On peut toujours, – faute de mieux – laisser Yayi Boni faire un 2ème , un 3ème voire un 4ème mandat. Le dictateur suranné qu’il est – et ce n'est pas Roger Gbégnonvi qu’il a failli étriper dans son bureau, après l’avoir copieusement arrosé d’insultes dans le plus pur style des potentats qui dira le contraire – oui, Yayi Boni ne rêve pas mieux ! Pas mieux, en dépit de la proclamation de son attachement à une constitution qu’il viole à sec chaque petit instant que Dieu a fait, dans sa solitaire navigation à vue.
Mais maudit soit l’imbécile, le demeuré, l’oligophrène, l’égoïste, le naïf, le simplet, l’idiot du village politique, l’amnésique et pour tout dire le bête bâtard et bâté qui irait jusqu’à signer un contrat de gouvernement avec lui à cet effet. Depuis 2006, tout le monde sait ce que vaut un tel contrat : moins qu’un pet !
Qui me trompe une fois, honte à lui, qui me trompe deux fois, honte à moi !
Ce proverbe anglais est une véritable mise en garde, à méditer sérieusement…
Amida Bashô
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