Chers Compatriotes,
N'oublions pas que le Burkina est la patrie de Thomas Sankara qui, bien qu'assassiné par Blaise Compaoré, a laissé une marque indélébile dans cette "patrie des hommes dignes". Le soulèvement du peuple auquel nous assistons a sonné le glas du régime de Compaoré et donc la fin de ce dictateur. En dommages collatéraux, C'est aussi un message clair pour la France, le Congo Brazza et le Bénin dont les velléités de changement de la constitution sont douchées et seront rangées dans les placards. Yayi Boni se trouve aujourd'hui être une de ces victimes. Tant mieux pour le peule béninois.
Faustin Aïssi.
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