Succéder à Yayi Boni en 2011, ce n’est pas mettre fin au changement mais en soi faire œuvre et vœu de Changement. Car en citoyen responsable et patriote comment peut-on lui succéder en 2011 sans être animé du désir brûlant de réparer les choses qu’il a aggravées dans notre éthique, nos mœurs sociopolitiques et notre économie en l’espace de cinq ans ? Or cette réparation nécessaire et urgente, la – déyayitisation au karcher de la vie politique nationale – est en soi un beau programme de Changement
Amida Bashô
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