Quand ce régime daignera partir -- et il n’est pas jusqu’à la résistance farouche qu’il oppose à son départ qui ne porte en elle les germes de sa nature criminelle- personne ne punira personne pour les crimes et forfaits de toute nature qui auront été commis sous son règne. Et on invoquera la paix pour justifier cette passivité éthique et cette complaisance politique. Il en a été ainsi du régime qui le précéda et il en sera de même de celui qui le suivra. Démonstration par récurrence de notre parti-pris de l’impunité. Et nous irons où avec ça ? Certainement pas au joyeux firmament des nations responsables, éprises de justice, de liberté et de progrès
Amida Bashô |
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