Mon Idéo Va, Court, Vole et Tombe sur…:
Dernière Victime de Guerre ?
Dans l'hypothèse d'une élection honnête, organisée dans un esprit responsable – tout le contraire de la conception théâtrale de la Démocratie instaurée par Yayi Boni à coup de trucages, de ruses, de violences, et de mensonges éhontés – ABT avait toutes ses chances.
L'enjeu des élections était double. D'une part il y avait la nécessité de tourner la page absurde et erronée du changement incarné par Yayi Boni, un homme aussi médiocre que malhonnête, aussi tyrannique que retors, et qui a, de par ses agissements, conduit notre société au bord de la guerre, notre économie au bord de la ruine, notre éthique plus bas que terre. D'autre part, il s'agissait de savoir si on allait continuer sur l'option du Banquier-Président, l'idée que le technocrate de l'économie serait mieux à même d'apporter la prospérité et la cohésion sociale à un peuple qui en a faim ; ou, si, surtout lorsqu'ils ont de l'expérience à revendre, les politiques qui incarnent la majorité spéculaire du pays, et qui dans une unité historique retrouvée, incarnent le savoir-faire politique, le mieux-disant identitaire, seront à même d'administrer la gouvernance et l'harmonie sociétale nécessaire pour mettre enfin notre société sur la voie de ses aspirations profondes de progrès et de bonheur.
Dans cette alternative honnête, les jeux étaient ouverts et ABT avait toutes ses chances. L'autre aspect de la question électorale de 2011 était la possibilité pour l'UN qui regroupe la majorité objective du pays de l'emporter au premier tour. Or c'était compter sans la volonté crapuleuse de Yayi Boni et de sa clique ; compter sans l'option de la démocratie théâtrale importée des obscures capitales africaines du crime politique organisé ; c'était compter sans le peu d'éthique, le peu de sincérité, le peu d'humanité, le grand mépris de Yayi Boni et des siens pour la vérité, la justice, l'équité, le respect de l'autre, le peuple, la crainte de Dieu !
Toute cette idiotie infernale et parfaitement absurde a eu raison d'entrée de la geste auguste ABT. Lui qui dans une élection aux relents ethniques renforcés, devait partager le Nord avec un Yayi Boni qui n'a pas craint de s'attribuer la part du lion , dans une région qui n'est pas le plus gros grenier électoral du pays. Alors que dans le sud, le partage frauduleux de l'électorat reste délicat et aura du mal à justifier ses fantasmes léonins. Tel n'est hélas pas le cas dans le Nord, pour le plus grand malheur électoral de ABT, car dans le Nord, la fiction du partage léonin de l'électorat peut se donner les apparences du vraisemblable sinon de l'acceptable. Dans sa fureur crapuleuse, cette fiction infernale va jusqu'à laisser entendre les grondements de son aveugle volonté de balayer la majorité réelle du pays d'un revers de main ! Yayi Boni et les siens sont-ils prêts pour la guerre ? Sont-ils prêts à affronter le peuple réel dans sa volonté farouche de ne plus se laisser marcher sur les pieds ? ABT est leur première victime politique. Mais sera-t-il le dernier ? Yayi Boni et sa clique venimeuse oseront-ils pousser le bouchon plus loin ?
Éloi Goutchili
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En 1977, j’ai essayé d’avoir une aide pour poursuivre mes recherches de Doctorat, auprès d’un devancier en poste au BIT à Bruxelles. Laissez-moi vous dire, que le discours qui m’avait été servi par son Secrétaire particulier, était à la hauteur de l’image du Personnage en question. Pourquoi voudriez-vous que je change ou rétrécisse la couverture géographique de l’objet de ma Thèse ? Oui mes Frères, parce que MONSIEUR, le Tout Puissant Faiseur de Miracles, avait sa tête mise à prix par Kérékou, dans une Histoire de Coup d’Etat avorté. Il ne voulait pas d’ennuis. Éloquent NON ? Voila comment nous arrivons à nous limiter nous-mêmes. Pour le BIT ? C’est Albert Tévoèdjrè.
Si je me suis payé ces détours de descente à la Source, c’est pour te faire découvrir certaines configurations du Théâtre politique d’aujourd’hui qui tiennent leurs ramifications de notre conduite du passé d’Homme.
Confucius, CADOC et même Einstein ou Autres, n’échappent à cette règle fondamentale.
Mon cher frère Olakunlé, toi-même, tu dis quoi ?
Cordialement
Philosis
partie 3 et fin
Rédigé par : CHRISTIAN de SOUZA (Philoss) | 19 mars 2011 à 15:01
Faisant très attention pour préserver mon équilibre et mon Moi. J’avais déjà compris la courte durée de vie du communisme et sa chute, de même que les atermoiements du capitalisme.
C’était dans ce contexte que naviguait, un certain individu peu scrupuleux dans le milieu estudiantin que je retrouve aujourd’hui sur la Scène Politique du Bénin. J’ai nommé BAKO. Il était déjà à la source des ennuis d’étudiants à l’étranger. C’était simplement une BALANCE de PRPB. C’est depuis les fauteuils des Amphithéâtres d’Université qu’il s’est formé aux Roublardises, aux Mensonges et aux Duperies. Pour tenir à distance respectable certains de nos compatriotes et frères qui mes soûlaient par leurs citations idéologiques je répondais inlassablement : Karl Marx a dit, Karl Marx a dit… Et vous, vous dites quoi ? C’était radical, j’avais ma paix. Je ne devais rien à Kérékou, et je n’avais aucune subvention financière d’aucune Institution pour mes études.
Rédigé par : CHRISTIAN de SOUZA (Philoss) | 19 mars 2011 à 14:58
Bien cher frère Olakunlé,
Dans les années 70, à la Fac, j’ai été confronté à un endoctrinement intellectuel. Le petit livre Rouge de MAO, et le non moins célèbre, Le CAPITAL de Karl Max. (Karl Heinrich Marx)
Depuis ma tendre enfance, je me suis toujours refusé de me laisser tirer ou mener par le bout de mon nez.
Un peu partout dans le Monde, des foyers d’endoctrinement Marxiste proliféraient. Conscient de certaines dérives idéologiques, j’ai décidé de plonger encore plus profond et de décoder la SOURCE. Ô STUPEUR ! Un Bourgeois Rebelle, complexé et qui voulait en découdre avec ses Géniteurs et sa Communauté d’appartenance. Pendant ces investigations, j’ai épinglé au passage Fidèle Castro, sur la Révolution Cubaine, Lénine et Staline en Russie, et chez moi, j’épingle Kérékou et sa Horde Révolutionnaire. Quelle FOLIE Collective! Quelle Déshumanisation ABRUTISSANTE au nom d’une Idéologie ?
Très attristé par les résultats de mes investigations personnelles, je me suis tu. J’ai fait l’âne pour avoir mon diplôme académique, en ingurgitant et assimilant tout, comme un Perroquet.
Partie:1
Rédigé par : CHRISTIAN de SOUZA (Philoss) | 19 mars 2011 à 14:50
ah! je vois qu'il ne t'a pas encore lu.
Je laisse encore 2 ou 3 jours, moi, je vais te répondre. Peut-être que tu ne vas pas aimer. Qui sait?
Cordialement
Philosis
Rédigé par : CHRISTIAN de SOUZA (Philoss) | 17 mars 2011 à 12:41
Bonjour Cher compatriote et frère Goutchili
Je vous prie d'avoir un minimun de respect pour l'homme qui assure aujourd'hui et jusqu'au 05 avril 2011 à minuit la fonction présidentielle. Qu'on l'aime ou pas, il a été élu par le peuple et il est inconcevable que vous le trainez dans la boue, quel que soit votre bord politique, le parti ou le camp auquel vous appartenez, en le traitant de tous les noms, comme le fait votre blog. Je pense que vous devriez être animé d'une très grande sagesse. A ce propos, je voudrais vous inviter à la méditation de ces deux pensées de Conficius " le sage est lent dans ses paroles et diligent dans ses actes" et "le sage n'accable pas les autres de sa supériorité, il ne les humilie pas de leur impuisance".
Pour finir , je vous invite aussi à considérer ce dicton du sage CADOC:
"Avant de parler considère:
Premièrement ce qu tu dis,
Deuxièmement pourquoi tu le dis,
Troisièmement à qui tu le dis,
Quatrièment de qui tu le tiens,
Cinquièmement,ce qui résultera de tes paroles,
Sixièmement, quel profit en découlera,
septièmement, qui écoutera ce que tu diras.
Mets alors tes paroles sur le bout de ton doigt,
et tourne le de ces sept manières avant de les exprimer:
Aucun mal ne résultera jamais de tes paroles".
Cordialement
Olakunle
Rédigé par : Djagoun Kunlé | 16 mars 2011 à 09:00