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Ce que j’aime chez les Ouémènou, c’est cette manière qu’ils ont d’avoir l’influence yoruba aussi discrète que latente, dans les gestes, les vêtements, et les manières. Et cette manière, contrairement au Fons, de ne pas la renier. Il suffit de gratter un peu pour retrouver cette influence in-culturante. Ce qui donne sa double culture à toute cette région dont la capitale Adjatchè, qui veut dire victoire en Yoruba ( et non pas Adja-tchè « « Mon Adja à moi » comme le prétendent certains bricoleurs historiens étymologistes et lexicologues du dimanche) l'exprime Asese bere ni inu biwan de Dosu Letriki en est un vibrant témoignage |
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