“Qui change qui ? Qui change quoi ?” Quand on y pense rétrospectivement on est surpris par la charge prophétique et le scepticisme désabusé de cette interrogation. Étaient-ce seulement des mots de défiance d’un opposant défait, ou un scepticisme méthodologique sur la possibilité de Changement au Bénin ? Sinon, quelles sont les conditions initiales d’un vrai changement au Bénin selon Maître Houngbédji ?
Alao Bissiriou
Copyright, Blaise APLOGAN, 2009,© Bienvenu sur Babilown
Tout copier/collage de cet article sur un autre site, blog ou forum, etc.. doit en mentionner et l’origine et l’auteur sous peine d’être en infraction.
Ce que je me demande souvent, cher ami, c'est sur quelle base vous choisissez les notes qui vous inspirent commentaire,-- commentaires dont soit dit en passant, je salue la pertinence, et parfois comme ici l'humour -- à l'exclusion des autres. N'éviteriez-vous pas par hasard et scrupuleusement celles sur lesquelles vous et vos affidés êtes un peu dans l'embarras ? Cela vous retourne certaines des questions qui vous tiennent à coeur à savoir l'équilibre de traitement, le fait de nuancer, dire le pour et le contre, etc...
Rédigé par : B. A. | 16 novembre 2009 à 13:40
Ce Piment devance une question qui est celle de savoir ce pour quoi ou pour qui vous optez car l'on ne peut penser que vous vous limiteriez à décrier Yayi Boni malgré son volontarisme qui certes souffre de ses erreurs - mais qui n'en commet pas? seuls ceux qui n'agissent pas-
Cette réflexion non dénuée de pertinence ouvre sans doute des pages consacrées au Houngbedjisme après les épisodes acharnées de l'anti-Yayisme. En somme le sucre va succéder ou alterner avec le vinaigre. Autant vous rappeler que l'abus du sucre est aussi préjudiciable que celui du vinaigre.
Thomas Coffi
Rédigé par : Thomas coffi | 16 novembre 2009 à 11:25