La problématique simiesque nous hante de part en part. Elle constitue un boulet à nos pieds, l’écueil fondamental qui hypothèque notre éveil dans le concert des nations, continents, cultures et races en marche. Et pourtant, nul d’entre nous – en Afrique comme au Bénin – ne semble faire de l’absence de ce souci un réel souci. Sommes-nous devenus des singes sans souci qui ne sourcillons plus au souci d’être des singes ? Avons-nous trouvé notre vocation, notre karma dans le singe ? Le singe est-il devenu notre seconde nature ? Il y a souci !
Amida Bashô
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