Une Réaction à " Une Brève Réponse à ceux qui ont “amené Yayi

Boni” en 2006"

Michel Sogbossi, l’un de ceux qui s’honorent d’avoir « fait venir Yayi Boni » en 2006  à un récent congrès des déçus de Yayi Boni déclare : « Je crois, l’occasion viendra, pour que tous ceux-là qui ont crié depuis 2005, 2006, disent au peuple béninois, nous nous sommes trompés, pardonnez-nous. » Non, M Sogbossi, vous devez dire plutôt : «  Nous nous sommes trompés, punissez-nous. Dites-nous de nous mettre désormais à l’écart de la politique, le restant de notre vie ! … » Aminou Balogun. Notre commentaire : Chers compatriotes béninoises et béninois. Transmettons ce message à tous nos contacts "FACEBOOK", "TWITTER", "VIADEO", "LINKEDL" et "EMAIL PERSONNEL" Et disons dans notre message que ce n'est pas seulement M. Michel Sogbossi qui doit reconnaître avoir trompé le peuple pendant 10 ans et demander à être sanctionné. Il y a tous ceux et celles qui ont contribué à tromper le peuple - en tant que ministres (Irenée Koukpaki, Reckya Madougou, Benoit Dègla, Jonas Gbian, Christian Sossouhounto, Marcel de Souza, Arifari Bako, Amadou Fatoumata Djibril, Barthelemy Kassa, Djènontin, Edoun, Maimouna Kora Zaki, Naomi Azaria, François Abiola, Komy Koutché, Alassane Djimba Soumanou, Fagnon etc.) - en tant que députés (Mama Djibril Débourou, Rachidi Gbadamassi, Chabi Sika, Hélène Aholou Kèkè, Arifari Bako, Boni Adam Tessi, Sacca Lafia, Claudine Prudencio, Mathurin Nago  etc.) - en tant que conseillers ou directeurs de Boni Yayi (Général Robert Gbian,  Adam Bagoudou, Amos Elegbè, Hountondji, Gatien Houngbedji, Frederic Behanzin, Mèdjico, Fred Houénou, Robert Dossou, Joseph et Isidore Gnonlonfou) - en tant que responsables politiques (Léhady Soglo, Nicéphore Dieudonné Soglo, Rosine Soglo, Souley Alagbé, tous les maires qui ont peur d'être poursuivis à cause de l'audit des fonds FADEC etc.) - TOUS !!!! Sans exception que vous connaissez et qui se cacheront, dites-leur de s'assumer. Le peuple béninois accepte le pardon. Mais le pardon n'est pas un oubli. Ils doivent accepter la sentence de la sanction pour faire pénitence et passer leur temps au purgatoire de la réflexion. Sinon, s'ils ne servent pas d'exemples, ceux et celles qui viennent à partir du 7 avril 2016 continueront à croire à l'impunité. Ils continueront à croire qu'il suffit de dire au peuple béninois « Je me suis trompé, pardonnez-moi » pour être réhabilité et remettre la soutane blanche de la virginité politique. Non !!! C'est trop facile. Il faut assumer avec Boni Yayi sa présidence. Il n'était pas seul pendant dix (10) ans. Issé Oooooooo !!!!!!!!!!!!!! Ehuzu !!!!!!!!!!!