BABILOWN~Mawolè

Les Origines Politiques de la Mal-gouvernance au Bénin

Àlọ́ onítàn: Iná àti Òjò

Ní ayé àtijọ́, Òjò àti Iná jùmọ̀ ń du obìnrin kan láti fi í ṣaya.
Nígbà tí ọjọ ìgbéyàwó pé wọ́n fa ọmọ sí ìta gbañgba.
Wọ́n sì sọ pé ẹni bá ti lágbára jù nínú awọn méjéèjì ni ki ó fi í ṣaya.
Iná ló kọ́kọ́ dé. Ó sì ki ọmọ mọ́lẹ̀, ó ń gbé e lọ.
Òjò sì ti ṣú kẹlẹkẹlẹ.
Ọmọbìnrin náà sì bẹ̀rẹ̀ sí í kọ orin báyìí pé:
Iná o, ọ̀rara.                        Aráńta
Iná pupa bẹ́lẹ́jẹ́                    Aráńta
Òjò dúdú bọ̀lọ̀jọ̀                 Aráńta
Kàkà ñ fẹná ma fójò           Aráńta
Òjò lọkọ àgbàdo                   Aráńta
Òjiijì ni òjò bẹ̀rẹ̀ sí í rọ̀,
Ó pa iná kú pátápátá.
Ó si gbé ọmọbìnrin náá lọ.

source

Les Toilettes Recycleuses et Génératrices...

Pourquoi je Déteste l’Afrique Passionnément

Gaston Zossou, Écrivain Béninois

S'il y a quelque chose que je déteste passionnément, c’est cette idée de l’Afrique dans laquelle se noient les gens (d’Afrique). Pour cacher leur indigence, pour faire une fuite en avant. Les gens qui parlent de l’unité de l’Afrique, mais qui sèment passionnément le trouble dans leur maison, dans leur famille, dans leur village. Des gens qui sont incapables d’unir leur pays mais qui invoquent à tout bout de champ, comme une heureuse incantation, le nom de l’Afrique, son unité onirique et euphorique. C’est pour cela que je ne lis jamais les magazines ou les journaux qui portent directement le titre de l’Afrique, comme “Jeune Afrique” ou Afrique-machin ou Afrique-bidule ( souvent des canards au service de la Françafrique). Car ce n’est pas de l’Afrique qu’il est question dans ces journaux, mais d’une représentation tronquée de l’Afrique, d’une Afrique sur commande, chiquée, frelatée et imaginaire, d’une Afrique hémiplégique et théorique, d’une Afrique nébuleuse qui entretient la non-Afrique. Deux exemples concrets qui concernent le Bénin. Le Président du Bénin, celui qui s’est fait réélire en 2011 à coup de force, de fraude et de Lépi truquée. Vous savez, cette Lépi qui était censée être un outil de développement, et qui n’a servi davantage qu’à sous-développer les consciences, l’économie, la sociologie et la société. Eh bien, ce Monsieur Yayi passe pour le Président de cette idée de l’Afrique qu’on appelle l’UA. Donc si je comprends bien, il est dans la ligne même de l’Unité de l’Afrique, de la paix et du progrès en Afrique. Mais entre nous, qu’a-t-il fait pour l’Unité du Bénin ?  Le Holdup électoral ! Qu’a-t-il fait pour le développement du Bénin ? Est-ce que truquer-tronquer la Lépi en fait un outil de développement ? Est-ce que la cartographie démographique, l’usage rationnel moderne qu’on pouvait en faire est atteint avec cette liste électorale fantôme faite de bric et de broc et dont aucun électeur n’a vu la couleur lors des élections ? Est-ce que celui qui veut “mettre le Bénin à feu et à sang” peut nous parler de l’Unité de l’Afrique ? La réponse coule de source, et montre pourquoi je déteste l’idée de l’Afrique et je la considère comme une fuite en avant, du vent, l’expression même de notre incapacité, de notre paresse à agir localement, directement ici et maintenant ; sans tomber dans la querelle des universaux, je considère cette Afrique sans contenu comme un être sans nécessité, dont il faut user avec modération. Le deuxième exemple est tiré d’une note de lecture du deuxième roman de Gaston Zossou, homme politique et an-

cien Ministre Béninois. La plume de Gaston Zossou est alerte, forte et généreuse ; son univers romanesque est à la fois attachant et réaliste, de ce réalisme magique qui réflète fidèlement l'imaginaire et les croyances profondes du Bénin. Mais pour autant je ne vois pas pourquoi l’auteur de l’article finit sa note en ces termes :” Avec ce roman, Gaston Zossou confirme sa place parmi les nouvelles voix de la littérature africaine.” Tout de suite, et sans transition, sans nous parler de sa place dans la littérature Béninoise, eh bien, l’auteur nous le bombarde au firmament de la littérature africaine.  Moi qui m’intéresse beaucoup à la littérature japonaise et considère quelques-uns de ses maîtres comme mes maîtres à penser, je n’ai jamais entendu un critique japonais ou étranger parler d’un écrivain japonais en le situant brutalement au niveau d’une hypothétique littérature asiatique. Pourquoi Gaston Zossou doit être bombardé écrivain africain avant qu’on ne considère le béninois qui est en lui ? Est-ce que c’est le fait de l’aliénation qui pousse le ridicule à son comble  à nous faire parler de nous-mêmes dans des langues étrangères à notre âme qui nous rend incapables de nous voir comme nous sommes au point que nous préférions nous voir tels que nous voient les autres, à savoir comme des Noirs ou des Africains ?  Et au-delà de la littérature, est-ce que c’est parce que nous en serions arrivés à croire que pour que quelque chose ait de la valeur, il  est important, qu’il soit d’abord africain ?  Mais de quoi est faite cette Afrique dont nous méprisons le contenu, dont nous ne voulons être en rien garants du contenu  ? Cette Afrique, couteau sans lame ni manche, n’est d’aucune utilité, sauf incantatoire, et c’est pour cela je m’en méfie comme de la peste… Aminou Balogoun

Démocratie au Bénin : Où en sommes-nous et où allons-nous ?

Par Alphonse Benoît Codjo QUENUM,

Recteur Emérite de l’UCAO

Les peurs qui inhibent les uns et tétanisent les autres ne doivent pas nous fragiliser au point de tuer en nous nos raisons d’agir et de vivre. Est-il nécessaire d’appartenir à un clan dans notre pays le Bénin pour sentir ou ne pas sentir le malaise qui s’installe ? J’ai dit malaise alors qu’il s’agit d’un mal-être profond. L’avenir d’un pays ne se construit que par un ensemencement constant où la place du respect des principes et de la vérité n’est pas mineure. Je me suis imposé de continuer à me former par  l’émission dominicale de RFI intitulée « Idée ». Il s’agit d’un « magazine qui donne la parole à ceux qui pensent le monde ». C’est dire qu’il y a des lieux où le monde se pense. Si cela est vrai, l’Afrique doit se penser et surtout doit être pensée et bien pensée par les Africains pour ne pas subir la pensée des autres et les événements d’un monde qui change vite. Je voudrais être plus précis. Le Bénin, pour sortir des incertitudes d’une logique qui le fait tourner en rond et d’un cheminement chaotique, doit être résolument pensé. Car la réflexion permet de comprendre, d’analyser, d’expliquer pour énoncer des projets ou dénoncer ce qui ne convient pas. Beaucoup de ceux qui prenaient le changement pour un concept magique en minimisant la nature des hommes et qui refusaient le moindre débat ou la moindre critique, se surprennent à découvrir les choses autrement. Mieux vaut tard que jamais. Si donc la vérité des choses commence à se faire jour, et que le désenchantement s’installe, que faire pour ne pas sacrifier notre avenir commun ?

 

Oṣù fún ìtàn adúláwọ̀ ní Amẹ́ríkà - 02/2012

Oṣù kéjì ọdún ní orílẹ̀-èdè Amẹ́ríkà (USA) jẹ́ àsìkò ti wọn máa ṣe ìrántí ìtàn àwọn adúláwọ̀ ti o jẹ́ ọmọ orílẹ̀-èdè Amẹ́ríkà. Nínú oṣù yìí, ní àwọn ará ilẹ̀ Amẹ́ríkà máa bojúwo ẹ̀hìn láti rántí onírúurú ohun ti o ṣẹlẹ̀ si ènìyàn aláwọ̀-dúdú ni ilẹ̀ Amẹ́ríkà ni sáà kan. Iṣe ribiribi ti Martin Lurther King àti àwọn aṣíwájú òmìrán, ṣe láti jà fún ẹ̀tọ́ (àti ìgbélarugẹ ipò) àwọn adúláwọ̀ ni ilẹ̀ Amẹ́ríkà pẹ̀lú ọ̀nà látí pèsè idọ́gbandọ́gba nípa: - ẹ̀tọ́ fún adúláwọ̀ lati dìbò, - àyípadà àwọn òfin ti o ya ọmọ aláwọ̀-dúdú sọ́tọ̀ ni ilé-ìwé, - ẹyawó láti ra ile, - àti àwọn ètò ìrànlọ́wọ́ míràn, jẹ́ nkan ìwuri nlá fún gbogbo ènìyàn aláwọ̀-dúdú káàkiri àgbáyé. Nítọrí àṣeyọrí ìjà fún ẹ̀tọ́ àwọn adúláwọ̀ ní ilẹ̀ Amerika, ní àwọn ọmọ bíbí ilẹ̀ Yorùbá fi pọ̀ ka kiri àwọn ìpínlẹ̀ àti ìlú Amerika. Ko si ìlú pàtàkì ní Amerika, ti ẹ ti ní ri ọ̀pọ̀lọ́pọ̀ àwọn ọmọ Yorùbá, bo jẹ ìlú Atlanta (ní ìpínlẹ̀ Georgia) tàbí ìlú Houston (ní ìpínlẹ̀ Texas) tàbí ìlú nlá New York. Ìtọ́ka sí ìparí – Oṣù fún ìtàn adúláwọ̀ ní Amẹ́ríkà – 02/2012 » source

Ìtúmọ̀ ìwé "Uncle Tom's cabin" sí èdè Yorùbá

continued

Ganvié, Abeokuta, Dassa : Trois Cités Refuges Contre la Traite des Esclaves

Sur la côte des esclaves, représentée principalement par le Golfe du Bénin, sévissait la traite négrière ;  les populations soumises à l’offensive des chasseurs d’esclaves ou des guerres pourvoyeuses en esclaves aux négriers qui hantaient les côtes du Bénin durant quatre siècles, surent composer avec la nature pour se défendre, se protéger  et sauver leur liberté. Trois cités parmi d’autres symbolisent cette quête réussie du refuge contre l’esclavage. Il s’agit des cités d’Abeokuta, de Ganvié et de Dassa. Grâce au refuge que leur procura la nature : Montagne, Colline pierreuse ou Rivière, les populations de ces contrées ont forgé leur liberté et leur résistance à la barbarie réificatrice de l’homme. Aujourd’hui, à des siècles de ces moments tragiques, les habitants de ces agglomérations vaquent à leurs occupations et vivent la vie découlant de l’intuition salvatrice de leurs  ancêtres, sans se soucier outre mesure du passé Et pourtant sous les pierres, et la surface ridée des eaux, git le souffle de l’histoire.

 

GHANAIANS ASSURED OF PEACEFUL ELECTION

By John Bediako The security services have assured the nation of a peaceful election come December 2012.The Deputy Tema Regional Police Commander, Assistant Commissioner of Police (ACP) Akrofi Oyirfi gave the assurance on Monday at Tema, during a joint civil/security simulation, code-named “EXERCISE FRIENDS IN A RESCUE MISSION”. According to him, the collaboration among the security forces has of late yielded dividend, and this is evidenced in the reduction in the rate of armed and highway robberies. He lauded the effort of their men on the ground for this achievement. Mr. Akrofi said the world’s attention is focused on Ghana as we go to the polls in December, this year, and it is the promise of the security agencies to ensure that there is peace before, during and after the elections.

He particularly praised the military, whose collaboration with the police at Tema in joint patrols has brought calm to the Metropolis. “Exercise Friends in a Rescue Mission”, a simulation exercise involved search, locate and rescue of a personality. Intelligence report got to the One Garrison Commander, who is the Flag Officer Commanding (FOC) Eastern Naval Command of the sudden disappearance of a prominent person. The FOC brought this out at a District Security Committee (DISEC) meeting and the chairman, the Metropolitan Chief Executive, mandated the Tema Regional Police Commander to constitute a task force to deal with the situation. continued

Nigerian author wins Caine Prize with 'darkly humorous' prose

London, England (CNN) -- Nigeria's Rotimi Babatunde has won the 2012 Caine Prize for African Writing for his short story Bombay's Republic. His story follows a Nigeria soldier fighting in Burma campaign of World War II and returning home as a veteran with a strong sense of new opportunities. More: Young writers start new chapter in Nigeria's literary history

Speaking at the celebratory dinner in Oxford on Monday evening, Bernardine Evaristo, the chair of the judges, described Babatunde's work as "ambitious, darkly humorous and in soaring, scorching prose exposes the exploitative nature of the colonial project and the psychology of Independence." continued

Northern Region pledges peace in general elections

By Ameenu Shardow The Northern Regional Minister Moses Magbenba has pledged his region will not participate in any activity that will bring confusion during the December 7 general elections. Magbenba made the pledge during the commencement of a peace campaign waged by the Professional Footballers Association of Ghana (PFAG) in conjunction with the National Commission for Civic Education (NCCE) on Monday Tamale. The campaign will see the joint bodies promote and create awareness of the need for peace before, during and after the December 7 elections which connoisseurs predict will be keenly contested, hence efforts being made by individual and groups to preserve and enhance the peace in the country. The campaign which kicked off in Tamale will span a three-month period and will see several activities mainly through football to drum home the message across the country.

Tamale through its Regional Minister Moses Magbenba who donated Ghc 2000 towards the organization of the campaign says his region have completely signed onto the peace message delivered and will actually practice it during the elections. “We the people of Tamale have resolved not to engage ourselves in any activity that will bring about confusion and fights,” he said. “We are mindful of the fact that people are electe…. continued

Arithmétique impertinente : Une Légion d'Enseignants Sacrifiés sur l'Autel de l'Armée !

Mon Idéo Va, Court, Vole et Tombe sur…:

Sacrifices Inhumains

Sachant qu'un général coûte 125 instituteurs, en nommant 18 généraux en six ans, combien M. Yayi aurait pu créer de postes d'instituteurs dans les 30 ans qu'il envisage de faire au pouvoir, qu'il pleuve ou qu'il vente, avec la bénédiction de la Françafrique ? Réponse. (30/6) × 18 = 90 nous donne le nombre de généraux qui pourront être nommés en 30 ans Et, comme un général coûte 125 instituteurs ; 125 × 90 = 11 250 est le nombre d'instituteurs potentiels qui auraient pu être nommés. Ce qui fait donc 11 250 enseignants sacrifiés sur l'autel général de l'armée par M. Yayi dans le seul but de consolider son pouvoir, de l'éterniser, conformément à l'idée que faire de la politique c'est se remplir la panse, faire profiter une veni-

meuse engeance de clients parasites du bien public au mépris des réalités du pays, et de la situation de pauvreté voire de misère grandissante que connaît le peuple. Même du temps de nos ancêtres, le royaume du Dahomè ne faisait pas une telle orgie en termes de sacrifices durant les "Grandes Coutumes" ; et du reste, alors, les victimes n'étaient pas des bokonon, des prêtres, des guérisseurs, des maîtres de sagesse, des artistes, ceux qui par vocation sont chargés d'instruire le peuple, de le former, de l'éduquer, de le guider... Où allons-nous avec ça ? Au Paradis artificiel de l'émergence ou bien droit dans le mur des lamentations ? Éloi Goutchili

Nigeria: Lagos Flood - Tears, Sorrow as Lagosians Count Losses

In Lagos, rainfall is fast becoming a curse rather than a blessing with the loss of lives and property occasioned as a result of heavy downpour, storm and flood. Last week, Lagos experienced that tragedy once again, Paul Dada writes. Rainfall has been known for century as divine showers of blessing, and through history, it had provided the much needed blessings that mankind needed to survive. The availability of rainwater has been nature's solution to vices like famines and drought. El Nathan, a Christian poet, once wrote that "showers of blessing ... we need". However, the rainfall that wrecked havoc in Lagos on the night of Wednesday, June 27 and Thursday, June 28, left little to be desired of the perceived blessings expected. Perhaps, if Nathan were to be living in Lagos, in this age, he would have sought a better analogy to pass his message. Lagosians today no longer see the raining season as a period of blessing, as it has become far worse than what they expected. Added to their predicament is the whirlwind that comes with the rains and the floods that ensue afterward. The rains in Lagos actually are not the major problem but the floods resulting from them, which normally lead to loss of lives and property.

Amongst the casualty of the rainfall was Ahmed Shotunminu who died as a result of the rainstorm that raged between the night of last Wednesday and Thursday. As the storm raged, the debris from two collapsed structures fell onto an adjoining storey building, housing the 22-year-old carpenter, Ahmed Shotunminu, who was sleeping alongside, Biola Adesanya, on the same bed. Ahmed was said to have died instantly, while Biola reportedly escaped with head and arm injuries. A neighbour, Odubanjo, who explained to LEADERSHIP SUNDAY, how the tragedy occurred, said: "At about 1.15am, Ahmed's father, Alhaji Olusoji, raised the alarm that we should help rescue his son. continued

Lloyd: Leaders Should Let Perceptions Of Corruption Be Adequately Dealt With, Legally And Politically

Mr. Andrew Lloyd, CMG MBE, is Her Majesty’s British High Commissioner to Nigeria, non-Resident Ambassador to the Republic of Benin and Permanent Representative to the Economic Community of West African States (ECOWAS). In this interview with ALABI WILLIAMS, he appraises relations between Nigeria and the United Kingdom and commented on democracy, corruption and the security challenges of the moment. Shortly after the 2011 general elections and the post-election violence, you were quite optimistic that things would calm down and give way to good governance. What is your assessment one year after? I think that the stride of democracy continues and there is no doubt that it was a significant achievement for Nigeria to have so many people participate in the election of April last year. And so the challenge now, I know there are numerous challenges is to ensure the democracy that everybody believes in turns into delivery for peoples’ basic needs, for their security and for their

wellbeing. And of course there are significant challenges. Looking at the security, will you say some strides have been achieved? I think there are some huge challenges and we saw an example of that just this weekend (too weeks ago), with those terrible attacks in Kaduna. And I think it is important to remember that this is not a popular setback. The attacks taking place have been carried out by a very small number of people; they are indiscriminate, they are criminal and they are harming people who just want to get on with their live continued

Le Consensus Frauduleux de la Parité Ethnique : Mythe Fondateur du Régionalisme de M. Yayi.