La problématique simiesque nous hante de part en part. Elle constitue un boulet à nos pieds, l’écueil fondamental qui hypothèque notre éveil dans le concert des nations, continents, cultures et races en marche. Et pourtant, nul d’entre nous – en Afrique comme au Bénin – ne semble faire de l’absence de ce souci un réel souci. Sommes-nous devenus des singes sans souci qui ne sourcillons plus au souci d’être des singes ? Avons-nous trouvé notre vocation, notre karma dans le singe ? Le singe est-il devenu notre seconde nature ? Il y a souci !
Amida Bashô
Copyright, Blaise APLOGAN, 2010,© Bienvenu sur Babilown
Toute republication de cet article doit en mentionner et l’origine et l’auteur sous peine d’infraction
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.