BABILOWN~Mawolè

Je Vous Présente Sylvestre Amoussou, un Cinéaste Africain Endogène, Intègre, Passionné et Passionnant

Janvier Yahouédéou Rassure le Bénin et sa Jeunesse, et Plaide pour une Gouvernance de l’Espoir

Le Nigeria c’est Pas Lagos, mais Quand même

Bénin, Assemblée Nationale : Liste des 42 Honorables qui ont Sauvé le Bénin

Bénin : Le Doyen Olympe Bhêly-Quenum Rend Hommage à Jean Pliya

Ma Double Rencontre avec Jean Pliya

par Blaise Aplogan, auteur de "Gbêkon Journal du Prince Ouanilo"

Bénin : Jean Pliya est Mort

Jean Pliya, est décédé ce jour.  Il avait 84 ans. Le Bénin perd un grand écrivain et un grand humaniste chrétien. Nos condoléances  à sa famille et à ses proches.  Paix à son âme. Blaise Aplogan Article associé Ma Double Rencontre avec Jean Pliya

L’Émir et le Général : Sanusi et GMB, deux Combattants Victorieux

Nigeria: Jega, l’Antithèse des Gnonlonfoun, Dossou et autres Holo

Nigeria : Quelques Images des Coulisses de la Victoire de GMB

En Mémoire de Chinua Achebe

Aujourd'hui, 21 Mars 2015, cela fait deux ans que l’icône de la littérature africaine et critique social Nigérian mondialement connu, Chinua Achebe, est décédé. L'écrivain, en effet, est décédé le 21 mars 2013 dans un hôpital de Boston après une brève maladie, laissant de nombreux Nigérians en état de choc et le monde littéraire en émoi

Obama Rend Hommage à l’Exemple de Selma

André Brink est Mort

L’écrivain sud-africain Andre Brink, engagé contre l’apartheid et auteur notamment d'Une saison blanche et sèche, est décédé dans la nuit de vendredi à samedi à l’âge de 79 ans, ont rapporté des médias sud-africains. Ancien professeur d’anglais à l’Université du Cap, il est décédé à bord d’un avion qui le ramenait d’Europe, après avoir reçu en Belgique un diplôme honoris causa de l’Université catholique de Louvain. Plusieurs fois nominé pour le Nobel de Littérature mais jamais primé, il avait reçu plusieurs prix prestigieux dans son pays et à l’étranger, dont le Prix Medicis étranger en 1980 pour Une saison blanche et sèche. suite

L’Hommage Rendu à l’Abbé André Quenum dans La Croix

Hommage à l'Abbé ANDRE QUENUM

OBQ : Soutien pour Charlie Hebdo

CHARLIE HEBDO ? IL FAUT LE LIRE, S’Y ABONNER, LE SOUTENIR PAR MASOCHISME SI ON NE L’AIME PAS. La liberté d’expression n’a pas de prix et ne doit jamais en avoir ; en Afrique notamment francophone, on étouffe des livres, ostracise des écrivains qui n’obtempèrent pas aux diktats du pouvoir ; en France, certains éditeurs ou  coteries de critiques littéraires enterrent la création littéraire africaine ; aucun écrivain victime de tels agissements ne s’arme de mitrailleuse Kalachnikov pour zigouiller un éditeur ou un critique. Abattre froidement avec une âme d’assassin des journalistes et des dessinateurs de CHARLIE HEBDO est un crime dont les auteurs doivent être trouvés, jugés et condamnés à perpétuité. Je souhaite franchement que CHARLIE HEBDO présente aussi, au monde entier, les portraits chargés des dicteurs africains qui ont du sang sur les mains et le visage, étouffent la presse, entravent la liberté d’expression, interdisent de vente des ouvrages d’écrivains opposants Cordialement. Olympe BHÊLY-QUENUM

2015, Année Cruciale pour le Nigeria

Souhaitons qu’en 2015, Jonathan passe le flambeau de la Présidence à Buhari dans la bonne humeur et le sourire, sans effusion de sang. Pour un Nigeria plus juste, plus sûr, plus sécurisé, moins corrompu. un Nigeria qui enfin met en jeu et en oeuvre ses potentialités au profit d’un peuple moins drogué de Dieu et plus maître de sa raison, un peuple qui sorte des ténèbres de la misère et de l’ignorance vers la lumière de la justice et de la prospérité Binason Avèkes, et toute l’équipe de Babilown

Babilown Vous Remercie

Biographie Succincte du Défunt Père André Quenum

Né au Bénin le 30 novembre 1966, le Père André Quenum a reçu, très tôt l’appel de Dieu. Il a suivi le cheminement du séminaire jusqu’à l’obtention du Baccalauréat au séminaire Notre Dame de Fatima à Parakou en juin 1986. Après cela, il a fait des études en Théologie et a décroché son Baccalauréat en Théologie au Grand séminaire St Gall de Ouidah en 1992. C’est après cela qu’il a été ordonné prêtre par sa Sainteté le Pape Jean-Paul II le 3 février 1993. Ainsi débute une longue vie sacerdotale. En 1998 et 1999, il a décroché un Certificat en multimédia et un master en journalisme à l’Université de Duquesne en Pennsylvanie aux USA. En Juillet 2004, il a obtenu un Ph.D en communication au sein de la même université. Quelques mois après, plus précisément en Septembre 2004, il est devenu le Directeur de publication de l’Hebdomadaire La Croix du Bénin. Au niveau sacerdotal, il a été aumônier au Cours Secondaire Notre-Dame des Apôtres et Vicaire à la paroisse Saint Michel de Cotonou. Il était aussi Coproducteur de la messe quotidienne télévisée de la paroisse Saint Mary of Mercy à Pittsburgh en Pennsylvanie (USA). Il était aussi professeur de Français et Directeur spirituel au Séminaire Propédeutique de Missérété au Bénin

La Dernière Chronique du Père André Quenum

Nous venons d’apprendre avec tristesse le décès du Père André Quenum. Le Père André Quenum, journaliste et intellectuel béninois exigeant,  est un passionné des grandes questions qui concernent l’humain, qu’il soit du Bénin ou de partout. Sa rigueur intellectuelle et morale, son intelligence du débat ont fait de lui un grand éclaireur de la conscience collective. Avec le départ précoce et inattendu du Père André Quenum c’est une certaine voix de l’intelligence collective qui s’éteint. Toute l’équipe de Babilown exprime ses plus vives condoléances aux parents et amis de notre compatriote et confrère en débat. Que la terre lui soit légère.

La Dernière Chronique du Père André Quenum

Hommages à Nestor Hountondji

Alors qu’on s’y attendait le moins, l’artiste militaire au matricule 176 s’en est allé, laissant dans l’émoi et la tristesse une génération d’hommes et de femmes, accros des musiques retro. Âgé de 75 ans, ce personnage exceptionnel, que dis-je, cet ancêtre de la musique militaire dahoméenne, est passé de vie à trépas dans l’après-midi du mercredi 30 juillet 2014 des suites d’une courte maladie à l’hôpital de Goho à Abomey. Nestor Hountondji alias Dji-Nesto Babaakè y était hospitalisé pendant des jours dans l’espoir de recouvrer sa santé. Mais le destin en a décidé autrement contre la volonté de tous. L’artiste défunt est le géniteur d’un autre artiste : Otis Newton, et de Pancrace Hountondji, animateur à la radio Urban Fm à Parakou. Hommage à Dji-Nesto ! « Je suis né dans la musique car mon feu père fut un chanteur de la musique traditionnelle. Je suis venu voir ma mère et mon père ensemble en train de chanter. » Ainsi, s’exprimait Nestor Hountondji alias Dji-Nesto Babaakè dans un focus qui date de juin 2013.

L’Univers du Négrier : une Histoire Humaine

Historien, écrivain et militant des droits de l’homme, Marcus Rediker est professeur à l’université de Pittsburgh. Spécialiste de l’histoire maritime et notamment de l’Atlantique, il a publié plusieurs livres, notamment Villains of All Nations : Atlantic Pirates in the Golden Age (2004) et The Amistad Rebellion : An Atlantic Odyssey of Slavery and Freedom (2012). Il a accepté de nous donner cet entretien à l’occasion de la sortie en France de son livre The Slave Ship. A Human History (Viking Penguin, 2007), traduit sous le titre À bord du négrier. Une histoire atlantique de la traite (Seuil, 2013). Dans cet entretien, il évoque son ethnographie du navire négrier, les sources sur lesquelles il a travaillé et les séquelles de l’esclavage, établissant un rapport entre race et terreur du XVIIIe siècle à nos jours. Il se fait le chantre d’une « histoire par le bas », fondée sur les expériences des individus, aussi humbles soient-ils. Il rappelle aussi que la mer a joué un rôle décisif dans la formation des classes sociales, des cultures et de l’ethnicité. Pour toutes ces raisons, le négrier n’appartient pas au passé.

 

Marcus Rediker par laviedesidees

Ghana : Funérailles Nationales pour Komla Dumor

Selon que vous serez Journaliste à BBC ou à Joy FM, vos funérailles seront nationales ou familiales…

Pour que l'Afrique entre dans la Normalité d'une Conscience Autonome

Soyinka : The Daughter Died

Iyetade Soyinka, la deuxième fille du prix Nobel Wole Soyinka est mort à l’âge de 48 ans. Mlle Soyinka, anciennement Iyetade Apampa, est décédée au CHU d’Ibadan après une brève maladie. Elle laisse derrière elle deux enfants et ses parents. Que son âme repose en paix ... Amen.

 

Les Vœux de Noel de Edward Snowden

Les vœux de Noël d'Edward Snowden par lemondefr

BMP & TOUTE L’ÉQUIPE DE BABILOWN VOUS SOUHAITENT…

JOYEUX NOËL ET BONNES FÊTES

Graca Machel talks about Mandela, in 2008

Grâce a la Parole

Zindzi Mandela Parle de son Père, en 2008

Entretien Pascal Lissouba

 

Mandela : les Maux de Winnie

 

J’irai Mourir à Soweto

Hommage à Nelson Mandela Vivant, par Blaise Aplogan

Jo’burg : Obama salue Mandela, « un géant de l'histoire »

Obama salue Mandela, « un géant de l'histoire » par lemondefr

Mandela, l’Icône Universelle

Déclaration du Président Obama en Hommage à Mandela

Obama’s Homage to Mandela

L'intégralité de l'hommage de Barack Obama à... par lemondefr

Grand Angle : Saheed OSUPA

 

KWAME NKRUMAH

Kwame Nkrumah et les Femmes (2)

À l'exception d'une expérience inoubliable, le voyage fut sans incident. J'avais fait la connaissance d'un voyageur indien. Lorsque le bateau arriva aux îles Canaries, celui-ci m’invita à descendre avec lui, jeter un coup d'oeil sur Las Palmas, capitale des îles. J'acceptai volontiers, et tous deux nous partîmes pour la ville. Ignorant tout de la vie en dehors de mon pays natal, je le suivis sans arrière-pensée, dans un bâtiment qui ressemblait à un hôtel. Nous nous installâmes devant une table. Je ne désirais rien qu'un verre d'eau--c'était ma seule boisson--mais mon camarade tint absolument à commander de la bière, à une vieille femme qui se déplaçait dans les ombres. On apporta la bière, et tout de suite deux filles espagnoles en négligé surgirent. Je fixais mes regards sur les pieds de la table, espérant vivement qu'elles ne tarderaient pas à achever leur besogne, et à s'en aller vite comme elles étaient venues. Mais, chose horrible et embarrassante, l'une d'elle s'approcha de moi, s'installa sur mes

genoux, et se mit à me caresser les cheveux et à m'envelopper de ses bras. Je n'avais vu les femmes blanches qu'à distance. Voir donc l'une d'elles s'approcher de moi de si près, et d'une façon si inquiétante, voilà ce qui me fit perdre complètement les nerfs. Je poussai un cri, me levai, jetant femme et bière par terre, et me sauvai pour regagner le paquebot aussi vite que je pouvais, sur mes jambes branlantes. Mon ami indien trouva cela si amusant, qu'il ne cessa d'en rire pendant tout le reste du voyage… in  Autobiographie, Kwame Nkrumah,.

Kwame Nkrumah et les Femmes

En ce temps-là je me donnais furieusement aux exercices religieux, et j'assistais très souvent à la messe en qualité d'acolytes. Cependant, à mesure que je grandissais, la rigoureuse discipline du catholicisme m'étouffait. Ce n'est pas que je sois devenu moins religieux, mais plutôt que je cherchais toute liberté pour adorer Dieu et me mettre en communion avec lui, car le Dieu que j'adore est un Dieu très personnel, et ne peut être touché que de façon directe. Je ne trouve pas nécessaire de passer par une tierce personne dans une affaire si personnelle, à vrai dire son intervention me froisse. Aujourd'hui, chrétien attaché à aucune confession, et socialiste de tendance marxiste, je ne trouve pas de contradiction entre ces deux positions. C'est probablement la même crainte que j'éprouvais à l'égard de l'élite catholique, que mes aspirations ne fussent freinées, qui m'a rendu craintif vis-à-vis des femmes. À cette époque-là, ma peur de la femme dépassait la compréhension de tous. Je me rappelle qu'il y avait une jeune fille qui habitait à faible distance de chez moi, et qui attendait pendant des heures dans une petite allée, qui séparait notre concession et celle de la maison voisine. Si je venais à sortir dans l'allée, elle s'approchait de moi pour essayer d'entamer une conversation. Lorsqu'elle s'est aperçue que je ne faisais que la dévisager comme un animal effrayé, elle se dit que j'étais timide. Alors, elle me chuchota courageusement à l'oreille, qu'elle m'aimait. J'eus horreur de ce procédé et je lui dis son fait, si bien qu'on aurait pu soupçonner qu'elle m'avait fait du mal. J'entrai dans la maison en courant, et j'annonçai à ma mère l'état de perdition où se trouvait cette jeune fille. Et ma mère de s'esclaffer en disant : « Tu devrais en être flatté, mon fils. Qu'y a-t-il de mauvais à ce qu'on s’éprenne de toi ? » La jeune fille ne désempara pas. Elle se mit à m'apporter des plats appétissants, qu'elle confiait à ma mère à mon intention. Dès que je compris que c'était cette jeune fille qui avait fourni le repas, je refusais nettement d'en manger. Il s'écoula des journées, avant que ma mère put me persuader à manger.

Je ne me suis jamais guéri de ce sentiment envers les femmes. Aujourd'hui, ce n'est plus la crainte, c'est quelque chose de plus profond. Peut-être est-ce la crainte d'être pris, de voir m'arracher la liberté, ou d'être en quelque sorte maté. Et j'ai les mêmes sentiments envers l'argent et la religion organisée et obligatoire. Tous ces trois éléments représentent à mon esprit quelque chose qui doit jouer un rôle en marge de la vie d'un homme, car dès que l'un d'entre eux a pris le dessus, l'homme devient esclave et subit la dépersonnalisation. Peut-être que si j'avais tenu compte des protestations amoureuses de la jeune fille de l'allée, je me serais contenté de passer le reste de ma vie auprès d'elle à Half Assinie, faisant mon petit bonhomme d’instituteur dans l'école de la région, ou bien poursuivant le métier de mon père. Mais le destin en a décidé autrement extrait de Autobiographie, Kwame Nkrumah

Le Vietnam dit adieu au général Giap, héros de l’indépendance

Vive le General Giap, Vive le Vietnam, Vive la Liberté !

Me Adrien Houngbédji au Conditionnel de Présidence

Yayi Boni et les Deux Créatures de Dieu

Dans sa réponse sibylline au message de la conférence épiscopale sur « le malaise politique actuel et la révision constitutionnelle » M. Yayi Boni a demandé pitié sur sa tête en excipant du fait qu'il était une créature de Dieu et, en tant que tel, avait droit à la vie. Selon son argumentaire, conformément aux enseignements du Livre saint et de Jésus lui-même, nul n'a « le droit de détruire toute créature que le Père Céleste a façonnée de sa main » ; et s’ensuit toute une enfilade d'arguments sibyllins tous plus malicieux les uns que les autres… Mais en ce moment anniversaire de la disparition corps et âme de notre concitoyen  Dangnivo Urbain, sans vouloir le moins du monde rivaliser de malice avec Yayi Boni, nous aimerions dans la douleur et la souffrance lui retourner la même question, en sa qualité officielle de chef du gouvernement et aussi ( chose hélas souvent perdue de vue) en sa qualité non-officielle de croyant dont il ne fait pas mystère. Dangnivo Urbain est-il oui ou non une créature de Dieu ? Et si oui pourquoi la destruction de sa vie est-elle restée sans suite à ce jour, nimbée d'un mystère qui ne fait plus mystère à la conscience du peuple, et que l'histoire tôt ou tard révèlera au grand jour ? D'ailleurs, du juge Cɔovi au journaliste Hunvɔ en passant par Dangnivɔ et Mme Sohunji-Agbosu, elles sont légions ces créatures de Dieu dont les morts violentes sous les tristes tropiques yayistes sont restées sans suite.

Alors y aurait-il en matière de créature de Dieu deux poids et deux mesures ? Y aurait-il deux sortes de créatures de Dieu ? D'un côté ceux (ou plus exactement celui) dont des menaces hypothétiques sinon douteuses sur leur vie méritent que tout un pays et son destin soient mis en branle, que l'opprobre internationale soit jetée sur son image, que des innocents soient maintenus en prison en dépit de décisions de non-lieu leur rendant justice ? Et, de l'autre côté, la lie pouilleuse des laissés-pour-compte de la créature de Dieu, dont le sang peut baigner la terre et les corps flétris de meurtrissures remplir ses entrailles sans que leurs assassins-- ces destructeurs de créatures divines sans foi ni loi--soient connus, révélés au grand jour et rendent compte de leurs crimes odieux ? Aminou Balogun

My dad allowed us to choose between Christianity, Islam - Fashola

My dad allowed us to choose between Christianity, Islam - Fashola •Atiku, govs, Oyinlola, Arisekola-Alao, PDP mourn Pa Fashola

Leaders Mourn as Fashola Loses Dad at 79

Alhaji Ibrahim Ademola Fashola, father of the Lagos State Governor, Mr. Babatunde Fashola (SAN), passed away Monday at the age of 79. His death immediately triggered a deluge of condolence messages nationwide, including those from President Goodluck Jonathan, Senate President David Mark, the younger Fashola’s predecessor, Senator Bola Tinubu, as well as from governors: Dr. Kayode Fayemi (Ekiti), Senator Ibikunle Amosun (Ogun), Mr. Rauf Aregbesola (Osun), Senator Abiola Ajimobi (Oyo), Mr. Peter Obi (Anambra) and Alhaji Kashim Shettima (Borno). The late Fashola, who retired from Daily Times Plc, died at his 31, Oladipo Labinjo Crescent, Surulere residence while his most prominent son was on a religious pilgrimage to Saudi Arabia along with some top officials of the state. The governor is expected back in the country Tuesday for his father's burial. A statement Monday by the state government, signed by the Chief of Staff to the governor, Mr. Olanrewaju Babalola, confirmed the passage of Pa Fashola, whom it said died after a brief illness.

The three-paragraph statement said the body of Pa Fashola, who was survived by wives, children, grandchildren and great grandchildren, would be buried today according to Muslim rites at the Vaults and Gardens, Ikoyi by 1 p.m. The statement said: “In total submission to God’s will, we announce the passage of our husband, father, grandfather and great grandfather, Pa Ibrahim Ademola Fashola, which occurred on August 5.”  Besides the governor, others who survived the deceased are Arinola Fuwa, Olayinka Fashola, Ademola Fashola, Omolara Fashola, Adewale Fashola, Ademola Fashola (Jnr.) and Ademola Keji Fashola. Jonathan consoles Fashola continued

Piège sans fin sur Plage de sable fin

Bénin : How Long Shall They Kill Our Country While …

Bénin : How Long Shall They Kill Our Country While We Stand Aside and Look

 

 

Je Vous Présente Fatai Rolling Dollars

Images du Passé (4 ) : Jeune Vodunci d’Abomey