Le changement, dans un tel contexte, ne peut être réduit à un simple inventaire de ce qui est fait ou de ce qui n’a pas été fait. Le changement relève d’une loi naturelle. Il suppose, dans le cas béninois, au moins deux choses. D’une part, qu’un président n’a pas été élu pour qu’on le laisse se décarcasser tout seul, attendant qu’il sème le changement dans la vie de ses compatriotes qui, eux, peuvent se la couler douce. D’autre part, que le changement est moins la somme comptable de ce que l’on réalise que l’effort des uns et des autres à changer eux-mêmes pour se rendre aptes à changer leur pays. Dixit Jérôme Carlos
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