Merci Monsieur Omar de répondre à 2Interview Vous avez été pris pour un Touareg djihadiste et appréhendé à Dogbo, Mais en fin de compte, il paraît que vous êtes un étudiant venu conter fleurette à une jeune béninoise rencontrée sur Internet. Qu’en est-il ? Certes, le cœur a des raisons que la raison ignore, mais pourquoi est-ce dans un petit village du fin fond du sud du Bénin.que votre flèche de Cupidon a frappé ? Pourquoi pas des villes plus grandes comme Cotonou, Porto-Novo, ou même Parakou ? On dit aussi que votre correspondante a été rencontrée sur Internet.. Parvenait-elle à échanger avec vous depuis son village de Dogbo par internet, dans un pays où même à Cotonou c’est la croix et la bannière de surfer sur Internet et où entre les pannes électriques récurrentes et celles du réseau, bien têtu celui qui peut naviguer ?…Mais vous me direz que qui aime sait être patient, et j’en conviendrai. Même si tout ça sent du pipeau. D’autant plus que des sources bien informées laissent penser qu’il s’agit d’un coup fourré du Bénin pour redorer son blason sécuritaire terni depuis que la France a classé le pays du serviteur Yayi en zone vigilance… Réponse Imagée du Touareg de Dogbo
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Péril sur la liberté de presse:Le Cb de la gendarmerie de Dogbo menace un journaliste de « Le Matinal »
L’Adjudant Eloi Bayolé Kakpovi, Chef de la brigade (Cb) de la gendarmerie territoriale de Dogbo, menace d’arrêter un journaliste du groupe de presse « Le Matinal ». « Vient me voir demain à 8 heures dans mon bureau. Sinon je viens te prendre à Lokossa », ordonnait-il hier au téléphone d’un ton menaçant au Chef bureau régional Mono-Couffo de « Le Matinal ». Le Cb de la gendarmerie territoriale de Dogbo reproche à ce professionnel des médias d’avoir mal reporté sa déclaration sur l’arrestation d’un Touareg malien mardi dernier dans ladite localité
Mercredi 20 mars 2013, l’Adjudant Eloi Bayolé Kakpovi avait en effet éclairé dans ses bureaux notre collègue sur les conditions d’arrestation du malheureux étudiant malien. Le lendemain, hier jeudi 21 mars, les explications du Cb ont été fidèlement reportés. Mais contre toute attente dans la journée d’hier, le journaliste a fait l’objet de nombreuses intimidations. Très furieux par rapport à l’article intitulé « Arrêté mardi pour attitudes suspectes à Dogbo, le Malien Amar Kamir désormais libre », l’Adjudant Eloi Bayolé Kakpovi accuse et menace de « faire mal ». Alerte ! Journaliste en danger… Les associations de défense des droits des professionnels des médias sont appelés donc à défendre ce confrère toujours inquiété par les propos du Cb de la gendarmerie territoriale de Dogbo.
La Rédaction [http://www.actubenin.com/?Peril-sur-la-liberte-de-presse-Le ]
Rédigé par : B.A. | 24 mars 2013 à 17:33