En principe, L’ONU, fidèle à son fonctionnement aussi occulte que drapé dans la bonne conscience secouriste, devrait envoyer une force de maintien de l’ordre et de la loi en Tunisie ; puisqu’un Chef d’Etat auquel – contrairement à un certain Laurent Gagbo – auquel elle ne trouvait rien à redire a été chassé du pouvoir de façon certes populaire mais irrégulière pour ne pas dire anticonstitutionnelle
Les événements de Tunisie ne sont-ils pas la preuve que l’ONU avait d’autres urgences, d’autres cas de conscience, d’autre chaudrons explosifs méconnus, d’autres volcans qui couvaient, d’autres terrains de préoccupations, qu’elle ne se donne pas la peine de résoudre alors qu’elle s’acharne sur le cas ivoirien, peut-être même l’un des moins autocratiques et des moins régressifs parmi cas cas monstrueux délibérément ignorés.
Cette logique de fonctionnement paternaliste, autoritaire, partial et injuste est purement néocolonial et ne saurait être accepté par des africains, qui pensent
Amida Bashô
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