Si Goodluck Jonathan savait qu’il pouvait accepter de perdre, pourquoi a-t-il fait monter si haut les enchères de la victoire ? Pourquoi a-t-il porté si haut l’étendard de la mauvaise gouvernance, de la corruption et du cynisme en politique ? Pourquoi a-t-il obstinément délimité une forêt d’insanités si c’est pour finir par planter un baobab destiné à la cacher ? Pourquoi n’a-t-il vécu que de contre-exemples s’il doit finir par se donner en exemple ? Quand la souris accouche d’une montagne, on est en droit de se demander qui l’a engrossée Amida Bashô |
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