La source première de la faiblesse de l’Afrique est qu’elle ne produit pas beaucoup d’idées, n’en propose pas au monde, n’en valorise pas, et surtout, dans le choix des directions d’avenir, ignore ou ne donne pas d’importance -- encore moins la primauté -- aux rares Africains dont la vocation est d’en produire. Comment voulez-vous que progresse un continent où l’on pense et agit comme si la production des idées est l’apanage des autres et où les leadeurs se recrutent cyniquement parmi les plus crétins tandis que les meilleurs sont tenus méthodiquement à l’écart de la direction des affaires ? Amida Bashô |
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.