En gros, Merkel a dit : « Moi je soutiens Sarkozy ; et je ne reçois pas Hollande… » En clair, après les financiers qui dictent leurs lois aux États, au risque de blesser les nations, c’est au tour d’une autre nation, historiquement voisine et concurrente, et plus précisément le chef de son État de dicter sa loi à la France ! Il est évident qu’après avoir concédé beaucoup à l’Europe, le peuple de
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France n’accepterait pas cette dernière avanie. Et à la lumière de ce refus, on peut se demander si politiquement Merkel veut vraiment le bien de Sarkozy…
Amida Bashô
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