La paix, dites-vous?
Et à partir de quel crime entrerez-vous en guerre ?
Dites-moi, à partir de quel crime,
De quelle instrumentalisation de la cour
De quelle mainmise sur la Céna
De quelle fraude électorale.
De quelle Lépi truquée.
De quelle corruption
De quel mépris des règles de la Démocratie.
De quelles violations de la constitution.
Dites-moi à partir de quel crime entrerez-vous en guerre ?
À partir de combien de cartes électorales estampillées.
À partir de combien de cantines non scellées
À partir de combien de millions d'électeurs exclus.
À partir de combien de bureaux de votes fictifs
À partir de combien d’urnes bourrées
Bref à partir de quel crime la guerre est-elle nécessaire,
Et le Discours de la Paix une ruse cache-misère !
Ahandessi Berlioz
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A PARTIR DU MOMENT Où LE VENTRE L'EMPORTE sur la RAISON
Bonne journée
Je tombe chaque fois des NUES.
Il avait BIGREMENT RAISON, le Vieux Briscard de DADA GBÊHANZIN.
Rédigé par : CHRISTIAN de SOUZA (Philosis) | 04 avril 2011 à 10:02
La paix ce dormitif des voleurs de vote.
L'orchestre soporifique de la paix entonne son refrain de l'aube. Une venimeuse engeance d'intrigants et de malicieux chante de-ci de-là la berceuse de la paix. Au nom, disent-ils, de la raison ; dénonçant soi-disant la soif de pouvoir de ceux qu'ils tiennent pour fossoyeurs de la paix. Soif de quel pouvoir ? Jouer le jeu de la Démocratie, être plus crédible ou majoritaire que le pouvoir en place, est-ce de la soif de pouvoir ? Aller aux élections et refuser de se laisser entuber par le régime en place, est-ce la soif de pouvoir ? S’inscrire en faux contre le système des pseudo-démocraties bananières, des Démocrature, c’est ça la soif de pouvoir ? Mais il faut le rappeler à ces intrigants, à ces madrés que la paix n’est pas une fin en soi. Et que la seule condition pour l’avoir est la justice. Que la paix, la paix ne se troquera pas contre la justice ; la paix des couards, ce dormitif des voleurs de vote n'impressionnera pas la conscience du peuple ; la paix de la confusion et dans la confusion, la paix qui mélange pèle-mêle bourreaux et victimes ; la paix qui amuse la galerie, la paix au nom de laquelle Yayi Boni, le voleur, le violeur, l'assassin, le fraudeur, dictateur continuera de narguer la conscience du peuple en s'accrochant au pouvoir en dépit de sa minorité, en dépit de sa méchanceté, en dépit de sa médiocrité, eh bien de cette paix-là, de ce pain-là le peuple ne veut pas ! L'article 66 alinéas 2, seul, est la solution au problème suscité par l'outrecuidance de Yayi Boni. La situation du Bénin est claire il n'y a pas lieu de parler de paix. Quand un violeur saisit votre femme devant vos yeux abasourdis, parlez-vous de paix ? À moins d’être soi-même un enculé ou un enculeur ! Mais le peuple béninois est lucide et ne se laissera pas posséder
Rédigé par : BA | 28 mars 2011 à 20:43