BABILOWN~Mawolè

Boko Haram: un Complot Visant à Abattre l’Avion de Jonathan Déjoué

Pendant que le Bénin bruit de complots imaginaires et ubuesques, à visées anticonstitutionnelles,  son voisin, le Nigeria lui est aux prises à de vrais complots fomentés par de vrais agresseurs déterminés à mettre le pays à feu et à sang !

 

Des armes lourdes, y compris des canons anti-aériens, des lance-grenades ont été récupérées après la visite de Borno ... Le Nigéria aurait été au bord de l’explosion si le complot avait réussi. Mais, selon les sources du renseignement, les agences de sécurité ont sauvé la situation. Les insurgés auraient planifié d'attaquer l'avion du président Goodluck Jonathan dans le ciel de Maiduguri, capitale de l'Etat de Borno, le jeudi, lors de sa visite de deux jours. Borno est le berceau du groupe islamiste Boko Haram. La saisie présumée de trois canons anti-aériens, de deux véhicules techniques montés avec des armes anti-aériens et de10 grenades propulsées par fusée, dans une cache d'armes, à Maiduguri, le vendredi, a crédibilisé la thèse du complot visant à attaquer l'avion présidentiel. Outre les canons anti-aériens et des grenades propulsées par fusée, les armes lourdes découvertes par les Forces Opérationnelle Interarmées (JTF) à Maiduguri, le jour où le président quittait la capitale de l'Etat à l’issue de sa visite comprenaient : 17 fusils AK, des mitrailleuses, trois fusils à usage G3, 20 bombes RPG, 12

chargeurs RPG, 1 x 36, des grenades portatifs, un fusil de gaz lacrymogènes, 33 magasins AK 47, 11 magasins FN, 3 magasins G3 et 11.068 munitions assorties. Le clou de l'histoire, cependant, est la revendication par certaines sources de sécurité que le groupe islamiste avait espéré que le système de sécurité de Borno serait détourné de la visite du président, pour lui permettre de déployer les bras massifs et aussi attaquer les installations où ses membres sont détenus dans l'Etat en vue de les libérer ! Quoi qu’il en soit, grâce à la vigilance des agences de sécurité, ce complot diabolique a été déjoué. source

Cardinal Peter Turkson: le Meilleur Espoir Papal de l'Afrique

Proverbe Yoruba du Jour

Àlejό kì í pìtàn ìlú f’όnílé

Le visiteur d’une ville n’en raconte pas l’histoire à ses hôtes.

Moralité On ne saurait, être plus royaliste que le roi supra Alao Bissiriou

2Interview avec Me Adrien Houngbédji

2Interview avec Monsieur Yayi Boni

Soutenons la Résistance des Combattants de Natitingou…

Soutenons la Résistance des Combattants de Natitingou Contre  la Dictature de YAYI BONI

 

A L’OPINION NATIONALE ET INTERNATIONALE Dossier de persécution politique au Bénin : Cas de quatre détenus politiques de Natitingou.  Ils sont quatre détenus politiques transférés de Natitingou à Missérété le 12 février 2013 dans des conditions dignes des régimes tyranniques. Nous y reviendrons. Origine des faits. En juillet 2010, le Conseil des ministres du gouvernement du Président YAYI Boni décide que la fête tournante du 1er août commémorant l’indépendance nationale aura lieu à Natitingou pour l’année 2011. Soit 13 mois avant la tenue de la fête nationale. Un Comité préparatoire est mis en place dirigé par le Secrétaire Général de la Présidence de la République, Monsieur OUIN-OURO ; et l’estimation des travaux s’élève à environ vingt (20) milliards. Les travaux devant durer entre trois(03) mois et deux (ans). Au mois d’avril 2011, soit quatre (04) mois avant le 1er août, les travaux n’avaient pas encore démarré. Les populations de Natitingou, tirant leçon de ce que dans les autres villes telles Abomey, Porto-Novo, Lokossa, Parakou, l’organisation de ladite fête a laissé un arrière goût amer du fait que les travaux n’ont jamais été exécutés à terme ou lorsqu’ils le sont, les réalisations sont défectueuses, les populations de la ville, chef lieu des départements de l’Atacora – Donga, qu’on reconnaît la plus déshéritée du Bénin décident de ne pas laisser les choses se passer à Natitingou comme il en a été dans ces villes qui l’ont précédée. Elles mettent en place un Comité de Développement de Natitingou (CDN) dont KASSA MAMPO professeur de philosophie dans les collèges, responsable politique et syndical bien connu, est le président. La liberté d’association est reconnue par la Constitution en son article 25 au titre des droits et des devoirs de la personne humaine.

Dixit : Boko Haram ou la Difficulté d’Amnistier des Fantômes

Je ne peux pas parler d'amnistie avec Boko Haram maintenant jusqu'à ce qu'ils sortent et se montrent (...) Certaines personnes comparent Boko Haram avec le Delta du Niger, mais dans le Delta du Niger, quand on les appelle, ils [les militants] se montrent. Mais les Boko Haram eux ne se montrent pas, et nous ne pouvons pas accorder l'amnistie à des fantômes. Dixit  Goodluck Jonathan

Bénin : Banque et Banqueroute

Yayi Boni ou les Vices sans Vertu du Banquier

VOICI L’AFFICHE de YAYI BONI à L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE de 2016

Babilown, la République Culturelle

Bénin, Journée Internationale de la Femme

Au-delà des Discours, Agissons !

Allo Tonton : Réactions de Quelques Béninois qui ne se Taisent pas

Letter from Africa: Faking your fufu?

I have been following the horse meat for beef scandals in Europe with very keen interest. At first I thought it was most unlikely that the scandal would have reached Ghana. We are not in the processed food business here; we start the preparation of every meal from scratch and therefore there is a lot of grinding and pounding in the kitchen. Last week I took a closer look at the frozen foods section in my local supermarket and saw quite a number of frozen beef burgers on display. The countries of origin of the food packets in my supermarket seemed to be the same as the ones making news around Europe.

So I decided that there was the real likelihood that horse meat has been sold here masqueraded as beef. Having accepted this I began thinking of the cavalier attitude we have in these parts towards the labelling of products and the implacable resistance to food processing. As far as labelling goes, the position seems to be, you put on the product whatever label the would-be customer wants - and we are not talking only about food. continued

Ghana Marks 56th Independence Anniversary

Nigeria Set to Overtake SA as Africa's Biggest Economy

Dosu Letriki : Asese Bere …ou l’Influence Yoruba à Fleur de Peau

Ce que j’aime chez les Ouémènou, c’est cette manière qu’ils ont d’avoir l’influence yoruba aussi discrète que latente, dans les gestes, les vêtements, et les manières. Et cette manière, contrairement au Fons, de ne pas la renier. Il suffit de gratter un peu pour retrouver cette influence in-culturante. Ce qui donne sa double culture à toute cette région dont la capitale Adjatchè, qui veut dire victoire en Yoruba ( et non pas Adja-tchè «  « Mon Adja à moi » comme le prétendent certains bricoleurs historiens étymologistes et lexicologues du dimanche) l'exprime Asese bere ni inu biwan de Dosu Letriki en est un vibrant témoignage

Délestage : Le Ghana Décline la Demande de Fourniture du Bénin

Bénin : ALLO TONTON, POURQUOI TU NE TOUSSES PLUS ?

LISTE DES PERSONNES OU PERSONNALITES BENINOISES QUI SONT FIGEES DANS UN SILENCE DE PLOMB ALORS QUE MANIFESTEMENT LE PAYS VA MAL

 

Ces personnalités et personnes, naguère étaient très vocales, tonitruantes même, et exprimaient leurs opinions, et leurs désapprobation de la conduite des affaires du pays par voie de presse, éditoriaux, chroniques, journaux, conférences de presse, livres blancs, communiqués, protestations, marches. Mais tout à coup, au détour de ce qu’on a appelé le holdup de mars 2011, un peu avant, un peu après, ils ont tout à coup été pétrifiés par un silence mystérieux. L'étrange phénomène a frappé par vagues successives. Certains ont commencé par édulcorer la teneur caustique de leurs propos, discours et attaques ; d'autres se sont mis à ruser avec les thèmes et les termes. Et un a un tout ce que le pays comptait de voix fiables et représentatives d’une volonté collective supposée se sont éteintes. Le silence est des plus curieux et des plus cyniques. Et c'est à se demander même si certains de ceux qui parlent maintenant ne sont pas commis pour le faire ; ce qui ne serait qu'une forme ironique et vicieuse du même silence ! On pouvait croire dans un premier temps à une conspiration du silence, mais c’est bien pire que cela, il s’agit apparemment d’une communion dans le silence. Certains en sont même à faire un concours de silence, à jouer à plus silencieux que moi tu meurs. Il y a un proverbe de chez nous qui dit : « Tô non plé bô non konu’a ». Un pays tout entier ne communie pas dans le rire. Mais un pays qui aspire à un avenir pour ses enfants peut-il se permettre de communier dans le silence, lorsque l’heure est grave? Peut-il se permettre de jouer les trois singes qui n’ont rien vu, rien entendu, rien dit ? Peut-il jouer à l’autruche ? Quel que soit l’intérêt que ces gens ont à se laisser pétrifier par la loi mystérieuse du silence, le prix en sera lourd pour les générations à venir ! Le prix en sera lourd pour la grande majorité du pays qui ne peut être invité au banquet du silence… Aussi pour la mémoire et fixer les choses telles qu’elles sont, à un moment donné de l’histoire de notre pays, nous avons décidé de dresser la liste des invités au banquet du silence

 

En Grèce, un Ancien Maire Condamné à Perpète pour Corruption

À QUAND LE TOUR DE CES GRANDS CRIMINELS ECONOMIQUES ET POLITIQUES DU BENIN ?

A QUAND LE TOUR DE CES GRANDS CRIMINELS ECONOMIQUES ET POLITIQUES DU BENIN ?

A QUAND LE TOUR DE CES GRANDS CRIMINELS ECONOMIQUES ET POLITIQUES DU BENIN ?

A QUAND LE TOUR DE CES GRANDS CRIMINELS ECONOMIQUES ET POLITIQUES DU BENIN ?

...etc...

À QUAND LE JUSTE CHÂTIMENT CONTRE LA VENIMEUSE ENGEANCE DES PROFITEURS  DU PEUPLE, LES IGNOBLES CONTINUATEURS DE L’OEUVRE COLONIALE INHUMAINE D’EXPLOITATION DE L’AFRIQUE… À  QUAND LA FIN DE L’IMPUNITÉ  TROPICALE, DU DÉSORDRE ET DU RÈGNE DES MÉDIOCRES PROFITEURS SANS FOI NI LOI…? À  QUAND LA FIN DE CE VIOL INCESTIEUX DE LA MÈRE AFRIQUE PAR SES PROPRES FILS ?

source

Gbagbo Parle devant la CPI : Sérénité et Vérité

/p>

Lagos Razes Homes as Poor Left Behind

LAGOS, Nigeria (AP) - The bulldozers came at dawn to this neighborhood of shanty homes and concrete buildings in Nigeria's largest city, followed by riot police carrying Kalashnikov assault rifles. The police banged on doors, corralling the thousands who live in Ijora-Badia off to the side as the bulldozers' blades tore through scrap-lumber walls, their tracks grinding the possessions inside into the black murk of swamp underneath. Days later, children picked through the field of debris, their small hands dodging rusty nails to pull away anything of value left behind. The demolition of this slum neighborhood follows others in Lagos, a city of some 17.5 million inhabitants where a dozen can sleep in a single room and more flock to every day from the countryside. While the city continues to grow, the government has started programs to improve roads and railways, but target poor neighborhoods for demolition and street traders for arrest. Activists say Lagos' government continues to lay sod for parks to beautify a city long thought of as a nightmare of urban planning, but the facelifts often come at the expense of the poor without a thought about what will become of them. "A megacity is not about its physical size or its beauty, but its people," said Felix Morka, executive director of the Social and Economic Rights Action Center, which is contesting the demolitions in court. "The poor also live here."

Poverty is difficult to escape from in Lagos, even on its islands, home to its political and business elite. Those missing limbs or with facial injuries approach cars idling at intersections to beg. People bathe naked alongside highways or use ditches for toilets. Even those considered as being in the middle class live in crowded tenements or in informal settlements that spring up in the corners of abandoned properties and even on stilts over the Lagos Lagoon. Ijora-Badia, alongside a road leading to Lagos' main port and across from its major brewery, sits on marshy soil. The first settlers were moved here when the government started constructing the nearby National Theatre in the 1970s. In the time since, Ijora-Badia grew along the railroad tracks and is now home to thousands of people continued

Proverbe Yoruba du Jour

Alásọ àlà kì í jόkòό sí sọ elépo

Une personne vêtue de blanc ne s’assoit pas près de l’étal du vendeur d’huile de palme.

Moralité Il ne faut pas provoquer l’incident ou s’exposer à l’inévitable supra Alao Bissiriou