Geraldo pose la question fatidique de la Corruption.
Pourquoi y a-t-il des privilégiés en matière de répression de la corruption ? Pourquoi certains, bien que soupçonnés ou convaincus de corruption sont-il intouchables ? Cette question a une résonance sur ce qui se passe au Bénin où souvent des boucs émissaires de la lutte contre la corruption cachent de nombreux coupables privilégiés et infiniment plus criminels.
Dans le cas du Brésil, le juge explique à Geraldo l’éradication des privilèges est nécessaire pour lutter contre la corruption ; au Brésil le progrès est en marche, mais il faut du temps pour réaliser les mutations. La rationalité légale ne peut s’enraciner que dans une démocratie enracinée ; or le Brésil se trouve à la fin d’une longue période d’obscurantisme politique.
Geraldo rend visite au Président Lula
Geraldo qui développe une réflexion systématique, veut savoir l’impact de la globalisation sur l’économie et la situation sociale du Brésil. Lula explique la logique de la globalisation, et dans l’intérêt de qui elle fonctionne. Selon le Président brésilien, c’est le capital qui est globalisé mais ni le travail ni le droit au/du travail. Dès lors conclut Lula, il est vital et politiquement intelligent pour chaque, nation d’exiger et de placer l’autonomie des ses capacités de production au-dessus des impératifs d’une globalisation à sens unique.
Copyright, Blaise APLOGAN, 2007, © Bienvenu sur Babilown
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