ACTIONS ET DÉCLARATIONS
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L’Iraq
Le Président américain sacrifie au rituel salut par heurt de poings avec des troupes américaines à Bagdad en avril 2009. En octobre 2002, alors sénateur illinois, Obama s'est prononcé contre ceux qui préconisent la guerre en Irak : "je ne m'oppose pas à toutes
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L’Afghanistan
Le Président rencontre le Général Stanley McChrystal, commandant en Chef des Forces américaines en Afghanistan, à bord de Air Force One à Copenhague en octobre 2009. Lors d'une visite à Kaboul en juillet 2008, candidat démocrate présomptif au poste présidentiel, Obama disait : "je pense que l'une des plus grandes erreurs stratégiques que nous avons faites après le 9/11 a été d'échouer à finir le travail ici, à concentrer notre attention ici. Nous avons été distraits par l'Irak."
Callie Shell / Aurora for TIME
Mission dans le Monde
Le Président arrive à Bagdad au début de 2009. Lors d'un voyage au Caire en juin 2009, il a déclaré, "Il est plus facile de commencer des guerres que de les finir. Il est plus facile de blâmer d'autres que d'examiner ses propres actes, de voir ce qui est différent chez quelqu'un que de considérer les choses que nous partageons. Mais nous devrions choisir le juste chemin, pas seulement des plus faciles."
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Rivalité entre Washington et Moscou
Obama rend visite au Président russe Dmitri Medvedev dans sa dacha en Russie en juillet 2009. Pendant ce voyage, Obama a dit : "En 2009, une grande puissance ne montre pas sa force en dominant ou en diabolisant d'autres pays. Les jours où les empires traitaient des états souverains comme des pièces sur un échiquier sont révolus ... étant donné notre interdépendance, n'importe quel ordre mondial qui essaye d'élever une nation ou un groupe de personnes au-dessus d'un autre échouera inévitablement. La poursuite de la puissance n'est plus un jeu à somme nulle - le progrès doit être partagé.”
Callie Shell / Aurora for TIME
Aller de l'avant en Irak
Obama et le Premier ministre irakien Nouri Al-Maliki saluent des gens au Camp de la Victoire à Bagdad. Dans sa visite d'avril 2009, le Président a dit : "les Etats-Unis n'ont aucune revendication sur le territoire des Irakiens ni sur leurs ressources. Nous respectons la souveraineté irakienne et les sacrifices que vous avez faits pour votre pays. Et nous cherchons une transition complète à la responsabilité irakienne dans la sécurité et la prospérité de la nation. Les Américains, par leurs troupes, civils et militaires, ont fait d'énormes sacrifices ici en Irak."
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Message au Monde Islamique
En juin 2009, Obama se rend en Egypte pour rencontrer le Président Hosni Mubarak. Au Caire, il a délivré un discours séminal, en déclarant : "je suis venu ici pour chercher un nouveau commencement entre les États-Unis et les Musulmans dans le monde entier - un nouveau commencement basé sur l'intérêt mutuel et le respect mutuel et sur la vérité que l'Amérique et l'Islam ne sont pas exclusifs et n'ont pas besoin d'être en concurrence. Au contraire, leurs intérêts sont imbriqués et ils partagent des principes communs - les principes de justice, de progrès, de tolérance et de dignité pour tous”
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Réaffirmer l’alliance avec les Britanniques
Obama s'entretient avec le Premier ministre britannique Gordon Brown à Londres. Pour apaiser les spéculations sur le reflux des liens privilégiés entre les deux nations que les liens avaient diminué, le Président a déclaré en Mars 2009 : "la Grande-Bretagne est l'un des nos plus proches alliés l'un des plus forts, et ce lien est indissoluble. Et je pense que c'est vrai non seulement sur le plan économique mais aussi sur les questions de sécurité commune. " Il a ajouté: “Et soit dit en passant, l'Angleterre est le pays d'origine de ma famille maternelle"
Callie Shell / Aurora for TIME
Un Œil sur l’Iran
Obama et Nicolas Sarkozy à Strasbourg en France. Le Président américain et le leader français ont un œil sur les ambitions nucléaires de l'Iran. Comme le Président Sarkozy, Obama a dit en juin 2009 : "mon avis est que la possession par l'Iran d'une arme nucléaire serait profondément dangereuse - non seulement pour les États-Unis, non seulement pour Israël, mais dans la région tout entière et, avec le temps, dans le monde entier. Parce qu'il n'y a aucune raison que l'Iran obtienne une arme nucléaire sans que bien vite une kyrielle de pays du Moyen-Orient ne se décide à lui emboîter le pas sur cette voie dangereuse”
Brooks Kraft / Corbis for TIME
L’Art de la Négociation
Le Président au sommet du G-20 des Pays les plus riches du Monde à Pittsburgh, Pa., en septembre 2009. "Eh bien, si c'est juste Roosevelt et Churchill assis dans une pièce avec chacun un cognac, vous savez, c'est une négociation plus facile," a dit Obama lors d'une discussion. "Mais, faut pas rêver, ce n'est pas le monde dans lequel nous vivons. Et cela ne devrait pas être le monde dans lequel nous vivons.”
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Le Colonialisme a bon dos
Pendant sa visite à Ghana en juillet 2009, Obama a parlé au continent africain tout entier, disant : "le Développement dépend de la bonne gouvernance. C'est l'ingrédient qui a manqué en bien trop d'endroits pour beaucoup trop longtemps. C'est le changement qui peut ouvrir le potentiel de l'Afrique. Et c'est une responsabilité qui incombe aux Africains eux-mêmes”
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Action Multilatérale
Premier Président américain à présider le Conseil de Sécurité de l'ONU, en septembre 2009, Obama a fait pression pour que l'Iran et la Corée du Nord observent rigoureusement les résolutions de l'organisme. Il a dit : "les 12 mois suivants seront absolument critiques pour déterminer si cette résolution et nos efforts pour arrêter la diffusion et l'utilisation d'armes nucléaires ont réussi. Et toutes les nations doivent prendre leur part dans ce travail."
Callie Shell / Aurora for TIME
Toute la Vérité sur la Guerre
Le Président s'adresse aux troupes américaines au Camp de la Victoire en Irak. En 2004, à la Convention nationale Démocratique, Obama a dit, "Quand nous envoyons nos jeunes hommes et femmes dans la voie du mal, nous avons une obligation solennelle de ne pas cacher les nombres ou la vérité sur les raisons de leur engagement, et être à l'écoute de leurs familles durant leur absence, soigner les soldats à leur retour, et ne jamais, jamais, faire la guerre sans suffisamment de troupes pour la gagner, assurer la paix et gagner le respect du monde."
Binason Avèkes
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