Mon Beau de l'Air
Toujours un régal de passer par le blog de Pierre Assouline ; occasion de découvertes et de curiosités littéraires ou bibliographiques qui ne sont pas que seulement littérairement correctes ni la synthèse des pressions marchandes du landerneau éditorial parisien ; pause instructive souvent rafraîchissante et riche de saveurs intemporelles et extraterritoriales. Cette semaine on y parle de Baudelaire. Sans prendre de grands airs... Lisez plutôt.
Cher Baudelaire
Comme disait Jean Genet au juge qui lui demandait s’il connaissait le prix des livres de bibliophilie qu’il venait de voler :”Monsieur le président, j’en ignore le prix mais j’en sais la valeur“. Même si l’on n’est pas collectionneur, certaines éditions rares n’en sont pas moins émouvantes. Cet exemplaire des Fleurs du mal dédicacé à Delacroix par Baudelaire, et cette photo d’icelui dédicacée à son éditeur Poulet-Malassis suffisent à mon bonheur au moment où la France littéraire s’apprête à fêter dans la liesse populaire le 150ème anniversaire de la parution du recueil de poèmes (jeudi, en fait)
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Eloi Goutchili
Copyright, BLaise APLOGAN, 2007
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