BABILOWN~Mawolè

GHANA BORROWS $500M MONTHLY

The Minority New Patriotic Party (NPP) in Parliament has warned that Ghana could potentially be on its way back to the Heavily Indebted Poor Country (HIPCI) if the current average borrowing of GH¢1.1BN ($500) a month by the National Democratic Congress (NDC) administration from both domestic and foreign sources is not halted. According to them, the trend is certainly 'unsustainable and unreasonable', especially when about 63% of the current debt stock comes from domestic sources. They noted that Ghana's public debt rose from GH¢9.5 billion in January 2009 to a staggering GH¢43.9 billion at the end of August 27, 2013, adding that between January and August this year (2013), the government borrowed GH¢8.8 billion. Addressing a news conference in Accra yesterday, the Minority Spokesperson on Finance in Parliament, Dr. Anthony Akoto Osei said "it also needs to be pointed out that this 49.5% debt ratio means the country is on the verge of crossing the 50% threshold." Dr. Akoto Osei warned that should Ghana cross the 50% threshold of borrowing, its credit rating would be downgraded and the B+ rating bequeathed on the current administration by the Kufuor

regime, would be lost. This could also result in Ghana borrowing at very high interest rates. Efforts made by the editorial team to get the Finance Minister, Mr. Seth Terkper, to comment on the allegation proved futile. The Minister of State in charge of Financial and Allied Institutions at the presidency, Mr. Fifi Kwetey has, however, argued persistently that all the loans the government had contracted has been used for infrastructural projects and that the money has not been misused as the opposition party was trying to tell the international community. Statutory accounts in arrears The Minority, however, thinks it is "unprecedented", the inability of continued

Soi-disant Rejet du Projet de Loi de Révision, du Cinéma

Nigeria : Que Jonathan se Présente ou pas, ça va Péter en 2015

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Démissions au Bénin et en France : le PIK de la Contradiction

A look at the victims of the Kenya mall attack

A Comedy of Error in Ghana’s Presidency

Jonathan, meets Obama, calls for stronger consensus on terrorism

AHEAD today’s opening of the 68th session of the United Nations General Assembly, President Goodluck Jonathan has held a meeting with United States president, Barack Obama, in New York, where he called for a stronger global consensus and determination to end the scourge of terrorism as quickly as possible. During the meeting which took place at the Waldorf Astoria Hotel, on Monday, President Jonathan said unless the international community united and deployed its enormous resources to eradicate terrorism, it would continue to be embarrassed by terrorist outrages such as the attack on a shopping mall in Nairobi, Kenya, at the weekend. Jonathan spoke against the ongoing battle against Boko Haram insurgents in the country and the recent terrorist attack at a shopping mall in Kenya, which led to the death of, at least, 60 persons. The president expressed his appreciation for the support and assistance Nigeria had been receiving from the United States for its fight against domestic terrorism, adding, however, that Nigeria would welcome even more bilateral collaboration in the regard. He reassured the US government of his commitment to the continuous strengthening of Nigeria’s electoral processes and democratic

institutions. President Jonathan also lauded President Obama’s Power Africa and Youth Leadership initiatives, saying that both initiatives would complement aspects of the national transformation agenda of his administration Obama had described Nigeria as a critical partner, while he assured the United States would continue to cooperate with Nigeria in all possible areas, including the war against domestic and global terrorism. President Jonathan was accompanied to the talks by the Minister of State (Foreign Affairs), Professor Viola Onwuliri; Nigerian Ambassador to the United States, Professor Adebowale Adefuye; Minister of Petroleum Resources, Mrs Diezani Allison-Madueke and the governor of Gombe State, Alhaji Ibrahim Dankwambo…. continued

Kenya, toute la cruelle vérité du monde

Ce qui se passe au Kenya est regrettable. Mais on aurait tant souhaité que le monde dans lequel nous vivons, au-delà des clichés, des apparences, des beaux discours et des belles proclamations, soit tel que l'on puisse certifier que ceux qu'on appelle les « terroristes » et dont les actes apparaissent en tout point semblables

aux actes qu'on attribue naturellement à des fous soient réellement des fous. Malheureusement, toute la cruelle vérité du monde est qu’en l'occurrence rien n'est moins sûr… Amida Bashô

Le poète ghanéen Kofi Awoonor tué dans l'attaque de Nairobi

L'homme de 78 ans faisait du shopping avec son fils dans le centre commercial lorsque le commando armé a donné l'assaut samedi après-midi. Le poète et homme d’Etat ghanéen Kofi Awoonor a été tué dans l’attaque samedi du centre commercial de Nairobi au Kenya par un commando islamiste, a annoncé dimanche le président ghanéen. «Je suis choqué d’apprendre la mort de Kofi Awoonor dans l’attaque terroriste du centre commercial de Nairobi. Quel triste coup du destin», a déclaré le président John Dramani Mahama dans un communiqué. L’attaque a fait au moins 59 morts et 175 blessés, selon un dernier bilan provisoire, alors que la confrontation se poursuivait dimanche matin avec le commando islamiste toujours retranché dans le centre commercial de Westgate. Kofi Awoonor, âgé de 78 ans, a été tué alors qu’il faisait du shopping avec son fils dans le centre, a précisé le secrétaire d’Etat à l’Information ghanéen Felix Kwakye Ofosu. Le fils a été blessé mais n’est plus à l’hôpital.

Kofi Awoonor était renommé pour sa poésie inspirée par la tradition orale du peuple Ewe, auquel il appartenait. Ses meilleurs ouvrages ont été publiés au Ghana dans les années qui ont suivi l’indépendance, notamment «Redécouverte et autres poèmes», sorti en 1964. Proche du premier président ghanéen Kwame Nkrumah, il avait dû partir en exil après le coup d’Etat qui l’avait renversé. Kofi Awoonor avait pris des responsabilités politiques à partir des années 1990, devenant ambassadeur du Ghana aux Nations Unies, de 1990 à 1994, sous la présidence de Jerry Rawlings. Puis il avait été président du Conseil d’Etat sous le président John Atta Mills. AFP source

Kofi Awoonor: Remembering a Ghanaian poet

Au Mali, Yayi a Remué Ciel et Terre pour être Placé …

Au Mali, Yayi a Remué Ciel et Terre pour être Placé à Côté de Hollande

Pour sa participation à la cérémonie d’investiture du Président IBK du Mali, Yayi Boni a harcelé son servile Bako pour qu’il lui dégotte auprès des organisateurs une place à côté de François Hollande. Être assis à côté du maitre Blanc a pour lui plus d’un avantage. D’une part ça lui offre l’opportunité d’échanges impromptus, d’amabilités voire plus si affinité ; et pourquoi pas profiter de l’occasion pour jouer les maquereaux, lui proposer contre bienveillance dans le dossier Talon toujours pendant au tribunal de Paris, une partie de plaisir avec une de ces marie-couche-toi-là, ou des stupres de même tonneau qui se soldent par des décorations... Mais c’est oublier que depuis 2012 en France, avec François Hollande, et contre DSK, le changement est aussi moral... D’autre part, être placé juste à côté du maître blanc, du point de vue de l’image qu’il fera passer en boucle matin midi et soir dans les média à sa solde au Bénin, ce serait flatteur, signe qu’il s’entend bien avec le Président de la France, qu’ils en sont à tu et à toi, que leurs rapports sont au beau fixe, qu’ils sont comme Starsky et Hutch…

Mais malgré son insistance, Yayi Boni, l’ex-Président de l’UA, l’inénarrable président du Bénin sur les frasques et excès duquel la France a un dossier aussi haut que le Kilimanjaro n’a pas pu avoir la place de ses rêves. Elle a été prise côté cœur par Valérie Trierweiler la compagne de François Hollande, et de l’autre côté par le Président Tchadien, qui a démontré plus que le Béninois son adhésion et son implication dans l’épopée guerrière de la France au Mali …

François Hollande et le Discours Subliminal de Bamako

Budget du Nigéria 2014 : Payo or not Payo

Si je vous dis que le budget du Nigéria pour l'année 2014 s'élève à 14206 milliards de FCFA vous me direz : « qu'est-ce que nana à foutre », le Nigéria c'est le Nigéria et le Bénin c'est le Bénin… Mais seulement voilà il y a un truc qui fait fureur au Bénin et qui s'appelle payo, vous connaissez ? L'essence frelatée qui se distribue par monts et par vaux et sans lequel le Bénin tournerait au ralenti sinon au fiasco socialement surtout, économiquement aussi. Eh bien si je vous disais que ce fameux payo est subventionné par le budget du Nigéria, raison pour laquelle nous parvenons à l'avoir au Bénin à un prix qui défie toute concurrence, alors enfin vous daignerez réviser votre indifférence rigide vis-à-vis de notre géant voisin de l'Est à qui, soit dit en passant, nous devons le nom de notre pays et qui par ailleurs abrite nos frères les Yoruba, et nos cousins les Ibos. Vous m'accorderez alors un peu plus votre attention pour vous dire une ou deux choses à propos de ce budget 2014 du Nigéria qui nous concerne aussi. L'information sur le budget est contenue dans deux documents intitulés "cadrage des dépenses à moyen terme" et "document de stratégie fiscale" présentés au Sénat par le président Goodluck Jonathan. Selon ces documents, la production brute journalière de pétrole--oh oui de ce pétrole dont nous tirons notre payo de chaque jour--au cours de l'année 2014 est fixé à 2 388 300 barils ; inférieure à celle de 2013 qui est de 2 526 000 barils par jour. Dans le document, il est écrit noir sur blanc que le gouvernement reconduira la subvention sur les produits pétroliers en 2014 dont le montant total est de 647 milliards de FCFA. Dans le budget, 4318 milliards de FCFA sont consacrés aux dépenses d'investissement soit 30 % du budget tandis que le reste ira aux dépenses de fonctionnement et aux frais généraux.

Selon le document, comme en mars 2013, la dette extérieure du Nigéria s'élève à 6,67 milliards de dollars dont la part du gouvernement fédéral est de 63,5 % tandis que celle des états est de 36,5 %. La  dette intérieure pour la même période s'établit à 19328 milliards de FCFA portant le total des dettes à 22426 milliards de FCFA soient 17,75 % du PIB. Le Nigeria a beau être un géant pétrolier d'Afrique, le fond de sa bourse résonne  creux et comme un pays sans produit de rente, il est obligé d'emprunter pour combler le trou de son budget ; en 2014 l’emprunt s’élèvera à 1525 milliards de FCFA--soit au moins deux fois le coût de la subvention du pétrole Le lien entre le budget du Nigéria et la vie socio-économique du Bénin saute aux yeux. Notre payo national est l'un des éléments incontestables de ce lien. Or comme la rumeur se fait déjà persistante, à l'instar du budget 2013 dont le Gouvernement Fédéral avait dit qu'il était inexécutable, ce budget 2014 sera-t-il un budget payo ? Binason Avèkes

Nigeria: FG Budgets N4.77 Trillion for 2014

The Federal Government is proposing a budget of N4.77 trillion for the 2014 fiscal year. This is contained in the 2014-2016 Medium Term Expenditure Framework (MTEF) and Fiscal Strategy Paper (FSP) document submitted to the Senate by President Goodluck Jonathan on Tuesday. According to the document, the daily crude oil production by the Nigerian National Petroleum Corporation (NNPC) for 2014 is pegged at 2.3883 million barrels per day (mbpd) which is lower than the 2013 figure of 2.526 mbpd. In the same vein, the crude oil bench mark is put at $74 per barrel while the exchange rate between the United States' dollar and the Naira remain steady at N160 to $1. Government is also retaining subsidy on petroleum products in 2014 and is budgeting the sum of N273.14 billion for Subsidy Re-Investment Programme (SURE-P) which is part of the N4.77 trillion estimates. In the budget, N1.45 trillion is for capital expenditure, representing 30 percent, while the remaining will go for recurrent and overhead expenses. According to the document, as at March 2013, Nigeria's external debt stood at $6.67 billion, in which the Federal Government's share is 63.5 per cent while the 36 states and the FCT accounted for the balance of 36.5 per cent.

Domestic debt for the same period stood at N6.49 trillion bringing the total to N7.53 trillion representing 17.75 percent of the Gross Domestic Product (GDP). In 2014, the government intends to borrow N572 billion to finance the budget deficit. Meanwhile, the Senate will today debate a motion seeking to institute an investigation into reports that the Federal Government said the 2013 budget was not implementable. Coming under Order 42 of the Senate standing rules, Deputy Senate Leader Abdul Ningi (PDP, Bauchi) said his curiosity arose from the fact that the crude oil price is still $107 USD as at Tuesday, meaning that there was no shortfall of revenue beyond the $79 per barrel. continued

Doe Adjaho Becomes President Of Ghana On Thursday

The Speaker of Parliament, Edward Doe Adjaho will be sworn in as acting President of the Republic of Ghana on Thursday by the Chief Justice Georgina Theodora Woode following plans by the President, John Dramani Mahama to travel to Mali tomorrow for the country’s Presidential Inauguration. The planned swearing of the Speaker as acting President has become necessary . Vice President Kwesi Amissah Arthur, who should have stepped in as the interim President, has also traveled to the UK, thus necessitating the planned swearing of Doe Adjaho as acting President, who is the third in the line of succession to the Ghanaian Presidency. Find below the full statement from the presidency ABSENCE FROM GHANA

In accordance with article 59 of the 1992 constitution of the Republic of Ghana, I write to inform you that I shall visit the Republic of Mali on Thursday, 19 September 2013 to witness the swearing in of President Ibrahim Boubacar Keïta. During my absence from Ghana the Right Honourable Speaker of Parliament shall in accordance with article 60, clause 11 of the constitution act in my step because His Excellency the Vice President will also be away from Ghana on an official assignment. continued

Nigéria, Bagarre à l’Assemblée : Une Députée gifle un Député

Au Réveil, il Trouve un Crocodile de 150 kg sous son lit

Yayi Boni ou Comment s’en Débarrasser

Par Vobogo Nestor

Cela a toutes les apparences d’un cauchemar - mais l’homme était bien éveillé lorsqu’après une longue nuit de sommeil tout ce qu’il y a de plus normal il a découvert un crocodile de huit pieds qui se prélassait sous son lit au réveil. Ancien capitaine de l’équipe Zimbabwéenne de cricket, Guy James Whittall a découvert qu'il avait passé toute une nuit dans un lodge , couché à quelques centimètres au-dessus de l'énorme reptile. Étonnamment, le crocodile géant a réussi à rester caché pendant plus de huit heures, même lorsque Whittall s’est assis sur le bord de son lit pendant une bonne partie de la matinée à planifier sa journée, sans se douter qu’il avait un énorme hôte reptilien de 150 kg à quelques centimètres de ses pieds. Pendant qu’il prenait son petit déjeuner dans la cuisine, l’homme  a été alerté par les cris pétrifiés d'une femme de chambre. Guy James Whittall, qui est administrateur à Humani Lodge, courut vers sa chambre pour découvrir l'énorme crocodile niché sous son lit. «Le plus déconcertant dans cette affaire, dit-il, est le fait que j'étais assis sur le bord du lit ce matin, pieds nus et juste à quelques centimètres des crocs de l’énorme bête. »

Les crocodiles sont des experts en camouflage, c'est pourquoi ils ont survécu sur terre pendant si longtemps et sont les plus gros tueurs des eaux…. Bien que cette histoire se déroule au Zimbabwe, avec un peu d’imagination, un écrivain pourrait l’assimiler dans une fiction à la situation politique du Bénin. Cela donnerait quelque chose comme : “ Après une longue nuit politique paisible, la population de ce pays sans peuple se leva au matin pour découvrir sous sa couche un caïman ; un caïman  nommé Yayi…” Et la question cruciale serait : “comment s’en débarrasser ?” Le titre de ce conte absurde, passablement cauchemardesque  pourrait être : Yayi Boni ou comment s’en débarrasser… Vobogo Nestor

Jonathan, Obama Meet in New York Next Week

President Goodluck Jonathan will arrive New York on Sunday, September 21, to contend with what looks like one of his busiest UN schedules with five bilateral meetings and a strident campaign for Nigeria’s admission to the Security Council as a non-permanent member. Earlier in the week, Nigeria’s Ambassador to the United States, Professor Ade Adefuye, had hinted that the president would be hosting a select audience of distinguished Nigerians at an interactive session for USA-based Nigerian professionals and other investors at the Grand Ball Room of the prestigious Plaza Hotel located at 770 Fifth Avenue, New York. Briefing the press, Mr. Bosa, a senior minister in-charge of the Fourth Committee for UNGA68, who represented Nigeria’s Permanent Representative to the UN, Professor Joy Ogwu, said the five bilateral meetings would be with the European Union, Slovania, Sri Lanka, Lebanon and Trinidad and Tobago, whose heads of government and Jonathan would be meeting across different schedules from agriculture, to infrastructure, power and solid minerals. The president, who is also billed to meet US’ President Barack Obama on a yet-to-be-specified date and time between Monday and Tuesday, will address the General Assembly of the United Nations at 12 noon Monday, September 23. In his entourage will be the First Lady, Patience Jonathan, who has also lined up a number of activities for herself, the acting Minister of Foreign Affairs, Professor Viola Onwuliri, and other ministers; but Bosa did not indicate the number of governors who may be on the entourage.

Bosa said Nigeria was hopeful that the campaign for a non-permanent seat at the Security Council was going to yield fruit with the African Union (AU) and Economic Community of West African States (ECOWAS) giving their nod. But he made an exception, Gambia, which he said is trying to split Nigeria’s votes, while the Central African Republic on whose ticket Chad Republic is campaigning is no issue. According to Bosa, Nigeria’s peace-keeping operations’ track record with UN troops stands tall in the list of its accomplishments as a highly proactive UN member, using Mali, Guinea Bissau, Liberia as case studies. According to Bosa, this notwithstanding, the opposition of those who are not giving the country their votes on account of its withdrawal of Nigeria’s troops from Mali, saying Nigeria’s domestic and foreign policies as well as its democracy, eminently qualify her for the fight to gain a non-permanent seat at the Security Council. continued

Syrie : Lettre de Vladimir Poutine à la presse Américaine.

Regard sur le Monde : Syrie, Lettre de Vladimir Poutine à la Presse Américaine

 

 

Les récents événements autour de la Syrie m’ont incité à parler directement au peuple américain et à ses dirigeants politiques. Il est important d’agir ainsi à une époque où la communication entre nos sociétés est déficiente. Nos relations sont passées par plusieurs étapes. Nous nous confrontions pendant la guerre froide. Mais nous avion été alliés pour nous défendre ensemble contre les nazis. L’organisation universelle des Nations Unies a alors été fondée pour éviter qu’une telle dévastation surgisse à nouveau. Les fondateurs de l’ONU  comprirent que les décisions sur la guerre et la paix devaient être prises par consensus uniquement et le veto des membres permanents du Conseil de Sécurité fut introduit avec l’accord des Américains dans la Charte des Nations Unies. Cette grande sagesse a permis de stabiliser les relations internationales pendant des dizaines d’années. Personne ne souhaite que les Nations Unies subissent le destin de la SDN qui s’effondra faute d’un réel soutien. C’est possible si des pays influents court-circuitent les Nations Unie et entreprennent des actions militaires sans l’autorisation du Conseil de Sécurité. La frappe éventuelle des Etats-Unis contre la Syrie, malgré la forte opposition de nombreux pays et de personnalités politiques et religieuses de premier plan, y compris le Pape, aura pour résultat d’accroitre le nombre de victimes innocentes et une escalade qui peut étendre le conflit bien au-delà des frontières syriennes. Une telle frappe augmenterait la violence et déchainerait une nouvelle vague de terrorisme. Cela peut détruire les efforts multilatéraux pour résoudre le problème nucléaire iranien et le conflit israëlo-palestinien et déstabiliser un peu plus le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord. Cela pourrait déséquilibrer le système entier du droit et de l’ordre international. On n’assiste pas en Syrie à une bataille pour ou contre la démocratie mais à une guerre civile entre le gouvernement et l’opposition dans un pays multi-religieux. Il y a peu de militants de la démocratie en Syrie. Mais il y a pléthore de combattants d’Al Qaida et d’extrémistes de tout poil combattant le gouvernement. Le département d’Etat américain lui-même a désigné le Front Al Nusra et l’Etat islamique en Irak et au Levant comme des organisations terroristes. La guerre civile, alimentée par les armes étrangères livrées à l’opposition, est une des plus sanglantes au monde. suite

Nigeria Ruling Party ‘Resolving’ Internal Rift

A spokesman for Nigeria’s ruling People’s Democratic Party (PDP) says senior officials of the group are trying to resolve internal wrangling that threatens to break the party apart in the run-up to the 2015 general election. “Since this happened, the president became restless because he is a peaceful person. He will make sure that there would be no crack in PDP during his lifetime,” said PDP spokesman Mohammed Jalo. “So there is a reconciliation going on from a committee of elders headed by former president, Chief Olusegun Obasanjo, and former military heads of state, [Ibrahim] Babangida trying to resolve this little problem within the PDP.” Jalo says President Goodluck Jonathan is displeased with recent developments within the ruling PDP after former vice president Atiku Abubakar and some governors formed a splinter group. The new group, named the New PDP, is opposed to Mr. Jonathan’s possible re-election bid. The splinter group also demands the resignation of PDP chairman Alhaji Bamanga Tukur after blaming him for the fissures within the party. Jalo disagrees with the accusations. “The people are myopic and naïve. Whether Bamanga Tukur is there or not, this party is for Nigerians. The party is not a one man’s affair. It is a conglomeration of so many people so it is not Bamanga Tukur working for the party. So whether Bamanga Tukur is there or not this party will exist,” said Jalo.

The militant group, Boko Haram, based in Nigeria’s north, has been accused of carrying out violent attacks in an attempt to force the country to adopt strict Islamic law. Human Rights Watch says Boko Haram-related violence has killed an estimated 3,000 people since 2009, a toll that includes killings by security forces. Some Nigerian says Mr. Jonathan and the ruling PDP are responsible for the violence because they have not been able to deal with the security challenges facing the country. But Jalo rejected criticisms that President Jonathan and his PDP have failed to deal with the security issues…. continued

Bénin : Extradition de Talon : Pourquoi Paris Tergiverse

3ème Mandat, le Pied de nez de la Déraison à la Raison Collective

S'il est dit que le troisième mandat pour lequel Yayi Boni remue ciel et terre depuis des mois allait conduire le Bénin à la ruine et l'enfoncer dans des ténèbres pour des siècles, vous voyez bien comment l'intéressé y est partant, et prêt à parier sur un tel désastre. Comme il avait déjà eu à parier sans sourciller sur la ruine du Bénin dès lors que son usurpation du pouvoir en 2011 par un montage électoral scabreux s’est révélée être une source de mille et une calamités, désordres et honte nationale. Et c'est là où l'on voit les effets néfastes du détournement narcissique de la politique sous nos tropiques. Entre bon plaisir, défi personnel, addiction au pouvoir, la volonté de faire passer ses fantasmes idiots avant l'intérêt collectif et la marche rationnelle de tout un peuple vers la lumière et le progrès. Et au nom de cette volonté insensée du dictateur parvenu, un pays tout entier peut sombrer corps et âme dans les ténèbres pour des siècles : peu lui chaut.

Le fait que l'histoire retienne qu’un nommé Yayi, sorti de nulle part, a présidé aux destinées d'un pays nommé Bénin jusqu'à sa mort, ou aussi longtemps qu'il l'aura voulu — et ce au mépris de l'esprit de la loi — ce détournement abject de la destinée de tout un peuple à des fins de mise en scène et en orbite historique d'un seul homme, voilà qui laisse pantois et perplexe, sans voix face au triomphe de la bêtise dans l'histoire : le pied de nez de la déraison idiote à la raison collective. Amida Bashô

Internet : Pourquoi le Bénin est à la Traîne

Au train où vont les choses, l'émergence du Bénin ne peut pas s'appuyer sur les startup du net et d'autres entreprises constituées autour des facilités que permettent l’Internet et les nouvelles technologies. Le Bénin est loin d'avoir sa Silicon Valley. La raison en est simple : l'abandon et le mépris délibéré dans lesquels est placé l'Internet au Bénin. Le pays de l'émergence-mirage fait partie des tout derniers au monde en matière de connectivité et de connexion à l'Internet. Comme la plupart des autres facilités indispensables à la vie collective et sociale, le Bénin peut se targuer d'avoir l’Internet, et de ce fait apparaître comme un pays tout ce qu'il y a de plus normal. Mais ce drôle de pays possède aussi l’électricité, hélas aléatoire. Il possède aussi l'adduction en eau courante mais même dans sa plus grande ville, Cotonou, cette eau courante à l'instar de l'électricité, est rationnée, de façon anarchique. Le Bénin possède aussi des réseaux de téléphone mobile mais bien heureux celui qui parvient en continu à communiquer avec son correspondant ou à le joindre à convenance sans se buter aux caprices de réseaux défaillants. On pouvait croire que c'est à ce même titre simiesque, superficiel et irrationnel que ce pays dont l'actuel président, en 2006, promettait d'en faire le dragon de l'Afrique de l'Ouest, possède l'Internet. Mais en réalité il n'en est rien. Ou plus exactement, la réponse est à la fois positive et négative. Positive parce que la gestion loufoque, irrationnelle, superficielle, anarchique et simiesque des facilités d'usage collectif fait partie de la culture sociopolitique du pays, et y est enracinée. Cet enracinement en partie explique le caractère fantaisiste et dérisoire de la connectivité Internet du pays. Mais au regard des potentialités de développement économique, culturel, social, financier et intellectuel dont Internet regorge pour les pays du tiers-monde, le laisser-aller dont cet outil fait l'objet au Bénin, le mépris délibéré dans lequel il est laissé ne résultent pas seulement du vice organisationnel qui frappe la gestion des facilités d'usage collectif — comme l'eau courante, l'électricité, le téléphone portable etc. En fait, la misère dont souffre la navigation Internet au Bénin ressortit d'un choix délibéré, quoi que cynique du gouvernement et au premier chef du néo-tyran qui s’en dit le chef. Parce que ce chef a une haute idée de lui-même ; parce qu'il est très sensible à ce qui se dit sur lui et sa gouvernance calamiteuse ; parce que ce chef veut sauvegarder ses chances d’un 3ème mandat ; parce que ce chef a réussi avec succès à mettre sous son contrôle la presse ordinaire — journaux et organes audiovisuels stipendiés journalistes

ou informateurs assassinés, l'Office de radio et télévision nationale transformée en agence de publicité exclusive du chef. Pour toutes ces raisons et puisque Internet est le seul média politiquement démocratique, avec une force de rayonnement universel dans le temps et l'espace difficile à mettre en bouteille comme c'est le cas des autres médias, le chef a compris qu’y investir et le développer — fût-ce même pour le progrès économique et culturel du pays — est préjudiciable à ses rêves et à sa quiétude politiques. C'est donc pour sauvegarder la continuité de la fiction de sa geste infâme que le chef a mis Internet sous le boisseau. C'est pour cela que le Bénin est le dernier pays en matière de connexion Internet au monde ! On comprend pourquoi tant que le chef conservera son pouvoir usurpé avec l’aide infâme des Nardos Békélé Thomas, ex représentante du PNUD et Besancenot, ex ambassadeur de France, le Bénin est loin de voir naître sur son sol ou en son sein des start-up ou des PME de troisième génération, qui, dans d'autres pays d'Afrique, comme le Ghana ou le Kenya, parviennent même à soutenir la concurrence avec leurs homologues occidentaux ou asiatiques. Peuple du Bénin, jeunesse de mon pays, forces vives de la nation, dignes descendants de BIO GUERRA, de BEHANZIN, de Louis HUNKANRIN, de KABA, de Pascal FANTOJI, vous savez ce que vous avez à faire pour naviguer vers le cap de Bonne-Espérance et de prospérité : lui arracher ce 2ème mandat usurpé avant qu’il ne songe à voler un 3ème ; bouter dehors le tyran qui essaie de geler l’Océan de votre liberté. Ahɔsi Basile

Tableau Schématique des Décisions de la Cour Holo

Tableau schématique des Décisions de la Cour Holo dans leur Rapport Éventuel avec l’Objectif du 3ème Mandat

 

Bénin : le Régionalisme, un Mal pour un Bien

On reproche souvent à M. Yayi Boni son régionalisme. Nous disons bien « son régionalisme » car il va sans dire qu'il y a plus d’un régionalisme. Et au moins deux : le régionalisme vertueux, qui est le régionalisme de l'amour et le régionalisme vicieux qui est le régionalisme de la haine. Le régionalisme vertueux c'est quand on aime sa région et qu'on essaye de la faire vivre, de la faire prospérer et aimer par d'autres. Il est d'abord une attitude romantique, philosophique, artistique et littéraire avant d'être économique ou politique. Le régionalisme vicieux, celui de la haine, est le régionalisme de la supériorité, de l'égoïsme, de l'accaparement, du refus du partage et du refus de l'autre, le régionalisme de la domination. Il se justifie par des prétextes pseudo-historiques, émotionnels, ou autoritaires, et il est basé sur un sentimentalisme ethnocentrique. Le régionalisme de la haine est un régionalisme multiple car il y a autant de régionalismes vicieux que de régions. C'est un peu comme le nationalisme. En Europe par exemple, les partis nationaux extrémistes propagent la haine de l'autre non seulement des partis différents d’eux mais de tous les partis y compris des partis nationalistes européens. Alors que le régionalisme vertueux est un régionalisme unique. Il est unique parce qu'il propage partout le même amour de sa région ; et pluriel parce que cet amour s'incarne dans chaque région, sans nier les autres. Tout cela étant dit très rapidement, on comprend que c'est le régionalisme vicieux, c'est-à-dire le régionalisme de la haine qui est reproché à M. Yayi Boni, car il s'agit d'un régionalisme de la revanche, de la substitution et de l'accaparement comme en témoigne son action politique depuis 2006. Mais quand on y pense sérieusement, au Bénin, une telle politique dans le cas de Yayi Boni consiste concrètement en quoi ? Puisque la terre d'élection plus ou moins imaginaire de M. Yayi c'est le Nord, son action régionaliste consiste à privilégier les nordistes et les gens des collines dans tout ce qu'il fait : postes, nominations, politiques de développement etc.  Et cette politique soulève le tollé des bien-pensants.  Elle choque  et pousse aux cris d'orfraie, au charivari.

Mais à y observer de plus près, depuis les trahisons qui ont eu raison de la résistance de Béhanzin, jusqu'aux désordres de la division politique dans le sud en passant par la culture de jalousie qui est consubstantielle à l’âme du sudiste, ce refus d'accepter le progrès ou le bonheur du prochain, la difficulté de voir dans l'avancement de l'autre notre propre et prochain avancement ; quand on observe la facilité qu’a le sudiste de se vendre au premier baron nordiste venu pour assurer l'échec de son semblable du sud, toutes choses qui ont dominé la politique béninoise des 50 dernières années et ont culminé à l'élection de M. Yayi Boni—qui soit dit en passant est un don de la haine de soi du Béninois du sud—quand on voit tout cela on se demande quel mal il y a à remplacer cette culture de la haine de soi et ses représentants par une culture de la solidarité, de l'union et de la fraternité agissante dont les nordistes, qu'on le veuille ou non, sont plus enclins à en donner l'exemple. À condition d'élargir bien sûr au niveau national son éthique de la fraternité, de la solidarité et de l'union, la substitution régionaliste du Nordiste au Sudiste dans les affaires de la vie sociopolitique du Bénin, aussi choquante qu'elle puisse paraître, peut être considérée comme un mal provisoire pour un bien prochain. Aminou Balogun

Ghana Is In A “Make-believe Democratic State” – Kofi Jumah

Former Kumasi Metropolitan Assembly (KMA) Mayor, Hon. Maxwell Kofi Jumah, says he disagrees with calls for the immediate resignation of the Chairman for the Electoral Commission, Dr. Kwadwo Afari Gyan. He rather prefers His Excellency, President John Dramani Mahama and the Chief Justice, Madam Theodora Wood to fire him (Dr. Afari Gyan). The former NPP MP for Asokwa Constituency wants the president to instruct the Chief Justice to set up a tribunal of opinion leaders to decide on the fate of the EC boss. Speaking on Hot FM, the one-time Minister for Local Government said that the position of a EC Chairman is too vital to the country’s burgeoning democracy to be toyed with; stressing that Afari Gyan should not only be neutral in his role but must be seen as being neutral.

He bemoaned that though Afari Gyan has been the EC Chair for more than two decades, yet every election he supervised has resulted in either the New Patriotic Party (NPP) or the National Democratic Congress (NDC) complaining bitterly. “…there is nothing like perfection anywhere in the world, but frankly the conduct of Dr. Afari Gyan is one of gross incompetence in every elections, including the elections won by the NPP…If anybody should be praised for the peaceful atmosphere in the country, then it should be Ghanaians who have restrained themselves from the provocations derived from the poor conduct of elections,” he said. continued

Les Raisons Concrètes de la Visite de John D. Mahama au Togo.

Le Ghana et le Togo ont signé un accord pour traiter le trop plein d'eau du barrage d'Akosombo afin d’alimenter en eau potable certaines communes de la région de la Volta et du Togo. Selon l'accord, les deux pays vont demander une aide financière de la Banque africaine de développement (BAD ) pour la construction d'une usine de traitement à Sokagope dans la région de la Volta . L'usine de traitement a pour fonction d’éviter que le trop-plein d’eau du barrage d'Akosombo ne se déverse dans la mer . L'eau sera ensuite traitée et fournie via des canalisations dans les zones nécessiteuses au Ghana et au Togo. L’accord du projet a été signé à la suite d'une réunion tenue entre le Président John Mahama Dramani et son homologue togolais, le président Faure Gnassingbé au Togo lundi dernier. Le Président Mahama a fait une escale au Togo en route vers le Bénin où il est attendu pour une visite d’État de deux jours. Dans un point de presse aux journalistes à Flagstaff House( la présidence ghanéenne), Kanda à Accra [hier], le ministre de l'Information et des Relations avec la presse , M. Mahama Ayariga , a déclaré que les documents du projet étaient transmis à l'équipe juridique du gouvernement pour examen. L’équipe juridique a-t-il dit, devrait achever l'examen du projet ce mois et le soumettre à la BAD. Le Président Mahama et le président Gnassingbé ont également porté leur échange sur la production d'énergie, ainsi que la nécessité pour le Ghana d’accroître son offre au Togo. Selon le ministre, le président Mahama a donné l'assurance que le Ghana augmentera sa production d'énergie afin d’accroître l'offre d'énergie au Togo.

Par exemple, a-t-il dit, le gouvernement du Ghana envisage de développer une mini-centrale hydroélectrique à Juale dans la région du Nord afin d’augmenter la capacité énergétique du pays et fournir l'excédent au Togo. Les deux dirigeants ont également parlé de l'intégration régionale, en particulier la nécessité de promouvoir la libre circulation des personnes, des biens et des services à travers les frontières, a dit M. Ayariga. Par ailleurs le ministre a déclaré que le président Mahama et son homologue togolais ont également donné leur engagement pour le projet d'Autoroute de Lagos, qui vise à faciliter le transport entre le Ghana et ses voisins. Enfin, les deux chefs d’État ont également discuté des moyens de renforcer les efforts dans la lutte contre la criminalité organisée, telle que la piraterie et le terrorisme dans la sous- région. amené et Trad. par Binason Avèkes

Ghana to export water to Togo

Ghana and Togo have signed a contract to treat excess water from the Akosombo Dam and supply it to some towns in the Volta Region and Togo. Under the agreement, the two countries would seek financial assistance from the African Development Bank (AfDB) for the development of a treatment plant at Sokagope in the Volta Region. The treatment plant is to be designed to prevent excess water from the Akosombo Dam from flowing into the sea. The water will then be treated and supplied through pipes to beneficiary areas in Ghana and Togo. The contract for the project was signed following a meeting held between President John Dramani Mahama and his Togolese counterpart President Faure Gnassingbé in Togo last Monday. President Mahama made a stop-over in Togo en route to Benin for a two-day state visit there. Briefing journalists on the contract at the Flagstaff House, Kanda in Accra today (Wednesday), the Minister of Information and Media Relations, Mr Mahama Ayariga, said the documents for the project had since been forwarded to the government's legal team for a review. He said the legal team was expected to complete the review this month and submit it to the AfDB.

President Mahama and President Gnassingbé also touched on energy generation, and the need for Ghana to increase supply to Togo. The Minister said President Mahama gave the assurance that Ghana would increase its energy generation and raise energy supply to Togo. For instance, he said, the Ghana government would develop a mini hydro plant at Juale in the Northern Region to increase the country's energy capacity and supply the excess to Togo. The two leaders also spoke about regional integration, especially the need to promote the free movement of people, goods and services across borders, Mr Ayariga said. He said President Mahama and his Togolese counterpart also gave their commitment for the Lagos Highway Road Project, which seeks to facilitate transportation between Ghana and her neighbouring countries. continued

Stakeholders on job creation soon'

President John Dramani Mahama on Tuesday hinted that government would soon hold a stakeholders summit on curricula building and job creation opportunities to ensure employment after school. The stakeholders, he said, are made up of authorities of all universities, Polytechnics, the curriculum development Division of the Ghana Education Service, Ghana Employers Association and Entrepreneurs. President Mahama gave this hint when he addressed the youth of Benin on job creation, as part of his two-day state visit to Benin. The meeting, which attracted numerous students, was to encourage them to take courses that would offer them job opportunities after school. President Mahama said apart from restructuring the Ghana Youth Employment and Entrepreneurial Development Agency (GYEEDA), government would also empower the Small and Medium Entrepreneurs, since they served as the major drivers of the national economy. He said government would also strengthen the Technical and Vocational Training Institutes, as they had the potential of turning out middle level Technicians to handle some of the economic influential sectors. President Mahama encouraged the people of Benin to adopt interventions such as labour intensive public works policy, where job could be created for people who had no formal education to ensure equity in the distribution of the national cake. "In Ghana, jobs such as sanitation and sweeping of roads are given to elderly women, jobs that could have been given to organisations with vehicles to carry out." He said although unemployment is not peculiar to only African countries, leaders needed to work extra hard to create more jobs to commensurate for the population explosion in the continent.

President Mahama, who attributed the social destabilization in Northing Africa, which became known as the "Arab Spring”, was a result of those countries inability to create jobs in consonance with growing population in that region and appealed to other African countries to develop multiple job creation opportunities. "Youth unemployment is a national challenge, in view of the fact that it has caused what is now known as the Arab Spring in North African countries recently," the President added. On integration and regional cooperation, President Mahama promised to uphold all the commitments that Ghana's first President Dr Kwame Nkrumah made with Benin since independence by offering the necessary support for mutual benefit. He said it was regrettable that while the free movement of people in the West African sub region was effectively working, the movement of goods and services continued to be abysmal. continued

Bénin, Révision de la Constitution : Yayi Boni ou la Devise du Mal

En homme d’État digne de ce nom ou même en bon père de famille, si Yayi Boni n'a rien à cacher, il devrait vite identifier le point d'achoppement de sa proposition de révision de la constitution et le résoudre au plus tôt. Et les solutions ne manquent pas si l’intention était honnête. Faire croire qu’il s’agit d’un combat manichéen aveugle entre les progressistes éclairés qui veulent réviser la constitution et les conservateurs attardés qui ne veulent pas qu’on y touche est une représentation trompeuse et frauduleuse. L’écrasante majorité des Béninois n'est pas contre une révision saine de la constitution. Ce que le peuple ne veut pas, ce que le peuple redoute c'est d'être embroché pendant qu'il se baisse pour ramasser le savon de la révision que Yayi Boni a jeté exprès sur le carreau… Chat échaudé craint la douche froide… Bien sûr, Yayi Boni n’est pas seul à blâmer dans cette affaire. Le peuple Béninois y est aussi pour quelque chose et tant pis un peu pour lui. Tant pis pour le peuple d'avoir enfanté une venimeuse engeance d'opportunistes blanchis sous le harnais de l’intrigue, qui a permis à Yayi Boni de l'entourlouper en 2011. Tant pis pour la classe politique et son fantasme intellectuel de l'oiseau rare, d'amener à la tête du pays en 2006 quelqu'un que le peuple ne connaissait ni d’Adam ni d’Ève, et qui a pu s'y hisser à coups de promesses illusoires, de fausse modestie, et d’images d’Épinal de cauris et tutti quanti, de docteur, de banquier et d'enrichissement sans lendemain. Tant pis un peu pour le peuple béninois de se croire en démocratie plus original sinon plus malin que les peuples de vieille tradition démocratique où un élu se choisit au sein d'un parti politique ancré de longue date et non en aventurier solitaire, à la sauvette, ou par deus ex machina. Mais ce n'est pas parce qu'il y a à redire sur l’éthos des Béninois, qui pour le coup mérite d’être refondé, que Yayi Boni peut tout se permettre. Sous sa conduite, alors que tout le pays aspirait à sortir de la longue nuit de misère, de barbarie, de corruption et de médiocrité qu'a été le règne de Monsieur Kérékou, le Bénin est devenu le dernier pays au monde en presque tout ce qui est bon, et le premier en presque tout ce qui est mauvais… Pourquoi Yayi Boni s'entête-t-il à mettre les nerfs de tout un pays à rude épreuve ? Faut-il le répéter, ce n'est pas la révision de la constitution qui fait problème en soi ; ce qui fait problème c'est le risque qu'il fait encourir au pays que cette modification serve de prétexte pour son maintien au pouvoir alors que le pays ne veut plus de lui, et n’aspire qu’à refermer l’horrible parenthèse de désillusion, de honte et de régression totale qu’a constitué son avènement absurde et halluciné. Le peuple redoute un troisième mandat de Yayi Boni dont il suspecte l'addiction à la jouissance présidentielle idiote, à la présidence pour la présidence, au bon plaisir de faire partie de la race « élue par Dieu » de ceux qu’on appelle Président de la République, fût-ce du dernier des États de la planète…. À l'idée qu'on est fait pour être président à vie et que cette chose qu'on appelle président est trop bonne pour être laissée, quittée ; qu'on doit se battre avec la dernière énergie pour s'en assurer la pérennité ; et que cette victoire diabolique est à portée de main dès lors que le peuple a pu déjà se laisser faire : qui a violé violera ! Telle est la devise du mal que Yayi Boni entend appliquer en politique et cela en dehors de toute idée de bien-être du pays qui s'enfonce chaque jour dans la misère à la marge du bonheur illicite d'une génération spontanée d’arrivistes. En tant que gardien de la cohésion nationale, un homme d'État normal et bien intentionné aurait déjà dit depuis : « Béninois, je vous ai compris ! », et aurait agi en conséquence. Il y a toute une palette de mesures rectificatives qui permettent d’apaiser l'inquiétude du peuple sur le sujet en question et de libérer son énergie à des fins plus positives. Elles vont de l'abandon pur et simple du projet de révision de la constitution telle que proposé par le chef de l'État, à l'insertion d'une clause qui stipule clairement que la loi ne prendra effet qu'après le 6 avril 2016, comme l’a suggéré le FONAC ; ou tout simplement à la faire passer en référendum en même temps que les prochaines élections présidentielles. Toute autre attitude relève de la duperie sans phare ni masque. Continuer d'entretenir la tension de tout un peuple sur une question dont la réponse existe est au mieux un manque de pitié qui confine à une perversion sinistre, au pire la preuve d'un esprit malintentionné qui nourrit des arrière-pensées idiotes et antidémocratiques. Dans tous les cas il y a un intolérable mépris de l’intelligence du peuple auquel le peuple doit mettre fin par tous les moyens d’une lutte qui s’annonce sans merci. Aminou Balogun

Le Chat Gordon tout petit devant le Lion Poutine

Gordon qui fait peur aux gouvernements africains, et n’hésite pas à menacer certains de représailles politiques et économiques s’ils ne dépénalisaient pas l’homosexualité, est ici en face de Poutine dans ses petits souliers. Le Président de la nation la plus vaste du monde et certainement de l’une des plus puissantes lui assène ses quatre vérités diplomatiques, politiques et morales, et le Premier Ministre conservateur anglais est scotché, incapable de bouger, en sueur, tout petit. Comme quoi le chat qui fait peur à la souris n’en mène pas large devant le chien, sans même parler du lion…

Les Raisons Discrètes de la Visite de John D. Mahama au Bénin.

Les Évêques, le Fonac et Moi : Dernière proposition à Yayi

Révision de la Constitution : Houngbédji Clarifie sa Position

Dixit : Syrie, le Pape François Prône la Paix

J'exhorte la communauté internationale à n'épargner aucun effort pour promouvoir des propositions claires pour la paix dans ce pays sans plus tarder, une paix fondée sur le dialogue et la négociation, pour le bien de tout le peuple syrien. Qu’aucun effort ne soit épargné pour garantir une assistance humanitaire aux personnes blessées par ce terrible conflit, en particulier ceux contraints de fuir et les nombreux réfugiés dans les pays voisins Dixit Pape François

Images de Sourou Migan Apithy

Sourou Migan Apithy et son Image Surchargée

Gabby damns consequences of being hauled before the Supreme Court

Contrary to suggestions for Mr Gabby Asare Otchere-Darko to retract his comments which described the Supreme Court judgement on the recently dismissed election petition as “farcical” and “corrupt”, the NPP stalwart has instead dared the Court. Mr. Otchere-Darko’s comments which followed the Court’s judgement that dismissed the 2012 presidential election petition has been described widely as contemptuous – as it scandalises the judiciary. Some legal analysts, including Kofi Abotsi, a law lecturer at the Ghana Institute of Management and Public Administration (GIMPA) has indicated although the panel of Judges that heard the petition challenging the legitimacy of President John Mahama has been dissolved, the Court as an institution could still charge individuals who scandalise it with contempt. But speaking on Newsfile on Joy FM on Saturday September 7, the Executive Director of Danquah Institute, a pro-NPP policy think tank, sounded unperturbed. Rather than apologise, Mr Otchere-Darko reaffirmed his position, noting that, ‘Yes, I said the decision was corrupt and I still think that the majority decision is a corrupt one.’

According to him, any critique of the Supreme Court verdict was not to challenge the validity of President Mahama’s election but for academic purposes. ‘Whatever we are doing here, as far as I’m concerned is academic but it may also be useful for future decisions,’ he said. Mr Otchere-Darko further explained that his description of the ruling as corrupt was because the Supreme Court justices had downplayed the constitutional provision which mandated them to protect the constitution and make sure that the public adhered to its provision. He declared: ‘I’ll go there [Supreme Court] and defend myself if they think that [his description of the judgement] is such a major issue for them’. Mr Otchere-Darko Gabby Asare Otchere-Darko maintained that his comments were precisely about the judgement and not the Judges. ‘Let them come and take me if that’s how they feel’, he said.

Tsatsu's comments undermine Supreme Court verdict

The post-election petition commentaries since last weekend have tended to focus mainly on the unfortunate comments made by Mr Tsatsu Tsikata, lead counsel for Nation Democratic Congress (NDC) in the just ended election petition hearing. Mr Tsatsu made the comments to the effect that Justice Anin-Yeboah, one of the nine Supreme Court Judges that heard the election petition, allowed his political affiliation to cloud his judgment. According to Mr Tsikata, he was not really surprised by Justice Anin-Yeboah's persistent and consistent opposition to the stance of the NDC because he was appointed to the Supreme Court by former President John Agyekum Kufuor of the New Patriotic Party (NPP). The comments have been roundly condemned by many, including former President Kufuor, the Greater Accra Regional Branch of the Ghana Bar Association and renowned lawyer, Sam Okudjeto. Public Agenda adds its voice to the numbers who have already condemned this unfortunate and reckless statement coming from Mr Tsikata, a lawyer of high repute.

In the view of the paper, Mr Tsikata's comments have not only maligned and scandalised Justice Anin-Yeboah, but also perhaps, more importantly, undermined the credibility of the very victory he contributed to win for the NDC. The Transparency International's Global Corruption Barometer (GCB) 2010/2011 categorised Ghana's judiciary as “extremely corrupt. While the judiciary was ranked as the fifth most corrupt institution in Ghana,” according to Ghana Integrity Initiatives' Voice of the People 2011. This year the judiciary was rated as the third most corrupt institution in the country, according to the (GCB). Thus if after eight months of an election petition hearing, a seasoned lawyer suggests that a member of the panel voted according to his political allegiance, then he is invariably telling Ghanaians that the verdict is tainted with political corruption and hence casts doubts on the outcome of the proceedings. … continued

Photos : Comment Obama Prépare sa “Frappe” sur la Syrie

Le président Obama parle de l'action possible par les Etats-Unis contre la Syrie suite à une attaque à l’arme chimique, le vendredi.

 

Dictature Yayi : Il n’est pas Trop Tard pour s’Excuser

La Cour suprême du Chili reconnaît ses "graves manquements" pendant la dictature Pinochet, peut-on lire dans la presse. Eh bien, on peut en tirer leçon pour notre bonne gouverne au Bénin : il n’est pas tard pour que nos Cours —  Suprême et Constitutionnelle  sous la Dictature Yayi —  fassent leur mea culpa !

Ghana : Save our whales from dying

Bénin : Six Députés Marchant Côte à Côte

Castration Médiatique de l’Opposition : L’UN marche sur l’ORTB

Les membres de l’Union fait la Nation (Un) étaient hier jeudi 05 août 2013 dans les rues de Cotonou. Ils ont en effet marché sur l’Office de radiodiffusion et télévision du Bénin (Ortb). Les manifestants qui avaient à leur tête le président de l’Union, Bruno Amoussou, ont réclamé l’accès équitable des forces politiques et sociales aux médias publics. Reçus dans les locaux de la Radio nationale, ils ont tenu durant deux heures d’horloge une séance de travail avec les responsables de l’Ortb, en l’occurrence le directeur général. Celui-ci s’est engagé à revoir la gestion de l’office dans l’intérêt des uns et des autres. A l’occasion, l’Un a fait une déclaration devant la presse. Lire l’intégralité de la déclaration.

Nigeria : Twins joined at the spine successfully separated

Twins who were joined at the spine are successfully separated after a pioneering - and incredibly risky - 18-hour operation

Ghana's dead whales: Oil linked denied

Qui "Frappera" les Occidentaux pour leurs Crimes Immondes ?

Saying I’m so beautiful is flattery —Moji Afolayan

Nigeria : Le Rédacteur en chef d’un Journal Arrêté et Détenu

Tukur Mamu, Desert Herald Publisher, To Be Arraigned Today

The detained publisher of Desert Herald, a Kaduna-based newspaper, Tukur Mamu, will be arraigned today before a magistrate court in Abuja. Tukur was arrested on Monday at his office in Kaduna over a purported order by an Abuja magistrate court in a case filed by the minister of the Federal Capital Territory (FCT), Senator Bala Mohammed, and one Ibrahim Bamoi. Speaking exclusively with LEADERSHIP, Tukur’s lawyer, Abdul Mohammed, said Tukur is being detained at Zone 7 police station in Abuja. He said, “I spoke to him this morning (yesterday) and he said he’s fine but he is kept in the same cell with hardened criminals and

terrorists. The police said he is under investigation and will appear in court tomorrow [today]. They said the cell in Force CID Area 10 is still under renovation so they can’t put him there.” of the book at the High Court, FCT Jurisdiction, Court 27. If Tukur is not arraigned today, Abdul Mohammed said, he would then seek an enforcement of his fundamental human rights, given that Tukur had stayed more than 48 hours in detention (Tuesday 2pm - Thursday 2pm). Mamu is having a running battle with Senator Mohammed over his (Mamu) insistence on publishing a book, “FCT Administration: The Rot Within”, which is about the administration of Mohammed as the FCT minister. He had earlier filed a case against the publication  …more