Pour un Gbagbo auquel Sarkozy envoie par média interposé une injonction comminatoire à peine voilée, combien de satrapes françafricains prospèrent sous le couvert français, sont dorlotés, caressés dans le sens du poil autocratique et de la présidence à vie ? A quand les mêmes injonctions aux Eyadema, Bongo, Ben Ali, Nguesso, Compaoré, commodes paravents et serviles complices autochtones du pillage de l’Afrique par la meute bestiale des occidentaux, la France en tête ?
Amida Bashô
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