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Sous couleur et prétexte d’être venu parler du port et du chemin de fer, en vérité Monsieur Bolloré auquel Yayi ne cessait de donner du “Monsieur le Président” preuve que d’un point de vue françafricain, le vrai président du Bénin, c’est lui, eh bien Bolloré sous ces alibis, en vérité était venu auditionner Yayi pour son coup de pied au cul à Talon,qui en vérité est son Premier Ministre là où Yayi n’est qu’un simple chef de cabinet…… Voici photographié ci-dessous un instant de leur conversation secrète… Tête à tête de vérité, entre le patron blanc et son boy…
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Facing hardship, families in Benin are sending their children to work in sometimes brutal conditions in neighbouring Nigeria
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The abuse Timothy Goudjana suffered as a teenage labourer in Nigeria still haunts him. But decades later, he sent two of his own children, at a much younger age, to a similar fate. Human trafficking is the world's fastest rising organised crime. Each year, 4 million African children – equivalent to Liberia's entire population – are traded for labour before their 15th birthday. Most come from villages like Zakpota, in central Benin, where hundreds of parents – pushed to the wall by destitution – send their children to neighbouring Nigeria. The working child, it is hoped, will bring in money, and be one less mouth to feed. "It's a last recourse, a survival strategy – parents see it as a way for children to contribute to the family," says Jean Lokenga, Unicef's chief child protection specialist in Benin. With almost half the country's population plunging below the poverty line in the past decade, parents who ranged west Africa for work in their 20s are sending sons and daughters away at half that age. In Zakpota, the flames of hardship are fanned by a brutal history. "Since ancient times people trafficking has been well organised here," Lokenga explains, referring to the vast pre-colonial Dahomey kingdom that grew rich on trafficking captives to European slave buyers. |
These days, a trusted member of the community known as a "patron" – French for master – will typically place a child abroad in Nigeria or Gabon for two years after handing over about $200 in cash. Back home, their scanty wages buy sacks of rice and fertiliser, and pay off crippling debts. Saved carefully, the proceeds buy luxuries such as a bicycle or tin roof. Some children earn enough to return as patrons themselves. As his family scraped by, Goudjana buried the memories of three years in a Nigerian quarry breaking stones with a crude hammer, eating thin cassava porridge once a day. "Then one year there was nothing to eat, no way to survive," he says, sitting in the shade of his mud hut. |
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Mon Idéo Va, Court Vole et Tombe sur…
BRITISHAFRICA
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Ghanaian company that is working to reinvent the economics of sanitation in the developing world. As part of this project, Chandran is developing an innovative technology to transform fecal sludge into biodiesel fuel and is working on converting a waste-processing facility into a biorefinery. “This is a very exciting project for us,” said Chandran. “We are aiming to create a next-generation urban sanitation facility that will set new standards and serve as a model around the world. With the capacity to receive and treat 10,000 liters, or 2,500 gallons—a full sanitation truck carrying concentrated fecal matter from at least 5,000 people—of fecal sludge per day, this facility reaches way beyond the lab scale.” |
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L'espace yoruba, qui déborde sur le Bénin voisin actuel, n'a jamais connu d'unité politique. Les cités-royaumes yorubas ont coexisté ; certaines sont restées modestes non sans rayonner artistiquement (Owo), d'autres ont connu un destin politique plus glorieux, voire impérial. L'apogée d'Ife précède de quelques siècles celle d'Oyo, alors que le royaume edo-yoruba de Bénin, qui émerge au même moment qu'Ife, ne connaît pas la même éclipse. Sans disparaître, les cités-royaumes yorubas se replient, ouvrant la voie à l'émergence de leurs rivales. S'il existe une communauté culturelle yoruba (une origine mythique partagée, un centre religieux commun à Ile-Ife, un panthéon commun mais qui valorise |
différentes divinités selon l'endroit, un continuum dialectal marqué parfois par de fortes différences) caractérisée par la proximité de ses systèmes politiques (les institutions de gouvernement, le roi [oba], les conseils de chefs), il n'y a jamais eu d'unité politique de l'espace yoruba, ni de « pays yoruba », ou Yorubaland. Les productions artistiques à Ife ou à Bénin attestent autant d'un registre partagé que de fortes spécificités locales et ce, à plusieurs siècles d'intervalle. Ces cités-royaumes apparaissent vers le IXe s.-XIIe s. Le site d'Ile-Ife est occupé dès le VIIIe-Xe s. Le royaume se développe et atteint son apogée au XIVe s., alors même que les artisans de la cité-royaume produisent les terracottas et les bronzes qui ont fait la célébrité de la ville depuis les années 1930. L'apogée de la sculpture à Ile-Ife et l'introduction de la technique du bronze au Bénin datent probablement des XIIIe-XIVe s. Au XVe s., Ile-Ife décline alors qu'Oyo commence à étendre son emprise territoriale sur ses voisins yorubas et en direction du Niger. Le royaume est né à la fin du XIVe s. d'une migration yoruba qui colonise le site d'Old Oyo au cœur d'une zone fertile et au carrefour des routes de commerce de la savane et de la forêt. Grâce à sa cavalerie, il soumet les cités yorubas de la savane. Le royaume est à son apogée à la fin du XVIIIe s., quand il subit l'invasion peule-haoussa d'Ousmane dan Fodio qui provoque la destruction d'Old Oyo et la fuite de l'oba, contraint de refonder sa ville plus au sud au début du XIXe s. Ces migrations forcées et ces refondations urbaines sont le lot commun de nombreuses communautés : Ibadan, Ogbomosho, Abeokuta, Ijaye sont aussi des fondations nouvelles. L'appétit de puissance des chefs de guerre d'Ibadan plongea l'espace yoruba dans les guerres entre cités pendant toute la seconde moitié du XIXe s. Ibadan y gagna de reconstituer un empire qui céda à la fin du XIXe s. devant les Britanniques et la coalition de ses ennemies, Abeokuta et Ijebu. |
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The 340 megawatts (MW) Kpone Independent Power Project at Kpone near Tema at the cost of $600 million, has taken off. The power plant which has a nominal capacity combines cycle gas turbine technology using GE frame 9E gas turbines, will operate on both natural gas and liquid fuel to ensure high and continuous power supply. Cenpower Generation Company Limited, a Ghanaian Company is undertaking the project, the Ministry of Energy said in a statement issued in Accra and copied to the Ghana News Agency on Friday. The Ministry described the project as a significant milestone in a journey which began in 1999, when the initial preparatory work started towards the construction of the thermal power plant at Kpone by a Ghanaian Independent Power Producer (IPP). |
Rand Merchant Bank, a division of First Rand Bank Limited has been appointed as the mandated lead arranger of the debt funding for the project with support from the export credit Insurance Company of South Africa under the Department of Trade and Industry. The statement said Africa Finance Company (AFC), Infraco Limited, and Cenpower Holding Company limited (CHL) are shareholders of the project. The 76 per cent ownership by AFC and CHL makes the power plant one of the largest African Private Sector owned power project continued |
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Toi l’enfant du destin si une chose t’est destinée même si tu n’y cours pas après, tu l'auras. Si quelqu'un te fait du tort ou du mal, pardonne-lui. Célibataire qui languis de solitude, un jour tu finira par trouver l'âme soeur. Et toi, homme politique ! Le peuple qui selon les rumeurs te rejette, eh bien contre toute attente c'est ce même peuple que tu finiras par diriger ! La famille dans laquelle tu passes pour le méchant, tu en seras le chef. Chaque chose en son temps, et quand l'heure arrive on n'y coupe pas. La raison pour laquelle je dis cette vérité, en voici l'explication. Attention qu'on ne s'y méprenne pas : ceci n'est pas une incitation à la paresse. Que le Zemijan qui m'écoute n'aille pas garer son engin et croiser les bras. Je ne fais pas l'apologie de la paresse ni de la passivité. Ce que je dis c’est que si quelque chose t’est destiné, tu l’auras, quoi qu'il en soit. Voici une éloquente illustration de cette vérité
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Rédigé à 23:01 dans Litté | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
A quiet agitation in the rice sub-sector of the Nigerian economy is gradually turning into an open groaning. LAYI ADELOYE writes on the concerns of stakeholders for the nation’s economy, as smuggling becomes more brazen Although Nigerians consume about 5.5 million tonnes of rice annually, the country only produces about 3.5 million tonnes, according to statistics obtained from the International Rice Centre. The shortfall is much, which has warranted unavoidable importation of the commodity over years. But dubious businessmen have continued to capitalise on the supply gap to frustrate genuine efforts aimed at boosting local production. Stakeholders believe that if the flanks through which the product is smuggled are closed, it would be a big incentive for the local farmers to produce more, and subsequently meet local demand for rice. On the other hand, the situation would bring more revenue to the coffers of the Federal Government in terms of duties paid by genuine importers, who would import to bridge the demand gap. But smuggling has remained the bane of the industry, according to recent declarations by importers, distributors, farmers and other stakeholders in the rice value chain in Nigeria.
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In Nigeria, in addition to its value addition to the economy, rice business is said to be offering direct employment to not less than four million people nationwide. However, if the current situation in the sub-sector is anything to go by, these jobs face a huge threat. Investigations show that the threat is posed by smugglers, who have been capitalising on porous Nigerian borders to flood the country with rice, while genuine importers are paying as much as 50 per cent duty. The stakeholders in the rice value chain, under the aegis of Rice Millers, Importers and Distributors Association of Nigeria, recently alerted the Federal Government to the colossal losses in accruable revenue the country had been suffering as a result of the activities of rice smugglers. |
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Rédigé à 21:28 dans Movies | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Je ne suis pas un fana de télé. Je n’en possède pas et ne la regarde qu’accidentellement. L’autre jour à Cotonou où j’étais pour des raisons littéraires, je rends visite à une amie de Segbana avant son départ dans son bled. Et il y avait la télé, l’ORTB, et c’était l’heure de l’info. Pendant que mon hôte mettait les petits plats dans les grands pour me recevoir, elle me laissa devant la télé. Et ce que je vis pendant le quart d’heure de ce spectacle involontaire avait de quoi écœurer par son culte monomaniaque de la personnalité centré autour de YAYI. On se croirait en Corée de Kim Il Sung ou à l’époque sinistre du Grand Camarade de Lutte… De ce quart d’heure de spectacle ennuyeux et loufoque, je retiens 7 Tableaux. Et puisque l’occurrence était aléatoire, il est à peu près sûr que ces tableaux peuvent être considérés comme l'ordinaire de l’Info à l’ORTB. 1. Yayi Boni Assiste à un hommage funèbre à une dame a) Homélie larmoyante et passablement éméchée b) Séance de prières et de chansons… 2.Yayi Boni reçoit M. Nago a) Embrassade b) Long quart d’heure de fayotage de Nago à l’endroit du Chef de l’Etat présenté comme une lumière et un homme d’Etat d’équité. Nago saisit l’occasion pour faire une transition vers le sujet inévitable du moment, l’affaire d’empoisonnement, qui empoisonne la vie politique du Bénin, et dont tout le monde se fout qu’il nuit grandement à l’image du pays à l’extérieur. 3. Pendant que Nago parle, on montre le Président recevant les délégations de Chinois et de Béninois… 4. Une Association se réunit pour dénoncer la tentative d’empoisonnement du Président. 5. Sujet : le Chef d’Etat major de l’Armée de terre : le Général AKPONA. La Participation des hommes en uniforme au développement du Bénin. On montre, images à l’appui, l’utilité des divers corps du génie militaire « au profit de la population ». Toutes louanges qui finissent par celle du Chef de l’Etat, grâce à qui tout cela est possible, et qui soit dit en passant est le Chef suprême des Armées…Et la boucle du one-man-show est bouclée… 6. Sujet dans un Etablissement scolaire. Le Ministre de l’Education visite une école. La Directrice remercie le Gouvernement pour les Infrastructures réalisées grâce à l’aide de l’Etat. Le Ministre de l'Education nationale, un certain ALLASSANE DJIMBA |
(un de ces noms improbables qui remplissent le paysage politique béninois et qui disparaissent tout aussitôt dès qu’on pénètre le paysage intellectuel, culturel, littéraire, musical, etc. du pays….) parle des mérites du Docteur ( YAYI BONI). La scène se passe dans les Collines et aussi dans le Nord, départements et régions des régnants et obsédés politiques notoires du pays, ceux qui sont tout avec la politique et rien sans elle -- notamment BASSILA, DJOUGOU, etc… 7. Enfin, un peu de culture. PROMOTION DU CINEMA. Cinéma dans la Cité. L’Opération est présidée par un certain Claude BALOGOUN et une jeune femme qui s’appelle SOUMANOU ( avec le climat d’obsession régionaliste qui prévaut, et l’accaparement tribaliste du pouvoir au sommet, tous les détails et patronymes ont leur importance). Et le représentant du Ministre s’appelle LATIF LOKPO… Mais rassurez-vous, braves descendants des esclavagistes fons et assimilés, vous que Yayi Boni a décidé de reléguer aux fonctions subalternes ou de valets stipendiés, parce que vos ancêtres vendaient ou sacrifiaient les Mahis et Nagos, rassurez-vous, il y a aussi un Bonaventure ASSOGBA pour garder sauves les apparences, qui du reste ne se souciaient pas d’être trompeuses… Et je me dis : où est la pluralisme qui est le propre de toute démocratie ? Et de décennies en décennies le Bénin s’arrange pour mettre à sa tête des cons qui le distraient et passent ensuite le relais à un autre con. Quand la masturbation et le bon plaisir d’un homme se substituent à la vérité de tout un peuple quand pourrons-nous nous en sortir ? Berlioz AHANDECI |
Rédigé à 21:08 dans haro, Pamphlet | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Rédigé à 19:00 dans Litté, Movies, Musique | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Rédigé à 21:46 dans hommage, Movies, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Il prit au Roi ABIPA la fantaisie de déplacer toute sa cour dans une nouvelle capitale, et pour cela, il décida de construire une ville sur une certaine colline qui lui plaisait. Quand les messagers du roi arrivèrent pour arpenter la colline, ils virent d'étranges apparitions bondissant avec des torches dans leurs mains, et criant à l’unisson : "Ko s’ayé Ko s’ayé !" (Pas de place! Pas de place!). Effrayés, les messagers prirent la poudre d’escampette et revinrent à bout de souffle au palais. « Noble Roi, Noble Roi, disent-ils, la colline est hantée par des fantômes ! »
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tuer, le roi les mit au secret et invita tous les nobles à un banquet. Après qu'ils eurent fêté joyeusement, le roi envoya à chaque noble une calebasse de bière par les mains d'un esclave. Peu de temps après la cour se retira dans la nouvelle capitale, sans aucune opposition, et désormais le roi était surnommé «le Chasseur de Fantôme".
M. I OGUMEFU, B. A, in Yoruba Legends traduction, Blaise Aplogan |
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Le Nigeria de nos rêves devrait être un Nigeria sans étalage indécent de richesse. Je vais vous choquer par cette déclaration : le Nigeria est un pays qui peut maintenir un niveau de corruption de 10% et malgré cela être en mesure de satisfaire les besoins de sa population. Mais quel intérêt y a-t-il que moins de 500 000 personnes détournent 95% de la richesse nationale juste pour la gaspiller en jets privés, voitures exotiques et des demeures qu'ils n'utiliseront jamais ? Juste une acquisition primitive de richesse. Dixit Prof Bolaji Akinyemi |
Rédigé à 22:17 dans Ilzondi | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
How a nonentity can make things worse for Nigeria
by Bolaji Akinyemi
That Nigeria was born with great and positive dreams in 1960 is accepted by all. Taking the pulse of the domestic and international opinion in 1960, there was an expectation that Nigeria was going to be a great nation because it had a large population that dwarfed the population of most of the African states, it had vast quantities of natural resources and it had an enlightened elite, that was educated and experienced. So what happened? How did the dreams of independence become nightmares? How did the Nigerian spring of fresh water become the Nigerian cascade of destructive floods? The answer is grounded in the failure of leadership. Is this not a contradiction in terms? On the one hand I claim that we had an enlightened elite and on the other hand, I claim a failure of leadership. | Let me explain. The phenomenal growth at the regional level especially after 1954 made Nigeria a nation of First-in-Africa projects, in terms of ring roads, stadia, multi-level cocoa houses, television and radio stations, free education, free health services etc. The Regions competed for development projects among themselves. |
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À quoi sert la démocratie lorsque le président peut faire ce qu'il veut en définitive, et bénéficie en cela d'une tolérance anticonstitutionnelle ? À quoi sert la démocratie lorsque son élection ou sa réélection, loin de dépendre du vote réel du peuple est le produit mixte d'intrigues violentes, résultant de fraudes en tout genre, de corruption à coups de milliards, de contrôle tarifé des institutions garantes des élections ? À quoi sert la démocratie lorsque le vote du peuple ne compte pas, lorsque le vote du peuple n'existe pas, lorsque l'organisation et la tenue des élections sont une vaste supercherie au résultat prédéterminé ? À quoi sert la démocratie lorsque l'issue de l'élection du président dépend du bon vouloir de divinités néocoloniales activement représentées par les ambassadeurs de France, de l'union européenne ou des fameux soi-disant Partenaires économiques et financiers (P.E.F.)? À quoi sert la démocratie lorsqu’il suffit que le président en exercice veille à satisfaire les intérêts de la France, les malversations de son ambassadeur, le rêve d'enrichissement personnel des acteurs clés de la nébuleuse des O.N.G. et P.E.F. pour être assuré de sa réélection ? À quoi sert la démocratie lorsque la constitution est foulée aux pieds dans sa lettre comme dans son esprit ? À quoi sert la démocratie lorsque l'idée d'alternance est anesthésiée, détournée, trafiquée et méprisée ? |
À quoi sert la démocratie lorsque la constitution fixe la durée du mandat présidentiel à 5 ans tandis que les milieux politiques constitués nationaux et internationaux tablent sur la normalité d'une durée de 10 ans et considèrent qu'il n'y a pas péril en la demeure tant que cette normalité implicite, putative et autoritaire n'est pas outrepassée ? À quoi sert la démocratie lorsque le peuple est infantilisé et l'issue des élections présidentielles dépend de décisions paternalistes, prises par-dessus sa tête dans des conclaves de trafiquants politiques nationaux et internationaux ? À rien d'autre qu'à la masturbation lexicale, abus de langage pour abus du peuple et de biens sociaux, marché de dupes, corruptions et impunité, théâtre de forme, vaste supercherie, continuation en temps moderne de l'antique domination-pillage de l'Afrique Noire. Toutes choses auxquelles l’ignorance des peuples et quelques dormitifs tarifés prêtent une apparence de réalité : mais pour combien de temps ? Bola Ajibola |
Rédigé à 11:00 dans haro, Litté | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Brève descriptionLa dense forêt sacrée d’Osun, à la périphérie de la ville d’Oshogbo, est l’une des dernières zones de la forêt primaire qui subsiste au sud du Nigéria. Elle est considérée comme la demeure d’Osun, une des divinités du panthéon yoruba. La forêt, sillonnée par la rivière Osun, abrite des sanctuaires, des sculptures et des œuvres d’art érigés en l’honneur d’Osun et d’autres divinités yorubas. La forêt, désormais considérée par tout le peuple yoruba comme un symbole identitaire, est probablement la dernière forêt sacrée de la culture yoruba. Elle témoigne de la coutume, jadis très répandue, qui consistait à établir des lieux sacrés loin de toute habitation humaine. Brève synthèse Il y a un siècle, les bois sacrés abondaient sur les terres des Yorubas : chaque ville avait le sien. À l’heure actuelle, la plupart sont délaissés, ou leur superficie a beaucoup diminué. Mais à 250 kilomètres de Lagos, au cœur d’Oshogbo, capitale de l’État d’Osun fondé il y a quatre siècles dans le sud-ouest du Nigéria, la plus grande forêt sacrée qui ait survécu au passage du temps, Osun-Oshogbo, est encore vénérée de nos jours. Dense, la Forêt sacrée d’Osun est l’une des dernières futaies primaires qui subsistent dans le sud du Nigéria. En son cœur sinuent les méandres de l’Osun, la rivière qui porte le nom de la divinité des cours d’eau, dont elle est la demeure spirituelle. Sous la frondaison, 40 sanctuaires, sculptures et œuvres d’art ont été érigés en l’honneur d’Osun et d’autres divinités yorubas, pour nombre d’entre eux au cours des quatre dernières décennies : on recense deux palais, cinq lieux saints et neuf lieux de culte disposés tout au long des rives de l’Osun, tous avec leurs prêtres ou prêtresses attitrés. Les nouveaux ouvrages d’art installés dans la Forêt d’Oshogbo en sont la marque distinctive : elle est la seule à abriter une forte proportion de sculptures du XXe siècle, érigées pour renforcer les liens entre les hommes et le panthéon yoruba et témoigner de la manière dont les villes yorubas ont été édifiées et se sont développées au contact des esprits de la forêt. La restauration de la Forêt par des artistes lui a conféré un regain d’importance : elle est devenue sacrée pour tous les Yorubas qui vivent au Nigéria, et un symbole de son identité pour la diaspora yoruba. La Forêt est un site religieux dynamique, où le culte est exercé au gré de célébrations quotidiennes, hebdomadaires ou mensuelles, selon le cas. En outre, chaque année, durant 12 jours de juillet et d’août, des processions festives s’y déroulent, qui renouent les liens mystiques entre la déesse et la population d’Oshogbo, assurant la préservation des traditions culturelles vivantes des Yorubas. La Forêt est aussi un herbier naturel où sont présentes plus de 400 espèces de plantes, parmi lesquelles des variétés locales, dont plus de 200 possèdent des propriétés médicinales. Critère (ii) : Le développement du mouvement du Nouvel Art sacré et l’intégration de Suzanne Wenger, artiste autrichienne, à la communauté yoruba, ont constitué un terrain fécond pour les échanges d’idées, qui ont revitalisé la Forêt sacrée d’Osun. Critère (iii) : La Forêt sacrée d’Osun donne l’aperçu le plus complet – et c’est peut-être aussi le seul qui subsiste – d’un phénomène jadis généralisé, qui était caractéristique de chaque établissement humain des Yorubas. Elle est aujourd’hui l’emblème des forêts sacrées yorubas et une illustration de l’appréhension de l’univers par ce peuple. |
Rédigé à 09:21 dans Press Links, Religion | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le bonheur d’être Dictateur c’est la possibilité d’ériger des vessies en lanternes, ses rêves en réalité, ses fictions en histoires collectivement homologuées. Kérékou l’a montré avec l’histoire réelle de l’assassinat du capitaine Michel Aïkpé transfiguré en récit fictif d’un adultère qui aurait mal tourné. Mais le paradigme de l’érection de la fiction en réalité par le Dictateur dans notre sous-région du Bénin est fourni incontestablement par le criminel monstrueux Gnassingbé Eyadema, père de l’actuel régnant. C’est entre autres choses pour couvrir ces crimes monstrueux que le fils avant même que le cadavre du père ne refroidisse avait été fait président avec la bénédiction des grands acteurs de la Françafrique. Le mythe de l’accident de Sarakawa est l’idéaltype réalisé de cette transfiguration de la fiction en réalité. De quoi s’agit-il ? Officiellement un avion militaire supposé transporter le Général Gnassigné Eyadema et quelques membres militaires ou civils de son régime s’écrase lors de son atterrissage à Sarakawa le 24 janvier 1974. De cette version officielle qui ne résiste ni au bon sens ni à la réalité, la seule réalité indiscutable est celle de l’avion écrasé dont certains occupants ont été tués. Mais de la version officielle le régime d’Eyadema a tiré le mythe d’un complot des milieux impérialistes français contre son régime, histoire pour ce ludion du système françafricain de paraître plus blanc que neige, de mettre en scène les dissensions qui ne manquent de surgir entre corsaires conjurés du pillage de l’Afrique. Or comme le révèle un témoin haut-placés « l'avion présidentiel transportait ce jour-là des cargaisons de matériaux de construction pour la résidence privée de Pya et comportait des tonnes de ciment, des tonnes de barres de fer, des tonnes de sable et des tonnes de graviers bien lavés. N'ayant aucune idée de la surcharge de l’avion, les pilotes militaires avaient pour destination Niamtougou. Eyadéma n'était pas à bord, il était à Kara quelques jours avant l'expédition de ces produits, pour bien les réceptionner. » C’est ce montage cousu de fil blanc qui est la réalité que le régime Eyadéma a transformé en mythe ; mythe de son invincibilité miraculeuse ; mythe de sa pureté de combattant africain pour les intérêts du peuple du Togo, mythe de son amour pour le Togo contre ses ennemis et exploiteurs blancs. La distance qui sépare le mythe de Sarakawa de la réalité se structure sur trois niveaux de vérisimilitude. |
Au premier niveau, il y a le fait brut d’un crime crapuleux, qui consiste à faire un montage centré autour d’ un accident d’avion meurtrier. Deuxièmement, il y a le fait que l’accident peut être considéré comme un accident banal, comme tout avion peut en subir, et dont le Dictateur qui n’était pourtant pas au nombre des passagers sera érigé en l’unique survivant, au détriment des vrais survivants, véritables miraculés de son complot-sacrifice. Enfin le troisième niveau consiste à retourner ce crime en attentat contre la personne du Dictateur alors qu’il en est lui-même le cerveau… Cette érection de la fiction en réalité avec les moyens d’information et d’objectivation dont dispose un État est un idéaltype, modèle déposé qui porte la marque de fabrique du régime Eyadema au Togo. Or Monsieur Yayi qui a intériorisé le modèle Béninois et Togolais n’a de cesse de les reproduire. L’affaire de l’empoisonnement autour de laquelle Monsieur Yayi et ses thuriféraires mobilisent le peuple et abuse de sa candeur au lieu de le mettre au travail, cette affaire aussi absurde et pathétique qu’il paraît, appartient au genre du récit de transfiguration politique qui fait le bonheur des Dictateurs. Être dictateur c’est pouvoir se payer le luxe d’accrocher dans la conscience collective quelques tableaux fictifs dont on décrète le statut de réalité en dépit de leur nature grotesque. Prof. ATSIKE Bonaventure |
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The founding father of Premier League side Real Tamale United, was pronounced dead at the Korle Bu Teaching Hospital in Accra. He was 66. Mahama has become the second high profile personality to have died in a spate of five months after president John Evans Attah Mills passed away on July 24. Rumuors of his death were rife in the media on Wednesday after it emerged he was on life support at the hospital for the past ten days but finally gave up the ghosts this morning. | The humble, gentle and affable Mahama was the Vice President for eight years under the erstwhile Kufuor administration. Ghana President John Dramani Mahama has declared a state of rmourning in the wake of the disaster. |
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More knocks than commendation have continued to trail the recent revelations that of the 13,00 applications received, six Ph.D, 704 Masters and over 8,460 Bachelor degree holders applied for the Graduate Executive Truck Driver of Dangote Group of Companies. According to the Chairman of Dangote Group, Aliko Dangote, most of the applicants are from reputable universities and our plan is to eventually make them self dependent. The drivers will get trip allowances on each trip along with their salaries, and will own the trucks at no interests or repayments after they must have reached 300,000km, (about 140 trips from Lagos to Kano) within two to four years. Despite these pecks attached to the job, concerned stakeholders believe that more still needs to be done by government to create employment and the enabling environment for the organised private sector to employ more people. | In his reaction, VC, Bells University of Technology, Ota, Ogun State, Professor Isaac Adeyemi, called for the need to evaluate the PhDs. “Several schools offer PhD programmes, but what is the quality of the PhD, how do they run their post-graduate programmes, in what fields and where? Assuming they obtained the PhDs from reputable institutions and in relevant areas, have they sought employment in the universities, polytechnics, colleges of education etc.” |
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LE HONTEUX PROCES CONTRE Me LIONEL AGBO DEVRAIT S’ARRÊTER IMMEDIATEMENT ! Depuis le 25 septembre 2012, Me Lionel AGBO, ancien conseiller spécial juridique et ancien porte-parole de la Présidence de la République est poursuivi pour « délit de complicité de diffamation au préjudice des nommés Véronique BRUN HATCHEME, Emmanuel TIANDO, Eugène DOSSOUMON » (Cf. exploit d’huissier de Me Maxime René ASSOGBA, huissier de justice en date du 25 septembre 2012) et de « complicité de délit d’offense » au Président de la République, (cf exploit d’huissier de Me Soulemane Bello, huissier de justice en date du 1er octobre 2012). Me Lionel AGBO, faut-il le rappeler, a été traduit en justice pour avoir tenu des propos sur «la grande corruption» dans l’entourage du chef de l’Etat lors d’une conférence de presse qu’il a animée le 18 septembre 2012 au Codiam à Cotonou et qui a été retransmise en particulier sur la Chaine de la télévision Canal3 Bénin. Se prononçant sur les limogeages dans l’affaire de corruption dans le dossier du port sec de Tori, Me Lionel AGBO avait déclaré : « Cela fait des lustres que les justes car il y en a au palais de la Présidence s’évertuent, s’ingénient à vous dire qu’il y a un groupe d’hommes autour du Chef de l’Etat qui est plus pourri qu’un pourri….. Moi, je ne suis pas surpris. Qu’on vienne jeter en pâture quelques cadres qui ont pris de l’argent- je dis que c’est malhonnête. Pourquoi ? Parce que je sais que dans ce palais là que je connais il y a des hommes et des femmes qui ont fait fortune, un petit groupe ; ils sont milliardaires. Et je dis très humblement avec toute la déférence que je dois au président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement ayant à charge la défense, je lui dis qu’il sait que je sais et il sait ce que je sais qu’il sait.» Voilà les propos, dits « très humblement avec toute la déférence » due et que pourtant Boni YAYI juge offensants pour son autorité et à sa suite dame BRUN HATCHEME, Messires Emmanuel TIANDO et Eugène DOSSOUMON (respectivement Directrice de cabinet, Secrétaire Général de la Présidence et Secrétaire du Gouvernement) jugent diffamatoires pour leurs personneEn résumé, Me Lionel AGBO est poursuivi pour « complicité de diffamation et d’offense » au Chef de l’Etat et à son entourage pour avoir dit publiquement, le 18 septembre et relayé par une chaine de télévision au Bénin qu’à la présidence de la République, il y a des corrompus. Bien. Mais voyons ce qu’a déclaré Mr Louis Philippe HOUNDEGNON, le commissaire central de Cotonou sur la chaine de télévision nationale, ORTB, le mercredi 24 octobre 2012 en tant qu’invité du journal de 20 heures. Venu pour convaincre les populations que l’annonce, le 22 octobre 2012, de la tentative d’empoisonnement du Chef de l’Etat n’était pas des rumeurs, il dit à propos de Mr Patrice TALON : « Vous n’avez pas appris qu’il a en main la Présidence de la République…Il a réussi à joindre la gouvernante et certaines personnes de la délégation présidentielle..». Le Commissaire central de Cotonou, Philippe HOUNDEGNON ne peut ignorer ce que signifie que quelqu’un (d’extérieur) a en main une institution d’Etat. Par conséquent, si, selon le commissaire central de Cotonou, Mr Patrice TALON, un entrepreneur privé, « a en main la Présidence de la République », cela veut-il dire autre chose que l’entourage du Président de la République (et lui-même) sont aux ordres d’intérêts privés et sont donc pour le moins corruptibles voire corrompus ? Me Lionel AGBO a-t-il dit quelque chose d’autre ?! Alors, le Parti communiste dit : Que cesse ce procès odieux, arbitraire et honteux ainsi que toute poursuite et tracasserie contre Me Lionel AGBO ! Cotonou, le 13 novembre 2012 Pour le PCB Le Porte-Parole Jean Kokou ZOUNON |
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Au cimetière Pk 14 route de Wida, jour de la Toussaint. Vacarme, foule grouillante de mille et un vendeurs, de mille et un articles se rapportant au thème du jour : « la fête des morts ». Chacun donnant de la voix, hélant, bêlant, criant, proposant son service ou son produit : fleurs artificielles, bougies, missels, allumettes, "pure water", beignets en tout genre ; tout cela dans une grouillante concurrence où on se demande comment tant de gens puissent chacun tirer son épingle du jeu, qui n'est qu'une infinie répétition ou imitation de la même chose. Pour une raison socio-économique hélas portée à l'indigence, le Béninois moyen ne jure que par l’imitation de son semblable. Ainsi, dans les métiers ordinaires proposés celui du tailleur/couturière, du coiffeur/coiffeuse sont les plus prisés. Aussi, dans chaque von, chaque rue, vous verrez invariablement les mêmes boutiques de tailleur, les mêmes boutiques de couturière, les mêmes salons de coiffeurs ou de coiffeuse. Et ce en nombre illimité, un nombre sourd ou aveugle à sa signification et ne tenant pas compte de l'effet de seuil. Dans ces conditions, lorsque le Béninois ne cherche qu'à imiter son prochain, comment voulez-vous qu'une activité--fût-elle artisanale ou commerciale--puisse être le moins du monde rentable ? Le Béninois ayant la culture de la jalousie chevillée au corps et à l'âme, pertinent est le soupçon que cette compulsion à l’imitation ne soit qu'une forme ouverte et fermée à la fois de destruction/déréalisation de l'autre par dilution dans la marée mimétique du même, la duplication systématique, qui fait qu'un promoteur qui innove se voit très vite noyé par un flot d'imitateurs désirant eux aussi faire la même chose, si bien--ou plus exactement si mal--que ni le modèle, ni le flot de ses imitateurs ne parviennent à rien de viable ! Ce mimétisme hypersocial qui tend à la limite à devenir antisocial, est d'une ruineuse réalité qui caractérise hélas la psychosociologie, ainsi que la socio-économie du Bénin. Elle s'exprimait fiévreusement dans le marché spontané et grouillant, mobile et agile qui mouvait à la |
devanture du cimetière où gît maman--Pk 14, route de Wida. Le cimetière était relativement plein. À l'entrée, je retrouvais l'ambiance de ce froid matin d'il y a sept ans où le cercueil contenant la dépouille de maman y a été amené et mis en terre. Je reconnus le petit local administratif à l’entrée où les agents municipaux renseignant sur, confirmant ou vérifiant l’adresse de la dernière demeure du corps quelque part à la frontière nord du cimetière. À l'intérieur, les divers racoleurs s'échinaient à proposer leurs services : laveurs de tombe, débroussailleurs, groupes musicaux proposant une animation plus ou moins longue avec fanfare et tambour. Au nombre de quatre ou cinq, chaque groupe se distinguait à son uniforme qui lui donnait l'air d'un orchestre. Deux ou trois fanfares, deux ou trois tambours précédés d'un négociateur--celui qui, de tombe en tombe, allait négocier avec les familles, le petit quart d'heure de divertissement. Musique colorée et facilement identifiable, fatalement entraînante au son de laquelle C. et V. n'hésitèrent pas à se trémousser de joie devant la tombe de Maman, que les laveurs et débroussailleurs venaient de requinquer en deux coups de cuiller à pot… |
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Tope Alabi, de son vrai nom Patricia Temitope, est née le 27 Octobre, 1970 dans l'Etat de Lagos. Elle a également travaillé au NTA Canal Tejuosho 7 (maintenant NTA Channel 10, à Lagos) entre 1990 et 1991. Tope Alabi a été invitée par différents auteurs, réalisateurs et producteurs dans l'industrie du cinéma Yoruba à écrire et jouer des pistes sonores de leurs films, elle a à son actif à ce jour, environ 350 bandes sonores qu’elle a composées pour différents films du cinéma Yoruba. Ce qui fait de Tope Alabi une véritable pionnière des musiques de films dans l'industrie Yoruba Home Video. Famille Tope Alabi et Soji partagent et croient en la même vision et les mêmes buts et le Seigneur les a aidés dans ce sens. Grâce à leurs efforts conjoints, le Seigneur a permis à Tope Alabi et Soji d'établir les STUDIOS JOHNPAT, (leur propre studio) à Lagos, au Nigeria. Ce nouveau studio aidera à améliorer leurs productions. Il sera également une bénédiction pour les artistes à venir. Aguemon Bachirou |
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LAGOS, Nigeria (AP) — Nobel laureate Wole Soyinka on Friday dismissed calls for peace negotiations with the radical Islamist sect known as Boko Haram and said Nigerian society is at stake in what he described as a war for survival. Nigeria's northeast remains under almost daily attack by the sect, which is blamed for killing more than 740 people this year alone, according to an Associated Press count. Three police officers died in an apparent bombing carried out by the sect in Yobe state early Friday morning, officials said. |
Soyinka, a 78-year-old playwright and essayist, was once marked for death by one Nigerian military ruler. He has both has feuded with and befriended others. Africa's most populous nation now has a civilian government, though the military remains a powerful behind-the-scenes force. continued |
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A day after policemen shot and killed a commercial motorcyclist popularly known as Okada at the Ilupeju area of Lagos State, similar incident happened Wednesday in Ketu. However, conflicting reports said it was not a commercial motorcyclist that was shot dead but a commercial bus conductor at the Tipper Garage in Ketu, along Ikorodu Road. Although, the cause was yet to be ascertained, it was gathered that the victim was allegedly shot dead by policemen attached to the Ketu Police Division. |
Meanwhile, THISDAY gathered that the commercial motorcyclist who was shot on Tuesday at Ilupeju died yesterday due to loss of blood. The incident has brought the total number of commercial motorcyclists so far shot by the police in two weeks to five, thereby raising fears of a volatile protest by the riders. |
Rédigé à 21:53 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 21:47 dans Movies | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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ancienne colonie à laquelle la France aurait octroyé l’indépendance… Cherchez l’erreur…Avoir été colonisé par la France en Afrique noire est une calamité, un malheur indécrottable de laquelle nous ne pouvons nous extirper sans une violence radicale de libération, que la France, d’une manière diabolique travaille jour et nuit à avorter… Misère d’être Francophone… Amida Bashô |
Rédigé à 21:15 dans haïku | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Une Analyse du Prof. Cossi Bio Ossè
Le président Béninois écrit, on l'a compris, à double titre. Dans son paraphage, il gratifie son illustre correspondant des qualificatifs de « Cher Ami » et « Frère ». Mais peut-on sincèrement être le frère d'un régionaliste sans être de la même région que lui ? Il serait intéressant d'enquêter sur les vraies origines du père de Barack Obama. Peut-être que sous couleur de Kenyan, est-il au fond un Tchabè originaire de Tchaourou et installé dans le pays des Luos depuis une ou deux générations ? Pour ce qui est de l'amitié chère, toute rhétorique diplomatique mise à part, Yayi Boni considère-il vraiment Barack Obama comme ami, lui dont la définition de l'amitié -- qui inscrit en creux celle de l'inimitié -- concerne exclusivement toute personne physique ou morale susceptible d'être utile ou instrumentale à sa perpétuation au pouvoir ? En effet, loin d'être un signe de joie, la réélection de Barack Obama est pour M. Yayi, en raison de son projet à peine secret, un cauchemar. Son projet ? Eh bien, ses lubies de perpétuation au pouvoir par bidouillage de la constitution, rêve de réussir là où le vieux Wade s'est cassé la figure et les deux ou trois dents qu'il lui restait ! Pourquoi ? Parce que Barack Obama, qui est arrivé au pouvoir en 2008 -- soit bien après Yayi Boni--a vu de ses yeux le maintien au pouvoir de ce dernier dans des conditions frauduleuses sur lesquelles il a fait mine par paternalisme de fermer les yeux. Par paternalisme parce que les meilleurs Blancs en Occident considèrent que la démocratie est dans ses balbutiements en Afrique -- pour les pays qui veulent bien faire leurs ses valeurs et ses règles. Dès lors, la réélection constitutionnelle d'un président africain, même dans des conditions farfelues et théâtrales, ne devrait pas être un casus belli ; mais une éventualité contractuelle à soutenir, assortie de la garantie du respect de la constitution et de l'obligation de l'alternance. Dans ces conditions, d'avoir été lui-même le témoin et le garant de ce contrat tacite, Barack Obama ne pourrait, au risque de se déjuger en tant que démocrate constructiviste, accepter que Yayi Boni veuille -- et quel que soit l'artifice utilisé --se présenter à des élections en 2016 |
ou tout simplement conserver autoritairement le pouvoir en dévoilant sa face dictatoriale jusque-là cachée à ses «frères et amis » de l'Occident, bien qu’il n’eût de cesse de la montrer en plein jour à son propre peuple. Yayi Boni parierait volontiers sur l'amnésie de l'État américain dès lors qu'un nouveau président, au demeurant venant de l'opposition, aurait relayé Barack Obama. A celui-là, à coups de génuflexions et de flagornerie, la main sur le coeur, il pourra faire croire à la virginité de ses intentions démocratiques et respectueuses de la constitution. Mais à Barack Obama, niet ! À moins de prendre le risque de se trouver à la Haye comme certains de ses vrais « frères » qui l’y ont déjà précédé, Yayi Boni devra faire une croix sur ses projets de bidouillage de la constitution pour rester au pouvoir 15 ou 20 ans alors que comme Barack Obama ou François Hollande qui seraient amenés, le cas échéant, à entériner la recevabilité politique et géopolitique d'un tel projet, ne pourraient eux-mêmes pas excéder dix ans au pouvoir ! Après l'élection de François Hollande en France, très peu enclin à être sensible aux génuflexions des dictateurs aux petits pieds de petits pays sans enjeux comme le Bénin, et encore moins à la danse du ventre françafricaine, l'élection de Barack Obama, mine de rien, vient de sceller la mort du rêve de perpétuation au pouvoir de M. Yayi. De ce point de vue, la joie évoquée dans sa lettre de félicitation à Barack Obama pour sa réélection, au-delà de toute rhétorique diplomatique, cache bien la tristesse profonde et l'embarras d'un homme pris dans la nasse de ses arrière-pensées, de sa bassesse éthique et politique. Prof. Cossi Bio Ossè |
Rédigé à 15:22 dans Critique, porque | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Amida Bashô |
Rédigé à 09:22 dans haïku | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 20:46 dans haro | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 08:37 dans haro, Movies | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 14:07 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Ghana has reduced by 87 per cent the number of people undernourished in the country over the past two decades due to improved investment in agriculture.
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In 2010, Ghana’s real Gross Domestic Product (GDP) growth rate pegged the agricultural sector growth at 5.3 per cent up from 4.8 per cent. |
Rédigé à 23:42 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Intervention du Parti Communiste du Bénin à la cérémonie de lancement de la campagne contre l’hommage à rendre à une calamité nationale, Mathieu KEREKOU
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Lire la suite "Le PCB contre l’hommage au si Vil KEREKOU " »
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Depuis que le vent mauvais de Yayi a commencé à souffler sur le Bénin, la prison est entrée en scène comme lieu stratégique d’évacuation de l’obstacle politique. Cette technique a présidé à l’avènement du pouvoir actuel. Sans qu'on soit parvenu jusqu’à présent à déterminer la manière dont la chose a été manigancée un peu à l’orée de 2006, c’est cette technique qui a permis d’éliminer Rachidi Gbadamassi du circuit politique du Nord. Elimination carcérale à double détente, puisqu’un crime a été commis dans un premier temps, et le sujet-obstacle désigné a été, dans un deuxième temps suspecté d’en être l’instigateur, et des lors jeté en prison. Ce qui ouvrit la voie à, et facilita l’accaparement politique du Nord par Yayi Boni. Comment dans ce cas, surtout au vu du piétinement de l’enquête sur l’assassinat du juge Coovi, ne pas suspecter ceux qui avaient intérêt à voir éliminé le suspect désigné, d’être in fine les vrais instigateurs de ce meurtre mystérieux aussi crapuleux que politique ? Et, continuant – comment changer une technique qui a montré son succès ? – sur la même voie prémonitoire à son entrée en scène politique, Yayi Boni, devenu Président de la République, manie la prison sans retenue. On ne compte pas le nombre d’ennemis plus ou moins imaginaires, d’empêcheurs de fantasmer en rond qu’au nom de la lutte contre la corruption ou de la bonne gouvernance Yayi Boni a envoyés en prison. De Sefou Fagbohoun à Pierre-Simon Adovèlandé en passant par Clément Gnonlonfoun, et autre Andoche Amègnissè. Et ces derniers jours, les Talon, Agbo, Todjinou, et autres Moudjaïdou ont eut maille à partir avec la manie d’emprisonnement de Yayi Boni, à des titres divers et des durées plus ou moins longues. Le plus souvent, pour des motifs controuvés, spécieux, douteux ou rocambolesques. L’une des instrumentalisations la plus crapuleuse de la prison à des fins politiques opérée par Yayi Boni est celle qui, d’une manière écœurante, et proprement révoltante, à la veille des fêtes de Noël, envoya Simon-Pierre derrière les barreaux, et ce sans aucune nécessité formelle, quel que soit ce qui pouvait être reproché à l’intéressé. De même, Pascal Todjinou le chef syndicaliste vient de goûter aux joies de l’embastillement autoritaire sous Yayi pour des raisons tirées par le cheveu. Ce qui aurait pu au pire faire l’objet d’un avertissement ou d’une amende donne lieu à l’application de lois obsolètes sur lesquelles le Gouvernement et ses tenants s’arcboutent comme s’ils n’avaient rien d’autre à faire que de recycler les vieux parchemins de la loi. Le but de ces mesquineries autoritaires est de sévir contre ceux qui empêchent ou pourrait empêcher les tenants du pouvoir d’exécuter leurs projets antidémocratiques et tyranniques, de tripatouillage de la constitution pour s’éterniser, voler l’argent public, piller les biens de l’Etat en toute impunité ! Et, comme la médiocrité de leur bilan saute aux yeux, il faut éliminer, autant que faire se peut |
tous ceux qui apparaissent comme son révélateur ou une alternative crédible. Comme dans un rêve on élimine par tout moyen tout ce qui nous empêche de jouir, ou qui menace notre tranquillité – depuis Freud, on sait que le rêve est le gardien du sommeil. Alors fidèle à son autoritarisme nocturne et à son noctambulisme autistique, Yayi Boni fait recours à la prison, comme jadis les rois faisaient des sacrifices humains pour assurer la paix de leur règne. Dans sa main, la prison devient un paramètre d’épuration politique, un frigidaire ou même une fourrière politique. La belle preuve du caractère politique des emprisonnements opérés par Yayi depuis 2006 c’est leur inspiration régionaliste. Comme par hasard toutes les victimes ou presque de sa compulsion à emprisonner se recrutent parmi les Sudistes : Sefou Fagbohoun, Andoche Amègnissè, Clément Gnonlonfoun, Pierre-Simon Adovèlandé, Todjinou, Talon, Somassè, Agbo, etc.. Quelles que soient les raisons invoquées, aucune de ses victimes n’est ni du Nord, ni de son camp politique. Et pourtant la corruption ou le mal, sinon le crime ne sont l'apanage ni d'une région ni d'un camp : ils ne sont ni politiquement ni ethniquement déterminés. Nous sommes tout simplement en face d’un arbitraire, une dérive tyrannique des principes de la Démocratie, une personnalisation du pouvoir soumis aux caprices oniriques d’un prince ténébreux. Toutes choses qui mettent à mal l’unité nationale et la paix. L’instrumentalisation des institutions de la République à des fins politiques est antidémocratique. L’usage de la prison comme fourrière politique au mépris des libertés individuelles est un crime moral et anticonstitutionnel. Aminou Balogoun |
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Tout comme les cent jours, les jeunes «panafricains» du cercle de réflexion n’ont pas voulu passer sous silence l’an 1 de l’assassinat du Guide de la révolution libyenne, Mouammar Kadhafi. A travers une conférence-débat grand public, ils ont salué la mémoire de Kadhafi. 20 octobre 2011-20 octobre 2012. Il y a un an que Mouammar Kadhafi, «au nom de la démocratisation de la Libye voulue par la Communauté internationale» est tué à Syrte, sa ville natale, dans des circonstances non encore élucidées. Pour commémorer l’an 1 de la mort du «Guide visionnaire», le cercle de réflexion «Agora», une organisation de jeunes ayant pour slogan «penser pour se construire, se construire pour une Afrique digne» a organisé samedi dernier sur le terrain d’handball de l’Université d’Abomey-Calavi, une conférence-débat grand public. Autour du thème : «La Communauté internationale et la démocratie par le feu», une communication présentée par le Révérend pasteur Bruno Symahou Ahouamagnagahou pour introduire le débat |
modéré par Simon Oluwafèmi Kochoni. Dans sa communication, le révérend pasteur Ahouamagnagahou qui présente Mouammar Kadhafi comme un «modèle», a dénoncé les actions des pays occidentaux qui, sous la banière de la Communauté internationale, sont intervenus par les armes en Libye pour mettre fin «au nom de la démocratie» à la vie d’un «Panafricain». Qui par son projet d’«Etats-Unis d’Afrique» et de Fonds monétaire africain, allait à l’encontre des intérêts des Occidentaux. Fidèle à lui-même, Kadhafi qui ne s’est jamais départi de son programme inscrit lire la suite |
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DECLARATION A PROPOS DE L’ARRESTATION ET DE L’INCARCERATION DE PASCAL TODJINOU
Le mardi 16 octobre 2012, Pascal TODJINOU, secrétaire général de la CGTB est arrêté et gardé au Commissariat central de Cotonou pour défaut d’assurance de sa voiture suite à un choc avec celle d’un autre automobiliste. Présenté le lendemain 17 octobre au procureur de la République, il est mis en dépôt à la prison civile de Cotonou en attendant son procès en flagrant délit fixé au lundi 22 octobre 2012. La nouvelle de l’arrestation et de l’incarcération et surtout du motif a suscité l’indignation et la colère des travailleurs, des masses populaires et de leurs responsables. L’arbitraire du dictateur Boni YAYI a encore frappé. Arrêter et incarcérer un citoyen pour défaut d’assurance de sa voiture à la suite d’un accident qui n’a causé le moindre dégât corporel, voilà du jamais vu au Bénin où ces de tels cas se règlent à l’amiable. Mettre quelqu’un sous mandat de dépôt, encore plus un responsable d’une confédération syndicale, (qui donc ne peut pas fuir et quitter le territoire national pour si peu), c’est un acte de torture et d’humiliation du citoyen, de provocation des travailleurs et du peuple. Pire, la raison juridique, à savoir la loi de 1965 sur laquelle le pouvoir fonde son action est complètement dépassée. Partout dans le monde, le défaut de l’assurance auto est depuis des lustres dépénalisé. Et pour cause ! Il est pour le moins paradoxal et arbitraire que l’Etat emprisonne un citoyen parce qu’il n’a pas payé auprès d’un organisme privé la garantie de sa solvabilité en cas de dommage causé par sa voiture en circulation ! Et dans le code CIMA, appliqué au Bénin, le défaut d’assurance est dépénalisé. Les avocats défenseurs du pouvoir, le procureur de la République ainsi que le commissaire central de Cotonou couvrent donc l’arbitraire flagrant par une loi obsolète, déjà remise en cause par une loi récente, le code CIMA appliqué au Bénin. Les protestations des travailleurs et des masses sont doc non seulement légitimes, mais légalement fondées. Contre la réaction d’indignation des travailleurs et de leurs responsables syndicaux ainsi que des citoyens, venus nombreux devant le Commissariat central protester contre l’arbitraire et exiger la libération de TODJINOU, le commissaire central, Mr HOUDEGNON affiche, menaçant et hystérique, la volonté du pouvoir : réprimer désormais toute protestation populaire contre l’arbitraire du pouvoir. Boni YAYI et ses sous-fifres poussent ainsi à l’affrontement. Les travailleurs, la jeunesse et le peuple savent désormais à quoi s’en tenir. Ils tirent déjà des leçons. - L’arbitraire ainsi que la torture politique se poursuivent au Bénin à cause de l’impunité des tortionnaires. Si Mathieu KEREKOU et ses réseaux de tortionnaires, Patrice HOUSOU GUEDE, Clément ZINZINDOHOUE etc, qui, 16 ans durant, ont arrêté, emprisonné, tué pour un oui ou un non des citoyens et le peuple, avaient été jugés et châtiés, l’arbitraire du genre infligé à Pascal TODJINOU et récemment à Me Lionel AGBO n’aurait plus facilement cours. - Si les travailleurs et le peuple ne laissaient pas, après avoir combattu les pouvoirs corrompus, le soin d’organiser l’avènement du nouveau pouvoir aux hommes du pouvoir corrompu combattu et/ou à des hommes venus de nulle part (comme ce fut le cas pour la Conférence Nationale de KEREKOU) mais au contraire se décidaient à lutter pour prendre le pouvoir eux-mêmes et l’exercer à leur profit, l’humiliation impunie du peuple et des citoyens aurait cessé. Le pays connaîtrait un bond en avant dans la bonne gouvernance et dans le progrès économique et social. - Enfin, tout ceci indique que les travailleurs et le peuple doivent organiser le départ immédiat du pouvoir corrompu et dictatorial de Boni YAYI. Tant que ce dictateur usurpateur des élections demeurera au pouvoir, le peuple ne sera pas en paix et le pays continuera sa descente dans la ruine. Pour l’heure, Le PCB exige la libération immédiate de Pascal TODJINOU et son dédommagement. Il soutient les travailleurs dans toutes leurs protestations et exigences. Le PCB appelle les démocrates et les travailleurs à approfondir les leçons par rapport au maintien de la dictature au Bénin. Mathieu KEREKOU œuvre en sous main à sa réhabilitation morale et à son immortalisation dans une odieuse campagne provocatrice, mensongère. Il est nécessaire que tous les démocrates se lèvent contre cette réhabilitation morale de l’horrible tyran Mathieu KEREKOU. A BAS LE POUVOIR DICTORIAL ET CORROMPU DE KEREKOU ! LIBERTE IMMEDIATE POUR PASCAL TODJINOU ! POUVOIR AUX TRAVAILLEURS ET AU PEUPLE ! Cotonou, le 20 octobre 2012 Le Parti Communiste du Bénin |
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Le Choix du nom Bénin Pour le Dahomey : ses Raisons et ses Conséquences Politiques |
« Le Nigéria n'acceptera pas de violence post-électorale à sa porte, car nous partageons une longue frontière » déclarait M. Goodluck Jonathan, le président du Nigéria, le 18 mars 2011. L'une des raisons avancées et qui alors paraissait faire sens, c'était que le nom Dahomey provenait du nom du royaume du Danhomê, qui n'était qu'un royaume parmi les nombreux autres que comptait la colonie du Dahomey, devenue en 1960, république du Dahomey. Tous les citoyens ne se reconnaissant pas dans ce nom, au demeurant porteur de rancœurs héritées du passé, en raison de la puissance prédatrice du royaume Danhomê, il était temps de trouver un autre nom qui ne rappelât aucune ethnie particulière, aucun royaume intérieur au pays, et un nom qui fît l'unanimité. C'est de là que les pseudo-historiens de la mouvance militaro-marxiste qui régentait les affaires du pays ont choisi le nom de Bénin, avec la dénomination « république populaire du Bénin ». Cette dénomination, par les vicissitudes politiques du renouveau démocratique, deviendra « république du Bénin ». Binason Avèkes. Copyright, Blaise APLOGAN, 2011,© Bienvenu sur Babilown Toute republication de cet article doit en mentionner et l’origine et l’auteur sous peine d’infraction
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The dreams of former First Lady, Nana Konadu Agyemang Rawlings, leader of the newly formed National Democratic Congress to contest this year's presidential elections on the ticket of the newly formed National Democratic Party hit a snag, after she failed to meet the EC's criteria by the close of nominations yesterday. The electoral Commission disqualified Nana Konadu for failing to properly fill out her nomination forms. By the last count, Mrs Rawlings has suffered two excruciating setbacks in a long nurtured ambition of occupying the highest office of the land, after occupying
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the position of a first lady for close to 19 years, with her husband as head of state. She suffered a humiliating defeat at the Sunyani congress, where she contested the flag bearership of the National Democratic Congress, against the then sitting President John Evans Atta Mills. Mrs. Rawlings had raised grave concerns about the conduct of the primaries which she said was fraught with intimidation and tainted with corruptio continued |
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