Cet entêtement à diriger, à se battre pour s'éterniser à la tête de pays qui n'avancent pas ou pire régressent, qui est le propre des dirigeants africains dans leur quasi-totalité a quelque chose de proprement absurde et désopilant. Il est révélateur des motivations essentielles de la tourbe infecte des politiques en Afrique : diriger pour soi, assurer son bonheur, sa gloire, son bon plaisir, sa panse et sa pitance et celle des siens immédiats, sans aucun
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sens du collectif sui generis, dans l'indifférence cynique ou aveugle de ceux au nom de et pour qui, dans la plupart des autres civilisations du monde, la politique, depuis au moins les Grecs, écrit ses lettres de noblesse qui font avancer l'humanité.
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