La mode actuelle est d’être contre Yayi Boni, qui joue bien le rôle du Diable de la République, mais il fut un temps pas si lointain que ça, où Yayi était plutôt l’ange, et où ses contempteurs d’aujourd’hui n’étaient pas seulement ses thuriféraires mais se jetaient à corps perdu dans ses bras, y filaient le parfait amour… La RB a démontré en la matière une prestation ambigüe, hypocrite voire, basée sur le double jeu cynique et l’égoïsme le plus bestial, souvent servie par une rhétorique pompeuse de circonstance. Ecoutez plutôt, Léhady Soglo ici dans l’ivresse de l’effusion avec l’Ange Yayi… |
Et puis les temps ayant changé, fidèle à sa nature volage et versatile, avec quelque trémolo dans la voix, la RB nous joue maintenant l’air de la Grande Conviction des combattants de l’Intérêt national… Chiɔ ! Amuda Bajogun |
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