BABILOWN~Mawolè

Après son bilan décevant :Ce qui reste à faire à Yayi Boni

 

Révision de la Constitution:Les Magistrats Sabrent le projet

Mercredi Rouge : Devinez qui est M. R.

Ex-Ministre dont la critique du Mercredi Rouge ou la distance vis à vis du mouvement n’a pas été jugée convaincante par son patron, chose qui lui a valu de faire partie de la charrette PIK-taloche des virés du gouvernement dissout….

Syrie : Monsieur Ayrault, un peu de Cohérence !

Ayrault dresse un parallèle entre la situation... par lemondefr

Monsieur Ayrault, pour ne pas accepter un épouvantable retour en arrière— emploi présumé de l’arme chimique en Syrie—il aurait fallu que la France ne participât pas à en créer les conditions. Or, malheureusement, de la Libye à la Tunisie en passant par la Côte d’Ivoire et le Mali – du moins ce Mali où les complices de la géopolitique des dunes sous Sarkozy sont devenus des terroristes sous Hollande –  c’est ce à quoi la France s’est employée, histoire de s’apparaître à elle-même—car

elle est la seule à y croire encore— comme la grande puissance qu’elle a pourtant cessé d’être depuis belle lurette…  Il n’est pas tout de faire des parallèles dramatiques avec l’histoire, il faut aussi être cohérent au présent Adenifuja Bolaji

Bénin : les Raisons Secrètes de la Dissolution du Gvt. par Yayi

Révision de la Constitution : Bani contre Boni

Nigeria's ruling party tested by dissent

"In Nigerian politics, one hour is a lot," he said. "In Nigerian politics, one hour can change everything."

 

Lagos - The party that has controlled Nigeria's presidency since a return to civilian rule in 1999 has found itself in unfamiliar territory, rocked by dissent and facing a stronger opposition. The combination of internal dissent against President Goodluck Jonathan as well as serious efforts by the country's main opposition groups to unite have come amid early strategising for 2015 polls. Whether the ruling People’s Democratic Party can iron out its differences and fend off the opposition will have huge implications for Africa's most populous nation and largest oil producer. The crucial 2015 vote will come after years of deadly Islamist attacks in the north and with oil theft in the south estimated to cost the country around $6bn per year in revenue. "The party may lose the next election unless genuine efforts to reconcile the aggrieved members are made," said Laja Odukoya, a political science lecturer at the University of Lagos. Division

Others, however remain more optimistic, believing the PDP remains a behemoth more than capable of righting the ship, flush with cash and with the power of the presidency. Still, the challenges facing the party cannot be underestimated. The latest development came on Saturday, when a PDP convention in Abuja exposed the party's divisions. Seven of the party's 23 state governors (Nigeria has 36 states) along with others, including former vice president Atiku Abubakar, walked out of the event and met nearby for a parallel meeting of what they now call the real PDP. The rift had been in the making for months, with factions within the party opposed to Jonathan's re-election and several members believed to be plotting their own run. Regional politics have combined with personal ambitions and other factors to create shifting alliances. continued

Nana Konadu commends Akufo-Addo for accepting SC verdict

Bénin : La Mainmise du Pouvoir sur les médias en question

Trois Réflexions Courtes sur la Politique Béninoise

1.  Depuis 2006, Yayi Boni a « son peuple », « ses mairies », « son parti », « son parlement », « sa cour constitutionnelle », « sa Lépi », « son gouvernement », « sa méthode » et « son consensus. » Mais est-ce le vrai peuple ? Sont-ce les vraies mairies ? Est-ce un vrai parti ? Est-ce un vrai parlement ? Est-ce une vraie cour constitutionnelle ? Est-ce une vraie Lépi? Est-ce un vrai gouvernement ? Est-ce la vraie méthode ? Est-ce le vrai consensus ? 2. Pourquoi avons-nous peur que certaines choses finissent alors que nous savons que nous-mêmes nous allons finir ? Pourquoi certains présidents africains —notamment francophones — ont peur d'arriver au terme constitutionnel de leur mandat alors qu'ils savent par ailleurs qu'ils ne sont pas eux-mêmes immortels ? Pourquoi espèrent-ils qu'un vulgaire mandat fût-il présidentiel soit immortel alors qu'ils savent qu’eux-mêmes ne sont pas immortels ? Et la question ne s'adresse pas en priorité à ceux d'entre eux qui sont des criminels économiques, de droit commun, ou politiques. La question s'adresse en priorité à ceux d’entre eux qui n'ont rien à se reprocher une fois sorti du pouvoir : de quoi ont-ils peur ?

3. À partir du moment où Yayi Boni a failli, selon ses propres accusations, non confirmées par la justice, être empoisonné, c'est-à-dire en somme tué, le peuple doit-il exprimer à son égard sa compassion qui serait alors traduite par l'autorisation spéciale en sa qualité putative de rescapé, à se présenter à un troisième mandat ? Est-ce que le troisième mandat est le lot de consolation pour les sueurs froides —jusqu'ici n'ont prouvées légalement —qu'il aurait eues, le risque qu’il a encouru d'avoir failli être empoisonné ? Ou bien serions-nous dans un chantage à la mort rétrospectif en vue d'un "dommage et intérêt" pour un préjudice non seulement imaginaire, mais imaginé ? La victimisation serait-elle devenue un principe éthique d’exception constitutionnelle ? Aminou Balogoun

Projet de loi de Révision de la Constitution : Vices et Tournevis

Jonathan, dites-le à l’ami Yayi : Fallait-il Partir ou Rester?

Bénin : Sociologie de la Communication Antirévisionniste

1. Type pleurnichard avec signe analogique, qui exprime la prostration d’un peuple incapable de réagir autrement que par les pleurs et la supplication ; ce qui  implique une infantilisation du peuple, et le sentiment de son impuissance face à l’acte réprouvé du pouvoir incarné par M Yayi, et sa volonté de se perpétuer à travers la manipulation au sens propre de la constitution.  Ce type de message et de moyen rhétorique, dans l’histoire de la vie démocratique du Bénin est chronologiquement situé, et trahit  une souffrance préalable encaissée et endurée, celle du holdup de mars 2011, qui était déjà la première marque de l’impuissance du peuple. Est-ce que ce malheur contre lequel on ne peut rien, on n‘a rien pu va encore se renouveler ? Quelle fatalité ! Et on espère attendrir le pouvoir avec les larmes, qui sont en même temps censées être l’expression émotionnelle de l’attachement à son pays, et à sa constitution. Nous sommes dans le registre régressif, infantile, bien représenté par l’image de l’enfant qui pleure, en disant “Pardon!”

Obasanjo Met Yayi en Garde contre le Rêve d’un 3ème Mandat…

En visite au Nigeria Dimanche 1er septembre Monsieur Yayi Boni a rencontré l’ancien Président Obasanjo et l’actuel M Jonathan ainsi que Patience Jonathan son épouse, avec lesquels entre autres shoses, ils ont assisté à un service religieux à la chapelle du quartier présidentiel Aso Rock. Les trois dirigeants ont également visité l'église des enfants au sein de la villa présidentielle. Pendant ce temps, un communiqué publié par le conseiller spécial en communication du président nigérian a déclaré que MM Goodluck Jonathan et Yayi Boni ont eu des entretiens bilatéraux. Les pourparlers, selon le conseiller, seraient centrés sur le renforcement de la coopération entre le Nigeria et la République du Bénin. Par ailleurs selon la même source, les deux dirigeants ont discuté des relations commerciales et économiques entre les deux pays.

Mais des sources secrètes affirment que M Yayi aurait été convoqué par l’infatigable Obasanjo pour le décourager de se lancer dans la recherche d’un troisième mandat ; tentative que lui-même avait faite et dont il garde un triste souvenir en raison de l’échec cinglant qui en découla. L’histoire ne dit pas si Yayi Boni a bien reçu la leçon : vu l’activisme médiatique de ses ministres sur les plateaux de télé au Bénin et leur campagne de chloroformisation du peuple, rien n’est moins sûr…  Source

Nigerians Spend over N120bn Annually on Medical Tourism

The President of the Nigerian Medical Association (NMA), Dr. Osahon Enabulele, has disclosed that Nigerians spend over N120 billion annually on medical tourism while about 5,000 patients travel to India monthly for treatment, describing the trend as ugly and unacceptable. Speaking at a press conference in Sokoto yesterday, Enabulele expressed concern at the increasing number of Nigerians seeking medical treatment abroad, which according to him, drains the nation of huge foreign exchange. He noted that most of the ailments could be handled by competent medical personnel in the country rather than spend huge amount of money for treatment abroad. According to him, the NMA had been encouraging political and public office holders to patronise public hospitals in Abuja and other parts of the country rather than going overseas for minor ailments that could be handled locally. "We have been encouraging our public and political office holders to patronise Nigerian hospitals. We want our president, governors, local government chairmen to patronise our hospitals and primary health centres rather than going abroad for minor ailments. "In fact, things have gone so bad in the country that some Nigerians travel abroad in order to conduct medical check-up on simple things

like blood pressure," he said. He commended Kogi State Governor, Capt. Idris Wada, for patronising local hospitals instead of going abroad for treatment when he had accident last year. The NMA president stressed that Nigeria has the resources and manpower to tackle most ailments ravaging Nigerians and called on the government to improve the health sector. Enabulele said to this end, the NMA had been canvassing for laws to address issues of medical tourism in the country. continued

Bénin : du Bon usage de nos Forces de Sécurité

Pendant que les Forces de l’Ordre sont utilisées pour  Réprimer les Manifestants Pacifiques,  Personne pour protéger le Citoyen Ordinaire qui tombe sous les balles gratuites des Malfrats

 

Réponse des Évêques à Yayi : La CEB ne Doute pas de son Doute

Nigeria's ruling party splinters, in threat to Jonathan

(Reuters) - Seven Nigerian ruling party governors and a former presidential candidate formed a splinter group opposed to President Goodluck Jonathan on Saturday, in the most explicit internal threat yet to his assumed bid to run for another term in office. Nigeria's ruling People's Democratic Party has been in power since shortly after the end of military rule in 1998, but it is increasingly riven by internal squabbles, centered around Jonathan's alleged intention to run again in 2015.

"We address you today as leaders of the PDP, who are worried by the increasing repression, restrictions of freedom of association, arbitrary suspension of members," read the statement by seven governors and former vice president Atiku Abubakar. continued

Démocratie en Afrique et l’Obsession Électorale

La démocratie africaine, comme chacun sait, en est encore à ses balbutiements. Sujette à plus d'un travers et détournement autocratique, elle vit sous l'ombre portée des mascarades et mises en scène d'autant plus ostentatoirement formelles qu'elles sont frauduleuses. Mais l'un de ces travers les plus vicieux est l'obsession de l'échéance électorale, qui sévit surtout dans les systèmes présidentiels forts. C'est-à-dire, à peine une élection présidentielle terminée, le gouvernement installé, que déjà toutes les attentions sont focalisées sur la prochaine élection présidentielle. Cela ressemble à un syndrome de dénégation pour le perdant et de confiscation du pouvoir pour le gagnant, toutes choses qui faussent l'esprit démocratique.