La politique, c’est comme l’huile de palme : si vous êtes tout de blanc vêtu, et ne voulez pas en être taché, ce n’est pas la peine de vous en approcher
Alao Bissiriou
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La politique n'est pas à l'origine et en soi un pandémonium -- lieu de vice ou de perdition. Le sens original qu'en ont donné les Grecs -- la vie de la cité -- en témoigne. C'est parce que les "Africains outillés", comme vous dites,sous réserve de clarification sémantique, sont pervers ou pervertis à la base. Et ils transfèrent cette perversité, leurs vices, dans le domaine politique, contribuant à sa perversion. Il faut changer de mentalité, il faut que l'outil dont certains seraient nantis servent plutôt à ce changement, et du même coup la politique retrouvera ses lettres de noblesse qu'elle avait jadis, et qu'elle conserve du reste dans beaucoup de nations occidentales ou asiatiques, qui ont un sens élevé d'eux-mêmes et de leur devenir.
Rédigé par : BA | 02 juillet 2011 à 17:19
Juste l'image, un proverbe Adja le dit si bien: "Avo wéwé non kpo Ami vovo non kpo mon non djè kpo" ..."Vovo mi na non nou midé"
"L'homme vêtu de blanc et la vendeuse d'huile de palme ne se mettent pas ensemble"... "Nous devons rester séparés"
Il est alors dommage que ce creuset du pervertissement qu'est la politique reste le point de mire majeur des Africains les mieux outillés...
Rédigé par : Thomas Coffi | 02 juillet 2011 à 11:43