Officiellement condamné pour contravention à la législation sur la presse, mais en réalité pour avoir écrit et publié dans son bulletin TSYB 2011 que "YAYI BONI BAT SA FEMME", Monsieur Andoche Amègnissè, président du parti de l’Union des Laissés pour Compte (ULC), a été jeté en prison le vendredi 14/11/2008. Ce règlement de compte politique inique et autoritaire, digne des régimes dictatoriaux n'honore pas notre pays et notre jeune démocratie. Il est contraire aux idéaux du Renouveau Démocratique. Nous condamnons fermement cette pulsion tyrannique du régime du « Changement. » Nous exigeons la libération immédiate de notre compatriote. Et nous en appelons à tous les démocrates épris de justice au Bénin et de par le monde afin qu'ils s'élèvent contre cette violation intolérable de la liberté d'expression et des droits politiques au Bénin par le Régime du Président Yayi Boni.
Babilown
Allegedly condemned for contravening to the legislation on press, but in reality for having written and published in his bulletin TSYB 2011 ( Anything but Yayi Boni in 2011), that “ Mr YAYI BONI BEATS HIS WIFE” Mr Andoche Amegnisse the president of the Forgotten People’s Union (ULC) has been thrown in jail on Friday 14/11/2008. This inequitable and authoritarian political reaction befitting dictatorial regimes does not honour our country and our young democracy. It is against the ideals of the Democratic Revival. We firmly condemn this tyrannical drive of the regime of the “change.” We demand the immediate liberation of our fellow countryman. And we call on all Democrats in Benin and all over the world so that they rise against this unbearable violation of the freedom of expression and political rights in Benin by the regime of President Yayi Boni
Babilown
Copyright, Blaise APLOGAN, 2008, © Bienvenu sur Babilown
Le sieur Amegnissè, depuis quand habite-t-il dans la maison du couple présidentiel pour se laisser aller à des allégations aussi fantaisistes dans un papier illégal par dessus le marché ? Il n'a qu'à s'en prendre à lui-même s'il se fait tirer les oreilles durant quelque temps par la justice.
Rédigé par : Paul Nouna | 18 novembre 2008 à 18:13