- Il est demandé à tous nos ressortissants d’observer une vigilance renforcée et d’adopter une posture de prudence en toutes circonstances et en particulier lors de déplacements sur des axes ou dans des lieux nouveaux et dans les transports en commun.
- Il est déconseillé sauf raison impérative de séjourner dans la zone comprise entre la Route Nationale Inter-Etats (RNIE) n°2 et la frontière nigériane de Tchaourou à Malanville et dans le parc national du W. ( zone orange)
- Pour des raisons liées à la sécurité routière, il est formellement déconseillé de circuler de nuit sur les routes et les pistes. En outre, il convient de faire preuve d’une grande prudence sur l’ensemble des axes y compris les RNIE en raison de l’activité de «coupeurs de route». Leurs attaques violentes, parfois avec usage d’armes, se déroulent la plupart du temps de nuit, à proximité des agglomérations et des zones frontalières mais des attaques de jour ne sont pas exclues (derniers exemples en date : dans la nuit du samedi 8 au dimanche 9 juin 2013 vers minuit, un véhicule à fait l’objet d’une attaque à main armée à Kpedekpo, faisant un mort et un blessé ; le jeudi 18 juin 2013 vers 14h sur l’axe N’Dali-Djougou, un véhicule d’un bureau de coopération a été stoppé par un groupe d’une dizaine de personnes qui ont tiré sur le chauffeur, le blessant grièvement) ;
- éviter certains quartiers de Cotonou la nuit (le port, le long des voies ferrées du centre ville, les plages) ;
- ne pas porter de sacs ou bijoux dans certains lieux très fréquentés (marché Dantokpa) ;
- n’avoir sur soi que de petites sommes en argent liquide et éviter de manipuler beaucoup d’argent en public. Un billet de 5 000 FCFA représente une somme importante localement et peut susciter la convoitise ;
- être prudent sur les plages de Cotonou qui sont peu sûres, de jour comme de nuit ;
- ne pas s’attarder dans les zones frontalières avec le Nigeria de manière à réduire les risques de rencontre avec les trafiquants ;
- ne pas prendre de photographies ou filmer des personnes sans leur autorisation préalable (une rétribution peut être éventuellement demandée) ;
- ne pas photographier ou filmer les infrastructures publiques (aéroport, gares, bâtiments de l’administration).
En cas de long séjour, il est recommandé de se faire enregistrer auprès du Consulat de France. | | |
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