Je demande pardon à Yayi Boni, non seulement d’avoir pensé qu’il était nul, le plus nul des Présidents sinon de toute l’histoire du Bénin, du moins du Renouveau. Et d'en avoir tiré toutes les conséquences intellectuelles au regard de ma responsabilité morale. Je demande pardon de persister dans cette pensée, de façon définitive. Merci d’avance d’accepter mon pardon… Oh, pardon ! Toute réflexion faite, je retire mon pardon, quelle connerie ! Je suis impardonnable !
Alao Bissiriou
Copyright, Blaise APLOGAN, 2009,© Bienvenu sur Babilown
Tout copier/collage de cet article sur un autre site, blog ou forum, etc.. doit en mentionner et l’origine et l’auteur sous peine d’être en infraction.
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.