BABILOWN~Mawolè

Entretien Pascal Lissouba

 

Mandela : les Maux de Winnie

 

Bénin : Si Yayi Boni n’existait Pas

Mon Idéo Va, Court, Vole et Tombe sur…:

Prière de ne pas l’inventer

Si Yayi Boni n'avait pas été président de la république, la grande majorité des Béninois et le monde ne se seraient pas rendu compte de ses abominables idiosyncrasies, de son étourdissante médiocrité et de ses tares béantes. L'une de ces tares étant le fait de passer pour docteur, alors qu'il n'est pas médecin, et même s'il a eu un doctorat en économie cet événement n'a concrètement de valeur que décorative ou ostentatoire. Et dire que cet homme avait pu diriger une banque Ouest africaine pendant 10 ans ! Comment donc s'étonne-t-on ensuite que l'Afrique tienne la lanterne rouge de tous les continents du monde, et dans presque tous les domaines, alors que nos sols et nos sous-sols regorgent de matières premières et que nos pays ont une population jeune ? À la tête des structures industrielles, administratives et socioéconomi-

ques de nos pays africains, combien de Yayi Boni ont pu se faire nommer responsables ? Combien se sont arrangés pour occuper des postes de responsabilité sur la base de bluff, d'escroquerie, ou de chantage ethnique ? Faire progresser l'Afrique c'est aussi la purger de cette venimeuse engeance de médiocres, tourbe infecte et ruineuse de milliers de Yayi cachés dans les rouages et les structures socioéconomiques, politiques, institutionnelles et managériales de l'Afrique. A contrario,  si Yayi n’existait pas, il ne faudrait surtout pas l’inventer… Éloi Goutchili

Babilown/la Semaine [8…15]/12

Le Roi Ajaka et les Trois Magiciens

Le Roi Ajaka et les Trois Magiciens

Françafrique, Centrafrique, Y en a Marre !

L'Afrique n'a pas vocation à servir de jouet géopolitique à la France !

 

Dixit : Yayi & Goodluck : Même Pipe, Même Tabac

 

Cette philippique du président Olusegun Obasanjo est magnifique ! Les ressemblances entre les agissements qu'il reproche au chef de l'Etat nigérian et ceux qui ont cours au Bénin sont tels qu'on aimerait qu'individuellement, ou collectivement, les ex-présidents Zinsou, Kérékou et Soglo adressent une lettre ouverte au messie des faillites avérées qu'est Monsieur Thomas Boni Yayi. Les journaux et blogs béninois devraient se faire l'écho de ce texte  en le diffusant largement; comme Monsieur Thomas Boni Yayi au Bénin, Monsieur Goodluck Jonathan, président de la République du Nigeria, souligne sans complexe son clanisme en se réclamant de son ethnie ijaw ; un chef d'Etat est-il celui d'un clan tribal ou d'un Etat de droit? Sans rien de son vitriol la fin de la lettre ouverte est d'un humour et d'un courage admirables. " J'ai passé le stade d'être flatté, intimidé, menacé, effrayé, suborné ou acheté...La mort est la fin de tous les êtres humains et puisse-t-elle venir à l'heure où Dieu le veut." … Dixit Olympe BHÊLY-QUENUM

Nigeria : Jonathan told not to stand in 2015 by Obasanjo

Nigeria : Réaction de la Présidence au Brûlot de Obasanjo

La présidence du Nigeria a réagi à la lettre de l'ancien président Olusegun Obasanjo au président Goodluck Jonathan l'accusant d'incompétence et d’actes calculés en vue de détruire le Nigeria. La présidence a décrit la lettre comme culotée, sans fondement, injustifiable et contenant des « accusations inconvenantes portées contre lui et son administration par l'ancien chef de l'Etat. » Voici la déclaration du porte parole du Chef de l’Etat, Ruben Abati Lettre indigne, égoïste et Hautement provocatrice de Obasanjo Nous avons pris note de la publication sur plusieurs sites Web d'aujourd'hui d'une lettre récemment écrite par Monsieur Olusegun Obasanjo au président Goodluck Ebele Jonathan . La présidence reconnaît qu'il a bien reçu cette lettre de M. Obasanjo . Nous constatons cependant qu'il est très inconvenant, sournois et provocateur qu’une lettre écrite par un ancien chef de l'Etat, respecté et vétéran au président Jonathan ait été délibérément divulguée dans les médias de masse dans un effort déplorable de mettre en doute l'intégrité du président et dénigrer son engagement à donner au Nigeria la meilleure gouvernance possible.

Alors que de nombreux Nigérians patriotes, objectifs et bien intentionnés ont déjà condamné la fuite orchestrée de la lettre comme égoïste, hypocrite, malintentionnée, indécente, et très irrespectueuse de la plus haute autorité du pays, le président Jonathan a ordonné qu’aucun de ses collaborateurs ou du gouvernement ne polémique avec M Obasanjo là-dessus. Le président lui-même, le moment venu, apportera une réponse entièrement personnalisée aux accusations les plus téméraires, sans fondement, injustifiables et inconvenantes portées contre lui et son administration par l'ancien chef de l'Etat. Reuben Abati Conseiller spécial du Président Amené et trad. par Binason Avèkes

Obama et les “Imperfections” de Mandela

Économie Politique d’un Discours

Une Analyse du Professeur Cossi Bio Ossè

Dans deux de ses trois discours d’hommage à Nelson Mandela, Barak Obama est revenu inlassablement sur le thème du refus de déification du Père de la nation sud-africaine. Insistant à l'envi, et rappelant que Nelson Mandela est d’abord un homme de chair et de sang avec ses imperfections et ses défauts. À cet effet, il s'est plu à citer par deux fois dans ses discours Nelson Mandela sur le thème de la sainteté, où celui-ci disait : « je ne suis pas un saint, à moins qu'un saint  soit un pécheur qui essaye de se racheter. » À première vue, ce bémol mis à l'image radieuse de Nelson Mandela et à la considération de sa vie et de son œuvre peut paraître viser son humanisation ; on peut y voir une volonté pertinente de donner crédit aux éloges qui l’illuminent de partout ; une volonté d'éviter de faire de Nelson Mandela ou plus précisément de son image quelque chose d'irréel et par cela même d'illusoire. Mais en réalité, à tout bien analyser, le bémol mis par Barak Obama à l’image de Nelson Mandela n’est pas seulement une précaution rhétorique et une mise en garde contre le risque de la déification. Ce rééquilibrage a aussi une fonction politique ; celle de protection de l'image des États-Unis dont Barak Obama est le premier garant et défenseur. En effet si Nelson Mandela était un saint, une icône, un homme totalement irréprochable, les États-Unis seraient un peu mal en point avec les critiques que le saint homme leur a adressées à diverses reprises au sujet de leur attitude léonine lors des nombreuses intervention des Etats-Unis dans divers endroits du monde. Nelson Mandela, on s'en souvient, a critiqué l'intervention américaine en Irak. Il a critiqué l'assassinat de Bin Laden en estimant que quelque crime qu'il ait commis, il serait conforme aux règles d'un État de droit qu’on lui accordât le droit d'être jugé, au lieu de l’éliminer de façon extrajudiciaire. Selon la position de Nelson Mandela, un État de droit a le devoir d'exemplarité et ne doit pas utiliser les mêmes méthodes barbares que celles qu'il reproche à ses ennemis.

De même, Nelson Mandela réprouve la loi  du talion qui est l'un des principes d'action militaire et politique en vigueur dans l'État d'Israël, et que ne renient pas les États-Unis. Enfin, plus près de nous, Nelson Mandela ne voyait pas d'un bon œil l'intervention en Libye qui a conduit à l'assassinat du colonel Kadhafi, même si les États-Unis se sont cachés derrière le zèle manipulé de certains états européens et des résolutions de l'ONU plus ou moins trafiquées. Les États-Unis ne sauraient digérer ces critiques et les tenir pour crédibles ou acceptables. C'est pourquoi, il sied que leur président laisse entendre, y compris à destination du monde mais aussi à effet de rassurer le citoyen américain, que celui qui a formulé ces critiques n’était pas un saint avec toute l'infaillibilité que cette nature suppose. En revanche, si Nelson Mandela était cet « être de chair et de sang » qu'à plusieurs reprises Barak Obama dans ses hommages a tenu à ramener sur la terre des hommes, cet être humain avec « ses défauts et ses imperfections », alors la question de la critique des États-Unis sur ses violences géopolitiques reste ouverte ; et la position de Nelson Mandela ne peut être tenue pour une vérité révélée, dans la mesure où en tant que position d’un être humain, elle en vaut bien une autre Prof. Cossi Bio Ossè

Corruption: Rawlings is a hypocrite – NPP Group

A pro-opposition group, NPP Youth for 2016, has accused former President Jerry Rawlings of “hypocrisy” over his recent accusation of his successor, John Kufuor, of monopolising corruption during his time in office. According to the group, Mr Rawlings must remove the plank from his eyes before removing the speck from other people’s eyes. “President Rawlings will do himself so much good, sweep Ghana much neat, and gain for himself the moral authority, if he can clean his own house, the NDC with urgency and stop those unnecessary attacks on President Kufuor”. “Consistently for decades, former President Rawlings has faced citizens of Ghana with cruel irony of citing innocent Ghanaians and their families for corrupt practices without good grounds, but in any sincere count of corrupt persons in Ghana, Mr. Rawlings must not look far but within his own, the NDC government”, the group asserted. The group says Mr Rawlings accusation against Mr Kufuor is “unfair” and “baseless”, adding that Mr. Rawlings must explain to Ghanaians how his wife acquired the Nsawam Cannery, a state owned factory.

The statement said Mr Rawlings also, through his personal corrupt means, as a young soldier who could not afford food and furniture, suddenly lavished in houses, cars, and sponsored his children’s school abroad. “Mabey and Johnson happened under the leadership of President Rawlings. So quite clearly, Mr. Rawlings either thinks Ghanaians have forgotten, or wishes we forget the rot he led”. It says, “the most unfortunate Mills-led NDC government in its shameless and singular purpose of draining Ghana through sketchy judgment debt deals must not be lost so soon on the mind of Mr. Rawlings. continued

Nigeria : Guerre et Lettre Ouvertes entre Obasanjo et Jonathan

Ghana : AWA starts Accra-Lagos flights

Africa World Airlines (AWA) on Monday flew its maiden flight from Accra to Lagos; a journey its founder described as an important milestone in the achievement of its goal of connecting West Africa. “Today is an important milestone in the realization of our goal to integrate West Africa and Africa as a whole. It’s a great achievement” Togbe Afede XIV, Founder and Co-Chair of AWA said. Speaking to journalists on arrival at the Murtala Mohammed International airport in Lagos, Togbe Afede XIV the airline’s main goal was to connect Africa by creating routes structured in a hub-and-spoke model with the KIA as its hub to allow a seamless one-change connection between multiple city pairs in the region. AWA is currently the only domestic airline flying regional routes in general and to Nigeria in particular. Starbow started and had to suspend its regional flights to Cotonou in Benin. Answering questions on whether the airline would be able to compete on the route where there are currently two Nigerian airlines: Arik Airlines and Aero contractors and well as international airlines like Emirates Airlines who exercise their fifth freedom by picking up passengers from neighbouring African states, he noted that AWA welcomed competition from any airline, explaining that there was enough demand on the route for more than one airline. He also added that some of the international carriers did the

regional routes due to a lack of local regional carriers and that AWA’s regional operations would complement their efforts. “There is still a lot of need on the route. We have the financial capacity, provided by our financial partners like CADFUND and technical expertise from HNA airlines, to withstand any competition” he stated. AWA also planed to begin flights to Brazil by the end of the first quarter of 2014 ahead of the 2014 World Cup in that country. Togbe Afede XIV said Brazil was closer to West Africa than some people thought and also had a huge black population which would ensure that the flights could be sustained even after the world cup. He said establishing a direct link from Accra to Brazil would help to shorten the distance and open up trade links between both countries. continued

J’irai Mourir à Soweto

Hommage à Nelson Mandela Vivant, par Blaise Aplogan

Jo’burg : Obama salue Mandela, « un géant de l'histoire »

Obama salue Mandela, « un géant de l'histoire » par lemondefr

Dixit : Gbégnonvi, du Thuriféraire au Contempteur de Yayi

Le Chef de l’Etat est allé immédiatement vers la Cour d’Appel. Il en avait le droit. Mais attention. Tout en allant vers la Cour d’Appel, il aurait dû libérer les personnes concernées. .. La Cour d’Appel confirme la décision du juge Angelo Houssou. On sait que Dame Zoubérath Kora est encore en prison, le docteur Mama Cissé est encore en prison. M. Johannes Dagnon et l’ex-ministre Moudjaïdou Soumanou sont encore en prison. Voilà des décisions de justice aussi fortes que celle prise à Paris qui sont restées sans effet. Et j’accuse le Chef de l’Etat, et j’assume mon accusation, de bafouer notre Constitution et d’être coupable aujourd’hui de haute trahison. Dixit Roger Gbégnonvi

Nigeria May Lose $460bn To Climate Change In 2020

f urgent steps are not taken to check environmental degradation in Nigeria, the country may lose about $460 billion to climate change by 2020 and may be exposed to a gross domestic product loss of between 2% and 11%. This was disclosed by the Executive Director, Women Environmental Programme, WEP, Mrs. Priscilla Achakpa, during a two-day capacity building workshop organized by WEP in collaboration with the Federal Ministry of Environment, for Extension Service Officers held in Makurdi, Benue State capital. She noted that findings by relevant agencies indicated that the development posed a threat to the efforts of government to boost food production in the country and the actualization of the Vision 20:20 20 of the Federal Government. Achakpa, who was represented by Mr. George Akor, a Director in the Programme, maintained that “the best way to reach farmers

with climate change information is by developing capacity of Agricultural Extension Service Officers in interpreting and communicating climate change information to rural farmers including women.” According to her, the negative impact of climate change on countries in Africa remains huge despite the fact that the continent contributes little to global greenhouse emissions. “This situation calls for concerted effort by all relevant agencies and governments to ensure that the continued

President Kufuor turns 75 today

Former President John Agyekum Kufuor is celebrating his 75th birthday today, December 8 2013. Ex-President Kufuor is popularly known as the ‘Gentle Giant’ and ruled Ghana from 2001 to 2009. During his reign, Kufuor, who succeeded former president JJ Rawlings, took some firm decisions that were met with stiff opposition from his critics, but eventually helped transform the fortunes of the country.

Notable among the drastic policies taken by the Kufuor administration was the heavily criticized Highly Indebted Poor Countries Initiative (HIPC), the repeal of the Criminal Libel Law as well as the birth of the Fast Track High Courts among others. Source: GhanaWeb

Mandela, l’Icône Universelle

Politiques Africains : sur Mandela, fermez vos gueules !

La mort de Nelson Mandela ouvre les vannes d'un exceptionnel lâcher de ballons d'hypocrisie et de gaz lacrymogène mêlé, de la part de gens dont l'éthique et les comportements ne cadrent en rien avec les valeurs, l’œuvre et les enseignements de l'illustre disparu. Cette frénésie de louanges est encore plus flagrante mais surtout plus qu’ailleurs désespérante en Afrique où la plupart des dirigeants se montrent aveugles et sourds à l'exemple de vertu politique et morale institué et incarné par Nelson Mandela. Ainsi pour ne citer qu'un ou deux cas des plus outrageants et des plus proches de nous, on a pu entendre M. Yayi Boni louer le sens du pardon de Nelson Mandela ! Mais qu'a-t-il fait de ce sens--Ô sombre hypocrisie--lui qui en toute illégalité retient en prison ou pourchasse depuis des mois un certain nombre de ses compatriotes accusés de façon douteuse d'attenter à sa vie ou à sa longévité politique ? Yayi Boni loue aussi le sens de justice de Nelson Mandela et sa stature d'homme d'État exceptionnel proche de son peuple. Et pourquoi n'en tire-t-il pas leçon lui qui vole les élections, usurpe le pouvoir, ruine une Lépi censée être un outil de développement ? Ou bien pense-t-il que la proximité du peuple consiste à dévoyer le rôle des artistes, et à utiliser l'argent public pour les corrompre à chanter sa gloire ?

La proximité du peuple consiste-t-il à l’endormir, l'emberlificoter pendant qu'on multiplie les coups bas et les forfaits pour se perpétuer au pouvoir ? De même, et sans vouloir épuiser la liste de ces lâcheurs africains de ballons d'hypocrisie et de gaz lacrymogène mêlé, citons aussi le cas de l'ancien président du Nigéria M. Obasanjo qui y est allé de son petit couplet en disant que l'exemple de Mandela doit inspirer les Africains. Ah, quelle mielleuse considération posthume de la part d'un homme qui, entre autres bassesses et forfaits, a remué ciel et terre pour se perpétuer au pouvoir et qui n'a échoué que de justesse face à la détermination du peuple du Nigéria ! Si les dirigeants Africains pour la plupart usurpateurs, pouvaient rougir, la vie comme la mort de Nelson Mandela devrait être pour eux une occasion de se terrer et de fermer leurs gueules ! Aminou Balogoun

Pourquoi les Beaux Oiseaux ne Chantent pas ?

Un jour un magicien traversait un bosquet dans la forêt. Tout à coup, il tomba sur un grand nombre d’oiseaux bruns qui voletaient d'arbre en arbre et faisaient entendre des chants divers et beaux. Captivé, le magicien s’assit et écouta longuement les oiseaux remplir l’air de leurs belles mélodies. Il était si subjugué qu’il en devint jaloux, car lui-même était incapable de chanter. Sa jalousie donna des ailes au magicien et il se mit à réfléchir. Après mûre réflexion, il voulut coûte que coûte se rendre maître des voix de ces oiseaux chantants. Alors, il les appela tous et leur tint ce discours : « Je suis peiné de voir que les dieux vous ont dotés de ces plumes sombres, sans éclats et laides. Je parie que vous seriez heureux si vous pouviez arborer un plumage coloré de rouge, bleu, orange et vert… pas vrai ? » Les oiseaux reconnurent que leur plumage brun n’était pas de toute beauté, et rêvaient d’avoir des plumes brillamment colorées. Profitant de l’assentiment des oiseaux, le magicien renchérit : « Eh bien mes chers amis, dit-il, savez-vous que j’ai le pouvoir de vous donner toutes les belles plumes que vous désirez en échange de vox voix ? Après tout, reconnaissez en toute honnêteté que vos voix sont de peu d’utilité dans cette forêt où il n’y a pas grand monde pour vous écouter chanter… » Les oiseaux se consultèrent et reconnurent entre eux que l’un dans l’autre le magicien avait raison et ils trouvèrent sa proposition alléchante. Alors, ne voyant pas plus loin que le bout de leur bec, ils décidèrent de troquer leur voix contre le beau plumage promis par le magicien. Aussitôt dit, aussitôt fait. Le magicien prit les voix des oiseaux et les plaça sous scellé dans une grande calebasse ; ensuite, utilisant son pouvoir, il transforma les plumes sombres des oiseaux en orange, jaune, bleu, vert et rouge. Les oiseaux étaient heureux de se voir dans leurs nouveaux atours colorés, et le magicien qui ne l’était pas moins, détala comme s’il avait un fauve affamé à ses trousses. Arrivé dans un endroit désert, loin de la vue des oiseaux, le magicien ouvrit la calebasse contenant leurs voix et en avala le contenu. Depuis ce jour, la voix du magicien était devenue douce et extrêmement mélodieuse ; et d’un peu partout, les gens venaient pour écouter ses chansons. Les oiseaux quant à eux étaient satisfaits de leurs plumes colorées. Mais depuis lors, les plus beaux oiseaux sont incapables de chanter. Binason Avèkes, Conte de Kétou

Déclaration du Président Obama en Hommage à Mandela

Obama’s Homage to Mandela

L'intégralité de l'hommage de Barack Obama à... par lemondefr

Ghana: Mandela visited Chairman Rawlings in 1991

7 years after he was sentenced to life imprisonment for sabotage and conspiracy to overthrow the South African government, Nelson Mandela was released in 1990. Ghana, among other countries, hosted the freedom fighter who had decided to tour the world to meet supporters and politicians to support sanctions against the apartheid regime. He was received by Ghana's Head of State at the time, Flt. Lt. Jerry John Rawlings in Accra who was dressed in military attire as a soldier and chairman of a military regime, Provisional National Defence Council (PNDC),which came into power after a coup d'état in 1981. Meeting Mandela at the airport was a Ghanaian delegation made up of PNDC executives who had shown great support in the fight against the apartheid regime over the years. President Mandela, in his address, thanked the Government of Ghana for the support it had for the Africa National Congress (ANC) during

the years of struggle and implored the government to continue to lobby for democratic transformation in South Africa. Nelson Mandela was transported in an open top 4x4 vehicle beside Flt. Lt. Jerry John Rawlings through some principal streets of Accra for Ghanaians to catch a glimpse of the iconic leader, who fought tooth and nail to restore decency in South Africa politics. Ghanaians from all walks of life gathered along the streets amidst cheering and tooting of horns to express their love for the courageous and selfless leader. continued

Nelson Mandela, ce Héros si Occidental

Parfois, je me prends à penser que Nelson Mandela n’aurait peut-être jamais existé si les Blancs n’étaient pas cupides, cruels et inhumains envers les Noirs. Et je crains souvent que l’idéalisation et les tapages occidentaux autour de Nelson Mandela dans une culture où le Noir est volontiers envoyé au diable, ne visent essentiellement qu’à occulter, voire scotomiser le sombre palmarès d’inhumanité en quoi a consisté les rapports entre les Noirs et les Blancs : que ce soit en Afrique du Sud dans le contexte de la lutte de libération de l’apartheid portée par Nelson Mandela ou avant lui, à travers la traite négrière, l’esclavage industrielle et pluriséculaire des Noirs, la colonisation, le néocolonialisme où la haine raciste du Noir en général.

Cette fonction de Nelson Mandela dans l’imaginaire occidental, il n’est d’ailleurs pas le seul à l’assumer, même si le parti pris prédateur des Blancs à l’égard des Noirs, qui les pousse à ravaler ceux-ci au rang d’animaux n’est a priori pas compatible avec l’héroïsation du Noir. Si le Blanc fabrique un héros noir à destination des Noirs ou partage avec eux le culte universalisé d’un héros noir, c’est que ce culte à une fonction expresse : celle de masquage de leur inhumanité impénitente à l’égard du Noir et de dénégation de leur culpabilité Amida Bashô

Sommet France-Afrique pour Naturaliser les Agressions Françaises

COMMUNIQUE DE PRESSE SOMMET France-AFRIQUE SUR LA SECURITE ET LA PAIX EN AFRIQUE : UN SOMMET DE JUSTIFICATION DES AGRESSIONS FRANCAISES EN AFRIQUE   Sur décision du Président français François Hollande, se tient à Paris les 5 et 6 décembre 2013 un sommet franco-africain sur la paix et la sécurité en Afrique. Ce sommet est appelé à réunir les Chefs d’Etat et de Gouvernements du continent africain sous la présidence de l’Elysée. Mais qu’est-ce qui justifie que la question de paix et de sécurité qui concerne au premier plan d’abord et avant tout les Africains soit l’objet d’une Conférence Hors-Continent ? Tout au plus peut-on en parler aux Nations-Unies mais pas en France. Cela ne ressemble-t-il pas à s’y méprendre à la Conférence de Berlin de 1885 qui décida du partage de l’Afrique sans les Africains?

Dixit : Mandela, le Prix de la Dignité

…On peut tout m'imposer, mais détruire ma dignité, jamais !   Dixit Nelson Mandela …

Nigeria 2015 : La Panique Gagne le PDP de Jonathan

Les développements qui affectent le paysage politique nigérian ces dernières semaines donnent de plus en plus de sueur froide à M. Jonathan. Et la panique gagne les rangs de son parti ou ce qu'il en reste, ainsi que son état-major. Au nombre de ces événements, il faut signaler la création, il y a quelques mois, de l’APC, une fusion de grands partis de l'opposition qui est un peu pour le parti au pouvoir au Nigéria ce que fut l’UN pour la FCBE et M. Yayi entre 2009 et 2011 : une union de tous les opposants principaux et une alternative politique crédible. Deuxième évolution, la fronde d'une partie des gouverneurs PDP en majorité originaires du Nord. Les frondeurs, animés par de potentiels candidats nordistes à l'élection présidentielle, sont fâchés contre ce qu’ils considèrent comme la violation par M. Jonathan d’un accord de non candidature, conformément à une interprétation contestée du principe tacite de rotation régionale (zoning). Troisième évolution non moins importante et qui aggrave l'espérance électorale de M. Jonathan, le groupe des frondeurs nommé new-PDP  qui jusque-là cherchait ses marques, se tâtait et vivait surtout de rodomontades, menaçant entre deux négociations de rompre les amarres, non seulement vient de mettre ses menaces à exécution mais l'a fait de la façon la plus ruineuse pour M. Jonathan. En effet, cinq de ces mousquetaires originaires du Nord sont allés grossir les rangs de l’APC, un parti qui en a profité pour refaire son retard en nombre de gouverneurs, et qui de ce fait apparaît plus que jamais comme un redoutable concurrent du PDP aux prochaines élections présidentielles. Du coup, la panique gagne les rangs du PDP. Et toutes sortes d'idées biscornues sont avancées pour sauver le navire électoral du parti pour 2015. Parmi ces idées, le vice président du sénat, le sénateur Ike Ekweremadu, vient de proposer que le Parlement vote une loi de prolongation éventuelle de deux ans des mandats du président de la république et des gouverneurs principaux, dans l'hypothèse d'une stabilisation politique du pays au cas où les prochaines élections mettraient le pays à feu et à sang ! Proposition circulairement vicieuse, qui ressemble un peu à une pétition de principe. Son extravagance antidémocratique n'a pas manqué de soulever le tollé dans l'opposition qui crie à une lubie de dépossession du peuple de sa souveraineté. Le parallèle avec le Bénin saute aux yeux ; la révision de la constitution est pour Yayi Boni ce que la prolongation préventive biscornue proposée par le sénateur Ike est pour M. Jonathan : une bouée de sauvetage d’un président qui ne veut pas partir, ou qui n'est pas sûr de sa réélection. Cette extravagance constitutionnelle qui est la dernière trouvaille de Jonathan et de ses amis défraient la chronique politique au Nigéria…Elle montre en tout cas l’inconfort des dirigeants africains à envisager la fin de leur règne, qui pour eux doit être à vie. En ce moment où Nelson Mandela vient de nous quitter, -- may his soul rest in peace --lui qui n’a pas conçu du pouvoir une maladive fixation, doit ruminer l’amertume que son exemple personnel d’abnégation n’a pas fait tâche d’huile sur le continent. Adewale Bakanan, en correspondance depuis Lagos

Lagos Doctor Arrested For Detaining Babies, Mothers

A hospital where nursing mothers and their babies were illegally detained in dehumanising conditions for several months over non-payment of hospital bills has been uncovered in Lagos. Victims were usually detained until their families were able to pay their debts. The hospital was uncovered by officials of the Lagos State Ministry of Women Affairs and Poverty Alleviation, WAPA, in collaboration with the Office of the Public Defender, after a tip off. The three-storey medical centre, Afolabi Hospital, is located at 78, Oworo Road, Oworonsoki in Bariga Local Council Development Area of Lagos, western Nigeria. Seven nursing mothers and their babies were rescued from the hospital when it was raided by the officials on Monday. The nursing mothers and their babies, it was learnt, were detained for as long as seven months or more in a dehumanising condition at the hospital. They were said to have been kept in a dingy room and made to sleep on bare floor while their babies were laid on spring beds without mattresses. According to Mrs. Alaba Fadairo, Director, Child’s Development, WAPA, “we got an information that a hospital was keeping new born babies and their parents for failing to meet up with the bills they incurred after delivery. “When we got wind of the ugly development, we swung into action and in the course of our investigation, we found out that it was true that they were incarcerated for not paying their bills. “After giving birth, both parents and their children were not allowed to see what life outside the hospital looks like. This is barbaric. The area that is of utmost concern to us is the new babies being put on spring beds without mattresses. “Before we embarked on our fact find mission, we got a video which showed the babies on spring beds without mattresses but mere wrappers. This is against the fundamental human rights of the children. We realised that some of the people have even paid part of their debts, yet they were being held for as long as six, seven months. “Infact, when we got to the hospital, the doctor was very violent. He made calls and we were besieged by hoodlums who surrounded us. We escaped after a reinforcement came fro… continued

Bénin : la Justice Ventriloque

La Dualité Crapuleuse de l’Action Française en Afrique

Ce climat de guerres picrocholines qui caractérise plus que partout ailleurs la zone francophone d'Afrique est l'héritage des années Foccart-Mobutu-Houphouët-Bongo-Bokassa, avec leur cortège d'interventions paternalistes, où la gendarmerie politique française agissait sans complexe sur le continent,  fomentait à longueur de temps coups  et contre coups d'État. Les rivalités et les instabilités endémiques au Zaïre, en Côte d'Ivoire, au Congo, au Togo,  au Niger, au Mali,  en Centrafrique, ou ailleurs dans la zone francophone n'en sont que les reliques ou les séquelles logiques. Ainsi de la Côte d'Ivoire à la Centrafrique en passant par le Mali, la France est de loin ou de près à l'origine des affrontements et conflits armés dans ces colonies d'Afrique qu'elle n'entend pas abandonner malgré le miroir aux alouettes des indépendances ; puis ensuite, elle demande

mandat au Conseil de Sécurité des Nations Unies pour y intervenir et imposer ce qu'on pourrait appeler la pax franca. Façon de relancer objectivement le statut de dépendance de ces pays, et d'y prolonger le règne de sa mainmise à peine néocoloniale dans la mesure où la colonisation n’a jamais cessé depuis plus d’un siècle. En somme, pour continuer à coloniser l'Afrique d'une manière scandaleuse et immorale, la France, les Français qui ont un haute idée de leur intelligence, s'en donnent à cœur joie de jouer les pompiers pyromanes. Amida Bashô

Tcy International : Corruption Perceptions Index 2013

Le Bénin et son Régionalisme Atypique : une Vicieuse Singularité

Pourquoi Nous sommes le seul Pays où les Sudistes élisent un Président du Nord

La Fonction Géopolitique de Obama

Ou quand le Supposé Noir Sert de Caution à une Politique de Destruction Raciste.

En fait, quand les États-Unis ont commencé à s'attaquer à l'Irak dans les années 90, c'était parce qu'ils s'inquiétaient en chœur avec Israël de la montée en puissance d'un État pétrolier fort et qui détestait l'État hébreu. Mais la guerre à l'époque avait fini par avoir une image de conflit de civilisation. Après le 11 septembre 2001, qui a été une attaque à la suite de laquelle les États-Unis se sont crus tout permis, le plan de destruction de tout ce qui peut inquiéter l'État d'Israël, jusque-là timoré, a été relancé avec force et sans complexe, passé avec armes et bagages sous le label général de la lutte contre le terrorisme. Sous les dehors de la victime, les États-Unis ont trouvé la force et le prétexte légitime d'écraser l'Irak de Saddam Hussein et d'assassiner celui-ci. Au grand bonheur d'Israël. Mais l'arrogance idéologique et raciste de M. Bush a fini par irriter et rendre méfiants tous ceux qui pensaient que les États-Unis avaient raison de surveiller et punir ses ennemis potentiels, à travers ce qui était appelé alors une « guerre préventive ». Le but de cette politique était d’éliminer sur la carte du monde tous les régimes musulmans potentiellement anti-israéliens, de loin ou de près. L'attaque frontale et manichéenne de M. Bush ayant suscité le rejet des nations non-occidentales, et le soupçon des peuples, il fallait à la fois changer de braquet et de fusil d'épaule. Faire plus systématique en évitant d'éveiller les susceptibilités raciales, en ne laissant pas voir que cette lutte entre l'Occident et les Arabes, entre les chrétiens et les musulmans insoumis, entre les Blancs et tous ceux qui, du Moyen-Orient jusqu'en Afrique noire se réclament non-Blancs, ou refusent d'être les pantins de l'Occident impérialiste, que cette lutte était une lutte raciste. C'est pour cela que, avec l’idée raciste que le Noir, ayant soupé des siècles de violence raciste multiforme, est un paradigme de caution raciale, on a fait venir un président soi-disant noir nommé Obama ; on s'est empressé de lui décerner le prix Nobel de la paix sans que personne ne sache vraiment ce qu'il a fait pour le mériter. Puis, un à un, par sous-traitance ou par manipulation de certains états européens ou de l'ONU, on a commencé par abattre tous les régimes dont l'existence représentait un danger réel ou imaginaire pour l'État hébreu.

Le régime de Saddam Hussein ayant été éliminé, sur la carte des États à abattre, en ligne de mire étaient surtout l'Iran et la Syrie. Mais pour ce faire, il fallait aller du plus facile au plus difficile. Pour accréditer le fait que tous ces changements géopolitiques relevaient d'un mouvement spontané d’émancipation des peuples, on a inventé le concept frauduleux et raciste de « Révolution arabe ». Et, dans la foulée, on a sacrifié la Tunisie et surtout l'Égypte et son dictateur allié sur l'autel de ce mythe médiatique. Le cas de la Libye étant spécial dans la mesure où le dirigeant de ce pays est imprévisible, radical, antioccidental et financièrement puissant, il valait mieux l'éliminer si l'on voulait mener à bien ce plan raciste d'éradication des épouvantails politiques et militaires d'Israël. Voici ce qu'a été et ce que continue d'être la fonction géopolitique de Obama. Voici aussi pourquoi, malgré sa minorité au Sénat, il a été réélu pour continuer à servir de caution à cette géopolitique de l'élimination basée sur la domination des Blancs et leur volonté raciste de s'imposer à toutes les nations arabes et africaines divisées et par cela même faibles, mais qui refusent de danser fidèlement au son de la musique hégémonique de l'Occident chrétien et capitaliste. Bill Aaronk

River level in Ghana to reduce in 2020

A Study by the Water Resource Institute of the Council for Scientific and Industrial Research (CSIR-WRI) on climate change and water resources has revealed that there would be a general reduction in annual river flows in Ghana by 15-20% in the year 2020, and 30-40% in the year 2050. Also, according to the study, there would be a reduction in groundwater recharge from 5-22% and 30-40% in 2020 and 2050 respectively. It further noted that there would be an increase in irrigation water demand of 40-150% and 150-1200% in 2020 and 2050 respectively. These statistics were made known to the media at a workshop organized by the Development Institute (DI) in Accra yesterday under the theme: “Up-scaling of ADAPTS project in Ghana And Are riparian communities in Ghana benefiting from water resources and climate funding?” By the year 2020, all river basins will be vulnerable and the whole country will face acute water shortage, according to the Development Institute (DI). Under climate change, they noted “the quality of freshwater in rivers, and other water bodies will also be impacted negatively, as expected increased floods would carry pollutants into water bodies, restricting their use and putting further constraint on water availability to meet growing demand.”

Climate change is expected to result in gradual changes in temperature, rainfall patterns and sea level rise. Also, increased climate variability and extreme events; threatening water availability and food security for millions of poor people. Rainfall, according to the DI, is decreasing; with droughts more prolonged and flood and water bodies drying up and deforestation is more acute. In view of these worrying phenomena, the DI introduced a project called the Adaptation Strategies for River Basins (ADAPTS) in Ghana to help riparian farming communities to switch from unreliable rain fed farming to small-scale irrigation farming. continued

Oshiomhole employs widow, gives her N2m

L’Evénement Précis : Premier prix presse écrite

C’est à la faveur de la 24ème convention locale de la JCI Cotonou qui a eu lieu samedi dernier à la salle de conférence de la Direction générale des impôts et des domaines (DGIC) que les résultats du concours de presse ‘’Notre diversité ma fierté’’ ont été proclamé. Philippe Ado, le directeur de publication du quotidien Nouvelle Expression, était le président de jury. Cette  convention a, par ailleurs, enregistré l’investiture d’un nouveau président à la tête de la jeune chambre. « Interdiction de mariage entre les ethnies Watchi et Fon, de nouvelles mentalités contre une pesanteur historique ». C’est l’article du journal l’Evénement Précis qui a gagné le premier prix du concours ‘’Notre diversité ma fierté’’ initié par la jeune chambre internationale de Cotonou. Sur la recevabilité et les critères d’appréciation des dossiers, le jury, par la voix de son président, a déclaré au sujet de cet article : « Thème très pertinent, genre rédactionnel compte rendu, expression bien au dessus de la moyenne ». Et c’est en reconnaissance du mérite d’une équipe et en l’occurrence d’un seul homme, que ces appréciations ont été dressées. Celui-là, c’est le journaliste culturel, chef desk culture/chef d’édition du journal, Donatien Gbaguidi, l’auteur de l’article. Dans la course au précieux sésame, huit (08) dossiers dans  la catégorie presse écrite, un (01) seul pour la radio,  et zéro pour la télévision, ont été enregistrés par le secrétariat de la JCI puis transmis avec Bordereau au jury composé de Philippe Ado, Jérôme Kassa et Maurice Tossou. Au nombre des postulants: Balogoun Ulvaus, Sossa Bismarck, Adénignin René, Zounmènou Marcel, Houénou Olivier, Topkonou Joël, Eklou Cocouvi, Donatien Gbaguidi le grand vainqueur de la catégorie presse écrite  et Ligan Dossou Charles (Radio). Le verdict a été prononcé au cours  de la 24ème convention locale de la jeune chambre internationale de Cotonou (JCI/Cotonou). Ladite convention a servi en même temps d’occasion pour l’investiture d’un nouveau président à la tête de cette organisation. Il s’agit du géographe Baldomer MIGAN, successeur de Gildas Séhlin. Teddy GANDIGBE

Nigerian president's party fails in key local vote

LAGOS, Nigeria: Nigerian President Goodluck Jonathan's party has finished second in a state election seen as a test of his popularity and opposition strength, the country's electoral watchdog said on Sunday. The Independent National Electoral Commission (INEC) said on its website that Jonathan's Peoples Democratic Party (PDP) received 97,700 votes in the race for a new governor in southeastern Anambra state, while the main opposition All Progressives Congress (APC) was just behind with 95,963 votes. Victory went to the All Progressive Grand Alliance which retained the governorship with 180,178 votes, INEC said of the election that concluded on Saturday. Voting in Anambra was being watched to determine the extent of public support for Jonathan before his expected run for re-election in 2015. He has not yet declared his candidacy but some within his party believe that he should uphold an unwritten rule that the presidency rotates between a candidate from the majority Muslim north and the predominantly Christian south. Jonathan is a southern Christian from Bayelsa state.

Five state governors who had previously formed a splinter group in opposition to Jonathan's expected bid for re-election last week announced that they had joined the APC. The APC is looking to secure its first presidential victory since Nigeria returned to civilian rule in 1999. Polling in Anambra first took place on November 16 but the PDP, APC and Labour Party all called for the election to be declared null and void, amid reports that ballot boxes, papers and other election material went missing. Police also imposed tough restrictions on movement into and out of the state, which was viewed in some quarters as harassment and intimidation and raised fears for the running of the general election in 18 months' time. continued

Pourquoi le Léopard a des Taches Noires sur sa Robe

Autrefois Ekun le léopard avait une robe de la même couleur jaune dorée que le lion ; elle n’était pas ocellée de taches noires. Mais un jour, Ekun entendit que Akiti, le célèbre chasseur avait parié sur sa peau. A cette époque, toute la savane bruissait de la puissance d’Akiti et de ses exploits de chasse. Et les animaux, du plus petit au plus grand, redoutaient sa dextérité et la morsure de ses flèches empoisonnées. Ekun avait peur d’être tué. Et, il alla mander conseil à Kulapo, le grand Sorcier. Kulapo lui suggéra de manger la racine d’une plante magique qui rend invulnérable aux armes des chasseurs. Ekun alla chercher la racine en question et la mangea pendant trois jours comme indiqué. Peu de temps après, Akiti surprend Ekun se faufilant dans le sous-bois dense de la savane et l’arrose d’une pluie nourrie de flèches empoisonnées. Malgré cette attaque surpirse, Ekun réussit à s'échapper.

Mais les flèches le marquèrent à vie ; sa robe dorée fut ocellée de taches noires. Depuis lors, quand les chasseurs poursuivent Ekun, il est rarement pris, mais sa robe dorée ocellée de taches noires, l’aide à se camoufler, surtout dans les arbres, où elle donne l’impression d’une maille de lumière et d’ombre entre les feuilles et les branches brûlées par le soleillées Binason Avèkes, Conte de Kétou

Dokubo : Honte et Trafic Diplomatique Occulte du Gvt Béninois

Bénin: Asari Dokubo Soupçonné d’être un Leader de Boko Haram

Ah ! Ah, Grosse Blague !