M. Jonathan, qui dirige un gouvernement corrompu qui a peu de crédibilité, a d'abord minimisé la menace du groupe [Boko Haram] et ses forces de sécurité se disaient en contrôle de la situation. Il a fallu attendre dimanche, plus de deux semaines après les enlèvements, pour qu’il daigne convoquer une réunion de représentants du gouvernement, y compris la proviseure du lycée des filles, pour discuter de l'incident. Il ne fait aucun doute que l’envoi des experts en sécurité que le président Obama a proposé au Nigeria lundi est nécessaire. amené et trad. par Binason Avèkes |
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