Après le Viagra, pilule bleue devenue la panacée des impotents et autres voraces du sexe, épitomé azuré et passablement comprimé de la conception hédoniste et matérialiste du monde actuel au joug espiègle duquel volontairement ou non la multitude se soumet, à quand une pilule verte de la sérénité et de l’affranchissement du sexe et de toute la mystification émotionnelle originelle qui lui est associée ? A quand l’existentialisme métasexuel ? A quand ce qu’on pourrait appeler le NIAGRA ou le NILGRA, qui libèrerait l’homme, notamment le mâle de tout le mal du sexe, et de la pieuse mystification de la féminité dont tous les deux sexes sont victimes chacun à sa manière ?
Amida Bashô
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