Accra, Nov. 13, GNA - Frommer travel, a global rating agency in the tourism industry, known for its credibility and authenticity has named Ghana among the top 10 tourism destination for 2012. Mr Julius Debrah, Executive Director of the Ghana Tourism Authority (GTA), who announced this at a press conference at the weekend, said Frommer reached out to people to find out where they wanted to be in the coming year and Ghana was listed in the top 10 preferred destinations. He said: “Ghana provided a perfect introduction to African Travel…but for anybody seeking a holistic experience that embraces traditional and contemporary culture as well as beaches and safaris, Ghana’s microcosmic travel circuit is the perfect African Primer." Frommer serves as a travel guide and one of the best selling travel guides in America. Mr Debrah who expressed excitement over Ghana’s selection said the country deserved the acknowledgment since it hosts varied and unique tourists attractions which could be found nowhere in the world. “In Kumasi, the Addae Kese festival held at Manhyia Palace, pays a dazzling homage to the Ashanti King, Osei Tutu II, the city also hosts the Kejetia Market with its labyrinth of 10,000 stalls and surrounded by communities that are famous for the traditional kente cloth weavers." The Tourism Authority Boss noted that Ghana’s recognition on the international tourism circles had given impetus to the hard work that was done by his organisation and the citizenry in general over the year
Celui qui vient d’Europe ( sous entendu, un Blanc) il y a seulement un jour est accueilli en Amérique à bras ouverts, est encouragé et aidé à s’intégrer tout naturellement et fond dans le tissu social et le corps national comme un poisson dans l’eau, se marie, fait fortune sans aucune difficulté ni obstacle en dehors de ceux que tout être humain peut expérimenter dans une société où il se sent chez soi.
A l’opposé celui qui est venu d’Afrique ( sous-entendu un Noir) depuis trois, quatre voire cinq générations n’a personne pour le saluer, l’accueillir, lui faciliter les choses. Sur des centaines d’années, il est figé en étranger insoluble dans le corps social et national, un cas à part, ségrégué, et accablé de solitude de misère et de rejet tenace. Il ne fond dans aucune société et doit s’estimer heureux si à la Soupe Populaire, dans la longue queue des gueux auxquels il est réduit, sa distance de la soupière n’est pas une fonction inverse de la blancheur relative de sa peau !
Eh bien, dans ce beau monde, où une cohorte d’assassins bien-pensants, Père Noel de la Démocratie, à coup de manipulation politique de l’ONU et de bombes de l’OTAN, assassinent en quelques semaines guère moins d’une centaine de milliers de Libyens ainsi que leur chef au nom d’une lutte douteuse pour la Démocratie ; lutte d’autant plus douteuse qu’on ne sait pas pourquoi seule l’Afrique doit en être le théâtre à l’exclusion des autres continents, notamment l’Asie où pullulent de féroces dictatures à l’ombre tutélaire de la Chine ; eh bien dans un tel monde, ma fille, c’est cela l’antinégrisme, une espèce féroce et implacable du racisme.
Les dernières élections soi-disant démocratiques au Bénin, comme souvent en Afrique bananière, ne l’étaient évidemment pas, cela va de soi. Le problème ce n'était pas tant qu'elles fussent truquées, mais c'est qu'elles n'étaient pas démocratiques. En effet elles concernaient en fait deux hordes bourgeoises rivales qu'on ne pouvait même pas élargir au niveau de classes sociales, deux hordes réductibles à deux hommes. Les deux hommes, comme cela est la règle politique en Afrique, concouraient pour le poste de Gouverneur tropical nouvelle manière au profit de la France, ancien pays colonisateur et permanent pays néo-colonisateur. Et celui des deux hommes qui est le plus apte à jouer ce rôle de satrape est préempté, pressenti, choisi à l'avance et soutenu fermement par la France – puisque le Bénin est un pays qui relève directement de la France. En fait, telles sont les données réelles de ce qu'on a appelé “élections démocratiques” au Bénin en 2011. En dépit de l'espoir de la jeunesse d'une indépendance véritable ; en dépit de la volonté de quelques hommes honnêtes, telle a toujours été le cas depuis 50 ans, en matière de ce qu'on appelle cyniquement “élections démocratiques”. Il s'agit en fait d'une joute entre deux personnes au profit de la France. Le but étant de savoir, des deux personnes postulant au poste de gouverneur autochtone, celui qui sera le plus à même de jouer le rôle – vendre son propre pays, ses propres frères et sœurs, pieds et poings liés à la France et au système capitaliste occidental – sans état d'âme avec toutes les garanties de servilité, d'aliénation et d'alacrité au service de la France, violeuse récidiviste, indécrottable et impénitente de l’Afrique… Les élections dites démocratiques en Afrique ne sont qu'une manière théâtrale, souvent coûteuse en vies humaines et en argent, une manière d'élire un gouverneur au service de la France, de l'Angleterre et de l'Occident capitaliste en général. Le gouverneur africain autochtone ainsi élu, bien que nommé Président de la République, a à peine rang de sous-préfet de la métropole ! Le peuple n'a jamais été concerné de près ou de loin par les élections dites démocratiques au Bénin comme en Afrique. Pour se convaincre de cette mise hors jeu du peuple, on n'a pas besoin de considérer par exemple le rocambolesque micmac autour de la liste électorale dite LEPI, passionnément tronquée, hargneusement truquée, faite de bric et de broc, un véritable parchemin électoral apocryphe, et anticonstitutionnellement fantomatique, c'est-à-dire inexistant ! La preuve la plus risible en même temps que la plus visible de cette mise hors jeu du peuple c'est que lorsque ce que la presse inféodée au pouvoir a appelé K.-O.électoral a été proclamé et bien qu'il sautât aux yeux de tout aveugle normalement constitué que cet événement historiquement inédit était un grossier faux, une décision effrontément autoritaire, un passage en force bestial, eh bien quel peuple a-t-on vu se soulever là-contre ? Aucun ! Ce n'était pas parce que le Béninois est égoïste, pusillanime, couard ou même incapable de se révolter. Ce n'était pas non plus parce qu'il aurait ajouté foi à la réalité du K.-O.électoral annoncé par le pouvoir. Non : s'il n'y a pas eu révolte en mars 2011, c'est parce que le peuple n'avait rien à voir avec ces élections et il le savait bien. Le peuple Béninois est intelligent et cohérent. Pourquoi se révolterait-il alors qu'il sait qu’en Afrique en général et plus particulièrement au Bénin, nous sommes dans un système de Démocratie sans peuple ? La Zérocratie ! L’absurdité de cette mascarade électorale avec zéro peuple réside dans l’énorme dépense d’argent, des dizaines de milliards, pour un vulgaire combat de coq, une représentation au sens théâtrale du mot, une distraction trompeuse de mauvais goût, alors que ces sommes faramineuses auraient pu être utilisées à sortir le peuple des noires Ténèbres de la misères… Cette mascarade sordide est le top départ, le rituel inaugural de la culture de corruption…
Le Guide Mouammar Kadhafi, digne fils d’Afrique a rejoint le jeudi 20 octobre 2011 le Panthéon des Martyrs, Grands Hommes et héros africains, qui furent assassinés par les colonisateurs occidentaux. Parmi ces figures emblématiques de notre continent figurent Samory Touré de Guinée Conakry, Patrice Emery Lumumba, Pierre Mulélé de la RD Congo, Ruben Um Nyobé, Félix Moumié, Osendé Afana , Ernest Ouandié du Cameroun, Barthélemy Boganda de la Centrafrique, Thomas Sankara du Burkina Faso, Marien Ngouabi du Congo, Samora Machel, Eduardo Mondlane du Mozambique, Chris Hani, Steve Bantu Biko et Dulcie September d’Afrique du Sud, Amilcar Cabral de Guinée Bissau, Amirouche Aït Hamouda, Mohammed Lemdjed Ben Abdelmalek dit Chérif Boubaghla, le Cheikh Bouziane, Moussa Al-Darkaoui, Al-Hammadi, Abane Ramdane d’Algérie, Mehdi Ben Barka du Maroc, Ferhat Hachet de Tunisie…cette liste est loin d’être exhaustive … Dans sa mère patrie la Libye, le Colonel Kadhafi avait succédé à un autre digne fils et héros de notre continent, le résistant et patriote Oumar Al Mouctar, assassiné lui aussi par les colonisateurs italiens le 16 Septembre 1931.
Dans sa chanson “Redemption Song”, Bob Marley demandait : “How long shall they kill our prophets while we stand aside and look ?” soit dit en français : “ Pendant combien de temps vont-ils tuer nos prophètes pendant que nous restons les bras croisés” ; c’est-à-dire à ne rien faire, à considérer qu’il n’y a rien à faire, que cela relève d’une fatalité ? La jeunesse africaine doit être informée de ces crimes commis ou commandités par l’occident capitaliste colonialiste et néocolonialiste sur nos meilleurs défenseurs, les défenseurs de la liberté de l’Afrique, de sa dignité, de son refus de ployer l’échine, de se renier et de se laisser exploiter de siècles en siècles comme si telle était sa vocation de toute éternité… C’est le même Bob Marley qui disait aussi “ You can fool some people some time, but you can’t fool all the pepole all the times” ; c’est-à-dire qu”on peut tromper quelques personnes quelque temps mais on ne peut tromper tout le monde tout le temps” ! C’est contre cette éternisation de notre sujétion à laquelle l’Occident chrétien s’est voué avec hargne, cynisme et violence qu’il nous faut nous lever comme un seul homme. La jeunesse doit connaître plus que les deux ou trois martyrs dont les noms circulent souvent même confusément. Elle doit connaître les conditions de l’assassinat de ces dizaines d’hommes qui ont payé de leur vie la dignité et la liberté de notre race, de notre continent tout entier. Hommage permanent doit être rendu à ces martyr de la grande cause de l’Afrique. L’Union Africaine doit travailler dans le sens d’un éveil des consciences, de leur éclairage, en s’appuyant sur le levier symbolique. Dans cet ordre d’idée, il est curieux qu’à ce niveau les dirigeants africains n’aient pas pensé jusqu’à présent à instituer des journées symboliques de souvenir et de commémoration comme par exemple : la journée de l’esclave inconnu ; la journée des Martyrs africains, etc.. Ou bien attendent-ils l’ordre de Paris, Londres ou Washington avant d’avoir de telles idées qui ne mangent pourtant pas de pain, et qui peuvent être utiles ? Ou bien comme des moutons suiveurs, ils n’ont idée de faire pour l’Afrique et en Afrique que des choses qu’ils ont vu faire en Occident ? Ils seraient peut-être prêts à instituer la journée du soldat inconnu, mais pas celle de l’esclave inconnu ni celle des martyrs de la cause africaine ! Pauvre de nous : les peuples ont les dirigeants qu’ils méritent. La question, qui complètent celle de Bob Marley à défaut d’y répondre est celle-ci : Pendant combien de temps accepterions-nous des dirigeants bornés, sans acuité, sans discernement, et qui jouent les rabatteurs de troupeaux aux Occidentaux ? C’est à la jeunesse africaine de répondre à cette question ; et pour ce faire, elle doit connaître l’histoire des Héros et Martyrs africains, astucieusement laissées dans une ombre scandaleuse, injuste, idiote et suicidaire…
Redemption Song
Old pirates yes they rob I Sold I to the merchant ships Minutes after they took I from the Bottomless pit But my hand was made strong By the hand of the almighty. We forward in this generation Triumphantly Won't you help to sing These songs of freedom Cause all I ever have, redemption songs, Redemption songs Emancipate your selves from mental slavery None but yourselves can free our minds Have no fear for atomic energy Cause none a them can stop the time. How long shall they kill our prophets While we stand aside and look, Ooh! Some say it's just a part of it We've got to fulfill the book. Won't you help to sing These songs of freedom Cause all I ever have, redemption songs, Redemption songs, redemption songs.
Emancipate your selves from mental slavery None but ourselves can free our mind Wo! Have no fear for atomic energy Cause none a them can stop the time How long shall they kill our prophets, While we stand aside and look Yes some say it's just a part of it We've got to fulfill the book. Won't you help to sing, these songs of freedom Cause all I ever had, redemption songs All I ever had, redemption songs These songs of freedom, songs of freedom.
C'est par pur ethnocentrisme, une approche essentialiste d'événements a priori spécifiques, généralisation idéologique et manichéenne de faits ou d'événements singuliers, que la presse occidentale a décrété que le soulèvement de la Tunisie, contenait en germe ce qu'elle allait qualifier de « Révolution arabe ». En lui conférant ainsi ce que les linguistes appellent un effet performatif. Quitte à ce que les pays occidentaux, avec leur monture de domination politique nommée ONU, accompagnent le mouvement, et dans la même frénésie ethnocentriste, lui fasse mériter son nom arbitraire. Actuellement, c'est le même sinistre ethnocentrisme qui préside à la censure qui plane sur le bilan humain de la guerre en Libye, et la mort silencieuse de plus de 100 mille libyens sous les bombes de l'OTAN. Si la révolution est arabe comme l'a dit la presse et les milieux diplomatico-politiques occidentaux, et pour l’être véritablement, elle doit, partie de Tunisie, embraser l'Égypte et consumer aussi le régime libyen. C'était le moins que pouvait faire un mouvement qualifié a priori d'arabe sur la base d'un manichéisme douteux. On comprend alors la volonté occidentale qui a suivi. L’énorme pression américaine et européenne sur le Raïs égyptien Moubarak, auquel l’Occident sut gré de s'effacer après plusieurs mois d’un bras de fer tendu. On comprend, dans le même ordre d'idées, l'acharnement contre le colonel Kadhafi, un dirigeant dont les concitoyens n’étaient pourtant pas, contrairement aux autres pays arabes, à l'article de la misère, et dont la soif légitime de liberté n'avait pas besoin d'être étanchée à coups de bombes de l'OTAN au point d'occasionner plus de 100 000 morts ! Une guerre logistiquement assistée par l'Occident chrétien en sous-main. Une guerre à laquelle au fond, légitimement, le colonel Kadhafi a réagi en homme d'État responsable. C'est parce qu'on a nommé « révolution arabe » le vent de liberté qui a fait tomber tour à tour les régimes tunisiens et égyptiens qu'on a trouvé inacceptable que le colonel Kadhafi s'acharne à jouer les intrus, les résistants, l’exception à une règle que l'on a décrétée absolue, en dépit du bon sens. Voilà comment les délires ethnocentriste bon teint peuvent se faire bonne conscience. Allons donc ! Ce qui a marché en Tunisie et en Égypte ce n'est pas en Libye que cela va échouer ! Cette révolution arabe, depuis qu'elle consumait des régimes en Afrique du Nord n'a jamais échoué à atteindre ses objectifs. Et pour cela, l'Occident impérialiste qui nomme toutes choses en ce monde, comme s'il était le secrétaire de Dieu, ferait tout pour faire mériter son nom à cette fameuse « révolution arabe ». À coups de bombes de l'OTAN, la frénésie d'un Sarkozy qui a trouvé là une occasion illusoire de décoller des pâquerettes de la vulgarité et de l'agitation permanente, à coups de d’instrumentalisation honteuse d'une résolution de l'ONU cyniquement dévoyée de ses objectifs primordiaux, on a détrôné puis assassiné froidement un dirigeant africain en l'occurrence le colonel Kadhafi de Libye. Et Dieu peut alors dire : « que la révolution arabe soit ! » Mais petit détail qui a son importance : pourquoi la révolution arabe ignore-t-elle tranquillement l'Algérie et le Maroc qui ne sont pas des modèles de démocratie en Afrique ? Ou alors l'Algérie et le Maroc ne sont peut-être pas des pays arabes ? Partout où la soi-disant « révolution arabe » risquait d'avoir des effets collatéraux incontrôlables sur la paix sociale en Occident comme en France, un pays où la mémoire collective de la guerre d'Algérie est encore vivace et qui abrite sur son sol un nombre non négligeable d'Algériens et de Marocains, partout où l'Occident n'y a pas intérêt eh bien la révolution arabe miraculeusement s'essouffle si jamais elle prend naissance, elle devient aveugle et sourde à la quête de liberté des mêmes peuples arabes ; elle cesse d’être arabe. Et à étendre le renouveau de folie colonisatrice de l'Occident sur l'Afrique tout entière, il est curieux de constater qu'une révolution sous l'égide triomphante de la France à chassé un autre « dictateur » en Afrique Noire en la personne de M. Gbagbo, président légitime de la Côte d'Ivoire. En Libye comme en Côte d’Ivoire l’objectif et les intérêts néocoloniaux de l’Occident ainsi que l’implication française ont un air de famille indéniable. À l'échelle africaine et d'une manière rétrospective, on peut dire que si c'est le même vent de révolution qui a soufflé en Tunisie, en Égypte et en Libye, alors c'est aussi le même vent qui a déraciné Kadhafi qui a aussi eu raison de M. Gbagbo, président légitime de Côte d'Ivoire. On aboutit alors à un curieux paradoxe : rétrospectivement, à s'en tenir rigoureusement au regard ethnocentriste qui affecte les évènements politiques en cours en Afrique, la Côte d'Ivoire apparaît comme étant plus arabe que l'Algérie ou le Maroc…
Civil society groups, the Ogoni Welfare Association and Women Arise, on Thursday urged the Federal Government to give a new deal to Ogoni people by implementing the United Nations Environment Programme report on Ogoni land as well as the Ogoni Bill of Rights.
The groups spoke in Lagos during a protest march to the state Governor’s office. The protest was to mark the 16 years anniversary of the execution of the leader of the Movement for the Survival of Ogoni People, Dr. Ken Saro-Wiwa, and eight others by the Gen. Sanni Abacha regime on November 10, 1995.
Spokesperson for the group, Dr. Joe Okei-Odumakin, said the crisis that led to the death of Saro-Wiwa was still on the ground 16 years after. She called on the Federal Government to take steps to alleviate the suffering of Ogoni people.
According to her, Saro-Wiwa died doing what he believed in, including leading his people to demand justice and equity and an end to exploitation and environmental degradation in Ogoni land.
She said, “His intellectual militancy put the Ogoni cause on global focus and exposed the criminal activities of the Nigerian government and oil companies. Rather than addressed the issue, the Nigerian state chose to hang the messenger, thinking that it would hang the message by doing so.
“Like Ken rightly predicted, hanging did not solve the problem. It led to violent agitations across the Niger Delta, which explains why we are having amnesty for those who never asked for one today….
DECLARATION ET ANALYSE D’ALAC¹ SUR L’ASSASSINAT DU COLONEL KADHAFI PAR LES IMPERIALISTES DE L’OTAN ET LEURS SUPPLETIFS DU CNT DE BENGHAZI
Hommages au Colonel Kadhafi, Martyr et Héros de l’Afrique Combattante.
Le Jeudi 20 octobre2011, les dépêches de presse relayaient en boucle les déclarations du dirigeant du CNT, Mahmoud Jibril annonçant la capture puis la mise à mort du Guide Mouammar Kadhafi.
Des images sordides d’une barbarie jamais égalée, furent diffusées à profusion par les médias de la coalition otanienne, qui bombarde sans discontinuité, depuis sept (7) mois le peuple libyen dans l’espoir de tuer son Leader charismatique Mouammar Kadhafi. Ce lâche assassinat perpétré par l’OTAN et exécuté par leurs Harkis du CNT, témoigne si besoin en était, de la nature foncièrement criminogène de ces putschistes et usurpateurs du pouvoir légitime en Grande Jamahiriya Arabe Libyenne populaire et Socialiste, fondée et dirigée par le Guide Mouammar Kadhafi.
Nigeria's first house built from discarded plastic bottles is proving a tourist attraction in the village of Yelwa.
Hundreds of people - including government officials and traditional leaders - have been coming to see how the walls are built in the round architectural shape popular in northern Nigeria.
The bottles, packed with sand, are placed on their side, one on top of the other and bound together with mud.
Nuhu Dangote Trader in Kaduna
"I wanted to see this building for myself as I was surprised to hear it was built from plastic bottles," said Nuhu Dangote, a trader who travelled from the state capital, Kaduna, to see the house.
"They were saying it in the market that it looks like magic, that you will be amazed when you see it, that is why I have come here to feed my eyes.
"The whole world should come and look at it."
The real beauty of the house is its outside wall as the round bottoms of the exposed bottles produce a lovely design.
But for those behind the project, its environmental benefits are what are most important.
'Bullet-proof'
Twenty-five houses, which will be available to rent, are being built on this estate on land donated by a Greek businessman and environmentalist.
Children making money filling bottles may one day be able to attend a school to be built on the estate
Bottles for the houses are mainly sourced from hotels and restaurants
Accra, la ville que j'appelle ma maison, a fait récemment la une des journaux internationaux. Nous avons eu des inondations, des gens sont morts, des maisons et commerces ont été détruits et des milliers de personnes ont été laissées sans abri. La chose était si grave que le président de la République lui-même a enfilé des bottes Wellington et est allé de lieux en lieux consoler la ville dévastée. A Accra nous construisons des maisons sans permis et mettons en place des structures dans les endroits inondables et les égouts servent de dépotoirs à ordures. Chaque année, lorsque les pluies arrivent et les inondations dévastent la ville, nous disons tous que ces structures sauvages doivent être démolies. La furie des eaux a exposé la ville dans son identité de méga bidonville. Chacun d'entre nous ses habitants sommes allés en besogne dans notre traditionnelle routine d’accuser et de blâmer, car la catastrophe n'a pas vraiment été une surprise pour nous. Un article intéressant dans un quotidien national a tenté de mettre le drame en perspective par la compilation de couvertures de journaux relatant l'inondation périodique d’Accra depuis les années 1950. Il y avait une image du Premier ministre Kwame Nkrumah et son ministre des Finances Komla Agbeli Gbedemah inspectant les dégâts causés par les inondations et promettant de l'argent pour construire les égouts. La scène s’est répétée chaque année avec des degrés variables de gravité. J'ai fait des reportages sur les inondations à Accra depuis 1968, j'ai accompagné des ministres et des chefs d'Etat autour des zones inondées de la ville, j'ai été aéroportée par l’Armée de l'air pour obtenir une vue aérienne, j'ai écrit des éditoriaux et des articles innombrables, j'ai été sur les programmes de discussion, je me suis indignée, et j'ai même fondu en larmes devant la destruction causée par la furie des eaux et les torrents. Chaque année, lorsque les pluies arrivent et les inondations dévastent la ville, nous disons tous que ces structures non autorisées doivent être démolies. Mais une fois que le soleil revient et que les eaux commencent à baisser, le ton de la conversation change.
Pour emprunter les mots du Président de la République quand il a été interrogé au sujet du bidonville illégal le plus célèbre d’Accra, appelé Sodome et Gomorrhe, «nous savons que les gens là-bas doivent être réinstallés, mais cela doit être fait à visage humain". L'armée a été amenée à sauver des gens pris dans les eaux de crue. Il n'est pas le premier président à vouloir faire cela. Malheureusement, il n'existe pas de moyen à «visage humain» pour démolir une structure. En 2001, j'étais au gouvernement, nous avions des inondations similaires, il y avait des morts, des maisons et commerces ont été détruits, il semblait y avoir un consensus général que les structures illégales devraient être démolies. Quelques-unes de ces structures ont été démolies et je n'oublierai jamais le "Gouvernement méchant et sans cœur» des journaux et leurs histoires larmoyantes de veuves rendues sans abri par l'opération de démolition. Et maintenant, bien sûr, c’est devenu l'un des droits inaliénables des 24 millions de Ghanéens que de vivre à Accra. Comme je l'ai entendu à la radio la semaine dernière, les habitants des structures dans les zones inondables sont aussi des Ghanéens et ont le droit d'y vivre. Aux oubliettes la fameuse création des zones rurales attrayantes pour l'habitation. Selon le maire de la ville, nous avons besoin d'un montant de 500 millions de dollars pour construire les égouts pluviaux anti-inondation. Peut-être que nous allons trouver l'argent et construire ces égouts, mais s’ils doivent être transformés en dépotoirs à ordures, pendant que nous continuons à construire là où nous ne devons pas et que des endroits comme Sodome et Gomorrhe continuent à se développer tandis que nous essayons de trouver un moyen à visage humain pour les démolir, le rituel annuel se poursuivra.
traduit par Binason Avèkes, d’après un article de :
Old age – or, rather, limited life expectancy - is thwarting Nigeria's chances of realising its potential as a force in cocoa, reducing growers' willingness to adopt a longer-term view and plant new trees.
The country, already the fourth-ranked producer of the bean, is "capable of tripling current production within the next five years… simply by implementing its existing cocoa development policies", US Department of Agriculture attaches in Lagos said.
"It is estimated that only about 20% of Nigeria's 3.0m hectares of land suitable for cocoa production is currently in use," and land that is being farmed is often being done so inefficiently, thanks to ageing trees.
However, the ageing profile of Nigerian cocoa growers means they are reluctant to replace them, even though new varieties require only three years after planting before producing beans, compared with five years for traditional types.
Age issue
"A major problem with cocoa production in Nigeria is that the majority of Nigeria's cocoa farmers are above 60 years, and most cocoa trees are even older with diminished production," the attaches said
7.A kì í fi ìka ro eti, ká fi ro imú, ká wá tún fi ta ehín.
On n'utilise pas un doigt pour nettoyer l’intérieur de l’oreille, retirer des crottes de nez, puis le même doigt pour se curer les dents. (On devrait toujours se comporter avec pudeur et bienséance.)
Réunis en Conseil National à Cotonou les 29 et 30 octobre 2011, les représentants des jeunes communistes des douze départements du Bénin, constatent
1- que quand les travailleurs se mettent en grève pour exiger de meilleurs salaires, le gouvernement répond que leurs revendications sont justes mais qu’il ne peut les satisfaire ; en d’autres termes, les travailleurs ont raison de dire que leurs familles ont faim et qu’ils ne sont pas payés à la hauteur de leur travail mais il n’y a pas suffisamment d’argent dans les caisses de l’Etat pour les satisfaire ; où est passé l’argent ?
2- Les luttes des peuples ont mis à l’ordre du jour des exigences nouvelles pour le progrès de l’humanité :
Joe Frazier remporte le titre poids lourd incontesté contre Muhammad Ali, sur décision des arbitres après 15 rounds au Madison Square Garden le 8 Mars 1971 dans un spectacle appelé le combat du siècle.
Quand ont voit Mme Merkel qui bien qu’étant femme et surtout originaire de l’ex-Allemagne de l’Est est parvenue à devenir Premier Ministre de l’Allemagne réunifiée, alors on mesure le sens de l’identité des Européens, leur esprit synthétique, leur maturité politique et nationale, leur intelligence collective, leur avancée ethnique, leur aptitude à s’en tenir à l’essentiel, leur attachement aux idées plutôt qu’à des considérations régressives ou animales, et pour tout dire leur sens pratique. Car eût-on été en Afrique – Côte d’Ivoire ou je ne sais quel Togo ou Nigeria – si on ne lui opposait pas le fait qu’elle est une femme on lui aurait opposé allègrement le fait qu’elle est originaire de l’Allemagne de l’Est, ce qui pourrait supposer qu’elle est peut-être Tchèque, Lituanienne ou Polonaise : toute stigmatisation qui l’aurait rendue suspecte à l’éligibilité à la fonction de Premier Ministre. On aurait parlé d’ivoirité ou de nationalité douteuse…
Ce bon sens et cette intelligence collective européens ne sont ni un apanage allemand – car en France, Sarkozy qui est d’origine hongroise par son père, bien qu’il s’excite lui-même contre les étrangers et fait des lois répressives à leur égard, cédant au complexe du bus plein, a été élu par les Français – ni un phénomène de mode. Car pour en revenir au cas allemand, Hitler lui-même, qui est devenu le führer du Troisième Reich en même temps que sa fureur, n’était pas Allemand “ de souche” mais précisément Autrichien…
6. A kì í bọ όrìsà lόjú òfón- òn; bό bá dalé a màa tù pepe
On ne sacrifie pas au dieu en présence d'un rat domestique, sinon, lorsque la nuit tombe, il envahit votre demeure. (Ne pas faire des choses qui pourraient constituer la tentation pour les autres)
Hitler était un dictateur ; non pas pour nous Africains ou Asiatiques colonisés mais pour les occidentaux. N'en déplaise à l'ethnocentrisme maniaque avec lequel ceux-ci universalisent tout ce qu'ils touchent ou tout ce qui les touche. La question s'est même posée dans les milieux intellectuels postindépendance africains de savoir si Hitler ne méritait pas une statue. Dans la mesure où, d'une certaine manière, sa violence intime, sa barbarie à l'égard de ses propres frères blancs, et la menace qu'il a fait encourir à leur liberté en ont été pour beaucoup dans la prise de conscience par ceux-ci de la nécessité de libérer leurs colonies de par le monde. En clair, si l'Égypte comme on le dit est un don du Nil, nos indépendances sont peut-être un don d'Hitler. La neutralité bienveillante, sinon l'aura positive dont est auréolée l'image de Hitler en Afrique explique que, chez nous au Bénin par exemple, bien des familles n'hésitent pas à nommer leur fils d’après Hitler, parce qu'ils pensent que celui qui a fait parler de lui sous ce nom dans le monde entier et qui a fait trembler ceux qui les faisaient trembler ne devaient pas être n'importe qui ; c'est-à-dire qu'il ne pouvait qu'être un brave homme. Mais pour les européens, il va de soi que Hitler était un diable, un dictateur sanguinaire, tout ce qu'on veut. Parce qu'il leur a fait goûter en une demi-douzaine d'années à peu près la soupe infecte de malheur, d'arbitraire, de brutalité, de torture, de privation de liberté, d'injustice et de domination que l'Europe, l'Occident chrétien servait allègrement et sans états d’âme aux peuples dominés d'Afrique et d'Asie, sous prétexte de civilisation, souvent et sous des formes variées depuis plusieurs siècles ! On comprend donc que les Européens considèrent Hitler comme dictateur sanguinaire et qu'ils en aient fait le diable absolu. Mais d’où leur vient la manie et l'outrecuidance de venir détecter dans nos contrées des hommes qu'ils nomment dictateurs, désignation magique sur la base de laquelle ils se permettent d'intervenir dans nos affaires au nom abusif de l'ONU et d'autres organisations pseudo internationales à leur solde ? Nous, nous n'avons jamais détesté leurs dictateurs. Nous n'en avons jamais eu qui ait à lui tout seul été responsable de la mort de millions d'êtres humains innocents en l'espace d'une demi-douzaine d'années ! Pourquoi se mettent-ils en peine de venir chercher des dictateurs chez nous ? Pourquoi viennent-ils chercher des poux dans nos cheveux ? C'est leur manie ethnocentrique de l'universalisme à tout crin qui les pousse à combattre pour nous nos dictateurs lorsque les leur ne nous ont jamais fait ni chaud ni froid ? Pourquoi se montrent-ils si cyniquement sélectifs dans le choix de nos dictateurs ? Pourquoi ne nous demandent-ils pas démocratiquement de leur fournir la vraie liste des dictateurs africains ? Et, à l’échelle mondiale, pourquoi font-ils profil bas dans cette lutte, en ne choisissant d’intervenir que dans certains pays à l’exclusion d’autres ? Pourquoi ne vont-ils pas par exemple bombarder la Chine qui ne fait pas mystère de sa Dictature ? Ou bien lorsqu'on a du pétrole et des matières premières en abondance sous son sol en Afrique on n'a plus le droit aux dictateurs ?
On ne peut se fâcher avec la tête et, à cause de cela, décider de coiffer ses fesses avec son chapeau (Absurde de couper son nez pour punir son visage)
BENJAMIN NJOKU With a superb body and sexy long legs, Yvonne Nelson is one actress to behold. A popular face in Ghollywood, Yvonne has endeared herself to a large crowd of fans across the world.
Showtime Celebrity cornered her at a movie location in Festac Town, Lagos, last Friday, where she speaks on her alleged ban by the movie producers in Ghana, her relationships with Jim Iyke, her love life and anger with the press .
You were a model before going into acting. How has the journey been so far?
I wasn’t modeling. It just happened by chance. I actually took part in Miss Ghana beauty pageant in 2005. It has been fun and I love what I’m doing. I have a degree in Human Resources Management but I choose to concentrate on my acting career.
Aux Responsables des Partis et Organisations Patriotiques, Démocratiques, Syndicales et de Défense des Droits de l’Homme,
Aux travailleurs, jeunes, femmes,
Au peuple du Bénin
Depuis les dernières élections présidentielles et législatives, marquées par le hold-up électoral que tout le monde sait, des événements d’une rare gravité assaillent votre vie quotidienne. Les méventes des vendeuses et vendeurs sur les marchés, la torture récurrente de la rentrée académique pour les parents avec son lot de problèmes, l’instruction détruite par les ravages dévastateurs des NPE ; les usines qui se ferment par manque de matières premières (usines textiles, usines d’huile de toutes sortes), la montée brutale des prix des produits de première nécessité suite à la mise en scelle du fameux Programme de Vérification des Importations et la misère que cela entraîne pour l’immense majorité de la population, le chômage qui frappe l’ensemble de la jeunesse, les multiples brimades du soldat, la diplomatie en panne, etc. tout cela est connu. Et vos plaintes provenant des marchés, des ateliers, des champs, des bureaux, des amphithéâtres, des casernes, résonnent de toutes parts et me parviennent.
Une fois que nous acceptons notre addiction au privilège, nous pouvons alors facilement comprendre notre obsession des symboles de statut Le Nigerian doit porter les vêtements les plus coûteux, conduire les voitures les plus chères, se construire les palais les plus chers, fréquenter les clubs les plus coûteux, envoyer ses enfants dans les écoles les plus chères, boire les boissons les plus chères, organiser les fêtes les plus somptueuses et s'accoupler avec les femmes les plus en vue. L'objectif n'est ni le confort ni le luxe. C'est plutôt dans le but d’être reconnu.…Dixit Chukumeka Odumegwu ODJUKWU
4. A kì í bèrù ikù bèrù arùn ká ní kí ọmọ ό ku sinni
On ne peut craindre la mort et la maladie au point de demander que son enfant meure avant soi. (On ne doit pas se préoccuper davantage de se sauver que de sauver ceux qui sont à notre charge. Autrement dit, il faut faire sienne l’éthique du commandant de bateau)
La Cour Constitutionnelle vient encore une fois de s’illustrer, à travers la décision DCC N°11-067 du 20 octobre 2011, en déclarant conforme à la Constitution la loi organique n° 2011-27 portant conditions de recours au référendum, à l’exception de l’article 6 contraire à la Constitution en ce qu’il ne cite pas toutes "les options fondamentales de la Conférence Nationale de février 1990". En effet, la loi organique n° 2011-27, ainsi que l’indique son intitulé porte sur les conditions de recours au référendum. Contrairement à ce que tente de nous faire croire la Haute Juridiction, la loi ne vise pas à déterminer les questions qui pourraient ou non être soumises au référendum. La Constitution elle-même a déjà prévu en son article 156, les matières qui ne sauraient faire l’objet de révision : Il s’agit de l’intégrité du territoire, de la forme républicaine et de la laïcité de l’Etat. Hormis ces trois matières et conformément à l’article 4 de la Constitution, le peuple peut exercer sa souveraineté sur toutes autres questions. Dès lors, le PRD s’interroge sur les réelles intentions du juge constitutionnel lorsqu’il évoque de prétendues options fondamentales de la Conférence Nationale, les isole arbitrairement de la constitution pour ensuite les soustraire à toute possibilité de référendum. En effet, pour parvenir à cette contorsion et à cet arbitraire, la Cour attribue à la Conférence nationale des décisions que celle-ci n’a jamais prises, notamment : - Le mandat présidentiel de cinq (05) ans renouvelable une seule fois ; - La limite d’âge de 40 ans au moins et 70 ans au plus pour tout candidat à l’élection présidentielle ; - Le type présidentiel du régime politique au Bénin. Ces décisions ont plutôt été prises par le Haut Conseil de la République (HCR) faisant office d’Assemblée Constituante et dont les délibérations ont été soumises au référendum de 1990 : elles peuvent donc de la même façon être remises en causes par voie référendaire. Le PRD dénonce cette stratégie de diversion qui vise en réalité à endormir le peuple et à le détourner du vrai débat en créant de toutes pièces un problème qui n’en est pas un - puisqu’il est déjà réglé par la loi fondamentale elle-même. De fait, les vrais problèmes que pose la loi organique n° 2011-27 sont ailleurs et sont liés à son objet, c’est-à-dire " les conditions de recours au référendum ". Elles doivent garantir la sincérité, la transparence, l’équité et l’inclusivité du scrutin, lesquels nécessitent la prise en compte de tous les Béninois en âge de voter et désireux de le faire, l’audit et la révision subséquente de la liste électorale (LEPI). L’autre vraie question que se posent les Béninois est de savoir si, l’actuel chef de l’Etat pourra ou non solliciter un troisième mandat au prétexte qu’il aura eu une refondation c’est-à-dire une nouvelle Constitution, une nouvelle République. Chacun sait que si la réponse n’est pas clairement donnée par la future Constitution elle-même, c’est la Cour Constitutionnelle qui aura compétence pour en décider le moment venu. Le PRD invite tous ses militants, sympathisants et alliés, ainsi que tous les Béninois démocrates et patriotes épris de paix à rester vigilants et à ne pas se laisser distraire par toutes ces acrobaties politico-constitutionnelles dont l’objectif apparaîtra tôt ou tard au grand jour. Fait à Cotonou, le 2 novembre 2011 Le Secrétaire Général, Wabi FAGBEMI
On ne peut avoir un champ frontalier à celui du roi sans se faire entailler les pieds par la houe du roi. (Il faut être prudent dans nos rapports avec les personnes puissantes)
British Prime Minister David Cameron has come under a salvo of attacks over his comments that Britain would withhold aid to countries that do not reform legislation banning homosexuality. Cameron, in a recent interview with BBC One's Andrew Marr Show, threatened to cut aid to anti-gay countries, declaring that nations receiving British aid should "adhere to proper human rights." Cameron said he raised the issue with some of the states involved at the Commonwealth Heads of Government Meeting in Perth, Australia. The comments received bitter criticism from Ghanaians, especially religious leaders, who said the British premier lacked understanding of Ghana's cultural values. The Metropolitan Archbishop of Accra, the Most Reverend Charles Palmer-Buckle, told a local radio that the country must stand up and uphold its values and not allow other countries to manipulate it. A member of the Chief Imam's Educational Fund in Ghana, Alhassan Abdulai, also said the Islamic community was appalled by the threats of the British premier and gave indications that "if push comes to shove," the Muslim faithful in the nation would stage a demonstration against seeming plans by the British government to legitimize homosexuality in Ghana. Minister of Trade and Industry Hannah Tetteh joined the fray on Tuesday, insisting same sex relationships were unacceptable in African cultural set-ups and that no amount of threats would make Ghana stoop to Britain's threat. Interacting with a section of the media here, Tetteh took a swipe at the western world, saying that it had no right to force its cultural and moral orientations on Ghana and that the government would make its stance clear at the appropriate time. "Every society has its norms and what it considers to be acceptable. In the Western world, it is acceptable to have gay relationships and even move on to the next level to gay marriages; in our society, it is unacceptable," she stated. A private legal practitioner, Kwame Akuffo, also condemned the British Prime Minister's comments, describing it as smacking of racism. He urged African states to stand up against any vile or racist conduct from the West towards them, maintaining that since every country had its own peculiar beliefs and heritage, it was important to maintain one's sovereignty. Meanwhile, the Ghanaian government said it had no position now on Cameron's comments on homosexuality until it received official correspondence from the British government….
Faites-vous enculer ou alors vous n’aurez plus d’aide de la Grande Bretagne a menacé l’inénarrable Cameron à l’endroit des pays Africains, notamment ceux du Commonwealth. Cette injonction qui a suivi des mois et des années de campagne insidieuse, venant des milieux occidentaux et défendant la cause et les droits de l’homosexualité, qui a envahi sans vergogne ni pudeur la presse ghanéenne à la limite de la nausée, vient d’être rejetée catégoriquement par le Président Ghanéen John Atta Mills, de la façon la plus ferme et la plus argumentée qui soit…
“I, as president, will never initiate or support any attempt to legalise homosexuality in Ghana,”/ En tant que Président, je n’admettrai ni ne soutiendrai jamais aucune initiative de légalisation de l’homosexualité
“UK could not impose its values on Ghana and [I] would never legalise homosexuality.”/ Le Royaume-Uni ne saurait imposer ses valeurs au Ghana et je ne ferai jamais légaliser l'homosexualité.
Après la chasse au Dictateurs, ils vont nous dire comment nous allons baiser ou si l’on veut, comment aimer… Inénarrable ! Cameron se dit un homme de droite. La défense et l’illustration de l’homosexualité ne sont tout de même pas une valeur typiquement conservatrice. D’où vient que ce qui choquerait la majorité de son camp est si généreusement et arrogamment suggérée à l’Afrique ? Réponse : Il s’agit d’un cadeau empoisonné. Il faut que l’Afrique attrape tous les vices qui en Occident les conduisent peu à peu dans le collimateur de la mort, ce que le Pape Jean-Paul II appelait la culture de mort…Comme ça, ils seront en paix… Nous devons mourir avec eux…C’est ça l’idée suprême qu’ils se font de la fraternité qui nous lie à eux… L’Occident a mangé son pain blanc, qu’il laisse les autres peuples prendre la relève, qu’il s’éclipse de scène… au lieu de nous faire des scènes. Imbécile!
An Italian worker at a restaurant in Ghana under investigation for allegedly operating a "whites only" policy has told the BBC it was a misunderstanding.
Marco Ranaldi said he made "a joke" about the racial profile of members of the Atlantic Lobsters and Dolphins.
A Ghanaian woman started an online protest after visiting the restaurant a week ago and allegedly being told that it was "only for white people".
Meanwhile, tourism authorities closed it on Tuesday as it was not licensed.
Police are still investigating the allegations of racism.
Ms Okoro, 26, said she visited the restaurant in the capital, Accra, with some colleagues a week ago and was shocked to hear about the membership rules for the establishment.
"My Spanish colleague started filling out the membership book and at that point I said: 'Oh excuse me, I'd also like to join this club', and he responded, 'No, I'm sorry, it's only for white people,'" she told the BBC's Network Africa programme.
"I have not paraphrased, I haven't misconstrued, it wasn't lost in translation... it was an exact statement," she said.
ENUGU—ARRANGEMENTS have been concluded for the celebration of the 78th birthday of former Biafran leader and Ikemba Nnewi, Dim Chukwuemeka Odumegwu Ojukwu, who is still recuperating in a London hospital.
Dim Chukwuemeka Odumegwu Ojukwu
This came as Movement for the Actualisation of the Sovereign State of Biafra, MASSOB, said its members would celebrate the birthday with solemnity in Enugu.
Wife of the president, Dame Patience Jonathan, the All Progressives Grand Alliance, APGA governors, Peter Obi and Rochas Okorocha of Anambra and Imo states, some former governors in the South-East and South-South states and other eminent personalities from Igboland have already indicated their interest to grace the occasion scheduled to hold at Ojukwu’s GRA, Enugu, residence on November 4.
Abuja est la capitale du Nigeria, avec une population estimée à 5 millions (estimation 2005). La ville est limitée au nord par l'État de Kaduna, à l'Est par l'État du Nassarawa, au sud-ouest par l'Etat de Kogi et à l'ouest par l'Etat du Niger. Avant sa création, le Nigeria avait pour capitale Lagos. Le territoire d'Abuja était la partie sud-ouest de l'ancien royaume de Zazzau (Zaria). Le nom «d'Abuja» vient de Abu Ja, un frère de Muhammadu Makau, le dernier souverain haoussa de Zaria. Makau avait quitté Zaria après avoir été vaincu par les Peuls et s’est installé dans la région maintenant connue sous le nom d’Abuja. En 1825, son frère Abu Ja lui succéda comme 62ème roi de Zaria.
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