Lire la suite "Bernard Dadié: « Aujourd'hui ou jamais, Paris, abandonne la raison des armes! » " »
Lire la suite "Bernard Dadié: « Aujourd'hui ou jamais, Paris, abandonne la raison des armes! » " »
Rédigé à 21:45 dans Essai, Litté, Pamphlet | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 00:34 dans haïku | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Falorni, François Hollande, La Rochelle, Ségolène Royal, tweet, Valérie Trierweiler
By APOLLOS IBEABUCHI OZIOGU Owo is a town in the present Ondo State of Nigeria, whose traditional ruler is Olowo. The city of Owo lies half-way between the cities of Ife and Benin, about 140miles away from Benin City, on the eastern border of Yoruba-land. According to a Yoruba local historian, Chief M.B. Ashara, the people of Owo were said to have migrated from the city of Ile-Ife to the present location in about 1100AD. Another source of oral history said that it was one of the sons of the gods who founded the city of Ile-Ife that founded the city of Owo. As a result of this relationship, the city of Ile-Ife seems to have a strong influence on the city of Owo. Indeed, the influence of Ife on Owo is clearly seen on some of their art works By the end of the middle of 15th century, Owo town had come under the influence of Benin kingdom. Thus, Owo became influenced by several facrors: | ·Architecture: The houses of Owo people have fluted walls like the people of Benin. Religion: The religious activities of the Benin and Owo people look alike. For example, the Owo people perform the same ritual of “Igwue” like the Benin. · Politics: The Owo people adopt chiefly titles like the Benin people. · Regalia: The royal regalia is common in both cities. · Traditional Rulers: The Oba of Benin and the Olowo of Owo use the same type of ceremonial sword that has looped handl |
Rédigé à 21:29 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
En Égypte, à la veille des élections présidentielles, le Conseil Suprême des Forces Armées (CSFA), en la personne de son chef, le maréchal Hussein Tantaoui, a prononcé la dissolution formelle du parlement. Cette dissolution procède d'une décision de la cour constitutionnelle qui a invalidé un tiers des sièges de la chambre basse en raison d'un « vice juridique » entraînant dès lors la dissolution de fait du parlement. Ce fait, d'une portée politique considérable, traduit la manière dont la dictature en Afrique, dans son combat d'arrière-garde, résiste et se joue de la démocratie. Il n'est pas un cas isolé dans une Afrique où les dictateurs et tyrans multiplient les méthodes procédurales et excipent des formes apparentes de la démocratie pour mieux la contrecarrer, l'étouffer, l'abattre. Dans le cas d'espèce, il est intéressant de remarquer, comme c'est toujours le cas, du Bénin au Cameroun en passant par les Congo et autres Togo, comment le combat d'arrière-garde des dictatures met en scène ses œuvres sordides et s'appuie sinon sur la division du travail d'élimination de la démocratie, du moins sur l'instrumentalisation réglée de ses institutions. Ainsi, dans un premier temps, la cour constitutionnelle dans son autonomie supposée et sa clairvoyance objective a pris la décision d'invalider un certain nombre de sièges. Ce nombre de sièges dont seule la providence justifie l'importance décisive a ceci de particulier qu'il est suffisant pour conduire à une seconde décision, prise par une seconde instance apparemment indépendante : la dissolution du parlement. Dans la guerre politique sans merci qui a toujours opposé l’establishment militaire aux Frères musulmans en Égypte, on n'a pas besoin d'être un génie ni un prophète pour se faire une idée du sens de cette dissolution comme étant un au coup de force visant à renverser le rapport de force existant entre les deux camps depuis le verdict des urnes qui a consacré la victoire au parlement du camp des islamistes. En revanche, ce qui est montré du doigt ici est moins le coup de force lui-même que sa méthode d'intervention : l'instrumentalisation de la cour constitutionnelle et d'une manière générale des institutions démocratiques qui se met en scène, avec la prise d'une décision téléologique renvoyant à une autre décision qui s'appuie sur la première et parachève son œuvre dans une succession coordonnée d'actes et de décisions qui a toutes les apparences d'une formalité dé-
|
mocratique. Il ne s'agit ni plus ni moins que d'une récupération cynique de la démocratie, d'un consensus frauduleux, d'une subversion formelle et trompeuse dont le but est de mettre le peuple et les consciences devant l'évidence formelle du fait accompli. Cette dictature-caméléon qui, pour persévérer dans son être, est obligée de se draper dans les oripeaux formels de la démocratie, est devenue la marque de fabrique des forces rétrogrades antidémocratiques en Afrique. Un exemple éclairant et éclatant de cette triste dérive est donné par le président actuel de l'union africaine, M. Yayi Boni, qui s'est fait réélire en 2011 au Bénin et continue de gouverner avec le même type d'instrumentalisation des institutions, de trucage de liste électorale, de fraude massive et de corruption mettant en jeu des dizaines de milliards de francs CFA dans un pays dont tout le monde constate aujourd'hui l'étiage des finances publiques et la dépression économique généralisée. Aminou Balogun |
Rédigé à 10:28 dans haïku, Pamphlet | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
BY DAPO AKINREFON THEY are identical twin brothers married to twin sisters and they share a lot in common. Born over four decades ago to Mr and Mrs Oluwafunso, Messrs Taiwo and Kehinde Oluwafunso, who hail from Ibadan, Oyo State, run Twin Action-Aid, an NGO specifically set up to see to the welfare of twins. In this encounter, they reveal a lot about themselves and the Panafest colloquium among other issues. Enjoy your read: Who are the twins? The only time we were separated was when one of us attended the Polytechnic Ibadan, while the other was admitted to a College of Education in Lagos. After this, we both attended the Lagos State University. Our parents encouraged us to do things in common. In all that we do, we discovered that God was taking us somewhere. Being identical, do people find it difficult to differentiate the both of you?
|
find it difficult to differentiate ourselves. We are identical and this has opened doors for us. We have also ensured that we positively affect the lives of those around us because of our upbringing. One thing that has been working for us is our identical features. Did you at any time work in the same place, since you do things together? Tell us the story of how you meet your spouses? |
Rédigé à 18:56 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
|
Rédigé à 18:30 dans Ilzondi | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
L’Américain qui a été kidnappé au Bénin s’appelle K. Shawn Bischoff. Originaire de Fort Laudale en Floride, il est âgé de 45 ans. Il est pilote de profession et travaille pour la compagnie JetBlue. L’appât auquel il a mordu sur internet, tournait autour d’une transaction commerciale d’or. L’Américain a été saisi par plusieurs hommes à son arrivée au Bénin le 22 mai, a indiqué la police, lesquels hommes ont «disparu» jusqu'à ce que l’Américain soit reconnu au poste frontalier du Togo et libéré huit jours plus tard. Ses quatre ravisseurs ont été arrêtés. |
pour les investissements, et donc pour le développement. » a dit Monsieur Djimassè Aux Etats-Unis, au-delà de l'identification de M. Bischoff, le Département d'Etat suit l’affaire de près. « Nous continuons à travailler avec la police béninoise alors qu'ils continuent leur enquête », a déclaré un porte-parole de Washington, DC, citant « des considérations de confidentialité » il s’est toutefois refusé à tout autre commentaire. «Nous sommes tout simplement ravis que notre compatriote ait été libéré, » a-t-il dit. Voilà que la bonne plaisanterie a mal tourné et a failli se terminer en cauchemar… Binason Avèkes |
Rédigé à 00:39 dans Actualité, Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 20:12 dans hommage, Image, Memory | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
With its popularity on a nosedive, it looked like a masterstroke for the Goodluck Jonathan administration to anchor its revival on the name of Moshood Abiola.That was the name which eighteen years ago defied ethnic and religious biases in what has remained the freest and fairest presidential election that was ironically annulled by the ruling military junta. Faced with popular revolt over its seemingly rudderless response to the insecurity situation in the country, a listless war against corruption and the bad blood flowing from last January’s removal of the alleged subsidy in petrol prices, it could have been a politically sagacious gambit. That perhaps may have dictated the decision of the administration to rename the University of Lagos after the martyr of the June 12, 1993 presidential election. However, as with many policies of the administration, its good intentions have been so badly conveyed and have now turned into a disastrous public relations nightmare for the government. As President Goodluck Jonathan tailed off his May 29 Democracy Day speech two weeks ago many Nigerians were yet looking for something to go away with that Tuesday. As he rounded up his 5,636 worded speech the president crossed the line that even his more adventurous predecessors had so much ignored. President Olusegun Obasanjo who was the immediate beneficiary of Abiola’s martyrdom perhaps for childhood rivalry reasons or some other unfathomable considerations, did not contemplate any honour for Obasanjo. Indeed for his eight years in office, the name Abiola was not mentioned in public by Obasanjo. President Umaru Yar‘Adua who succeeded him in 2007 may have been more forthcoming but illness did not allow him to fully manifest. So it may have seemed logical for the Jonathan presidency to pick on where angels dared to dread for a bounce in public goodwill with its decision to honour Abiola. President Jonathan’s path to rediscover the goodwill that shadowed his emergence is now bogged with the decision to rename UNILAG after the deceased politician and international businessman who died in incarceration in 1998 following his insistence on assuming the mandate he won in the 1993 election. |
Rédigé à 16:05 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 23:14 dans haïku | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le ministre kényan de l'Intérieur Georges Saitoti.
Le ministre kényan de la Sécurité intérieure George Saitoti, candidat à l’élection présidentielle et important responsable dans la lutte contre les islamistes somaliens, a été tué dimanche près de Nairobi dans l’accident, aux causes encore indéterminées, de son hélicoptère avec cinq autres personnes à bord. "Nous avons malheureusement perdu M. Saitoti et le ministre délégué (à la sécurité intérieure) Orwa Ojode", a déclaré à la presse le vice-président kényan Kalonzo Musyoka, arrivé sur les lieux de l’accident, dans une forêt près de Nairobi. Parmi les victimes se trouvent également les pilote et co-pilote de l’appareil -- dont une femme -- et les deux gardes du corps des responsables gouvernementaux, a ajouté M. Musyoka. Le vice-président kényan n’a fait aucun commentaire sur la cause possible de l’accident de l’appareil, un hélicoptère de police muni de petites ailes fixes de la société Eurocopter. Cet appareil s’est écrasé à 8h30 locales (7h30 en Suisse) dans la forêt de Kibiku, dans les collines de Ngong proches de Nairobi, peu après avoir décollé de l’aéroport Wilson à Nairobi à destination de l’ouest du Kenya pour assister à une célébration religieuse. Le Kenya a subi ces derniers mois une série d’attentats, attribués systématiquement par le gouvernement aux islamistes somaliens shebab, et en tant que ministre de la Sécurité intérieure, M. Saitoti était impliqué dans les mesures de sécurité prises à l’encontre de ces derniers. Mais rien à ce stade ne permet d’accréditer la thèse d’un attentat plutôt que celle d’un accident. L’armée kényane est entrée en octobre dernier en Somalie, où elle mène depuis, conjointement aux forces militaires d’autres puissances régionales, des opérations pour déloger les islamistes shebab de leurs bastions du sud et du centre de ce pays livré à la guerre civile depuis plus de 20 ans. |
Rédigé à 18:27 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Mon Idéo Va, Court, Vole et Tombe sur…:
Trop de “Ba” et pas de “Oh”…
Nous qui allons superficiellement en besogne dans la comparaison des pays comme la Corée et le Sénégal en trouvant motif du fait qu’il n’y a guère longtemps ces pays étaient au même niveau économique pour espérer nous hisser au même niveau socioéconomique et technologique aujourd’hui, nous ne prenons pas en compte la dimension éthique du développement. Entre la Corée et le Sénégal, la |
différence éthique se mesure pourtant en année-lumière ! Outre le fait que nous ne placions pas l’effort et le travail acharné au même firmament de nos préoccupations individuelles et collectives, outre le fait que nous ne cultivions pas le même lien social et ne donnions pas à la force collective la même place motrice dans le développement de la société, quel dirigeant africain a jamais démissionné de son poste ? Quel dirigeant africain a-t-il jamais reconnu sa faute ? Sans parler d’une reconnaissance publique et de scènes d’auto-affliction comme celles qui sont courantes dans la sphère confucéenne? Aucun, bien entendu ! Loin de reconnaître leurs fautes et d’assumer leurs responsabilités, les dirigeants africains préfèrent les éluder ou faire des fuites en avant dans des conflits de personnes aboutissant à des guerres et à des crimes encore plus graves… Dans ces conditions, surtout venant de la part de soi-disant intellectuels, quelle ignorance, quelle naïveté imbécile que de vouloir comparer la Corée et le Sénégal, l’Afrique et l’Asie ? Dans ce cas, comparaison devient raison d’inquiétude pour notre sens de discernement. Le drame de l’Afrique c’est qu’elle a trop de “Ba” et pas de “Oh”… (Photo: Truth Leem / Reuters) source |
Rédigé à 09:51 dans Idéo | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Mon Idéo Va, Court, Vole et Tombe sur…:
Pauvres pays Riches en Aberrations
Rédigé à 23:01 dans Idéo | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
By Charles Adingupu This institutionalised festival has become an option for the activists and their allies to ventilate their ideals on what democracy should be. However, the immediate cause of June 12 centred on the then military government of General Ibrahim Babangida, who braved the consequence of his action to stop and annul an election widely believed to have been won by Chief Moshood Abiola of the defunct Social Democratic Party (SDP) without satisfactory explanations. |
However, subsequent interim national government (ING) of Chief Earnest Shonekan who played the messianic role of delivering Nigeria from the catastrophic effects of the annulment failed as the late General Sani Abacha took over the reign of government. Admittedly, the constitutional conference by Abacha’s government equally failed in its quest for solution to the political imbroglio that Nigeria was enmeshed in... |
Rédigé à 18:29 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Israël s'est planqué, pendant ce temps, on nous rebat les oreilles à longueur de semaines et de mois de massacres en Syrie. De massacres prétendument perpétrés par le gouvernement montré comme criminel et sanguinaire. Dans les médias occidentaux, la situation est présentée de façon manichéenne. Il y a des rebelles, et on les imagine simples enfants de cœur faisant des marches de protestation et n'ayant pour seules armes que leurs poings levés ; et, en face, l'armée, les chars, les bombardiers qui déversent le feu de la mort sur des villages et des quartiers innocents. Tuant sans discriminer--après avoir bien entendu discriminé --hommes, femmes, enfants, vieillards et malades… |
comme la Russie et la Chine dont on ne peut pas dire qu'elles soient des modèles achevés de démocratie. Et pourtant, ce sont elles, la Russie et la Chine, qui n'éludent pas, ne passent pas sous silence la pluralité des responsabilités dans le drame syrien, notamment la responsabilité des opposants, leur refus obstiné d'entendre raison, leur maximalisme suicidaire, ceux-là qui campent sur leur position depuis le début et comptent sur les médias occidentaux pour faire de la « barbarie médiatisée » du gouvernement syrien le déclencheur légitime de la colère universelle des fausses démocraties occidentales. Boumaza Ashraf |
Rédigé à 09:07 dans Actualité, Essai | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Anan, Arabie, Israël, ONU, Syrie
Rédigé à 21:36 dans Essai | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
![]()
|
Né en 1939 à Abomey, République du Bénin. Vivait et travaillait à Abomey. Décédé en 2012. Cyprien Tokoudagba a mené dans le même temps plusieurs activités : peintures murales et sur toiles, fresques, sculptures, etc. Il fut également restaurateur au palais du roi Glele et au musée national d'Abomey, et donc en contact avec les très riches traditions artistiques du Bénin, l'un des plus marquants berceaux culturels du continent africain. Il travailla d'autre part à la décoration de nombreux édifices vaudous, temples privés ou institutionnels. Ses sculptures sont issues de la tradition béninoise, souvent anthropomorphiques et monumentales. Ses peintures murales représentent les effigies symboliques des puissances politiques et surtout religieuses. Il peignit également sur les parois des lieux de culte des figures géométriques traditionnelles. Sans abandonner les commandes de peintures murales, il réalise à partir de 1989 de grandes peintures sur toile dans lesquelles il combine avec une grande liberté, les emblèmes des rois d'Abomey, les symboles des divinités (Terre, Feu, Eau, Air) et les objets liés à sa culture. Les combinaisons des figures, des objets et des signes donnent à ses tableaux l'aspect de curieux rébus. source |
Rédigé à 20:11 dans hommage | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 18:46 dans Movies, Musique | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Rédigé à 21:31 dans Litté | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 19:19 dans hommage, Movies, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Proximité du Nigéria ; les deux Faces de la Médaille
|
Dans le même temps, la semaine qui s’achève a été marquée au Nigeria voisin par deux affaires de kidnapping à répercussion internationale ( car les kidnappings à caractère national sont innombrables et banals) dont les dénouements n’ont pas été tous heureux. L’Italien Modesto di Girolamo, kidnappé dans l’Etat de Kwara a été libéré sain et sauf. Les autorités nigérianes n’ont donné aucun détail sur sa libération. Monsieur di Girolamo a été kidnappé à Ilorin, la capitale du Kwara le lundi alors que l’ingénieur italien y était en mission de supervision pour le compte d’une société turinoise. Mais malheureusement le jeudi, on apprend la mort d’un autre ingénieur, allemand celui-là, kidnappé en janvier dans le Nord du Nigéria et qui a été tué lors d’une opération de sauvetage qui a échoué. Edgar Fritz Raupach avait été kidnappé dans la ville de Kano. Les auteurs présumés du kidnapping de l’Allemand seraient les membres de la secte Boko Haram qui sévit au Nigeria depuis plusieurs mois, entre assassinats, raids meurtriers, bombes humaines, voitures piégés et incendies en tous genres sans que le gouvernement fédéral n’en puisse venir à bout. Bien que les mauvaises habitudes criminelles qui trouvent de plus en plus écho auprès des jeunes béninois désœuvrées se fassent sur le modèle et sous l’influence de ce qui se passe au Nigéria voisin -- depuis la fraude par internet jusqu’au kidnapping, en passant par les attaques à mains armées -- force est de constater que l’un des rares kidnapping à répercussion internationale que notre pays ait connu se soit soldé par un dénouement heureux. Ce succès est à l’honneur du Bénin et à l’actif de la police nationale. Si le modèle nigérian est socialement inévitable en raison de la proximité de ce grand voisin, il est heureux de constater que l’efficacité de la lutte anticriminelle, et la politique sécuritaire nationale puissent prouver leur différence et leur autonomie. Banjo Adegboro |
Rédigé à 14:50 dans Actualité, Editorial, Essai, Press Link | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
The ECOWAS Regional Centre for Renewable Energy and Energy Efficiency (ECREEE) in collaboration with the ACP Business Climate Facility (BizClim) will organise a two-day Regional Workshop on Financing and Investments in Mitigation Actions in West Africa, in Accra from June 4 to June 5, 2012. The workshop will be held against the background and experience gained with Clean Development Mechanisms (CDM) finance and renewable energy projects' successes and failures in West Africa and elsewhere. It will examine how policies, technologies, financing and capacity related bottlenecks to the development of Nationally Appropriate Mitigation Action (NAMAs) in West African countries can be addressed to increase access to cleaner and modern energy as an engine for growth and improve the competitiveness of African economies. A statement issued by ECREEE Secretariat and copied to the Ghana News Agency in Accra on Friday, said the meeting would bring together high-level decision makers and experts to provide visible leadership and political commitment to a common strategy for successfully shaping vibrant NAMA activities in the region, to scale up renewable energy and energy efficiency with the view not only to increasing access to energy services but also to ensure the sustainability of the sector and economies at large.
|
More than 80 high-level experts, government officials and representatives of leading regional and international organisations involved in climate change issues and financing are expected to participate in the workshop. The ACP Business Climate Facility (BizClim) is a programme of the ACP Secretariat financed by the European Union, under the 10th European Development Fund (EDF). It aims at fostering a business-enabling environment in ACP countries and regions by improving legislation, institutional frameworks and financial measures relating to the enabling environment of the private sector continued |
Rédigé à 23:29 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
|
Il sort son premier album en 1980. En 1984, il sort l'album classique "Talazo 84", mettant en vedette un nouveau rythme au tempo enlevé et dynamique qui a été surnommé "Système Talazo" L'album est devenu un succès instantané et a contribué à révolutionné la musique fuji L'impact de cet album a transformé Wasiu en icône nationale, et en l’espace de quelques années, il a incorporé dans sa musique des éléments occidentaux tels que le clavier, le saxophone et la guitare. Parmi ses nombreuses distinctions en tant que musicien, il faut citer FAME, musicien de l’année, meilleur artiste Fuji NMA (Music Awards nigérians) et meilleur artiste africain au festival WOMAD à Reading 1996. En 1994, Wasiu a été couronné roi de la musique Fuji, et officiellement rebaptisé Roi Wasiu Ayinde Maréchal Premier (Kwam 1) par le roi d'Oyo à Ibadan. Waisu a célébré son 55e anniversaire et ses 40 ans de scène dans sa nouvelle maison sise à Ijebu Ode. Le Roi Wasiu Ayinde a publié plus de 120 disques. source |
Rédigé à 19:11 dans Movies, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le prince Adjiki, fils de Toffa, coiffé du bicorne à plumes blanches,
insigne de la souveraineté, assiste aux fêtes de son couronnement.
Extraite du Petit Journal du 5/04/1908
Lire la suite "Images et Propagande Colonialistes : l’Intronisation du Fils de Toffa" »
Rédigé à 18:13 dans histo, Image | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
LA CORRUPTION DE DIRIGEANTS SYNDICAUX : UNE GANGRENE A ERADIQUER POUR ALLER DE L’AVANT Dans un papier en date du 06 mai 2012, le Secrétariat Exécutif National de la Fédération des Syndicats de l’Education Nationale affiliée à la CSTB (FéSEN/CSTB), ripostant aux actions de sabotage de la grève lancée par la FéSEN pour les 08 et 09 mai 2012, a dénoncé les comportements par trop douteux de certains responsables du Front des Trois Ordres d’Enseignement. Il s’agit de : 1.- la rencontre secrète d’une délégation du Front avec Boni Yayi à Tchaourou le 04 mars 2012 ; 2.- la rencontre de sept (7) membres de la direction du Front le 06 mars 2012 à la Présidence de la République de 18 heures à 22 heures pendant que les délégations des autres composantes étaient éconduites, alors que toutes les composantes réunies avaient dirigé dans la matinée du 06 mars une manifestation de rue à la Primature ; 3.- l’attitude de complicité manifeste des responsables du Front avec la tentative de corruption organisée par le Ministre DJEMBA le 16 avril dans son bureau à l’endroit de responsables du mouvement enseignant, tentative avortée par la vigilance des responsables de la FéSEN
|
Rédigé à 18:45 dans Pub | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 13:47 dans Ilzondi | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 00:16 dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Cabinet approves 12,000 housing units for teachers, health workersCabinet has approved the construction of 12,400 housing units for health workers and teachers across the country.Money for the construction, which will be undertaken by a local contractor, is yet to be approved by Parliament. A Deputy Minister of Water Resources, Works and Housing, Dr Hanna Bisiw, made this known at the opening of a two-day seminar by the Health Service Estate Managers Association of Ghana (HESEMAG) in Accra on Tuesday. The two-day workshop is on the theme: “Housing the health worker for effective health delivery in Ghana: The role of the health estate manager”. It is being attended by estate managers in the health sector from all the regions. The deputy minister, who did not give further details on the housing unit, said to further improve the housing deficit in the country, the government was encouraging a public-private partnership in housing delivery for public sector workers to buy on mortgage. She said the government had identified housing as a critical sector of the economy for addressing poverty and ensuring social stability. | He said the provision of residential accommodation for staff of the health service remained a top priority on the government’s better Ghana agenda. She said the government was also implementing a special housing programme for workers, aimed at delivering 5,000 housing units nation-wide, in collaboration with organised unions. Those interventions, she said, had become necessary, particularly at a time when the gap between public workers and the availability of official accommodation was widening. She called on the estate managers in the health institutions to re-examine their roles and adopt innovative management approaches to help improve the conditions of health facilities and housing units. continued |
Rédigé à 21:36 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 18:12 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
|
Rédigé à 10:30 dans Ilzondi | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
By Luka Binniyat & Victoria Ojeme
|
“The current level of insecurity in the Northern states is not only a source of worry and concern to all of us but is also slowly but surely tearing apart the fabric of our religious, social and economic life. You must put in your best efforts to find an end to this bloodshed. “The north must come back to its senses and declare firmly and resolutely that enough is enough of the bloodshed. Each and every one of us must come to appreciate that we cannot continue on this destructive path |
Rédigé à 17:43 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 12:22 dans Press Link | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
LA BASE DE TOUT DIALOGUE POLITIQUE AVEC YAYI BONI, C’EST SON DEPART DU POUVOIR Le lundi 21 mars 2012 à partir de 7 heures du matin, le pouvoir faisait défiler en bande passante sur des chaînes de télévision, notamment sur Golf TV, le communiqué ci-après : « Le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement invite les représentants des partis politiques, toutes tendances confondues, exerçant leurs activités sur toute l’étendue du territoire national à une rencontre à la Présidence de la République, boulevard de la Marina, le lundi 21 mai 2012. Au menu des discussions : la Constitution, la LEPI, le statut de l’opposition, les réformes économiques… La mise en place doit être terminée pour 12 heures 00 ». Un peu plus tard vers 8 heures, ce même lundi 21 mai, on pouvait lire en bande passante sur l’ORTB, le communiqué ci-après : « Dans le cadre du dialogue politique, le Chef de l’Etat invite les représentants des partis et alliances de partis politiques, FCBE, RB, G13 Baobab à une rencontre à la Présidence de la République, Boulevard de la Marina le lundi 21 mai 2012. Au menu des discussions : la LEPI, le statut de l’opposition, les réformes économiques… La mise en place doit être terminée pour 11 heures 30. ». Ces deux communiqués différents issus du même Chef d’Etat et publiés en moins de deux heures d’intervalle appellent des observations suivantes : 1.- Manifestement, il y a au niveau du Chef de l’Etat un cafouillage dénotant et reflétant une situation de chaos au sommet de l’Etat. 2.- La méthode d’invitation des partis, un lundi matin à 7 heures par un communiqué défilant en bande passante est pour le moins cavalière. En effet, les partis politiques sont, d’après la Constitution en vigueur dans notre pays, des institutions chargées d’animer la vie politique. Le ministère de l’Intérieur ou celui chargé des relations avec les institutions disposent des coordonnées téléphoniques des représentants des partis politiques et devraient pouvoir, même en cas d’urgence, les saisir. On ne peut donc se lever et les inviter par un communiqué radio ou télévisé à se présenter dans les heures qui suivent pour débattre de sujets qui, par ailleurs, ne présentent pas un caractère de catastrophe imprévue. Cette méthode cavalière indique encore une fois la nature autocratique du pouvoir en place qui pense qu’il peut disposer à son humeur et à sa guise de tous les biens et personnes (physiques et morales) sous les cieux au Bénin. 3.- En ce qui concerne les sujets à débattre, on sait que le Président de la République en personne a œuvré pour ses intérêts : avec la LEPI pour réaliser le hold-up électoral de mars 2011, avec le projet de révision de la Constitution pour y introduire des éléments régressifs contre les libertés et se perpétuer au pouvoir après 2016, avec les réformes économiques pour noyer les opérateurs économiques nationaux « non dociles » et sauvegarder les intérêts des monopoles étrangers. 4.- Toutes ces agitations et incohérences qui s’observent au sommet de l’Etat ne prouvent qu’une chose : YAYI Boni, au pied du mur du fait d’une gestion catastrophique du pays et de son rejet par la majorité du peuple, cherche des voies de sortie, il cherche les voies et moyens de gagner du temps pour d’autres intrigues et entreprises anti-peuple. Sa fébrilité à inviter les dirigeants politiques de « l’opposition » comme de la mouvance "dans le cadre de dialogue politique" ne vise qu’à distraire l’opinion publique des crimes dont quotidiennement il se rend comptable. 5.- Si YAYI Boni était attaché au « dialogue politique », il devrait tirer toutes les conséquences de la situation actuelle et objet du sombre tableau encore dépeint le dimanche 20 mai dernier par les femmes des marchés en ces termes : « Un cafouillage au sommet de l’Etat s’empare des réformes évoquées par la « Refondation » sur les cendres du "Changement". Le pouvoir d’achat s’amenuise. L’argent ne circule plus. Le commerce périclite. Se nourrir devient difficile. La précarité s’élargit. La jeunesse désespère. Se débrouiller pour survivre devient aléatoire. Plus rien ne marche ». Les seules conséquences logiques de ce chaos et pour un « dialogue politique » apaisé avec le peuple, c’est de se retirer du pouvoir. Ainsi, le meilleur menu des discussions et du dialogue politique à proposer par Boni YAYI, s’il aime vraiment le peuple, devrait être l’organisation de son départ du pouvoir et la mise en place d’un Gouvernement Patriotique composé des combattants de proue des travailleurs et des patriotes. 6.- Nous savons bien que Boni YAYI n’en arriverait pas là de son plein gré, il voudra continuer de s’imposer par la force brutale, aggravant ainsi les charges dont il devra répondre un jour devant le tribunal du peuple. Mais alors, qu’il cesse d’amuser la galerie, de s’amuser au dépens de la vie et de l’avenir des travailleurs et de la jeunesse. Cotonou, le 21 mai 2012 Le Parti Communiste du Bénin
|
|
Rédigé à 07:10 dans Press Links, Pub | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
La justice sous nos tropiques ne cache pas son tropisme sociologique. Avec l'ombre portée de la corruption, elle prend à peine la précaution de cacher sa cruelle vérité : le fait qu'elle fonctionne en faveur des plus nantis et méprise les pauvres, ceux qui n'ont rien parce qu'ils n'ont personne, et qui n'ont personne souvent parce qu'ils n'ont rien.
L’Histoire d’Esther « Un problème financier m'a poussé à la prostitution. J'ai commencé à aller dans des clubs, en particulier les boîtes de nuit, à chercher les hommes qui avaient envie de fantaisies. J'ai l'habitude de demander N2000 pour les rapports sexuels de courte durée. Mais à temps plein, je facturais entre N3000 et N4 000 » Comme on le voit Esther Félix est tombée dans le cercle vicieux de la justice. Si elle avait été milliardaire et quelle fût allée voir la police pour se plaindre d'avoir été escroquée, probablement aurait-elle eu gain de cause et qu'on aurait mis la main sur ses détrousseurs. Et si elle est devenue kidnappeuse aujourd'hui et encoure les foudres de la justice c'est faute d'avoir bénéficié de la même bienveillance de la part de la justice que celui qui, de fil en aiguille, est devenu sa victime. Mais quand un juge bientôt prononcera un verdict de condamnation à son égard, qui prendra en compte sa déréliction judiciaire ? Qui pourra rendre raison de sa frustration face à une justice qui n'écoute pas le pauvre mais remue ciel et terre pour accueillir et faire la volonté du riches ? Ajao Basile |
Rédigé à 22:55 dans Actualité, Editorial, Litté | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
By Uduma Kalu, Providence Obuh & Monsur Olowoopejo Notable among them were Gen Yakubu Gowon, Chief Olusegun Obasanjo and the Chairman of the Interim National Government, Chief Ernest Shonekan, who were among the group of eminent Nigerians that looked at the state of affairs in the country, 13 years after the restoration of democracy in Nigeria. The leaders expressed concern over the corruption in the country, especially in |
the judiciary and concluded that the problems facing Nigeria today were due to the failure of institutions and systems. They asked younger Nigerians to build on the labours of the generations of past Nigerian leaders. Specifically, the former military head of state, General Yakubu Gowon urged younger generation of Nigerians not “to break Nigeria.” |
Rédigé à 17:46 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
It may come as a surprise to you, but by the end of today, five or more people in Ghana would have taken their own lives, a phenomenon known as suicide. The worst part of it is that some of these persons may take the life of other people (Homicide) before taking theirs. Some alarming information stumbled upon by The Globe newspaper reveal that the rate of suicide (the action of killing oneself intentionally) in Ghana is climbing at an incredible rate. The last few weeks have seen the crime dominating newspaper headlines. This has caused fear and panic with some calling for national prayers to exorcise Ghana from any evil. Available statistics on suicide in Ghana put together by the Network for Anti-suicide and Crisis Prevention over a year indicate that Greater Accra region had the highest number of deaths by suicide, recording 431 and still counting. Below is the breakdown by region Greater Accra Region 431 Northern Region 276 Ashanti Region 132 Upper West 118 Brong Ahafo Region 114 Upper East 102 Western Region 102 Eastern Region 98 Volta Region 97 Central region 86 Total: 1,556 Per the data, an average of five out of every 10 people die every day in Ghana and this could even be worse should families or victims be bold enough to give information about some deaths that have been covered up and blamed on “illness”. The Globe’s checks indicate that the most dominant method being used in the southern sector was by hanging and poisoning while in the northern sector it was by fire arm and hanging.
|
According to the statistics, the highest number of cases recorded was between the ages of 20 to 35 years which recorded a total of 702 and the outstanding reason for them committing suicide has been attributed to love relationship problems, poverty amongst others. |
Rédigé à 21:30 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Deux Remarques Renvoyant à notre Aliénation
A propos des événements du Mali, on peut lire dans la presse française : “Son Premier ministre Cheick Modibo Diarra, qui s'est rendu à son chevet avec d'autres personnalités, a déploré cette agression, en appelant au calme et à la fin des marches dans une déclaration en langue bambara lundi soir à la télévision publique malienne ORTM. Il a évoqué notamment des saccages lors des manifestations de lundi. "Le Mali ne mérite pas cela", a-t-il lancé." Depuis Chicago (Etats-Unis) où il participe au sommet de l'Otan, le président français François Hollande a condamné cette agression et appelé au respect des autorités et du processus de transition maliens.»
Deux remarques sur cette info : Première remarque : On nous dit que le premier Ministre du Mali Cheick Modibo Diarra a fait sa déclaration en bambara… C’est tout à fait curieux de faire cette précision, sauf à tenir pour allant de soi la condition d’aliénation qui pèse sur les Africains, et qui fait que ce qui va de soi ailleurs n'aille plus de soi chez nous. Quand on parle d’une déclaration du premier Ministre anglais en Angleterre, précise-t-on qu’il a parlé en anglais ? Quand on parle de la déclaration du premier Ministre Irlandais en Irlande, précise-t-on qu’il a parlé en irlandais ? Mais alors pourquoi ce serait le cas pour le Mali ? Parce que nous sommes pieds et poings liés dans cette tromperie aliénation-manipulation-bizarrerie héritée du colonialisme qui nous oblige à laisser au vestiaire de la domination symbolique nos langues qui nous parlent au plus profond de nous pour parler le français ou l’anglais, langues du colonialisme par lesquelles ceux-ci renforcent leur domination sur nos esprits, nos corps et nos pays ! Deuxième remarque : Pourquoi le président français s’inquiète-t-il plus pour le Mali qu’un autre président du G8 ? Quels rapports privilégiés ont les Maliens avec la France pour que son président s’alarme plus que de raison ou de droit sur le sort du Mali ? Est-ce le rapport qui rend la vie difficile aux balayeurs Maliens en France ? Le rapport qui est porté à leur expulsion régulière pour cause de séjour irrégulier en France ? Le rapport qui ne verrait jamais la nomination d’aucun Ministre d’origine malienne dans un gouvernement français puisque visiblement l’heure est à la nomination des femmes et plus précisément des femmes antillaises ou arabes en matière de “personnes issues de la diversité “?
Que le premier Ministre Cheick Modibo Diarra, mathématicien de renom -- qui dès lors sait, à l’instar de Galilée qui l’affirma, que la nature est un livre écrit dans la langue des mathématiques – ne se laisse pas embobiner dans la mystification francophone et utilise directement la langue de ses aïeux, celle qui parle réellement aux tripes de la nation, peut choquer même un journaliste au point que la chose soit précisée. Mais notre confrère et frère africain doit faire très attention, car la France ne badine pas avec la question de l’aliénation par la langue. Cette question a été au centre du génocide du Rwanda. Cela étant dit, j’ai toujours pensé que des leaders bien instruits, qui ont goûté au nectar de la vraie science peuvent servir d’éclaireurs à nos peuples. Le choix de Cheick Modibo Diarra de parler en bambara lorsque et parce que c’était nécessaire est la preuve de cette saine lucidité si indispensables aux dirigeants africains pour sauver notre continent, notre race, nos peuples ; lucidité qui hélas fait défaut au plus grand nombre d’entre eux. En Afrique si le savant peut faire un bon politique, il y a savant et savant. L’expérience prouve que le microcosme africain est criblé de Docteurs en ceci, de Professeurs en cela, et de Maîtres en tout genre, dont la médiocrité s’expose de façon tristement spectaculaire à la face du monde. Entre les Docteurs aliénés, Docteurs et Professeurs de complaisance, qui ont acquis ces titres de façon douteuse, approximative ou routinière, et le plus souvent pour s’en prévaloir, entre ces singes-savants et les Savant-philosophes comme l’invoquait Platon dans la République, il y a une différence de nature. Enfin, pour l’indépendance du Mali il serait souhaitable que plus d’une grande nation se préoccupe de ses malheurs, comme de son bonheur, et qu’aucune ne s’en arroge l’apanage… Aminou Balogun |
Rédigé à 16:49 dans Critique, Ilzondi | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Mon Idéo Va, Court, Vole et Tombe sur…:
Arrêt sur Image
Rédigé à 14:38 dans haro, Idéo, Pamphlet | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
by IndepthAfrica | Posted on Sunday, May 20th, 2012 Ghana plans to deport illegal immigrants who were drawn to the country by its economic growth and prevailing stability. Most of the foreigners are into retail business and illegal gold mining while others are in the oil sector. Some citizens from the Economic Community of West African States (Ecowas) have, however, read xenophobia in the plans. |
Despite this, the Ghanaian authorities seem resolute, and have set a June 30 date to flush out the illegal immigrants engaged in the retail business. This, they say, is line with the country’s investment regulations. The rules restrict retail businesses to Ghanaians only. |
Rédigé à 21:40 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
On était habitué à la chanson qui faisait dire à un egungun : “ zangbéto mon riè” ce à quoi le zangbéto répondait “ arimi arimi tata wouè agnin vodun gnin lossou gnin vodun!” Ce qui traduit veut dire “ Zangbéto, j’ai percé ton secret, dit le egungun – Tu l’a percé, dit le zangbéto, eh bien soit : tu es vodoun, et je suis vodoun aussi !” Cette chanson comme beaucoup d’autres expressions ou proverbes des langues adja/fon tend à illustrer une opposition géographico-culturelle ; celle dite Adja/Ayo, qui semble dans ses divers termes aller de soi. Ainsi pour beaucoup parmi nous et comme le laisse entendre la chanson, le zangbéto serait Adja-goun, par opposition à l’egungun qui serait Oyo. Or cette opposition n’est pas aussi étanche qu’il y paraît. En effet, les Yoruba aussi ont un orisha qui s’appelle Oniko- Igbala, qui a tout l’air d’un zangbéto ( voir photo) ; à la fois dans son apparence, comme dans ses gestes et façons de bouger. Toutefois cet orisha ne fait pas que danser. Sa fonction est de guérir les malades auxquels il prodigue prières et bénédictions. Lorsqu’il est de sortie, il se promène par les rues et ruelles du village et dans chaque maison où il y un |
malade, celui-ci est traîné devant lui pour recevoir les prières et bénédictions de guérison. Souvent, un fil du vêtement de paille de cette divinité est arraché et noué en amulette autour du bras du malade… Les Fon ou Goun ne sont pas si opposés aux Yoruba que nous tendons à le croire. Les ancêtres des Fon en venant de Tado, via Allada ont été aux prises sur le plateau d’Abomey à des primo-occupants yoruba. C’est du métissage d’avec ces populations et de l’influence permanente de la culture yoruba que s’est bâtie le Dahomey, malgré les heurts, les guerres et l’impitoyable fléau de l’esclavage. Le fait qu’on puisse trouver un simili zangbéto en pays yoruba prouve que l’influence n’a pas été dans un seul sens. Bamidele Aremu |
Rédigé à 00:07 dans Essai, Image | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 19:15 dans Press Link | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 18:39 dans Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les Blancs prennent plaisir à faire notre ethnologie, une « science » dont se sont servis le colonialisme et le néocolonialisme dans leurs entreprises racistes. Mais les Blancs n'ont pas le monopole de ce genre de curiosité. Il est temps que nous fassions aussi à notre tour leur ethnologie, ce que Claude Lévi-Strauss appelait dans «Le Regard éloigné », « l'ethnologie inversée ». Mais, de mon point de vue, cette ethnologie n'a rien d'inversé : c'est la même ethnologie qui prend une communauté humaine, ses œuvres et ses mœurs comme sujet. Les hommes étant égaux, comment accepter cette notion d'inversion sans faire dans le même temps le jeu raciste de la démarche occidentale ? Le sujet dont il est question ici, l'inceste, tout en étant un thème ethnologique, relève plus précisément de l'éthologie. Le thème de l'inceste a été abondamment étudié par les anthropologues, notamment Claude Lévi-Strauss dont il est au cœur du système du structuralisme, mais aussi par Freud qui en a dégagé le fameux concept de l'évitement. Mais ici l’inceste dont il s’agit se manifeste à l'intérieur d'un groupe social à vocation publique. Il concerne les relations entre le monde politique et le monde journalistique en France. Les hommes politiques de haut niveau, ce n'est plus un secret pour personne, prennent de plus en plus des compagnes journalistes. Le phénomène n'est pas nouveau. Peut-être n'est-ce qu'un iceberg dont la partie émergée est représentée par son niveau sociologique supérieur : les ministres, voire le président de la république lui-même. Peut-être que des maires, des députés ou autres élus plus anonymes font partie de ce monde des épouseurs du genre médiatique. Mais, dans son éminence sociologique, le phénomène est très marqué dans la jet-set parisienne, et au sein de ceux qui détiennent le pouvoir d'État au plus haut niveau.
Parmi ces cinq exemples qui ne sont que la crème sociologique d'un phénomène d'autant plus discret, on l'imagine, qu'il touche à ce tabou médiatique concerté qu'on appelle « vie privée », quelques constats s'imposent. D'abord, quatre cas sur cinq concernent la presse audiovisuelle, la télévision plus précisément. Et les journalistes en question présentaient des journaux ou animaient des émissions politiques avant leur affichage publique comme compagne d'homme politique. Deuxième constat et qui est d'ordre plus général, la liaison ou le compagnonnage érotique entre hommes politiques et journalistes est sexuellement ordonnée : les politiques sont de sexe masculin et les journalistes des femmes. En tout cas, tel est le constat que l'on peut faire à partir des cas publiquement connus. Mais, compte tenu du fait que ces cas connus ne sont que le petit bout d'un iceberg moral plus discret, il est fort probable que les ministres femmes couchent, flirtent ou aient des amants ou des aventures avec des journalistes hommes ou femmes d'ailleurs… Troisième constat. La plupart des hommes politiques entrant dans ce jeu de compagnonnage érotique sont de gauche, et plus précisément du parti socialiste. Le fait qu'ils soient de gauche réfère probablement une certaine culture morale propre à cette sensibilité politique, portée, on le sait, à la thématique de la liberté et de la mobilité sociale et sexuelle, par opposition à la droite plus conservatrice. Le fait qu'ils soient socialistes, est la traduction du fait que les socialistes sont le seul parti de gauche à pouvoir ou avoir eu accès au pouvoir d'État. Et, comme les femmes préfèrent et ne préfèrent souvent que les vainqueurs ou les vainqueurs potentiels, on comprend tout naturellement que les socialistes soient, à gauche, les heureux élus de ce phénomène. Chez ces socialistes, on a constaté que la tendance à se laisser happer par les vicissitudes matrimoniales allait de pair avec leur fortune politique personnelle. Combien de ministres ou de premiers ministres de gauche n'ont du reste pas changé d'épouse, ou divorcé dans l’embrasement du pouvoir, la perspective de gouverner ou suite à l'exercice de la fonction de ministre ou de premier ministre ? En Occident et plus particulièrement en France pays censé être à la fois le berceau et la capitale du mythe de l'amour, on a beau dire, on ne vit pas d'amour et d'eau fraîche ; et, comme partout ailleurs au monde, les femmes ont plutôt tendance à aimer les hommes puissants et riches, là où les hommes ont tendance à aimer les femmes que tout le monde trouve belles, en l’occurrence celles qui, pour ces raisons, font la tête d'affiche des journaux ou magazines télé. Même le seul d'entre les hommes politiques de cet ensemble d’épouseurs du genre médiatique qui ne soit pas socialiste, Borloo, est un radical, à sensibilité sociale affichée ; ce qui le rapproche plus des socialistes que de la droite où il s'est retranché pour des raisons stratégiques. En politique, c’est connu, on a parfois intérêt à jouer la caution de gauche de la droite que d'être la cinquième roue du carrosse de la gauche et inversement. Ainsi, Borloo est pour la gauche ce qu'un Manuel Valls par exemple est pour la droite.
|
Parmi les cinq hommes épouseurs du genre médiatique étudié ici, un seul fait exception à la règle d'or de la femme visible, dont la « beauté » est publiquement miroitée par le média où elle officie. Car cet élément spéculaire fait partie intégrante de la fantasmatique du phénomène. Non seulement ma femme est belle, mais sa beauté est publiquement car médiatiquement agréée. Un seul homme, disons-nous, fait exception à cette règle, un seul couple plus précisément, il s'agit du couple François Hollande et Valérie Trierweiler. Celle-ci était, jusqu'à l'élection de son compagnon comme Président de la République, journaliste à Paris-Match. Entre elle et le groupe des journalistes de télévision il y a à la fois une nette différence mais aussi une certaine similitude. La différence est d'ordre technique et fantasmatique. En effet, l'image d'un journaliste de la presse écrite n'apparaît pas ostensiblement ou n'est pas visible dans le journal ou le magazine où elle officie. D'un point de vue esthétique et visuel, il y a là un principe de discrétion et de non-exposition fondamental. Du coup, le rapport avec la dimension fantasmatique, cette espèce de voyeurisme spéculaire qui fait le piment des relations des couples de la première catégorie s'estompe. Binason Avèkes |
Rédigé à 12:01 dans Essai, Science | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 08:39 dans Essai, Press Link | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 21:39 dans hommage, Image | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 15:23 dans Movies, Press Links | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
lun. | mar. | mer. | jeu. | ven. | sam. | dim. |
---|---|---|---|---|---|---|
1 | 2 | 3 | ||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 |
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 |
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 |
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 |
Les commentaires récents