Les vices, on le sait, sont contagieux ; ainsi ceux que Yayi Boni et les siens ont semés au Bénin ont leurs semblables ailleurs sur le continent. Voici une image de la version zimbabwéenne de l’”après-nous c’est nous” béninois. Comme le système zimbabwéen, au rebours du béninois, ne cache pas sa nature autocratique, on peut appeler cette image “Après moi c’est elle”; ce qui peut se traduire en anglais par “After me, over to her” ! |
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