C’est dangereux pour un pays comme le Bénin qu’on disait « laboratoire de la démocratie ». J’ai du mal à sentir que mon président se retrouve sur les traces du président Tandja. Parce qu’aujourd’hui, c’est l’Assemblée nationale. Et demain, ce sera la Cour constitutionnelle, la Commission politique de supervision de la Lepi. Que deviendra la République au moment où les partenaires au développement mettent déjà la main à la poche face à une telle violation des lois de notre pays… Dixit Saka Fikara
Copyright, Blaise APLOGAN, 2008,© Bienvenu sur Babilown
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