 On ne me fera jamais voter une loi qui est contraire à la Constitution. Je ne m’associerai jamais à une proposition de loi ou un projet de loi qui écrit clairement noir sur blanc, une phrase qui viole un article de la Constitution. Je peux le faire par erreur, mais jamais sciemment. Que ça vienne de la majorité parlementaire ou de la minorité parlementaire, je ne ferai jamais. Et ce n’est pas parce que j’accepte de rester légaliste que j’ai tourné dos à ma famille politique. Et ma famille politique ne m’a pas encore mise dehors. S’ils veulent le faire au sein de ma famille politique, qu’ils le fassent et on verra…
… Dixit Hélène Aholou Kèkè
|
|
|
Merci de tout cœur chère Madame; je vous en conjure, ne faites rien "par erreur"; si cela se produisait, je serais triste de vous taxer de double jeu et de complicité,
Plus il y aura des Béninoises et dess Béninois comme vous, plus il y aura des chances de vaincre Mammon. Le bonheur de notre pays doit être au dessus du forcing et des vanités celui au sujet de qui il me semble qu'est ecrit voiici des millénaires avant J C:
« J’ai vu l’impie forcené
s’élèver comme un cèdre du Liban ;
je suis passé, voici qu’il n’est plus ;
je l’ai cherché, on ne l’a pas trouvé. »
Très cordialement
Olympe BHÊLY-QUENUM.
Rédigé par : Olympe BHÊLY-QUENUM | 22 août 2014 à 16:20