Obasanjo Brought Back Our Girls : 13000 Femmes Sauvées

L'UA devrait tenir une conférence sur le honteux drame des Africains qui meurent en essayant d'atteindre l'Europe, vers un avenir incertain à travers une aventure incertaine. L’UA devrait demander réparation pour la Libye. Elle devrait prendre des mesures en Erythrée, en Somalie, etc. L'argent de la réparation doit être utilisé dans un programme d’aide aux futurs réfugiés à s’établir sur place et éviter cette immigration horrible. Mais les gens sont exposés au danger, en traversant le Sahara. Les tribus de bédouins ou Surwa Arabes ou Peul sont les intermédiaires : le prix de départ pour le voyage est 5000 $ US - puis le prix monte à 10 000 US $ et peut-être à la vente des parties du corps humain - rein, foie, cornée, etc. puis le cas échéant, le réfugié est laissé pour mort. Les femmes commencent le voyage vers la Libye de l'Erythrée, de la Somalie, du Nigeria, du Ghana, etc. avec 5000 $ US. Les réfugiés passent des mains d’un groupe de trafiquants aux mains d’un autre groupe de trafiquants qui exigent le double du prix initialement payé. Si le réfugié est une femme, elle est vendue en esclavage ou utilisée comme prostituée jusqu'à ce qu’elle paie sa dette. Puis, sur un bateau, un autre ensemble de trafiquants prend en charge la même femme sans défense et la force à se prostituer pour le même trajet selon une logique de stop-and-go qui peut durer entre 6 et 10 ans. Entre 1999 - 2010, l'administration Obasanjo a rapatrié 13.000 femmes de l'Italie. Cela a été fait tranquillement pour éviter la honte aux familles. Les protocoles doivent être ressuscités, les institutions construites - des campagnes vigoureuses dans les pays d'origine doivent être effectuées. Le gros du travail doit être fait dans les pays d'origine. Aucun de ces «réfugiés» ne dépense moins de 7000 US $. Qu’est-ce qu’une personne en mesure de se procurer un tel fonds en Afrique veut aller faire en Europe? Il ou elle peut finir comme agent de la circulation, laveur de voiture standard, gardien, homme ou femme de ménage. Nous devons produire des programmes qui, si vous pouvez disposer d’un tel montant en Afrique, vous incite à l’investir sur place de façon bénéfique. Les routes des trafiquants d’être humains doivent être identifiées et barrées à la source. Ces routes devraient être surveillées. DR Dele Cole Patrick Trad. Alan Basilegpo