vie publique ? Le droit à la vie privée n'est pas une licence à faire des choses dont on pourrait rougir si par mégarde elles étaient exposées au regard public. La vie privée c'est le droit de faire des choses dans son intimité qui sont en général semblables à ce que tout le monde fait, à ce qui est attendu de nous, de par notre rang, notre statut, notre image ou à ce que font les autres dans des circonstances semblables dans leur intimité. J'ai le droit de fermer la porte des toilettes et de m’y retrouver seul dans mon intimité. Mais si, parce que cette intimité est un droit culturellement compris( il y a eu des époques et des endroits où on ne s’enfermaient pas aux toilettes) on en prend prétexte pour y aller sodomiser son cochon d'Inde, alors bien sûr, la revendication du droit à la vie privée n'est qu'un masque grossier, et son usage collectif tel qu'on a conditionné les Français à le débiter de façon hydraulique, un mythe de façade ou de dénégation. Ahandessi Berlioz

Nigeria : Le Deuxième Scud du Général Obasanjo

“Je me mets en Réserve du PDP jusqu’à Nouvel Ordre”

Kufuor monopolised corruption for himself – Rawlings

Former President Jerry Rawlings has accused his successor, John Kufuor, of monopolising corruption during his two-term tenure in office between 2001 and 2009. “The difference between John Mills and Kufuor is that Kufuor was so autocratic; they had used the military and the police to subjugate the spirit of the people that he was the only one who could do corrupt things plus his family and those he would allow, and he would jail anybody else who did not have his permission to be corrupt, so there was a way in which his regime looked orderly because nobody else could engage in it except himself or gave you the permission” Rawlings told XYZ News Monday when he signed a book of condolence in honour of late South African President, Nelson Mandela, at the South African High Commission in Accra. According to him, “The regime got so corrupt that America had to send the CIA boss…to come and warn Kufuor that ‘if you don’t contain your corruption, there’ll be a coup d’etat and it will be very popular and that’s why America will not be able to help you’”,

He said Parliament should have stepped in to rein in Kufuor’s unbridled corruption but failed to do so. “…So I’m just saying it to demonstrate to you that he had reached so far…That was the moment when parliament should have started preparing to impeach him. The world was waiting to hear it, to see it, but multiparty democracy lost that fine opportunity, now we are back to square one. How do we contain corruption? And it is getting out of hand” Rawlings bemoaned. continued

Quand Dieu Réunit Techniquement Obasanjo et Jonathan

M. Obasanjo faisait partie  des invités d’un service religieux le dimanche à la Chapelle de la Villa présidentielle à Abuja. M. Obasanjo a rejoint le président Goodluck Jonathan et sa femme, Patience pour le service. L'ancien président était accompagné à la villa par deux de ses filles, un de ses fils, identifié comme Juwon et un homme d'affaires, M. Femi Otedola. M. Obasanjo a fait la deuxième lecture de la bible et a dirigé une séance de prière pendant le service.

A la fin du service, l'ancien président a visité l'église des enfants et  leur a offert des prières. Il a accompagné M. Jonathan à la résidence officielle du président, où ils ont déjeuné avant que les deux hommes, jusque là à couteaux tirés,  ne se séparent. amené et trad. par Binason Avèkes

Peau Blanche Masque Noir

 

Il y a un racisme subliminal et une inadéquate conscience de soi dans le fait que les Noirs eux-mêmes sont amenés naturellement à qualifier de noir un homme ou une femme dont l'un des deux parents est noir et l'autre blanc. Cette stigmatisation à rebours n'est qu'un succédané de la «one drop rule » chère aux Américains, et qui postule que toute personne qui a une goutte de sang noir est irrémédiablement noir. C'est une approche de rejet manichéen qui n'autorise pas de terrain de conciliation entre Noirs et Blancs, et qui est entièrement centrée sur le principe de la pureté supérieure de la race blanche avec sous-jacente l'idée que tout ce qui n'est pas pur est noir. Certes dans les sociétés africaines ou parmi les populations noires d’outremer, on qualifie souvent de blanc quelqu’un qui est métis ; mais combien de fois avons-nous vu les Blancs prendre à leur compte ce genre de désignation ? Pourquoi alors jouons-nous en retour le jeu du Blanc en endossant la vision qu’il projette sur nous ?

Que les Blancs qui, dans l'histoire de leurs rapports avec les Noirs--de l'esclavage au néocolonialisme--n'ont été mus et ne continuent de l'être que par le racisme et l'antinégrisme, définissent l'identité du Noir de cette manière rassurante pour eux est une chose. Que les Noirs eux-mêmes reprennent incontinent à leur compte cette assignation négative, voilà qui ne fait qu'aggraver le soupçon de manque d'intelligence ou de discernement (la fameuse infériorité intellectuelle du Noir) qui est l’un des lieux communs du racisme occidental en général à l’égard des peuples non occidentaux et du racisme anti noir en particulier. Amida Bashô

Nigeria : Goodluck Somme Sanusi Lamido de Démissionner

Le président Goodluck Jonathan a demandé au Gouverneur de la Banque Centrale du Nigeria ( CBN ) M. Sanusi Lamido Sanusi, de démissionner immédiatement au motif que la lettre que celui-ci lui a envoyée au sujet de la disparition des caisses de l’Etat de la somme de $ 49,8 milliards des recettes pétrolières avait été divulguée à M Olusegun Obasanjo Selon l’accusation, la divulgation aurait permis à M. Obasanjo, de nourrir une des allégations portées contre lui dans sa lettre datée du 2 décembre 2014, intitulée : « Avant qu'il ne soit trop tard » que lui avait adressée l’ancien président. Mais Monsieur Sanusi qui a nié l’accusation de fuite a refusé de démissionner et a informé le président lors de leur échange téléphonique houleux qu'il ne pouvait être remercié que par un vote des deux tiers du Sénat tel que le prévoit la loi. M. Sanusi a informé le président qu'il est nécessaire de régler les problèmes posés par la disparition des fonds plutôt que de mettre l’accent sur la divulgation de la lettre dès lors qu’il a été établi que ce n'était pas $ 49,8 milliards qui avaient disparu mais $ 10,8 milliards, somme qui, en tout état de cause reste quand même colossale.

Selon une source, après l'échange, M. Sanusi aurait informé ses proches collaborateurs à la CBN ainsi que sa famille de son échange houleux avec le président, parce, qu’il sentait que sa vie pourrait être en danger du fait de la défiance qu’il avait opposée au président. Mais il semble que depuis lors des efforts aient été faits pour réconcilier le président et le gouverneur de la CBN dont le mandat expire en mars 2014, afin de créer une transition harmonieuse à la tête de la Banque centrale, gage de préservation de la confiance croissante dont jouit l'économie nigériane. amené et trad. par Binason Avèkes

Nigeria : Stella Oduah’s Honorary Ph.D is Fake

The American National Centre for Education Statistics has told PREMIUM TIMES that the Pacific Christian University, Glendale, which Aviation Minister, Stella Oduah, claimed awarded her a doctorate degree, does not exist, confirming this newspaper’s Wednesday’s report that the minister’s purported honorary Ph.D is fake. The National Centre for Education Statistics is an agency under the U.S. Department of Education. Responding to a PREMIUM TIMES’ inquiry, the spokesperson for the agency, which maintains a comprehensive and up-to-date database of all American public and private educational institutions, said, “Thank you for your inquiry. I do not see a university in our database that is Pacific Christian University in Glendale”. She however suggested that the closest to Pacific Christian University in the database might be Hope International University in Fullerton which she believed used to be known as Pacific Christian College. Contacted,  Every Delarosa of the registrar’s office at Hope International University confirmed that the institution used to be known as Pacific Christian College and not Pacific Christian University as Mrs. Oduah indicated in her resume. Even at that, Ms. Delarosa insisted Mrs. Oduah could not be referring to Hope University because the institution changed its name from Pacific Christian College in 1997 while Mrs Oduah claimed she was awarded a doctorate in Business Administration 1998. The Hope University official also explained that the institution, even when it was known as Pacific Christian College, had never had a campus in Glendale. She said the university was based in Long Beach city at the time. “We do not have any records of any candidate by the name Stella Oduah or related names,” Ms. Delarosa said, after pouring through the university record. “Whether now that we are Hope University and in the past when we were Pacific Christian College, we did not give any such person a degree here.” This newspaper had Wednesday reported that the aviation minister lied on oath to the Nigerian Senate, by claiming that a Pacific Christian University awarded her an honorary doctorate degree in 1998. continued

Comprendre l'Attitude de Yayi Boni Face à la Fraude aux Concours

Communiqué du PRD sur la situation du Bénin

Afrique : Heurt et Malheur de l’Idéologie Française

L’Afrique en Morceaux

 

Dixit : Quand la France Exécutait Froidement ses Mandela

 

Et pour finir, notez pour votre gouverne que les Mandela de ses anciennes colonies à savoir Toussaint Louverture, Sylvanus Olympio, Ruben Um Nyobé, Barthélémy Boganda, Félix Moumié, Outel Bono, Modibo Kéita, Marien N’Gouabi, Ali Soilih, Mahamoud Harbi Farah, Germain Mba, Aline Sitoé Diatta, Thomas Sankara, pour ne citer que ceux-là, ont été exécutés par cette France dont vous êtes si fière.… Dixit Farida Nabourema

Nigeria : External reserves fall by $301m as Naira loses 2 kobo

Ghana: Chinese firm to invest over $2b in Shama industrial park

hinese firm, Huasheng Jiangquan Group, is indicating it will invest over $2 billion for the construction of an industrial park in Shama in the Western Region. Speaking to Joy Business from China after a meeting to conclude the agreement, Chairman of the Huasheng Jiangquan Group, Wang Ting Jiang said the firm is doing this because of Ghana's political stability. Mr Jiang commended Ghana for the peaceful business atmosphere which, according to him, allows for investors to recoup their investments. Plans to build an industrial park in Western Region are part of efforts to make Takoradi the second hub for industrial activates in Ghana apart from Tema. Construction on the economic industrial park is expected to begin in June this year.

About 5,000 direct jobs are expected to be generated from the construction of the park. Trade Minister, Haruna Idrissu, told Joy Business the move would open up the Western Region for more investments especially in the area of infrastructure and port development. The $2 million investment project according to the Minister will not a government loan or government guaranteed loan, adding that "they (Chinese investors) are coming in purely as an investor". continued

Proverbe Yoruba du Jour

Ibi ti a ti ǹpìtàn ká tό jogún, ká mòn pé ogún ibè ò kanni

Là où nous sommes obligés de réciter toute une généalogie pour prouver notre droit d’héritage, nous devons savoir que nous n’y avons aucun droit patrimonial

Moralité On n’a pas besoin d’un long discours pour établir ses droits légitimes Alao Bissiriou supra