BABILOWN~Mawolè

OBQ: Re “le Racisme Régionaliste de Yayi a encore Frappé”

AD HOMINEM OU AUTREMENT, CE RACISME EST INADMISSIBLE. JE NE BAISSERAI JAMAIS LES BRAS ET J'ATTENDS LES SICAIRES DU POUVOIR. J'ai communiqué l'ignoble déclaration de Monsieur Thomas Boni Yayi à quelques journaux parisiens. RACISME AU COEUR DE LA POLITIQUE AU BENIN Garrigues-Sainte-Eulalie, 25/03/15 Monsieur Thomas Boni Yayi, revenu au pouvoir par une forfaiture a exprimé sa compassion pour Charlie Hebdo en laissant tomber publiquement à Paris une goutte de larme de crocodile ; au Benin, depuis huit jours, le journaliste de l’ORTB qui avait osé lui demander d'en finir avec le déni de la liberté d'expression a dû fuir aux USA à cause des sicaires du pouvoir. Je réside en France depuis 1948 ; j'y ai fondé une famille et suis arrière-grand-père; je transfère vers les journaux français que je lis le message que je viens de recevoir du Benin, mon pays natal, en espérant que le racisme d'Etat ne sera pas étouffé. Olympe Bhely-Quenum

Re “Front Pour la Responsabilisation des Acteurs Publics...

La Réaction du Dr Afolabi Biaou

OBQ : Re-“Le Penis Captivus ou l’Afrique et la Pensée Magique”

[Le]cas observé à Johannesburg et son interprétation au Zimbabwe […] n'aurait pas, voire ne serait pas différente au Bénin : puisqu'il s'agissait d'un adultère, ce penis captivus serait l'intervention de ce que j'avais nommé "Forces obscures", titre original de L'Initié. En Italie (université de Pavie ) la regrettée Franca Marcato Falzoni a consacré à ce roman une étude intitulée: L'Initié di olympe Bhêly-Quenum: un Cristo nero. Publié en 1979, l'ouvrage était en avance sur le cas de chakatou dont Nicephore Dieudonné Soglo sera victime au Bénin. Au Nigeria, Wilfried F. Feuser m'a adressé des lettres à cause des questions que lui posaient nombre d'étudiants qui voulaient me connaître. Dans nos pays ou dans certains de nos pays, le "rationnel" parfois ne signifie rien parce que certains phénomènes au sens grec du terme relèvent de ce que j'appelle l'Afrique des profondeurs afin d'éviter les logorrhées des gens que "l'assimilation" a rendus étrangers aux fondements anthropologiques, cultuels et socioculturels de leur pays. Olympe Bhêly-Quenum

Re “Pour Aller à Cotonou, il Faut Passer par Ouagadougou”

Le peuple du Burkina Faso confronte Compaoré à son destin. Nul mieux que Blaise Compaoré ne s’est méthodiquement appliqué à user de ce crédo hérité de temps obscurs de notre histoire politique, crédo selon lequel, le pouvoir africain, le pouvoir sur les peuples d’Afrique noire en particulier s’instaure dans la violence, se légitime par la force. Tout démontre que l’homme Blaise Compaoré ne lâcherait jamais le pouvoir de lui-même au terme d’échéances fixées par nos pseudo-démocraties. « On ne dira jamais l’ex-président Compaoré, mais le feu président Compaoré » pensait-il sans aucun doute. Mais le peuple Burkinabé est vaillamment en train de le confronter à son destin, d’opposer à sa violence systématique et cynique une force insurrectionnelle exemplaire. Puisse ce rendez-vous avec l’histoire ouvrir au Burkina Faso une nouvelle ère de liberté et de vérité : Sans aucun doute cette avancée historique essaimera partout où besoin est. Non les peuples d’Afrique ne sont pas des sujets de la violence, des moutons apeurés qu’on maintient indéfiniment ligotés. La démocratie, la vraie n’est pas interdite aux Africains n’en déplaise à ceux qui pensent que c’est un luxe hors de la portée. Théophile Nouatin

Re “Pour Aller à Cotonou, il Faut Passer par Ouagadougou”

Chers Compatriotes, N'oublions pas que le Burkina est la patrie de Thomas Sankara qui, bien qu'assassiné par Blaise Compaoré, a laissé une marque indélébile dans cette "patrie des hommes dignes". Le soulèvement du peuple auquel nous assistons a sonné le glas du régime de Compaoré et donc la fin de ce dictateur. En dommages collatéraux, C'est aussi un message clair pour la France, le Congo Brazza et le Bénin dont les velléités de changement de la constitution sont douchées et seront rangées dans les placards. Yayi Boni se trouve aujourd'hui être une de ces victimes. Tant mieux pour le peule béninois. Faustin Aïssi.

Re: "Bako ou Comment Bâcler la Lépi …et Devenir Ministre "

La mauvaise foi des Béninois est soumise à une rude épreuve. Et c'est parti pour plusieurs décennies à moins qu'ils veuillent revenir sur les évènements de 2011. Merci Mr Aminou Balogun pour cet article. Vous allez remarquer que les Béninois en général abordent très peu les dérives électorales de 2011. C'est de très bonne mauvaise foi. Et le problème est que les Béninois se disent plus rusés que les limites de l'espèce humaine. On essaie de faire consciemment table rase de 2011, en évacuant son ennemi personnel et on veut recorriger le tir sournoisement en 2016. Si par hasard, cette technique marche, ce sera un faux succès. Et le mal va rebondir un, deux ou trois quinquennat après. La classe politique actuelle et le peuple béninois ne cherchent pas à s'en prendre à ce suicide collectif et à ce Bako des Affaires Étranges parce que le candidat d'en face, leur Mr indésirable de l'Ouémé, aurait été bonnement et publiquement enseveli par ce système de KO frauduleux. La LEPI aurait ainsi aidé les Béninois de mauvaise foi à se débarrasser de leur ennemi commun, le juriste Adrien Houngbédji. Et voilà la raison pour laquelle ces criminels de la Nation continuent de faire la pluie et le beau temps au vu de tous et dans les méandres de la République du Bénin. Condamner Bako ou sérieusement la LEPI est une autre manière de donner indirectement du poids à Maître Adrien Houngbédji, leur ennemi commun. Et pour ça, la majorité des Béninois, bien entendu le peuple de mauvaise foi, aurait ainsi préféré la domination du mal sur le bien, la perfection de l'injustice sur la justice, le triomphe du faux sur le vrai, la popularisation du mensonge sur la vérité, la promotion de l'immoral. Tant que les Béninois ne reviendront pas sur les résultats des élections de 2011, on ne s'en sortira pas de ce cercle vicieux pour les décennies à venir. C'est une certitude mathématique. Les lois de la nature ne se jouent pas avec la truande intelligence humaine. Il faut donc rétablir les résultats de 2011 et sanctionner les acteurs avec la dernière rigueur pour que le Bénin reparte sur de nouvelles bases. Qu'ils marchent, qu'ils veuillent chasser leur ami d'hier devenu ennemi d'aujourd'hui. La fuite du KO de 2011 rattrapera le Bénin entier dans tous les compartiments de la vie politique, sociale et harmonieuse. C'est un virus qu'il faut éradiquer. Il n'y aura pas que vos ennemis qui en seront infestés. Alfred Omon

Réaction d’OBQ à “Ce n'était pas mon Intention d'être Chef de l'État”

Gowon ? Magnifique jeune homme! Ceux qui ne savent rien de cette époque et en cause devraient lire Le magazine bilingue (anglais-français) L'Afrique Actuelle fondé par Olympe BHÊLY-QUENUM et Maryvonne, sa femme; j'invite à lire aussi (cf. page 39 in: L'Afrique des profondeurs ) le témoignage du très regretté Wilfried F. Feuser (Allemand), professeur à Ibadan, ensuite à Port Harcourt, enterré au Nigéria, pays de sa femme Mary Funmilayo, morte, elle aussi et de leur fils Peter, tué dans un accident de voiture. Je me souviens d'avoir croisé le général Yakubu GOWON à Londres (Oxford Street), nous avons vite parlé; à Paris, le représentant du Nigeria  (j'ai oublié son nom, Egunsurulile?) voulait "aider L'Afrique Actuelle pour son courage rare et son soutien pour le Nigeria..." J'ai refusé mais le soutien fut sans défaillance. La défaite de Emeka,OJUWKWU fut prévue et annoncée un mois plus tôt dans L'Afrique Actuelle. C'était mon combat, mais...il faudrait lire témoignage de Wilfried Feuser.